Nom: Lancaster, une fière famille anglaise. Prénom: Elena était le choix de mon père, Quinn celui de ma mère. Âge et Date de Naissance: 32 ans, née le 27 octobre. Nature du sang: Née moldue, mais je ne vois pas le problème avec ça. Situation familiale: Je suis encore proche de mes parents, bien qu'ils se font de plus en plus vieux, j'aime aller les voir le plus souvent possible pour leur montrer de nouvelles choses chaque fois. Je suis toujours célibataire et je compte bien le rester, à moins qu'un homme décide de se pointer le bout du nez devant moi un bon jour.Patronus: Une jolie Cocker Spaniel que je réussis seulement à créer grâce au sortilège.Miroir du Rised: Au bras d'un homme fort et aimant, des enfants courant autour de nous. Epouvantard: Un loup-garou Composition de la baguette magique: Une baguette de crin de licorne faite de bois d'Aulne.  Emploi: J'enseigne la botanique à Poudlard Animal de compagnie: Un joli chat Main Coon qui me suit partout où je vais sans exception. Il se nomme Eno.

Depuis toute petite, Elena est cette charmante femme qui porte toujours un sourire à ses lèvres, celle qui fait sourire tout le monde grâce à son rire si doux aux oreilles. C’est celle qui faisait tout pour aider les gens lorsqu’elle le pouvait, voulant que tous puissent bénéficier du même bonheur. Elena c’est aussi la femme qui a le nez plongé dans un roman à l’eau de rose, se demandant si un jour elle aussi elle vivrait ce grand amour qui lancerait une pierre à sa fenêtre pour lui chanter la sérénade. C’est celle qui croyait au monde de la magie avant même de savoir ce qu’elle était réellement. C’était l’enfant unique de la famille qui prenait tant de place qu’on dirait qu’ils étaient une famille huit enfants. La grande rousse est la femme qui vous fera rêver et qui vous donneras envie de changer pour le bien pour avoir une chance d’être près d’elle. Pourtant elle serait incapable de refuser de donner son attention à quiconque. Que vous soyez bon ou non, elle vous verra comme une personne tout à fait normale qui a simplement besoin de son aide. C’était l’étudiante curieuse et rêveuse. Celle qui préférait lire ses manuels à l’avance que d’essayer de trouver le fantôme qui mettait l’école sans dessus dessous. Par contre, elle ne perdait pas un moment pour aller à l’extérieur avec ses amies et rigoler entre elles, prendre un moment pour décompresser surtout.

Parfaite vous diriez, mais son caractère angélique s’est endurcit pour s’en prendre à la vie sans peur. Elle sera la femme qui vous fera rêver, mais qui vous tournera de bord au moindre problème. Elle n’a point peur de dire ce qu’elle pense réellement et ne comprends pas pourquoi elle devrait le garder pour elle-même. C’est aussi une grande gaffeuse dans l’âme, faisait tomber tant de chose sur son passage, jusqu’à se ramasser la plupart du temps les fesses dans la terre du pot de fleur qu’elle vient d’échapper. C’est aussi une grande peureuse dans le noir, effrayée que des monstres quelconques se cachent dans la noirceur de sa chambre. Elena est aussi la femme naïve qui ne verra pas tout de suite le mal dans une personne et se fera embarquer dans des tas de problèmes par sa faute.

J’avais beau essayer encore et encore et c’était comme si ma baguette ne voulait pas m’écouter, comme si elle refusait de se plier à mon sort. J’étais assise dehors, près de la serre, avec mon livre ouvert devant moi et ma baguette à la main. Je tentais de faire l’un des sorts les plus difficiles et c’était vrai ce qu’ils disaient, que c’était l’un des plus complexes. J’avais l’habitude de réussir mes sorts dès le premier coup ou au pire, le deuxième, mais là ! Là ça devait faire au moins une semaine complète que je passais tous mes temps libres à tenter de créer ce sort si majestueux. Découragée, je laissai tomber ma baguette sur le livre en passant une main dans mes longs cheveux roux, nerveuse. Et si jamais je n’étais capable de créer ce sortilège ? Et si je ne pouvais jamais voir de quoi aurait l’air mon patronus et que ce désir de le voir m’étais retiré ? Soupirant, je m’étais laissée glisser contre la paroi de la serre, le visage entre mes cuisses. Comment allais-je bien réussir à faire ce sort… J’en était épuisée physiquement et mentalement. Je mangeais si rapidement pour retourner à ma pratiquer que j’en oubliais pratiquement de boire, d’aller à la toilette et de dormir. Mais je ne pouvais pas abandonner tout de suite ! Je devais réussir, je devais pouvoir dire fièrement que j’étais une sorcière apte à faire apparaître son patronus. Prenant une grande respiration, je repris ma baguette en main et en fermant les yeux je murmurai une petite prière à moi-même avant d’ouvrir les yeux, confiante, puis je prononçai les mots pour une énième fois, mais cette fois ce ne fit pas sans succès. Je pus voir du bout de ma baguette une lumière bleue se créer et rapidement j’y vis un joli chien qui gambadait heureusement, la langue pendue dans le vent. Un cocker spaniel, un chien si doux et si royal. Je ne pus m’empêcher de sourire, les larmes aux yeux. J’avais enfin réussis. Puis la lune monta dans le ciel, me laissant seule avec la joie d’avoir enfin réussie l’impossible.