BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end) | | | si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 15:42 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]luciolla clay lockhart FEAT. sarah bolger seize années ϟ études primaires ϟ boomslang & chartreux ϟ sang mêlé« Lu', c'est ma cousine - Ouais, je sais, ça se voit pas tellement, en fait -. Si je me souviens bien elle a du naître à Perth, comme moi, d'ailleurs c'est logique, quand j'y pense. Sauf qu'elle, c'était le seize mai, alors que moi c'est.. Enfin, on s'en fiche, de quand je suis né, moi. Si vous lui demandez, j'pense qu'elle va redresser la tête, et vous dire presque machinalement qu'elle est de sang parfaitement pur - après tout elle est issue d'une ancienne lignée de sorciers, bla, bla, bla -, mais elle mentira. J'sais pas pourquoi, elle supporte pas l'idée qu'on puisse savoir qu'en vérité, son sang est mêlé. Comme si c'était une honte, quoi. Pff. Je l'adore, vraiment, mais là-dessus je la trouve franchement trop extrêmiste. D'ailleurs je suis pas le seul, hein, enfin. Même si elle dit que non, je pense qu'elle a un peu peur des autres, au fond. Elle leur en veut pour tout un tas de trucs sans aucun sens, et, vraiment, ils doivent l'effrayer. Sauf qu'elle ne le montrera jamais, elle est bien trop fière pour ça, alors elle fera simplement semblant de ne pas les aimer, pour qu'ils lui fichent la paix. Depuis toute petite, elle a des principes, pour certains un peu bizarroïdes, mais on dirait qu'elle préférerait se faire arracher un à un tous les ongles de la main plutôt que de ne pas s'y tenir. Parmi eux, il y a le fait de ne jamais se séparer de sa baguette, qui mesure quelque chose comme vingt-huit centimètres, est en bois de cèdre, avec un crin de licorne. Enfin, encore, ça je peux comprendre, la plupart des sorciers ne supportent pas de ne pas avoir la leur avec eux, ils se sentent démunis. Je suis un peu pareil, donc je ne vais pas critiquer. Sinon, elle déteste perdre son calme, et montrer aux autres ce qu'elle pense vraiment. Ouais, on peut appeler ça de l'hypocrisie, mais chez elle, ça a quelque chose de mignon. Ou pas, d'accord. Elle parle bien, sourit toujours, et s'éclipse rapidement. Pourtant, et là je la trouve un peu paradoxale, elle aime beaucoup se faire remarquer, donc je suppose que tant qu'on ne la colle pas, elle peut quand même parler avec des êtres humains. Le problème, c'est qu'elle a l'air de penser que tout lui revient de droit, et qu'elle est supérieure à beaucoup, vous voyez ? Ça, je n'aime pas trop. Elle m'a dit un jour que pour elle, l'Amortentia avait une odeur de myrtille, de cuir neuf, et la suite j'ai oublié, mais ça devait avoir un rapport avec un type de Poudlard. Un Serpentard, je crois. Pourtant je suis assez flatté qu'elle m'en ait parlé, sur ce qui est vraiment intime, elle est plutôt secrète. C'est comme son Épouvantard, à part moi, y'a pas grand monde à savoir qu'il prend la forme d'un homme aveugle. Allez savoir pourquoi, ça lui fait peur. Chez elle, elle a un axolotl , le genre d'animal totalement inutile, quoi. Vous savez, cette espèce de poisson, là, avec des pattes. Le pire, c'est qu'elle est adorable avec.
a little something from you. Depuis son apparition, elle n'a jamais franchement été folle de cette petite chose brumeuse qui la suivait. Au début elle n'a, soyons honnêtes, strictement rien remarqué, trop occupée à ses plans d'avenir sans queue ni tête. Enfin, cela vient peut-être également du fait que son Patronus a mis un certain temps à se décider à se montrer réellement, se contentant un moment de ne demeurer qu'une mince brume dans le sillage de Luciolla.
C'est un simple froncement de sourcils qui a accueilli la première apparition de la chose sous la forme d'un serpent, plus précisément un boomslang, pratiquement translucide. Elle ne se souvenait pas avoir lancé le moindre sort, pourtant. Un haussement d'épaules suivit assez rapidement, comme la jeune fille avait tourné les talons pour vaquer à nouveau à ses occupations, la chose ne l'intéressant sur l'instant pas plus que cela ; ce devait être un simple sortilège que quelqu'un non loin avait du lancer, tout simplement. Et, cela disparaîtrait sans même qu'elle ne s'en aperçoive.
Cette situation dura quelques jours, pendant lesquels la Lockhart oublia pratiquement l'existence de cette chose qui lui emboîtait le pas où qu'elle aille, ne l'ayant sur l'instant pas trouvée suffisamment intéressante pour s'y attarder. Si d'autres le remarquèrent, ils ne firent pas le moindre commentaire, interprétant le silence de la semi-rouquine à ce sujet comme un signe qu'elle ne désirait en aucun cas être dérangée à ce propos.
Sauf que l'animal ne semblait clairement pas décidé à se contenter de cela, le déni de Luciolla ne lui plaisant visiblement pas, il finit donc par abandonner un moment son apparence de Patronus, devenant sous ses yeux ébahis un chat, gris, visiblement un Chartreux, au pelage soyeux et au regard presque intelligent. Un bref instant d'étonnement lui suffit avant de se détourner une seconde fois, comme considérant que cette chose, quelle qu'elle soit, l'avait assez importunée pour le moment. Si l'animal tenta d'entrer en contact avec elle par la pensée elle n'en remarqua rien, à moins qu'elle n'ait simplement pas voulu le remarquer, trop fermée envers cette chose qui n'avait pourtant rien d'hostile.
Il fallut finalement que son cousin, sujet au même phénomène mais ayant, lui, pris la peine de s'y intéresser, lui explique ce qu'il en avait compris, pour qu'elle accepte de considérer un minimum le Patronus. Néanmoins elle mit plusieurs semaines à l'accepter comme partie d'elle, et à ce jour encore, la présence de la chose toujours auprès d'elle la rend plutôt mal à l'aise. This one moment when you know you're not a sad story. - la maison lockhart:
La famille Lockhart, quoi que le patronyme ne le laisse aucunement suggérer, trouve ses sources en Europe Orientale, une localisation plus précise étant difficile à établir - quoi que le fait que leur plus illustre demeure se soit trouvée en Lituanie laisse entendre qu'ils pourraient même venir de ce pays -. Des traces de passage de cette maison mènent aux alentours de Kiev, en Ukraine, jusqu'à Belgrade en Serbie avant de visiblement s'arrêter, plus récemment, non loin de Perth, dans le nord du Royaume Uni ; comme quoi les membres de cette singulière lignée auraient une préférence notable pour les lieux isolés au possible. Il est assez aisé d'établir une généalogie ou une carte de leur passage, tant la plupart ont fait du bruit sur leur passage. Quoi que rares soient les sorciers à connaître précisément la maison Lockhart, ce nom est connu de presque tous, de façon plus ou moins positive. Cette lignée, longtemps d'une ascendance parfaitement pure, et propriétaire de véritables domaines en Europe, connaît depuis plusieurs générations déjà une déchéance des plus difficiles, pour ses membres les plus traditionalistes. Le sang se mêle à d'autres familles, le cercle restreint des Lockhart s'élargissant ainsi, au grand damn de certains. Pour la famille généralement considérée comme décalée, peuplée par des énergumènes uniquement intéressés par le savoir, et souvent instables mentalement, voir attirés par certaines pratiques occultes, le revers de médaille est important, et ne cesse de faire des dégâts. Par ailleurs, si la Maison est connue, ce n'est pas tant pour son ancienneté, son sang ou sa défunte richesse, que pour ceux qu'elle a compté dans ses rangs. Si peu de membres de la communauté magique sont encore capables de citer l'un deux, ainsi que ce qu'il a pu faire d'illustre, il n'en reste pas moins que l'avis est unanime. La famille compterait ainsi bon nombre d'escrocs, prêts à tout pour renflouer les caisses, ou, à l'époque, simplement s'amuser un minimum. Le travail n'a jamais été un grand ami des Lockhart, qui ont toujours préféré compter sur leur capacité à amadouer certains, voir récolter les fruits du travail d'autrui. Cette maison rassemblerait ainsi bon nombre de fêlés, la plupart très portés sur la connaissance, mais plus encore, sur la famille. Rien n'était plus important que la préserver, la protéger, du moins jusqu'aux dernières générations, allant souvent jusqu'à tenter de marier ensemble des cousins directs. Pourtant avec cette tendance à s'éparpiller et se diviser - et, cette fois, ce n'est pas pour mieux régner -, les valeurs se perdent, la famille s'écroule. Quelques branches annexes subsistent, par la simple chance de toujours se trouver un héritier mâle pour faire vivre le nom. Les réunions de famille ne sont plus que l'ombre de ce qu'elles étaient, et certains vont même jusqu'à épouser des sorciers d'ascendance moldue. Néanmoins de plus en plus de membres montrent un désir de tolérance, voir de se mélanger. Depuis toujours d'une neutralité sans précédant, ils ne se privent aujourd'hui plus d'afficher haut et fort leur sympathie envers les moldus, sans toutefois tenter de les défendre plus que cela, à l'inverse du célèbrissime Albus Dumbledore.
Elle garda son regard obstinément planté sur sa tasse de thé, quoi qu'elle sache pertinemment que la solution ne lui viendrait pas du liquide brunâtre qui tourbillonnait paresseusement. De sa main libre elle effleurait depuis un moment déjà le pelage du chat assis sur le sol, pratiquement collé à sa chaise, et parfaitement immobile. C'était l'un des seuls et uniques cas où elle acceptait de toucher le Patronus, ces instants où le mécontentement et la colère parentaux s'accentuaient plus encore, du moins si c'était possible. Et c'était également la raison pour laquelle Luciolla faisait tout pour ne pas rentrer à la maison en dehors des vacances d'été, allant jusqu'à lorsqu'elle le pouvait passer Noël au château. A son avis, même s'ils n'adhéraient pas - et n'adhéreraient sans doute jamais - à ses principes et sa vision de la vie, ils pouvaient au moins, à défaut, se contenter de la fille qu'ils avaient, voir en être fiers. Mais visiblement non, ils trouvaient ses idées trop arrêtées, et sa façon de le montrer déplaisante. D'après eux, elle aurait du se montrer fière de sa mère, ou en tous cas ne pas la cacher. Et ça, par exemple, c'était stupide. Après tout, si Dacien avait été assez aveugle pour épouser une Sang-de-Bourbe, c'était son problème. Il n'avait absolument pas à s'en servir pour faire de la vie de sa fille un enfer, ou du moins l'utiliser contre elle. Et puis, quelle fierté pouvait-on trouver dans le fait d'avoir un sang souillé ? C'était sans doute pour cela qu'elle avait pris depuis toujours l'habitude de ne pas dire un mot de la femme qui lui avait donné la vie, et, surtout, ne jamais révéler de quelle ascendance elle était. Elle décrocha rapidement du discours paternel qui lui répétait pour la énième fois qu'en continuant ainsi elle finirait mal ; qu'entre Pro-Sang Purs et partisan de 'Tu-Sais-Qui' il n'y avait qu'un pas ; qu'elle oubliait que si les Lockhart n'avaient jamais pris part dans cette guerre ce n'était pas pour commencer maintenant, et.. Le soupir de la jeune fille l'interrompit, comme elle posait son menton dans sa main en une moue ennuyée, allant jusqu'à jeter un regard au chat grisâtre. Non, c'est vrai, ses oncles, cousins et parents s'obstinaient à n'afficher aucune position, en revanche, pour ce qui était de se montrer fidèles à la tradition en produisant plus d'escrocs qu'autre chose, ils étaient bien là. Au départ, ces discussions l'intimidaient légèrement, et elle se contentait d'écouter en silence, tête et regard inclinés vers le sol, faisant mine d'être sincèrement navrée. Et puis, au fur et à mesure qu'elles se répétaient, elle en était venue à ne plus ressentir qu'une infime lassitude, ne faisant absolument plus mine d'écouter ses parents l'exhorter à se montrer plus tolérante. Plus ouverte. Plus comme son cousin. Plus ceci, moins cela, et sans arrêt. La tasse tomba dans un bruit de porcelaine brisée, son liquide brûlant se répandant sur le sol, tandis que la jeune fille se relevait d'un bond et appuyait avec force ses deux mains sur la table. Son regard, qu'elle planta dans celui de son père, l'aurait tué s'il l'avait pu. Elle prit une légère inspiration, toussa doucement, comme n'ayant pas parlé depuis un moment. Et puis quoi, encore ? Qu'est ce que tu crois, sincèrement ? Ce n'est pas parce que toi, tu as gâché ta vie, que tu peux exiger la même chose de moi ! Ce serait vraiment trop vous demander, qu'un 'on t'aime, luciolla' ? Je vous déteste.. J'vous déteste, putain ! Laissez moi, je veux plus vous voir ; jamais ! Quelques larmes roulaient sur ses joues tandis qu'elle tournait précipitamment les talons, se dirigeant vers l'escalier qu'elle grimpa à toute allure, s'engouffrant dans sa chambre son Patronus sur les talons, avant de claquer la porte derrière elle. Un instant plus tard elle s'était jetée sur son lit à baldaquins, enfouissait son visage dans son oreiller pour pleurer en paix, tandis que le chat venait se coller à elle, comme se voulant rassurant. Elle resta un bon moment à sangloter bêtement, incapable malgré elle de contrôler son surplus d'émotions, avant de s'essuyer les yeux, et s'asseoir calmement au bord de son lit, se forçant à prendre de profondes inspirations. Elle ne parvenait toujours pas à comprendre pourquoi personne dans la famille ne semblait faire attention aux mêmes choses qu'elle, pourquoi les adultes se montraient si gentils avec la vermine. Pourtant la famille était ancienne, jusque là pratiquement toujours pure, et loin d'être ruinée, quoi que ces derniers temps cela restait à prouver. Ils auraient pu faire de grandes choses, s'ils avaient parfois consenti à travailler, ce que chaque membre de la Maison paraissait considérer comme un acte bien plus qu'atroce. Mais non, au lieu de cela ils préféraient rester dans leur coin, à établir des théories insensées sur des choses qui n'intéressaient personne, et à faire de leur mieux pour extirper de l'argent à qui se montrerait trop naïf. Finalement, après un moment de doutes inutiles, elle se décida à se relever, ramassa la besace qui lui tenait lieu de sac, et entreprit de fourrer tous les vêtements qui lui passaient sous la main dedans. Rapidement la place manqua, et elle passa la lanière sur son épaule, se contentant de se dire qu'elle repasserait la veille de la rentrée tout récupérer. Presque machinalement elle avança vers la porte. Tu ne devrais pas faire ça. C'est la famille, tu sais. Luciolla s'immobilisa, la main sur la poignée, et tourna lentement vers l'animal qui la dévisageait, sans la moindre animosité. Elle s'était figée lorsque la voix, plutôt grave, avait résonné dans son esprit, chose qu'elle ne supportait pas, et à laquelle elle ne s'était toujours pas habituée. Je t'avais dit de ne plus faire ça. Bien qu'uniquement pensés, les mots possédaient une sonorité tranchante, sèche et cassante, presque supérieure. Non, cette chose, qui ne possédait depuis le temps toujours pas de nom, n'était en aucun cas une partie d'elle. Elle la haïssait, presque autant qu'elle haïssait sa famille, les moldus, et au fond la plupart des autres personnes. Elle détestait voir que les conseils du Patronus, qu'elle s'appliquait à ne pas respecter, se révélaient judicieux. Elle détestait cette atroce douleur, presque insupportable, qu'elle ressentait malgré elle en s'en éloignant. Elle détestait devoir parler à des gens, car elle craignait que cela ne finisse par altérer sa capacité à penser par elle même, à être une personne à part. Elle détestait devoir travailler, et plus encore constater qu'elle avait cela en commun avec la maison. Au final elle était assez pleine de rancoeur envers pratiquement tout ce qui n'était pas elle, ce qui n'avait pour résultat que de l'énerver plus encore. Se composant un bref sourire elle rouvrit la porte, dévala l'escalier, manquant au passage de rentrer en plein dans Gunnulf, le stupide elfe de maison. Lui aussi, elle le haïssait profondément. Maladroit au possible, bête comme ses pieds ; et puis, de toute façon, elle n'avait pas à respecter quelque chose de semblable. Écarte-toi de mon chemin, imbécile. Hautainement, une main posée sur la taille, et sans cesser de sourire légèrement. C'était presque l'un de ses commandements personnels, que de ne jamais se montrer affectée par quoi que ce soit et, ainsi, toujours sourire. Et après avoir légèrement poussé la petite créature qui bredouillait quelque excuse, elle prit la direction de la porte d'entrée, qu'elle ouvrit, franchit et claqua sans que personne ne réagisse. Le problème étant que n'ayant toujours pas atteint la majorité elle ne pouvait user de la magie, elle se contenta de marcher un moment, pestant en silence contre tout ce tas de choses qui empoisonnaient sa vie, à moins qu'elle ne s'en soit chargée elle même, au final. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: pomme ; quinze ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? prd, il me semble. ϟ Personnage: inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? nope'. ϟ Présence: genre, pas loin de tous les jours. moins pour les réponses. ϟ Une remarque?
Dernière édition par Luciolla C. Lockhart le Mar 30 Avr - 17:56, édité 4 fois |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 15:44 ( #) | LOOOCCCKKKAAARRTTT Welcommmeee |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 15:45 ( #) | Les légumes, c'est cool. Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ! |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Guest, Mar 30 Avr - 15:47 ( #) | Bienvenuue Hâte de voir comment est ton perso |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 15:54 ( #) | la belle au bois dormant bienvenue parmi nouuuuuuuus |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 15:55 ( #) | J'aime pas les légumes, mais bienvenue quand même |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 16:12 ( #) | |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 17:06 ( #) | OMG une Lockhart Ö Ça va donner ** J'ai hâte de voir le reste de ta fiche ! Sinon euh, bienvenuuuue parmi nous !!! ♥ |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 17:29 ( #) | Un chartreux ?Une Lockart?
Je t'aime. ♥
Bonne chance pour ta fiche ** |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mar 30 Avr - 17:58 ( #) | Merci, merci, merci.
Bon. En théorie c'est fini, mais après.. Mon histoire m'a l'air encore plus compliquée à suivre qu'un plat de spaghettis emmêlés par le génie de la compote de fraise, donc. Si y faut je peux réécrire, pas de souci . |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Guest, Mar 30 Avr - 18:17 ( #) | Bienvenue ici J'aime beaucoup ton histoire ! D'ailleurs, je suis contente de voir que je ne suis pas la seule à repousser mon patronus C'est sympa le contraste belle au bois dormant/Luciolla ! |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Guest, Mar 30 Avr - 21:13 ( #) | T'es belle toi. Bienvenue |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mer 1 Mai - 3:36 ( #) | Bienvenue Lockhart ! |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mer 1 Mai - 10:40 ( #) | BELLE AU BOIS DORMANT ! Bienvenue même si je te l'ai déjà dit sur la CB (je crois ) |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Invité, Mer 1 Mai - 10:43 ( #) | Ton avatar; Bienvenue parmi nous |
| | Re: si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end)par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | si la vie c'est difficile, rapprochez-vous des légumes ◮ lockhart. (end) | |
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