BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
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équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood. | | Euphrasie Malefoy admin - i don't want just a memory Répartition : 11/08/2015 Hiboux Envoyés : 1420
| Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Euphrasie Malefoy, Lun 31 Oct - 18:55 ( #) | Déipyle Euphrasie Eudoxie Malefoy ft. Charlize Theron Sang-Pur 42 ans Mariée, Lestrange de naissance Hétérosexuelle Langue de Plomb, Bras-droit de M. Farquharson Faucon Gerfaut Pro-mangemort crédits | | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom : Née Lestrange, mariée Malefoy. Véritable sucre qui colle à ta bouche, ne cherche donc pas à t'y soustraire. Présents depuis la nuit des temps, nous étions et resterons ces joyaux que nuls ne sauraient détruire… Prénom : Déipyle, prénom aux origines de mythologie grecque, femme qui a donné naissance à un héros de guerre. Pure foutaise. Espérons, supposons, que tous ces faux-dieux n'étaient que des sorciers assoiffées de pouvoir et de gloire... Euphrasie, reine de beauté, celle qui construit bien ses phrases. D'origine grecque aussi, source d'une dualité certaine, entre la confiance, grâce et le secret l'intériorité. Moralité de circonstance, moralité d'ambition, Euphrasie est la femme qui ne dit pas toujours ce qu'elle pense, et ne fait pas nécessairement ce qu'elle dit. Séductrice, de manière calculée et artificielle. Eudoxie, toujours la même origine : qui est estimée. Deux natures qui s'affrontent : l'active volontaire et autoritaire, symbole d'indépendance et d'égocentrique, face à l'autre plus timide, affectueuse, soucieuse et à l'écoute. Elle tangue entre sa vie de femme de pouvoir et sa vie de femme au sein d'une famille. Âge et Date de Naissance : 42 ans, 2 Novembre 1940 Nature du sang : Aucun doute n'est possible quant à ce sang qui coule dans mes veines... Les lignées Lestrange se sont évertuées à garder un élixir des plus purs : la moindre traitrise était sanctionnée, aucune lignée souillée ne saurait perpétuer notre nom. Aujourd'hui, je suis mariée Malefoy. S'il fut un temps cette famille commerçait les insectes non-magiques, cela fait des générations qu'ils ont prouvé leur valeur... C'est un cadeau ma famille a pu faire. Situation familiale : Fille unique, héritière d'une fortune inestimable, Déipyle est une précieuse qui a grandit dans un confort qui a été martelé par la dureté de son éducation. Son père, Honorius Lestrange, était d'une sècheresse infinie. Mage noir à ses heures perdues, duelliste hors pair, c'était un homme de principes et d'honneur. Il n'avait qu'une seule parole et sa vie n'a été que dévouement pour sa famille. Amoureux de la magie, il haïssait le gouvernement pour bousculer de plus en plus les classes nobles et aristocratiques. Ce gouvernement qui se moquait si librement de l'histoire de leur sainte patrie magique : il était essentiel pour lui de préserver la pureté du sang. Honorius Lestrange était d'une cruauté sans nom : il était inutile de négocier, encore moins d'espérer d'être gracié d'une punition. Honorius Lestrange ne touchait aucun de ses enfants : sa baguette était l'oeuvre de Dieu, la volonté d'une sanction consciemment méritée. Les règles étaient les règles : elles existaient pour une raison et nul ne saurait s'y soustraire... Pas même son épouse : Alcidia Nott. C'était probablement la seule femme sur Terre à être capable de canaliser les élans de colère et la cruauté de son mari, tout comme l'inverse. Si le mariage n'était source d'une union heureuse, elle était l'image de la prospérité même. Alicia Lestrange était une femme intellectuelle investit dans les recherches sur les sortilèges et les vieilles runes. C'était une expérimentatrice qui parlait peu, mais qui manipulait l'essence de la magie, ne cessant de répéter à sa fille que c'était pour cela que les insectes ne devraient jamais pouvoir la frôler : la magie coulait à l'état pur dans leurs veines à eux. A l'heure actuelle, Déipyle est mariée à Charon Malefoy. Si elle pouvait le détester au début, elle forme avec lui un couple plus que solide. Leur amour est tumultueux, explosif et passionnel, à l'image de leurs disputes éclatant dans l'intimité de leur manoir. Une équipe incapable de s'abandonner, prêt à s'investir dans leurs idéaux, leurs objectifs et leur famille. Elle est mère d'un enfant unique : Horus Malefoy. Sa plus grande fierté, mais aussi sa plus grande honte. C'est un sujet extrêmement sensible pour cette mère culpabilisée, cette femme à l'ambition acérée. Patronus : Un faucon Gerfaut : un rapace à l'envergure étonnante, aux plumages blanc tacheté de petite tâche plus sombre. C'est un animal qui s'adapte à son environnement mais qui y reste fidèle. Les couples s'unissent pour la vie et deviennent ensemble les prédateurs de leurs territoires. Miroir du Rised : Il est probable que Déipyle n'ait pas totalement conscience de la simplicité de son désir le plus profond : simple et pourtant impossible. Le miroir dépeindrait sa propre famille, avec un fils en bonne santé accompagné de sa petite soeur. Une famille unie, un peu plus souriante, un peu plus aimante et communicative. Loin de cette maladresse éternelle et cette incapacité à communiquer cet amour élémentaire qui est censé lier toutes ces personnes. Déipyle, bien que femme de caractère et de pouvoir, est capable d'une ambition telle, qu'elle gravit tous les obstacles possibles. Or, communiquer d'une autre manière avec son fils lui parait impossible. Elle l'a déjà perdu. Epouvantard : L'épouvantard de cette femme a, à l'heure actuelle, deux formes différentes, selon ses humeurs et ses préoccupations du moment. Le premier, serait de voir son époux lui tourner le dos, ou tout simplement mort. Être incapable de revoir la malice briller dans ses yeux, ne plus pouvoir le titiller, et l'entendre hausser la voix lorsqu'elle dépassait les limites instaurées. Ne plus pouvoir chercher son contact et se blottir contre lui. Cette une peur capable de la tétaniser. Cela serait la différence entre vivre et survivre. Elle vit avec lui, elle a trouvé un équilibre parfait et elle l'aime, comme elle n'a jamais aimé personne. Le perdre, serait le début d'une ère sombre où elle serait incapable d'affronter son fils seule, incapable de faire autre chose que de devenir un monstre tyrannique pour tous. Quant à la deuxième forme, il concerne tout simplement son fils : Horus. Que celui-ci leur détourne définitivement le dos, puisse partir ailleurs, se lier avec une impur ou pire encore : mourir. Elle a peur qu'il tombe encore dans une de ces sommeils inattendus et ne se réveille jamais. Elle ne saurait jamais s'en remettre. Composition de la baguette magique : Sa première baguette était en bois d'Orme et crin de Licorne. Raffinée, digne, elle excellait en sortilège. A l'image de son élégance, elle adorait sa baguette. Elles s'entendaient parfaitement. Et puis, petit à petit cela s'est dégradé. Elle refusait catégoriquement de lui obéir. Elle se souvient de s'être déjà brûlée à cause d'elle avant que le crin ne meure. Prise sensation qu'il puisse arriver à un sorcier : voir sa baguette mourir entre ses doigts, se sentir alors démunie, perdant une partie essentielle de soit. Aucune succession pour cette baguette, elle est morte avec une part d'elle, certainement. Sa seconde et actuelle baguette est rare paraît-il. D'ailleurs Ollivanders lui-même lui a conseillé une boutique étrangère puisqu'elle ne trouvait guère de quoi satisfaire sa personnalité. Déipyle était tétanisée : elle a perdu sa baguette en perdant son enfant, en apprenant que son fils était malade. Ce fut en Russie qu'elle acquit d'une nouvelle baguette : bois de vigne, plume de phénix. A peine fut-elle dans la pièce que la baguette se mit à vivre. Et pourtant, il lui a fallu du temps à l'apprivoiser, c'était absolument différent de sa précédente compagne. C'était comme si elle avait du réapprendre la magie : cette baguette était l'exigence même, à l'instar du nouveau visage sévère qu'ornait la femme. Emploi : Après avoir eu un poste de subalterne concentré sur de l'administratif, Déipyle a pris de nombreux cours pour pouvoir se donner les moyens de décrocher le concours interne au Ministère de la Magie pour intégrer les Langues-de-Plomb sous tutelle, afin d'être formé pendant 4 ans. Aujourd'hui, toute sa carrière est bâtie sur son expérience et ses compétences multiples et ses champs d'expertise. La Malefoy a fait des études en Justice Magique, dont la spécialisation était "Connaissances approfondies du Monde Magique". Elle a pu voyager dans le monde à l'encontre des autres communautés magiques (parfois indépendantes et mineures) afin de découvrir et se former à la pratique de nouvelles magies. Comme tout LDP, elle est investie dans différents thèmes de recherches, l'amenant parfois à voyager - ce qu'elle adore contrairement à la majorité de ses collègues - mais l'étude de la magie en elle-même est son cœur de métier. Déjouer des malédictions, créer des charmes, tenter de combiner plusieurs magies pour repousser les limites des connaissances des britanniques... Il y a un bon nombre de questions qui sont posées auxquels elle œuvre avec différentes équipes pour tenter d'y trouver des réponses. Depuis peu, de par son expérience et sa carrière au sein des LDP, elle a accepté de prendre ds LDP junior afin de les former. Elle est aussi désignée pour suppléer le chef du département, quant à la gestion des équipes des LDP lorsque le directeur est occupé avec les entités supérieurs du Ministère où est en déplacement. Animal de compagnie: Déipyle a une sainte horreur des chiens et chats, si bien qu'il est absolument interdit qu'une franchisse la demeure des Malefoy. Elle n'a pas d'animaux de "compagnie" à proprement parlé, mais il existe un vivarium immense dans l'un des couleurs de la bâtisse qui sert autant de décoration que pour son divertissement personnel, où réside plusieurs serpents. Ensuite, elle aime particulièrement l'équitation, si bien que l'un des premiers investissements du couple fut de construire une écurie pour accueillir quelques chevaux - puisque l'acquisition de mini-abraxans fut revue à la baisse. Les balades familiales sont devenus une habitude pour cette petite famille (ou corvée pour certains). Lorsque la femme est nerveuse, ou simplement préoccupée, il lui arrive souvent d'aller s'occuper elle même des chevaux ou encore de partir en balade. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Caractère Nous sommes ces joyaux aux facettes infinies, la somme des regards eux-mêmes, tel un prisme déformant l'image apparue à autrui, l'image sublimée de nous-mêmes. Personne ne peut nous connaître totalement, personne ne peut se connaître réellement sans avoir expérimentée la vie elle-même d'une ardeur déchaînée. Connaître ses limites est fondamental dans la conquête de l'inconnu ou d'autrui. Savoir ses forces et ses faiblesses, ne jamais oublier ce qui nous a construis afin de toujours apprendre. Les erreurs peuvent être frappantes, cuisantes, vous laisser dans la peau des traces que nul ne saurait effacer, mais elles doivent être comprises. C'est ce qui nous défini humain : notre capacité à nous relever et nous adapter à toutes les situations. Avez-vous mordu à la vie à pleine dents ? Combien de fois avez-vous eu des remords pour n'avoir rien fait ? Combien de fois avez-vous eu des regrets d'avoir fait une chose ? Comment avez-vous pris possession de votre propre vie ? Pouvez-vous prouver que vous êtes maître de votre vie, capitaine de votre destinée ?
Déipyle est ce que l'on appelle une observatrice hors pair, une personne possédant une mémoire extraordinaire : elle se souvient des moindres détails, des choses que l'on peut lui susurrer au creux de l'oreille. Elle manipule les idées, les détails, les souvenirs : elle est capable de se positionner, de vous parler des choses qui vous tiennent à coeur sans même que vous n'ayez à les citer. Elle étonnante et détonante, puisque cette femme dégage une aura glaciale et intimidante, pourtant elle a ce petit quelque chose d'humain, de doux séducteur qui transpire. Elle aime plaire, elle sait plaire et elle y arrive terriblement bien. Elle use de ce charme à bon escient, principalement pour continuer à jouer de ces jeux politiques, manipuler pour mieux obtenir ce que l'on désire. Personne ne la connaît vraiment : elle est autant de personnes qu'elle peut côtoyer. Il n'y a peut-être que son mari qui pourrait se vanter de connaître bon nombre de la facette de sa femme : celle qui déborde d'ambition, prête à écraser quiconque sur son chemin ; celle qui dirige et s'occupe des finances de la famille, qui s'agace lorsque quelque chose lui déplait ; la femme froide et autoritaire à la voix assassine, prête à humilier ou piquer lorsque tout n'est pas parfait ; celle qui est joueuse, taquine et séductrice, désireuse de plaire à cet homme et voir dans ses prunelles briller amour et passion ; celle qui est pudique et qui se pose trop de question, qui se remet sans cesse en cause et qui ne comprend pas, qui ne sait pas comment faire pour arranger une situation ; celle qui est blessée et qui baisse les bras, s'enfermant dans un monde noir où elle est éternellement sur la défense ; celle qui est jalouse, possessive, qui hausse la voix, prête à se faire entendre et à tuer ; celle qui est vengeresse, puisque rien n'est jamais sans conséquence lorsque l'on touche le coeur emmuré de cette femme des glaces. Personne ne sait ce qui se cache derrière cette magnifique tête blonde : c'est une femme intellectuelle, capable de se torturer l'esprit pendant des semaines entières, en tentant de comprendre ce qu'elle a échoué, ou les réactions des autres. Elle aime être maîtresse de sa vie, être à l'origine des bouleversements qui l'entoure, des changements qu'elle provoque. Or, lorsque ce n'est pas le cas, pour s'adapter, elle doit comprendre. C'est peut-être l'un de ces pires défauts : si elle doit changer contre son gré, elle doit adhérer à la chose, sans quoi elle pourrait devenir une véritable réactionnaire, féroce ennemie. Car si il y a bien une chose à retenir de Déipyle : elle est engagée et se bats pour des valeurs qui lui semblent juste. L'avoir de son côté n'est pas aisé mais pourrait vous apporter beaucoup. L'avoir en face de vous, relèverait de la stupidité.
Elle considère l'exigence et la sévérité comme naturelles : c'est une part intégrante et centrale de son éducation et de sa personnalité. Elle est méticuleuse et perfectionniste, un esprit analytique et si critique. Elle considère avoir vécu sa vie à sa juste valeur pour ne s'être jamais refusé quelque chose, pour avoir voyagé dans des pays différents, pris le temps de découvrir, comprendre, apprécier ou détester. Aujourd'hui, elle s'estime plus qu'heureuse d'avoir réussi à construire quelque chose de fort, tangible et amoureux avec l'homme qui partage sa vie.
Déipyle était une enfant, autrefois. Une jeune fille effrontée, pas réellement libre, mais affamée d'expérience, désireuse de vivre pleinement, de serrer entre ses doigts des responsabilités. Pressée de vivre, pressée de grandir, elle a été ralentie par ses parents, suivant de gré ou de force un chemin qui a été depuis toujours tracé. Un environnement extrémiste qui a su graver dans sa personne un racisme des plus poignants. Elle respire la haine, elle nourrit les différences et continue toujours, à l'image de sa famille, à creuser le fossé. L'évidence est imposée depuis toujours à son esprit : les sorciers sont supérieurs aux non-magiques, ces insectes infectes qui grouillent dans le bas monde. C'est une valeur essentielle qu'elle transmet dans sa simple présence : elle respire la froideur aristocratique, elle émane cette force glaciale, quasi castratrice. C'est une femme d'opinion, de valeurs fortes, incapable de s'abaisser face à un homme (ou quiconque) possédant un avis qui ne mérite pas - selon elle - crédibilité.
Mais cette froideur constante n'est probablement qu'une façade qu'elle s'est tissé avec le temps, afin de pouvoir encaisser les coups et les chocs. Déipyle est une femme volcanique avec un tempérament fort, des envies, des idées et des émotions vivaces. Elle a un côté hypersensible qu'elle tend au maximum à dissimuler. Mais elle reste humaine et un barrage peut céder. Mais n'oubliez pas que rien n'est jamais sans conséquence avec elle.
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus En soit, créer un sortilège pour nous sauver de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, je n'y croyais pas réellement. Que voulaient-ils faire, sincèrement ? Ils étaient si confiant... Pensant pouvoir venir à bout d'un homme qui est soutenu. J'ai vu des gens travailler sur ce sortilège. J'ai vu des personnes portant la Marque y intervenir Que pensaient-ils pouvoir faire ? Le Ministère reste toujours aussi aveugle, trop naïf. Le Ministre de la Magie de cette époque là, ne méritait que son départ. Nous serons probablement beaucoup mieux avec Amos Rosier à la tête de notre Gouvernement : il a déjà accompli beaucoup sans que la majorité du peuple ne soit au courant. Mais ce sont de bonnes choses qui vont secoué ce monde stupide.
Evidemment, je pense que tout le monde était loin d'imaginer de telles conséquences. D'un point de vu totalement scientifique, je trouve cela assez magnifique. Matérialiser un patronus de manière continuelle et physique est quelque chose d'assez exceptionnel. Un patronus capable de communiquer avec d'autres. Vu comme un point faible pour certain, point fort pour d'autres. C'est une erreur, soyons clair sur ce point là. Mais cette erreur a le mérite d'être divertissante, nous donnant d'autres champs à étudier, jusqu'alors jamais explorée. C'est fascinant. Mais cela nous a aussi servis à approcher le peuple de manière massive. Nous finirons par l'avoir, ce monde plus juste et de ségrégation justifiée. Nous avons posés plus que les fondations à l'heure actuelle. Ce qui est sûr c'est que cette grossière erreur du Ministère, source de leur naïveté, nous aura été terriblement bénéfique. | Pseudo et âge: kellyian, 22 ans (omg plus de deux ans sur le forum ) Où as-tu trouvé le forum ? Dans ma poche Personnage: Inventé, affilié à une famille de la saga As-tu un autre compte sur BP ? Peut-être bien. Présence: Surtout les fins de semaines. Une remarque ? Qui vient dire bonjour à maman ? |
Dernière édition par Déipyle E. Malefoy le Mar 21 Mar - 10:55, édité 4 fois |
| Euphrasie Malefoy admin - i don't want just a memory Répartition : 11/08/2015 Hiboux Envoyés : 1420
| Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Euphrasie Malefoy, Lun 31 Oct - 18:55 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Son souffle était si calme, alors que ses doigts se serraient contre la lettre qu'elle venait de recevoir. Une simple lettre. Ce manque de considération l'agaçait profondément. Elle expira rageuse et se leva brusquement, faisant claquer ses talons sur le sol de sa salle commune. Elle froissa ce bout de parchemin qu'elle observa s'embraser dans l'antre de la cheminée. Elle tournait les talons avant de rejoindre les salles communes. Elle passait les rideaux verts et argents, avant de retrouver le dortoir qu'elle désirait : celui où se trouvait son cousin, probablement en train de réviser ou lire, ou peut-être bien les deux. Elle se comportait comme une petite peste pourrie gâtée : elle avait l'habitude de s'imposer sans réellement se poser de questions auprès de Swan Lestrange. Et c'est ce qu'elle fit encore, à ce moment même, se moquant presque de si elle le dérangeait, si il avait besoin de paix ou de se retrouver : Déipyle prend ce qu'on lui donne, elle s'impose. Elle s'excusera ensuite, si cela est nécessaire. Mais elle ne s'abaisse que si rarement à ce genre de procédés : il faut le mériter. « Mon père m'a envoyé une lettre pour m'annoncer l'identité de mon futur fiancé. » Cela tombe comme un poids mort. C'est la menace de toute une vie de femme. Elle ne s'y était jamais réellement attardée : chaque problème en son temps. « Une lettre. Comme si ce n'était qu'une broutille, une simple consultation auprès d'un médicomage... Te rends-tu compte ? » La poupée fronçait les sourcils avant de poser son regard sur son cousin qui commençait à fermer son manuel, d'une lenteur plus qu'agaçante. « Je vais me marier avec Charon Malefoy. Un Malefoy, Swan ! » Elle s'exclamait de plus en plus fort, espérant peut-être une quelconque réaction de son cousin, son meilleur ami, son confident. Il avait tellement de visage qu'elle ne savait plus. Elle était incapable d'admettre qu'elle avait envie de ses bras et avoir du temps pour cracher son venin sur cette annonce, cet autre étudiant et sentir Swan de son côté. Le mariage était censé marquer la fin de son adolescence, de sa liberté, de ses études. Cette union était censée marquée un nouveau tournant dans sa vie : le début de la vie d'adulte, de couple. Et elle savait qu'elle était loin d'être faite pour cela : elle rêvait de voyages et de mystères, d'étancher sa soif de savoir, apprendre à manipuler d'autres formes de magies... Et la voilà qu'elle devait se traîner un Serpentard froid, silencieux, terriblement stoïque ? Elle pariait qu'il était ennuyant à mourir ! Parce que oui, elle ne le connaissait pas, malgré le fait qu'il portait les couleurs de sa maison. « Calme-toi, Déi... Vois le bon côté des choses : vos enfants ne seront pas des monstres. » Elle pince les lèvres : elle a une de ces moues sévères et contrariées. Vrai, c'était un sang-pur. Mais les Malefoy ont montré leurs capacités à commercer avec les moldus il y a de cela des générations. Qu'est-ce qui prouvait qu'ils avaient abandonnés définitivement cette source de richesse ? « Tu as encore le temps. Et personne n'a le choix, ne nous leurrons pas. » Elle inspire profondément, sa poitrine se soulevant. Il lui tendait son bras et elle venait le rejoindre pour venir se caller contre son torse, tel un véritable chat. Elle marmonna, d'une mauvaise-foi extrême : « Qu'est-ce que tu es agaçant toi, je n'ai même plus envie d'aller mettre son dortoir sens dessus-dessous... » Elle soupira, avant de nicher son visage contre le cou de son cousin. Elle respirait lentement son odeur, se calmant lentement. Mais son coeur battait toujours si fort. Elle avait toujours repoussé toutes ces questions loin de son crâne. Elle ignorait tout de cet homme et elle devait l'admettre : l'inconnu était tout aussi angoissant qu'excitant. Elle souffla tout bas : « Tu viendras m'enlever, si il est aussi affreux que je me le dépeins ? »[/color] Elle glissa le bout de ses doigts contre la barbe naissance de l'homme, avant de se redresser un peu. Son souffle se mêla un instant au sien, ses prunelles s'accrochant aux siennes. « Tu me promets ? » Le visage de la jeune femme s'illumine un peu plus en voyant le sourire amusé de son cousin, alors qu'elle ajoute : « Pas de trahison... Sinon je viendrais pourrir ton propre mariage. Ou pire encore... Je mettrais un tas de ces ignobles elfes de maisons dans votre lit de noces. » Elle échappa un léger rire cruel et taquin, avant de s'étouffer sous les gestes du jeune homme à ses côtés. Et la soirée fut rythmée par les paroles sages de Swan, les rires bas de la jeune femme et des révisions pour les examens qui débutaient sous peu. *** « Bien. Nous reprenons. Quelle est cette région de l'Angleterre ? » Il n'y avait que le silence pour toute réponse. La jeune femme fronça quelque peu les sourcils avant de poser son regard sur la petite tête blonde assise sur la chaise en chêne, affalé sur la table sur laquelle reposaient quelques cartes du Royaume-Uni. Une moue pincée tira les lèvres de la femme qui se tenait debout face à une carte qui flottait dans les airs. Elle était vêtue d'une robe simple cintrée noire, ses cheveux d'un blond pur tirés dans un chignon qui ne laissait place à aucune spontanéité. « Horus, redresse-toi. Ce n'est pas une manière de se tenir. » Mais elle n'eût aucune réponse. Elle fronça un peu plus les sourcils, barrant son visage si pur de quelques rides soucieuses. L'agacement ronronnait en elle, tandis qu'elle s'approchait de son fils pour glisser ses doigts sur son épaule puis soulever ses mèches blondes. L'enfant semblait dormir. Ou faisait mine de dormir. « Ca suffit ces farces, jeune homme. Ne me fais pas perdre mon temps davantage. » Elle lutta une ou deux minutes, tentant de faire appel à la raison de ce petit garçon. La menace ne fit rien et il semblait être muré dans son silence. Manquant de patience face à son propre enfant, la femme partit, plus qu'agacée, les mains tremblantes. Elle n'avait jamais levé la main sur son fils, pourtant ce n'était pas l'envie qui lui en manquait. Elle avait la sensation d'être incapable de se faire entendre ou respecter par cette petite tête blonde lorsque l'ombre de son mari n'était pas présente. C'était un véritable affront, une véritable défaite. S'avouer sans autorité face à un enfant si jeune, Déipyle Malefoy avait du mal à l'assumer. C'est ce qui l'énervait probablement le plus : elle avait voulu essayer des méthodes moins extrêmes que ses propres parents avaient pu employer avec elle, ou même que son mari avait pu connaître. Peut-être avait-il raison que pour devenir une bonne personne, ces méthodes étaient les meilleures : il suffisait de les voir tous les deux. Ils avaient réussis tous ce qu'ils avaient entrepris. Elle laissa l'enfant seul avec sa nourrice, désespérée et agacée. Incapable de se remettre sur ses dossiers qu'elle avait prit avec elle. Il était rare lorsqu'elle était longuement présente au manoir. Toujours en déplacement de quelques jours, dans une communauté magique ou une autre pour accompagner un groupe de chercheurs... Déipyle avait du faire ses preuves au Ministère dès qu'elle l'avait intégré à un poste subalterne, dédié à de la paperasse ennuyante. Elle avait été envoyée rejoindre ce groupe de Sainte Mangouste pour faire ses preuves. Cela ne faisait que quelques années qu'elle était diplômée : mais elle préparait le concours interne du Ministère pour abandonner ces tâches ennuyeuses pour intégrer l'équipe des Langues-de-Plomb. Son rêve était de pouvoir faire des recherches et expérimentations dans le domaine de la magie en général. Elle désirait créer de nouveaux sortilèges, talismans, charmes, sur des questions politiques importantes, qu'importe les missions que l'on pourrait lui donner. La jeune femme s'était promis, à défaut d'être une bonne mère, d'être un bon agent ministériel, de réussir sa carrière. C'était presque par dépit, par abandon, consciente de voir la crainte briller dans les yeux de son fils lorsque son mari et elle étaient face à lui. La jeune femme de se rappelait pas d'avoir vécu son enfance d'une telle manière : ils étaient bien plus bruyants, plus exubérant, posant toujours mille et unes questions pour comprendre les travaux des plus grands. Elle avait été une poupée pourrie gâtée, mais elle avait l'impression que son fils serait capable de se briser en mille morceaux s'ils ne prenaient pas le temps de lui donner les bonnes armes avant de le laisser découvrir l'extérieur. Est-ce que ses parents avaient eut la même sensation avec elle ? C'était un tas de questions qui ne cessaient de tournoyer dans son esprit lorsqu'elle revenait au manoir et qu'elle croisait la bouille de son fils qui prenait un soin extraordinaire à se faire discret. Or, un Malefoy ne doit pas se faire discret. Un fils de Lestrange n'a pas à s'écraser. Il doit régner sur son royaume, il doit être souverain de sa vie et de celles des autres. Imposer son avis, s'entourer des meilleures personnes. Elle en attendait probablement trop d'un simple enfant. Mais un enfant grandit vite. Le silence subsistait durant des heures, Horus Malefoy ayant fort probablement rejoint sa chambre pour jouer ou faire avec sa nourriture ses devoirs pour le lendemain. Les fins de semaines étaient réservées à des activités ludiques généralement sportives, afin que l'enfant puisse se dépenser et se défouler. La semaine, c'était l'apprentissage de toutes les bases qui étaient fondamentales. Déipyle choisissait les précepteurs avec grand soin, favorisant ceux qui étaient patients et qui avaient de l'expérience... Et bien évidemment, qui partageaient les mêmes idéaux que sa famille : il était inconcevable qu'un né-moldu s'approche de son fils pour lui glisser dans le crâne des inepties qui ne méritaient de subsister. Ce silence finit par être brisé par l'arrivée de Charon Malefoy, revenant tout droit du Ministère de la Magie. Un baiser volé, des doigts qui se glissent dans ses mèches fines, le couple échange sur la journée de l'homme qui semble être fatigué. Le thé est servi, le laissant se débarrasser de ses affaires. Alors que des bruits de pas se font entendre dans les escaliers, prouvant que l'enfant venait saluer son père, Déipyle ne tardait pas à mettre au courant son époux du mauvais comportement de l'enfant : « J'ignore si tu étais quelque peu farceur mon cher durant ton enfance... Mais ton fils s'est découvert un nouveau passe-temps ces dernières semaines : il fait semblant de dormir en pleine leçon. Et rien ne semble le sortir de son entêtement stupide, si ce n'est mon abandon. Il ne semble l'avoir fait avec aucun de ces précepteurs, mais cela venait à arriver.... - Ne t'inquiète pas... Cela n'arrivera pas, si nous prenons les mesures nécessaires en amont. » Déipyle était tout simplement en train d'abandonner la méthode douce. Celle qu'elle avait tant défendue face à son mari : que la discussion et les mots pourraient tout résoudre. Evidemment, Charon eut la délicatesse de ne pas lui faire remarquer : ils savaient très bien ce que cela voulait dire. Qu'une fois de plus Horus recevrait une correction de son père. Déipyle restait comme toujours simple spectatrice, appréciant fort peu les protestations de son fils quant au fait qu'il n'avait rien fait. Cet idiot était trop jeune pour comprendre les conséquences de ses actes. Elle était persuadée qu'un jour il comprendrait que tout ce qu'ils font, est pour lui. *** La journée débutait presque comme toutes les autres. Seulement, cette fois-ci, Déipyle restait une fois de plus à la maison. Son ventre commençait à s'arrondir et elle reçut le baiser de son mari avec satisfaction. Elle voyait dans ses yeux cette fierté d'avoir une petite famille, qui allait une fois de plus s'agrandir. Un petit murmure glissé à l'oreille : « Prends soin de mes enfants. » Elle eût un léger rire et l'observa disparaître dans les gerbes de flammes vertes. Elle glissa sa main contre son ventre. Elle se souvient avoir spécifié à cet homme, dès leur première soirée ensemble qu'elle ne mettrait pas sa carrière et ses études entre parenthèses trop longtemps. Que si il avait envie d'avoir plusieurs enfants, il aurait dû épouser une McLeod. Mais là voilà aujourd'hui enceinte d'un deuxième enfant. Et elle n'arrivait pas à lui en vouloir, parce que cet enfant, elle l'avait autant désiré que lui. Elle espérait voir s'épanouir son fils à être l'aîné des deux, à aider son cadet probablement. Tout allait bien. Elle continuerait à travailler sur ses dossiers un temps. Mais il faudrait un jour expliquer à Horus qui n'allait plus être le seul : qu'il allait devoir partager et veiller sur cette petite chose. « Mère, est-ce que ça va ? » Un sourire se glissait sur les lèvres de la jeune femme. « Ca va, ne t'inquiètes pas. Va dehors, jouer. » L'air glissait entre ses lèvres pincées. Jouer dehors était toujours une source de conflit lorsque son fils revenait avec des vêtements ruinés. Mais elle l'observait sortir, avant de se précipiter vers les toilettes pour vomir son maigre petit-déjeuner. Cet enfant était loin d'être stupide. Elle l'avait toujours dis, pensé. Mais cette journée qui avait débuté comme toutes les autres, ne finit par de la même manière. Elle était douloureuse, elle tacha ses draps de sang et se sentit mourir avec la vie qui s'éteignait en elle. Une fausse couche. Cela pouvait arriver. Mais cela ne pouvait pas lui arriver à elle. Elle n'avait aucune envie de voir son mari. Elle fut muette face au médecin et l'observait faire avec sa baguette. Une rare précision qui lui arracha des gémissements de douleurs et des larmes silencieuses. Mais elle hurla après son fils lorsqu'il vint lui demander si elle voulait prendre le thé dans le salon de ses appartements ou en bas. Adorable et repoussé d'une violence inouïe. Et qu'en serait-il de l'homme qui était parti si confiant ce matin ? La jeune femme resta au lit, chose inhabituelle, le reste de la journée. Plongé dans le noir, elle sursauta avec violence lorsqu'elle sentit la caresse chaude et familière de la paume de son époux. « Horus m'a dit que tu étais en colère et qu'il ignorait pourquoi.... Qu'est-ce qu'il se passe ? » Le silence. Comment pouvait-elle lui dire la vérité ? Comment devait-elle le formuler ? Elle clignait des yeux tandis que d'un coup de baguette, il venait à allumer les bougies de leur chambre à coucher. Il constatait les yeux rougis de sa femme. La même qui pouvait s'avérer être un véritable tyran, ressemblait à une poupée malheureuse, perdue dans les draps blancs, ses cheveux tombant sur ses épaules. Elle sentit ses doigts contre sa joue, mais elle baissa le regard. Son murmure fut si bas : « Je l'ai perdu... » Et il comprit très vite. Elle ne s'attendait pas à ce qu'il la prenne dans ses bras, mais elle se sentit submergée une nouvelle fois par les larmes qu'elle laissa couler, encore et encore. « Je suis tellement désolée, Charon... » Il la serrait si fort contre lui, qu'elle avait l'impression qu'elle allait étouffer. Mais c'était sans importance. « Ce n'est pas de ta faute. » Des mots qui lui réchauffaient le coeur, mais ce fut l'une des dernières fois qu'ils parlèrent de cet enfant, de la petite soeur d'Horus. *** « Je ne comprends pas. » Elle avalait sa salive. Sa main fuyait celle de son mari. « Votre fils est malade, Madame Malefoy. - Cela n'a aucun sens. Il est bien nourri, un médecin vient le voir régulièrement. Son développement est tout à fait normal, il est même beaucoup plus éveillé que la majorité des enfants de son âge. Mon fils ne peut pas être malade. Il n'est pas malade. Ce que vous dites n'a aucun sens. Je n'ai que faire de l'avis d'un escroc pareil, vous... » La femme se taisait alors que son mari levait la main. Elle sentait la colère dévorer ses veines. On ne pouvait pas lui faire pire insulte : comment pouvait-ils avoir un fils malade ? Il était parfait, leur fils. Un peu chétif, mais ce n'était qu'un enfant, son adolescence l'aiderait à prendre du poil de la bête. Elle n'avait aucun doute là dessus, il suffisait de voir la constitution de son père. Il était un peu farceur, mais c'était un enfant, un garçon qui plus est. C'était totalement normal. Il n'était pas malade. Elle observait son mari régler malgré tout le médecin et le faire partir. Et puis il y avait ce silence pesant dans la pièce. Elle sentait les yeux inquiets de son fils sur elle. Elle se pencha vers lui doucement et ébouriffa ses cheveux lentement. « Tu es en parfaite santé, mon cœur. N'écoutes pas le monsieur, c'est un vieux fou incompétent. Va dehors ou dans ta chambre, je dois parler avec ton père. » Elle observe son fils hocher la tête, mais elle sait que cette idée de maladie lui restera dans la tête. A elle aussi. A son mari aussi. Elle avale sa salive et se lève doucement pour lui faire face, à lui, cet homme qui reste silencieux. « Prends d'autres rendez-vous pour lui. On comparera les avis et nous verrons ensuite ce que nous faisons, Euphrasie. » La femme ne répond rien. Elle observe son mari s'éloigner et elle inspire lentement. Elle sent la panique et la honte l'envahir. Elle sent la culpabilité la ronger. Elle sait exactement ce qu'est en train de penser son mari : il n'a pas besoin de l'articuler pour le deviner. Elle le connaît assez bien pour déchiffrer ce regard sombre qui s'est posé sur elle : c'est de sa faute, à elle, si elle a perdu leur enfant, si elle a engendré un fils malade. Elle est pourrie de l'intérieur. Ce fut les mains tremblantes qu'elle chercha d'autres médecins, d'expériences. Qu'importe le prix de leurs honoraires, elle voulait le meilleur pour son fils. Et il ne pouvait pas être malade. Elle ne pouvait pas lui promettre une vie pareille, c'était impossible. C'était un fils de Lestrange-Malefoy, il ne pouvait qu'être fort grâce au sang si pur qui coulait dans ses veines. Son fils n'avait aucune tare. Mais pourtant, elle dû se rendre à l'évidence. Médicomage après médicomage, ils affirmaient tous la même chose : Horus était atteins de narcolepsie et cataplexie. Ce qu'elle avait prit pour des farces étaient des symptômes, une difficulté à se concentrer. Il avait été corrigé alors qu'il n'était en rien fautif. Ce n'était pas de sa faute à lui, mais à elle. Et elle ignorait ce qu'elle devait lui dire, faire pour l'aider. Engager une personne compétente en la matière pour lui expliquer et lui apprendre à vivre avec ? Allait-il s'écrouler au moindre faux pas ? Et il aurait pu s'endormir lorsqu'il était sur son balai en fin de semaine... Elle aurait pu tuer son fils sans le vouloir... Elle aurait pu tuer son premier enfant, l'unique enfant qui lui restait. Rongée par la culpabilité, par la froideur et l'espace qui se creusait entre elle et son mari, Déipyle trouva refuge dans son travail et l'alcool. Le vin n'était jamais assez somptueux ou présent sur une table. Elle qui buvait s'y peu s'autorisait un verre à chaque repas. Et lorsque les dos étaient tournés, lorsqu'elle se retrouvait seule au manoir ou dans son bureau, elle se servait un autre verre. Parfois, elle ne réussissait à s'endormir que lorsqu'une ou plusieurs bouteilles étaient vides. Elle avait fière allure la Malefoy incapable de tenir sur ses pieds. Elle ne parlait plus à son fils, ne voulant pas lui attirer un peu plus de malheur dessus. Elle se sentait responsable de la perte de son enfant, de la maladie de son fils. Elle entendait encore les mots de son père dire qu'une femme n'était bonne qu'à donner des enfants, une descendance capable de perpétuer un nom, transmettre ce sang pur. Qu'avait-elle fait pour être si pourrie ? Son fils serait-il capable de survivre jusqu'à son mariage ? Survivre jusqu'à avoir un fils ? Elle avait passer son temps à jouer, parce qu'elle avait toujours pris la vie avec facilité : prouver à son père qu'elle était capable d'avoir un rôle important au Ministère, s' épanouir en étant femme, mère. Et aujourd'hui, toute sa vie qui lui avait semblé si parfaite était en train de s'écrouler... *** Les doigts de la grande blonde glissaient sur la Marque sur son avant-bras : fantomatique, elle se devinait pourtant sur sa chair si pâle. Elle considéra un instant cette robe sans manche qu'elle aimait tant, avant de sortir sa baguette. Lentement, de la dentelle noire et délicate s'amassait pour faire de longues manches. Elle ajuste une bande de tissu noir à l'intérieur de ses bras pour dissimuler la chose avant de terminer d'ajuster ses bijoux. Elle releva la tête un instant vers son mari et s'approche. Ses longs doigts délicats, presque arachnéen se glissèrent contre le col de sa chemise, pour nouer son noeud de cravate. Ses yeux plantés dans les siens, le silence était presque étrange. « Je ne pense pas qu'il soit nécessaire que nous le forcions à quoi que ce soit... » Un murmure accompagné de ses doigts traînant contre la mâchoire de l'homme aux traits si brutaux, au charme incontestable. Elle allait encore une fois, l'accompagner à l'une de ses réceptions aristocratiques, le voir sourire et converser avec n'importe qui. Probablement beaucoup trop de femmes, même si c'était elle qui était censée se charger de cela. Elle voyait la fatigue de son mari, devinant les traces de son entraînement régulier et muet pour atteindre un but personnel. Ils n'en parlaient pas, mais elle l'avait deviné et compris. Elle réagit à peine en recevant le baiser muet de Charon sur ta tempe. Déipyle observa un instant leurs reflets dans l'immense miroir. Quelque chose la tracassait depuis quelques mois. Son fils l'inquiétait, là où il agaçait son mari. Elle souffla tout bas : « Qu'est-ce que nous allons lui laisser lorsque nous ne serons plus là ? » Elle releva ses yeux clairs vers ceux de son mari, qui soupirait. « Mis à part notre fortune et le manoir, tu veux dire ? » Elle pinça les lèvres un instant avant d'attraper son long manteau. « Il mérite tout ça de naissance, Charon. - Qu'a-t-il fait pour le mériter ? - Cesse donc d'être aveugle à tous les efforts qu'il met en œuvre pour, à défaut de t'impressionner, d'avoir ta considération. Vous êtes aussi fatiguant l'un que l'autre. - Nous laisserons derrière nous un nouveau monde, Déi. » Elle n'insista pas davantage, retenant son soupire. Elle vint rejoindre son Charon, se glissant contre lui, pour se laisser conduire à la soirée, dans un transplanage exécuté à la perfection...
Dernière édition par Déipyle E. Malefoy le Mar 21 Mar - 10:57, édité 5 fois |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Invité, Lun 31 Oct - 18:55 ( #) | |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Guest, Lun 31 Oct - 18:59 ( #) | |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Guest, Lun 31 Oct - 19:16 ( #) | Well helloooo Ce gif de fiche parfait J'attends la fiche complète pour tout lire, vite vite |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Invité, Lun 31 Oct - 19:35 ( #) | charlize gorgeous theron très bon choix d'avatar re bienvenue et bon courage pour ta fiche |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Invité, Lun 31 Oct - 23:14 ( #) | Re bienvenue |
| Euphrasie Malefoy admin - i don't want just a memory Répartition : 11/08/2015 Hiboux Envoyés : 1420
| Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Euphrasie Malefoy, Lun 31 Oct - 23:55 ( #) | - Horus B. Malefoy a écrit:
- PREUMS (papa t'es lardé )
Je vais lire de suite Et (re)Bienvenue du coup Je pensais pas qu'elle arriverait aussi vite, et je suis trop content (même si du coup je pourrai plus partir en douce sans être remarqué )
Au moins tu es premier dans quelque chose, cela nous change (OKAY C'EST MECHANT MAIS TU M'AS TENDU LA PERCHE Jotemjotemjotem ) Ouais non, interdiction de partir en douce, pense à mon petit coeur, sinon je me rajoule des soucis CARDIAQUES (rêves pas, je suis parfaite moi, if you know what i mean ) J'espère qu'elle te plaira en tout cas, merci - Charon T. Malefoy a écrit:
-
Comment tu es trop belle ! Jetinterdisdefinirmaficheavantmoi
Je rebienvenue Je ne peux dire que très bon choix de famille
Je crois que... C'est bien parti mon cher Je gagne quoi ? Oui, quel parfait choix - Thaddeus A. Lestrange a écrit:
- Well helloooo
Ce gif de fiche parfait J'attends la fiche complète pour tout lire, vite vite
Comme t'es beau J'ai bientôt fini Je veux un lien - Jawhar A. Shafiq a écrit:
- charlize gorgeous theron
très bon choix d'avatar
re bienvenue et bon courage pour ta fiche #blondy Merci Louise - Kai D. Blumenthal a écrit:
- Re bienvenue
Merci Dieu Kai MAJ de l'histoire |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Invité, Mar 1 Nov - 7:33 ( #) | |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Guest, Mar 1 Nov - 10:12 ( #) | OMFG. Charlize ! rebienvenue et bon courage pour la suite ! |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Invité, Mar 1 Nov - 12:25 ( #) | charlize (re)bienvenue parmi nous |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Invité, Mar 1 Nov - 14:48 ( #) | MAIS NON MAIS LES MALFOY SONT DE + EN + TERRIFIANTS Rebienvenue à la maison |
| Euphrasie Malefoy admin - i don't want just a memory Répartition : 11/08/2015 Hiboux Envoyés : 1420
| Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Euphrasie Malefoy, Mar 1 Nov - 18:23 ( #) | |
| O. Jill Peverell membre - i don't want just a memory Répartition : 11/04/2015 Hiboux Envoyés : 11656
| Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par O. Jill Peverell, Mar 1 Nov - 19:12 ( #) | |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Invité, Mer 2 Nov - 7:07 ( #) | Trop de perfection par ici udgfsuygfyusqgf Rebienvenue |
| | Re: Déipyle Euphrase Malefoy x The reign of pure blood.par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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