BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa] | | | Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Lun 5 Juin - 21:25 ( #) | Mélissa Maya Bridgeston ft. Rebecca Ferguson née moldu 38 ans célibataire Bisexuelle Espionne/résistante/sans emploi patronus neutre crédit images | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Bridgeston, un nom qui la débecte par son absence de signification Prénom: Mélissa Maya, deux prénoms sans saveur et sans origines particulières Âge et Date de Naissance: 38 ans Nature du sang: Née-moldue, pendant des années elle s’est faite passée pour une sang-mêlée, se faufilant dans le monde des sang purs de par son entrée à Serpentard. Sa vie n’a été que mensonge et trahison, pour arriver à ses fins. Cependant, aujourd’hui la vérité a éclaté au grand jour Situation familiale: Il y a bien longtemps qu’elle a coupé tout contact avec sa famille. Elle n’a heureusement ni frère ni sœur ni cousin qui ne soit devenu sorcier. Ses parents ? Elle les a rejeté dès qu’elle a été majeure et qu’elle a pu s’émanciper. Rentrer pour les vacances d’été a toujours été une horreur, surtout pour maintenir le mensonge. Miroir du Rised: Elle-même étant à la tête d’un département du ministère, acclamée de tous et reconnue. Epouvantard: Elle dans la poussière et à la place de sa mère dans une petite maison et une famille sans saveur et sans avenir Composition de la baguette magique: Ventricule de dragon pour un bois en aubépine, la baguette est conflictuelle comme sa porteuse. Elle a lu en Melissa avant même qu’elle-même ne comprenne quelle sera sa destinée et sa direction. Très rigide et fine, cette baguette d’une taille plutôt moyenne, Mélissa ne croit pas en ces histoires qui tournent autour de la forme et la taille, alors qu’elle lui correspond totalement. Emploi: Elle était directrice du département des accidents et catastrophes magiques. Aujourd’hui avec les nouveaux décrets, elle a perdu son emploi et cherche par tous les moyens à le recouvrer. Elle est volontairement devenue une fugitive pour rentrer à nouveau dans les bonnes grâces du gouvernement actuel et prouver sa valeur ainsi que le fait que sa filiation ne fait pas tout. Animal de compagnie: Enfant, elle avait un chat, qui l’a accompagnée à Poudlard. Depuis, elle ne voit pas d’intérêt de s’attacher à un animal quelconque. Elle est bien seule. | Caractère Comment me décrire… Autant je pense que me trouver des défauts sera sans problème, autant des qualités… Je suis perfectionniste, j’aime aller au bout des choses et je battrais pour chaque chose que j’ai envie d’avoir ou de faire. Rien ne m’arrête et certainement pas le sentimentaliste ou les autres. Les autres c’est mon plus gros problème. Ce n’est pas tant que je n’aime pas les autres, mais ils deviennent toujours un frein ou un me retiennent en arrière. Toujours mettre des émotions au niveau des relations qui pourraient tellement être mieux sans ça. Alors je laisse les choses se faire et se défaire. Je ne m’attache pas, à personne. De toute manière, tout le monde est destiné à nous quitter un jour. En arrivant à Poudlard je me suis rendue compte que j’allais devoir me battre, pour devenir quelqu’un. Les nés-moldus n’avaient aucun réel avenir et en débarquant à Serpentard, je m’en étais rapidement rendue compte. Comme j’avais vite compris que je devais observer avant de m’ouvrir, je me suis vite faite passer pour une sang-mêlée. Mon nom était commun et passe partout, alors je me suis ré-inventée pour fondre dans cette vie, dans ce monde. Malgré tout, mon caractère s’y prêtait bien et les relations au milieu des serpentards s’accordaient avec ce que je recherchais : bénéfice contre bénéfice, rien de plus. Je me suis alors acharnée au travail, cherchant à être l’une des meilleures, à prouver que j’étais autre chose qu’une née moldue sans avenir. J’y suis arrivée, laissant derrière moi « amis » serdaigles qui m’aidaient, gryffondors qui m’ouvraient des portes et poufsouffles qui n’étaient bons qu’à me changer les idées. Ce monde était idyllique, contrairement à ma vie l’été quand je rentrais. Je m’étais trouvée un petit boulot dès que j’avais pu et je m’étais émancipée, coupant tout lien et abandonnant ma famille. Après tout, ils n’étaient rien pour mon avenir. Pas plus que les nombreux que je laissais tomber dès qu’ils ne me servaient plus. Je me méfie des autres, parce qu’ils me laisseront tomber autant que je les ai laissés tombés. Après tout, ce ne serait qu’un juste retour des choses. Je sais que je ne peux compter que sur moi-même et c’est bien la seule stabilité que je suis sure de pouvoir avoir. Je suis la seule qui ne me laissera jamais tomber. Je suis seule et libre. Intelligente, je veux monter et prouver au monde. J’analyse tout et je me jette sur toutes les opportunités possibles, même si ça ne marchera pas. Après tout, il faut essayer pour réussir. Il m’arrive de mentir, que ce soit pour obtenir ce que je veux ou simplement garder ma vie tranquille. Je n’aime pas les questions personnelles, parce que je ne fais qu’inventer, mon passé. Seul l’avenir m’intéresse, celui que je me crée, quelques soient les embuches qui m’attendent. J’aime les idéaux sangs purs, même si je n’en suis pas. Je suis sure que la moitié des sangs mêlés et la quasi-totalité des nés moldus sont pas allés plus loin, ne sont allés voir ce qu'est le passé des sorciers, la culture au-delà des cours. Nous perdons beaucoup de choses parce que nous n'écoutons pas. Cela fait bien longtemps que personne n'écoute, aussi on s'étonne que les sang-purs aient voulu se séparer et conserver ce qui faisaient d'eux des sorciers à part entière. Je n’ai peur de presque rien. Parler a toujours été une manière pour moi de ne montrer aux autres que ce que je voulais. Après tout, j’étais douée en mensonges. Je savais me mettre en scène et mettre en scène les choses. Charismatique, j’en jette aux autres et cela me permet de tout se permettre. C’est du moins ce que je croyait, jusqu’à ce que mon monde s’effondre et que je prenne conscience de ce qui m’entourait vraiment. C’est pour ça que très jeune j’ai pris la décision de m’entraîner à bloquer mon esprit. Je ne voulais que personne puisse découvrir mon secret. Je ne pouvais faire confiance à personne. Je me suis acharnée, seule, sur mes bouquins. J’ai bien sûr demandé à droite et à gauche aux professeurs, mais c’était mon secret, même si ça devait me prendre des années.
| [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Etant trop vieille, elle n’a pas été touchée par le sort. Elle n’a jamais réussi qu’une fois à lancer le sort et encore… elle n’a qu’entre-aperçu une forme floue. Cela l’a énervée et elle s’est acharnée, mais aucun souvenir ne lui a permis d’aller plus loin, après tout, quel souvenir heureux marcherait ? Cependant, quant au sort du ministère, elle n’est pas malheureuse, au contraire. Avoir un animal qui montre tout de ses émotions, d’elle-même, ça aurait été une horreur absolue. Et puis, elle n’a surement pas besoin d’une autre personne dans sa vie. Certainement pas une part d’elle, d’une conscience. Elle vit très bien toute seule. Elle aurait malgré tout aimé réussir à produire ce sort, n’aimant pas l’échec. C’est pour ça qu’elle s’est acharnée pendant des années. Elle n’a d’ailleurs jamais totalement abandonné l’idée, mais son état d’esprit n’est pas suffisant pour réussir. La seule chose qui avait marché était un souvenir flou d’avant, enfant, quand son père était toujours là, avant les disputes. Tout ce qui lui restait était la satisfaction et elle avait pensé que cela serait suffisant, mais apparemment cela n’égalait pas le bonheur. Décidant qu’elle avait ce qu’elle voulait, elle allait s’en contenter et ne pas pourvoir réussir ce sort, inutile pour son avenir, ne serait pas une grande perte. Même si son orgueil en a pris un coup et qu’elle tentera toujours sa chance. Qui sait, un cela finira bien par fonctionner. |
Pseudo et âge: Arya/Tanya 26 ans Où as-tu trouvé le forum ? J’y suis déjà Personnage: Scénario de BP As-tu un autre compte sur BP ? Oui :haww : Présence: Le plus souvent le weekend et plus ou moins en semaine Une remarque ? Je vous aime !! |
Dernière édition par Mélissa Bridgestone le Ven 9 Juin - 23:39, édité 5 fois |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Lun 5 Juin - 21:25 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Avant quand on me demandait comment j’avais fait pour en arriver là, je répondais simplement que j’avais tout fait pour. A mes yeux, ils y avaient ceux qui se battaient pour ce qu’ils voulaient et puis il y avait les autres, qui perdaient un temps précieux pour des idioties. Je faisais partie de la première catégorie et j’en ai toujours été contente. Si je suis arrivée jusqu’ici c’est parce que j’ai fait ce qu’il fallait et que les autres non. Leur faute, pas mon problème.
Cependant, je pense que ce qui vous intéresse ici n’est pas seulement ça, mais remonte bien avant… Franchement, si je n’y étais pas obligée, vous n’en sauriez rien, mais puisque vous insistez.
Mes premières années ont été parmi, ce que tous s’accorderaient à dire, les plus belles. J’étais entourée de mes deux parents, vivant dans mon monde heureuse. J’ai grandi dans un petit quartier tranquille de Londres, m’amusant avec les autres enfants. Mes parents m’apportaient tout l’amour qu’ils pouvaient. Puis quelque chose s’est brisé. Les derniers souvenirs que j’ai de cette époque doivent remonter à mes cinq ans. Avant les disputes, avant le départ. Mes parents se jetais des mots à la figure, quand ce n’était pas des vases ou la vaisselle. Je ne savais pas pourquoi, ni comment mais de trois nous sommes passés à deux. Rien n’aurait pu changer, mais le destin ou je ne sais quelle bêtise en décida autrement. J’avais 7 ans et nous ne vivions pas si mal au fond, malgré la douleur de l’abandon, surtout quand j’avais compris qu’il ne revenait même pas pour moi. Je fis alors ce qui s’avèrera plus tard mon premier acte de magie. Nous n’avions pas compris et nous devînmes une famille bizarre. Les autres enfants m’évitaient et je me mis à en vouloir au monde entier. Personne ne me comprenait. Enfin, à cette époque-là ce n’était pas si fort que ça, mais les bases de celle que je suis avaient commencé à se construire.
Puis vint un professeur d’une école spéciale. D’abord je crus, comme les autres le disaient, que ma mère voulait m’envoyer ailleurs. Alors je criais, tentais de fuir, déclenchant d’autant ma magie… Jusqu’à ce qu’il me montre que lui aussi pouvait en faire. Il m’apprit alors que j’étais spéciale, même si née-moldue. Il m’expliqua tout, de l’école de magie à celle que j’étais. Je lui demandais s’il était possible que mon père soit aussi un sorcier, mais il me répondit que non. Il n’y avait pas de trace de son passage dans notre univers. Ce n’était pas grave, j’allais enfin quitter cet endroit triste et les gens qui me prenaient pour quelqu’un de toquée. J’étais différente et j’allais pouvoir prouver que j’étais capable de faire de grande chose, j’allais prouver que mon père avait eu tort de partir et qu’il aurait été fier.
Je ne saurais dire si c’est à partir de ce moment-là que ma mère a commencé à avoir peur de moi ou si c’est quand j’ai commencé à traîner avec des sang-purs et donc à la dénigrer. Elle était la preuve vivante que j’étais une née-moldue, la part visible de mon ascendance peu glorieuse. Au moins mon père avait eu la bonne idée de partir et je pouvais l’inventer sang-mêlé. Faire de lui un sorcier et rendre mon ascendance moins décadente. Quand ai-je commencé à mener mon monde ? Quelques mois après mon entrée à Poudlard. Elle avait été d’abord discrète, observant et me dissimulant. Ce monde, malgré tout, me faisait un peu peur. Je ne voulais pas être mal vue, surtout après avoir entendu parler des élèves après cette maison. Elle m’attirait malgré tout, j’avais l’impression que j’allais y être à ma place. Plus j’observais, plus je constatais que, si je voulais faire ma place dans le monde de la magie, il faudrait que personne ne sache que j’étais une née-moldue. Les sang-purs me mépriseraient et aucune autre maison ne m’ouvrirait vraiment les bras et certainement pas la possibilité de plus. Aussi je décidais de montrer au monde celle que je voulais être : une sang-mêlée. Je cachais mon manque de connaissance, apprenant sur le tas l’ensemble et dénigrant ma famille qui avait terni le sang d’une ancienne lignée. Je disais que mon père avait grandi en France, d'où mon prénom et le fait que personne n'ait entendu parler d'un Bridgestone à Poudlard. Seuls les sang-purs m’ouvriraient pleinement les voies vers ma nouvelle vie. Combien de nés-moldus pouvaient prétendre devenir quelqu’un sans connaître des gens ?
Petit à petit, au fil des ans, je m’enorgueillissais de mes mensonges. Les idées sur la suprématie du sang me faisait briller les yeux. Après tout, n’étions pas supérieurs à ces moldus… Pourquoi je m’y attachais, descendant moi-même de ce sang pollué ? Parce que c’était l’avenir. Le problème n’était pas tant les nés-moldus, mais le fait qu’ils ne sachent pas où était leur place, ni qu’ils tentent même de s’adapter. Combien d’entre eux passaient leur temps libre à Pré-au-Lard habillés en moldus ? Combien utilisaient parfois encore des stylos ? J’avais envie de les secouer et de leur dire : choisissez votre monde ! Soit vous êtes des sorciers, soit vous retournez dans la boue du monde moldu, mais venez pas nous emmerder avec votre égalité à la noix.
C’est avec cet état d’esprit que je me suis hissée pour avoir de bonnes notes et surtout de bonnes relations. L’amitié ? Je la laissais pour les autres, je n’en avais que faire. Après tout, à quoi ça sert ? Non, rendre des services et en avoir en retour c’était bien la seule relation qui valait vraiment la peine. A la sortie de l’école, je voulais aider au mieux le monde à devenir tel que nous l’imaginions. Alors je me suis dirigée vers un emploi au ministère. J’ai commencé comme simple employée au département des accidents et catastrophes magiques. Même si cela me faisait bien ricaner de voir à quel point des idiots pouvaient ne pas maîtriser la magie, mais après la sortie de l’école. Certains devraient vraiment choisir de retourner moisir dans l’autre monde. Petit à petit, j’ai appris et surtout je me suis faite connaître et bien voir. J’ai aussi marché sur certaines personnes, ne devant mon ascension qu’à moi-même. Je suis arrivée directrice du département. Sévère et intransigeante, les personnes que je voyais passer priaient pour que je sois en congé ce jour-là. Malheureusement pour eux, je savais choisir mes cas et je pensais avoir réussi à effacer toutes traces de mon passé.
Quand Rosier est venu au pouvoir, j’en ai été plus que ravie, surtout constatant que ce n’était pas une chiffe molle comme son prédécesseur et qu’il faisait vraiment bouger les choses. J’ai mis mon charisme et mon éloquence au service de nous ministère, appréciant les décrets et donnant des idées aux journalistes. Ce n’est que lorsque le dernier est entré en vigueur que j’ai déchanté. J’ai d’abord cru à une blague. Après tout, n’avais-je pas prouvée que j’étais de leur côté, n’avais-je pas mérité que mon ascendance parte aux oubliettes ? Il semblerait que non et le matin du fameux décret, je me suis retrouvée mis à la porte de mon emploi.
Cependant, j’étais décidée à ne pas me laisser faire et à me battre pour leur prouver que j’étais digne de confiance, autant qu’un sang-pur. J’ai remué ciel et terre pour rentrer en contact avec la résistance. Après tout, mon renvoi et mon statut me permettaient de passer pour une pauvre petite chose persécutée. Si je n’avais pas tout fait pour y entrer discrètement, j’aurais ri de moi-même… et vomi aussi de voir comment j’étais tombée bien bas. Ils n’y virent que du feu et je tentais maintenant de glaner le plus d’informations à offrir au gouvernement pour retrouver mon poste.
A moins que… Non, je suis stupide, à force de mentir, je commence à croire à mes balivernes. Cependant, les voir comme ça, je ne sais pas, ai-je vraiment raison ?
Dernière édition par Mélissa Bridgestone le Ven 9 Juin - 21:27, édité 3 fois |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Lun 5 Juin - 22:00 ( #) | Ooh, Mélissa, c'est trop cool que tu l'aies prise Rebienvenue ici |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Lun 5 Juin - 22:27 ( #) | Bienvenue parmi nous edit : je viens de comprendre qui tu étais rebienveneuducoup
Dernière édition par Kai D. Blumenthal le Lun 5 Juin - 23:07, édité 1 fois |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Lun 5 Juin - 22:27 ( #) | qui est ton premier visage? rebienvenue sinon bon choix de scénario |
| Nam So Hyun admin - the universe is full of intentions Répartition : 19/01/2014 Hiboux Envoyés : 1391
| Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Nam So Hyun, Lun 5 Juin - 22:37 ( #) | Rebienvenue Très bon choix de pv |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Mar 6 Juin - 1:44 ( #) | rebecca est trop choupi rebienvenue |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Mar 6 Juin - 6:40 ( #) | Merci beaucoup C'est Morrigan |
| Charlie de Breteuil admin - their tense grace made tender Répartition : 22/02/2017 Hiboux Envoyés : 1500
| Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Charlie de Breteuil, Mar 6 Juin - 9:03 ( #) | Moh t'as très bon goût comme d'habitude Mélissa envoie du boudin hâte de lire la suite et de te stalker Rebienvenue à toi |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Mer 7 Juin - 9:10 ( #) | je passerais te voir pour un lien Bon choix de pv et rebienvenue |
| O. Jill Peverell membre - i don't want just a memory Répartition : 11/04/2015 Hiboux Envoyés : 11656
| Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par O. Jill Peverell, Mer 7 Juin - 10:06 ( #) | Re-bienvenue cocotte |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Mer 7 Juin - 10:45 ( #) | Merci beaucoup et avec plaisir Ryan |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Mer 7 Juin - 11:03 ( #) | (re)bienvenue parmi nous |
| Reine C. Delacroix admin - i don't want just a memory Répartition : 31/03/2017 Hiboux Envoyés : 1203
| Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Reine C. Delacroix, Jeu 8 Juin - 11:28 ( #) | rebienvenue ! |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Invité, Ven 9 Juin - 21:17 ( #) | Merci |
| | Re: Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa]par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Sometimes, we think we know and then we begin to learn... [Mélissa] | |
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