BELLUM PATRONUM
|
Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
|
|
| Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horus | | | Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mer 1 Nov - 0:47 ( #) | Horus Bor Malefoy ft. Elay Neal Moses Sang Pur 19 ans & 1m70 Pas intéressé Homosexuel 9ème année - Médicomagie Taureau de Combat & Pygargue de Steller Pro-mangemort [Credits : Me & Parn] | | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Malefoy, un nom qui pèse lourd, un nom qui a toujours guidé mes connaissances, mes actes, mes mots. Son évocation en fait grimacer plus d'un mais cela m'importe peu. Ce n'est pas à ces gens, ces ombres que je dois rendre des comptes. Ils ne sont rien contre un nom que l'on m'a appris à porter avec autant de fierté qu'il est un fardeau. Un nom que je ne me sens pas digne de porter mais un nom auquel je m'accrocher car il est tout ce que j'ai et tout ce que je suis. Prénom: Horus Bor, deux prénoms aux connotations bien au delà de ce qu'il me sera certainement offert de réaliser un jour. Mais ce n'est pas sans une certaine fierté que je les porte et les défends. Je n'ai pas eu la chance d'être ce que l'on espère de moi que je sois depuis aussi loin que je puisse m'en souvenir, et je n'ai pas l'apparat d'un dieu, cependant je n'accepterai sous aucun prétexte que quiconque affirme que je ne mérite pas mes patronymes. Je n'ai rien de divin, mes yeux ne sont ni le Soleil ni la Lune, mais à ceux qui s'aventureraient à se moquer, de chuchoter dans mon dos, je trouverai un moyen de leur faire comprendre leur erreur. Âge et Date de Naissance: 19 ans , né le 2 Février 1964 Nature du sang: Pur. Un pureté aussi lourde à porter qu'elle incombe des obligations que j'ai peur de ne pas pouvoir tenir malgré la volonté, non, l'acharnement que je mets à l’œuvre depuis des années pour lui faire honneur. Je suis né dans un berceau d'argent, bien au dessus de certains, dans une noblesse dorée qui m'a vu grandir et que je défends avec hargne. Bien des fossés divisent ce que je suis de ce que je devrais être, mais le chemin du sang a toujours été très clair pour moi. Si clair que je m'y suis toujours noyé, peut-être malgré moi, peut-être pas. C'est un fardeau autant qu'une arme dont je n'hésite pas à faire feu. Situation familiale: Petit élément dans un tout bien trop grand, j'ai la chance, ou peut-être est-ce autre chose, d'avoir une famille qui ressemble au schéma type de ce que n'importe qui pourrait souhaiter. Un grand nom, pas de tache dans le Pedigree, un père, une mère, un frère et quelques électrons libres ça et là. Un parrain qui s'est volatilisé, un oncle envers qui je ne sais comment agir, quoi lui confier... Administrativement, c'est moi l'héritier de toute cette mascarade, parfois je le déplore, souvent je le défends. Je me suis battu contre tous et contre moi-même toute ma vie pour ça, je ne peux me permettre de m'arrêter là. Après tout, j'ai un père, Charon, il attend beaucoup de moi, peut-être trop? Ce père qui me terrifie autant que je ne peux m'empêcher de le voir comme ce modèle de perfection. il a tout pour lui, la réussite, le respect, la force. Je ne me sens et ne me sentirai sens doute jamais digne de tout ça, mais je continue de faire semblant, d'essayer de recoller les pots cassés. Ce père qui m'effraie, mais que je ne peux m'empêcher de défier, un peu plus, un peu moins, malgré la punition qui me pend toujours au nez. La douleur prouve qu'on existe, elle nous rappelle que l'on n'est pas si puissant. Ma mère? Euphrasie Malefoy, est celle qui a offert à mon sang son côté Lestrange. Elle est ma mère et je la respecte. Je ne suis cependant pas le plus bavard des fils. J'ai toujours considéré que ce n'était pas mon travail, peut-être ais-je tort? Je ne suis pas plus à l'aise avec ma mère qu'avec mon père, à la différence qu'elle ne m'insuffle aucun sentiment de peur, et que je si mon discours envers elle est tendu, cela s'arrête là. Je suis méfiant, car au fond de moi, cette petite voix me dit qu'elle est certainement plus proche de mon père que de moi. Je me braque, c'est moi qui empêche la communication de passer, pour me défendre d'attaques qui n'existent peut-être même pas... Ou peut-être que si? J'ai envers elle et mon père un grand respect qui n'a d'égal que mon regard baissé en leur compagnie. Puis il y a mon frère. Un jumeau qui ne me ressemble pas, mais qui n'est pas si différent de moi. Trop pourtant, pour que je ne pose pas sur lui, un regard tantôt de jugement, tantôt de méfiance. Nous nous entendons, nous ne sommes pas le genre à nous sauter à la gorge pour un rien comme c'est le cas parfois, mais il y a toujours dans mon esprit cette compétition muette. C'est sur moi que reposent les espoirs de nos parents, et quand bien même il s'agisse là d'un fardeau qui me fait souvent plier le dos, je refuse que cette place me soit volée. C'est tout ce que j'ai pour défendre ma place dans ce manoir, et je compte bien ne pas y perdre. Je distribue volontiers des piques, je le rattrape pour bien peu, et je ne suis guère plus ouvert à lui qu'à mère, mais je ne lui souhaite aucun mal. Qu'on le touche, et on se brûlera les doigts. Miroir du Rised: Il était bien basique, le miroir du Malefoy qui se voyait, en santé, loin de ses yeux creusés par une fatigue inexistante, une fatigue crée par son propre corps. Son succès matérialisé par, tantôt une coupe, tantôt une tenue raffinée de ministre de je ne sais quelle branche du Ministère. Si le regard approbateur de ma famille est toujours présent dans ce miroir, le tableau s'est agrémenté d'une silhouette supplémentaire. Un Gryffondor que j'aimerais le plus souvent oublier. Mais il est là avec son petit air toujours si désagréable, fier de lui, en plus, d'avoir obtenu sa place dans la famille. S'ils savaient, pour ce gaillard en rouge et or, s'ils savaient qu'il se tient juste là, à côté d'eux...Epouvantard: Charon, mon père. C'est lui qui s'avance vers moi dans une redingote enflammée, son regard de jugement posé sur moi avec les traits de l'homme en colère, les traits de la punition à venir. Je n'ai, à ce jour, jamais pu venir à bout d'un épouvantard seul et sans aide. J'ai de toute façon pour crédo de m'éclipser ou de ne pas me rendre aux activités qui laisseraient entendre parler d'épouvantard. Au delà de ma présence aux cours, c'est mon image que je tiens à garder intacte. Composition de la baguette magique: 27 centimètres en bois d'If et Ventricule de cœur de dragon Etudes Suivies: 9ème année d'études à Poudlard, Cursus secondaire Médicomagie avec option Occlumencie. je ne deviendrai certainement jamais ministre de rien, mais j'aime à me dire que les médicomages et autres acteur de la santé possèdent une utilité certaines, et que sans eux, nous finirions tous au fond du gouffre. Ces empotés n'ont jamais pu m'aider, et je ne compte aider personne, pas de bonté de coeur, je ne suis pas un bon samaritain. Mais je ne suis pas une personne de terrain non plus. Les combats et assimilés ne sont pas mon fort, je suis cependant loin d'être stupide, et je compte bien le prouver. Animal de compagnie: Blood Test, un hibou petit duc au fort caractère qui n'hésitera pas à pincer les doigts de quiconque ne saurait faire diversion au moment de récupérer le courrier qu'il leur apportera. | Caractère Tu es une vipère.
Le serpent, écœurant, qui se meut et se glisse là où l’on préférerait souvent ne pas le voir, c’est en quelques sortes ainsi que me voient certainement bien du monde. Je sais montrer les crocs et n’hésite pas à cracher mon venin à la figure du plus offrant. il en faut peu à vrai dire, car il est bien du monde que je n’apprécie pas. Trop petit, trop roux, trop jeune, impur, un regard de travers une réputation qui ne sonne pas terriblement bien… il en faut peu. J’ai tendance à dire cependant, qu’il en faut beaucoup pour que j’accepte de ne pas user de sarcasme et de remarques cinglantes. L’on m’a appris depuis petit à ne me frotter qu’à ceux qui le méritent, et même là, à y faire bien attention. Aux yeux du Monde, ce n’est pas notre personnalité que bon nombres de gens retienne, ce sont nos fréquentations. Je suis un serpent, une langue de vipère qui ne s’en cache pas. J’en joue même, parfois. Passer ses nerfs sur de jeunes premières années pas encore vraiment habitués ou qui paraissent n’être pas encore tout à fait sûr d’eux, des proies facile qui ne pourront mordre en retour, est devenu pour moi une habitude. C’est une activité qui marchait fut un temps, pour détendre les nœuds de mes nerfs, aujourd’hui, cela n’est qu’une habitude, un réflexe stupide qui ne m’apporte plus rien qu’un peu plus de colère supplémentaire. C’est pourtant aussi ainsi que l’on se souvient de moi. il faut dire que je ne fais rien pour paraître plus aimable que je ne le suis. Je sais évidemment présenter en société, mes parents, ma famille, mon nom, tout cela me l’a appris. Mais à quoi bon gaspiller de l’énergie pour des traitres à leurs sang ou des pièces rapportées à la communauté magique, des êtres mous et sans ambition qui ne m’apporteront jamais rien? Si j’ai le venin du serpent entre les lèvres j’ai aussi ce sang froid, cet espèce de flegme dont savent faire preuves ces grosses bêtes à écailles qui n’ont peur de rien. Mon nom, j’ai appris à en jouer, à l’utiliser ou à me reposer dessus à mon bon vouloir. Tout es plus simple lorsque l’on s’appelle Malefoy. L’argent n’est pas un problème, la renommée n’est plus à faire, les grands noms savent à quoi s’en tenir et vous accueillent sans trop en faire. La pression est là, mais j’ai parfaitement conscience de l’avantage que cachent mes yeux limpides et ma crinière blonde. Ils n’ont pas besoin de savoir tous ces inconnus, les rapports qui unissent ma famille, ils n’ont pas besoin de savoir que mon père me terrifie au moins autant que je l’admire, que les communication avec les miens, je les ai coupées depuis des années sans même m’être réellement rendu compte de quoi que ce soit avant qu’il ne soit trop tard. La peur qui m’anime de ne pas être à la hauteur de mon nom, de mon sang, personne n’a à la connaître. C’est un combat que je mène seul, entre deux piques sarcastiques entre deux rictus dégoûtés face à la tablée jaune et noir, ou pire, les rouge et or. Comme le cobra qui ouvre sa gorge pour paraître plus imposant, je me meus derrière le masque constant de celui que l’on n’a guère envie de croiser au matin lorsque l’on préférerait passer un bon début de journée.
Tu es un taureau.
L’ombre grotesque qui accompagne mes pas depuis des années cette force tranquille qui protèges mes jours et mes nuits. Je n’ai rien de ce taureau. je suis plutôt petit, je ne suis pa ile type bagarreur et d’ailleurs, il va sans dire que mon état physique n’y serait pas pour rien. Des bras minces, les joues coupés à la serpe et les yeux creux, je n’ai rien de ce taureau de combat qui pourtant se veut être une représentation de mon âme. Pourtant, je ne suis pas si loin de lui, bien que j’aie pendant des années fait de mon mieux pour fermer les yeux sur cette idée qui me rebutait. Malgré la réputation qui me suit, me colle à la peau et que parfois j’entretiens malgré moi, je ne suis rien d’autre qu’une bête plutôt calme, un peu trop même. je n’aime pas me battre, je n’en viens au mains que lorsque mes nerfs lâchent d’une trop forte pression. je n’ai jamais apprécié l’offensive magique qui de toute façon, ne me collait pas du tout à la peau. Je sais faire le beau, je suis même plutôt doué à ce jeu là, menacer les cornes en avant sans pour autant me jeter à corps perdu dans un combat que je ne pourrais gagner. Car je suis calculateur, sans doute un peu trop, mais juste assez pour ma condition. Je n’apprécie pas les actes irréfléchis et j’aime à me dire, à tort, que ces derniers ne m’arrivent jamais. Rendons nous à l’évidence, je suis loin d’être aussi parfait que j’aime à le faire croire mais pour moi, ce sont les apparences qui comptent. Je présente bien, toujours tiré à quatre épingles dans ma robe de sorcier hors de prix, j’arbore cet apparat comme Tor arbore sa parure de cornes lorsqu’il baisse la tête pour signifier que quelque chose ne lui convient pas. Au plus quelque chose ou quelqu’un me contrarie, en plus mon regard de dégout se faire cuisant. Je e suis pas impulsif, je n’en ai pas le droit. Le mal qui me ronge me l’interdit et je l’ai bien compris. J’ai appris avec les années à ne plus me précipiter, j’ai appris à contrôler dans la majeure partie des cas, mes émotions mes réactions. Dans la majeure partie des cas. Car je ne suis pas très loin de ce pauvre taureau attiré par ce drap écarlate qui s’apprête à se jeter dans un charnier. Cette tenture rouge qui me mets dans tous mes états et m’empêche de réfléchir ou d’agir correctement. Ce drapé qui me fait perdre mes moyens. Mais je suis trop fier quelque part, pour baisser la tête et me laisser accabler. Je n’aime pas avoir tort, c’est moi, qui dois avoir le dernier mot. Comme le taureau lorsque j’ai une idée en tête, je dois la mener à bien, et comme lui, ce sera le genoux à terre que je comprendrai mon erreur. Tant pis pour moi. Tant pis pour les autres. Ceux qui tentent de me planter un couteau dans le dos, car il est toujours là mon venin. Jamais bien loin. Le serpent dans mon esprit n’est jamais très loin, toujours là pour me rappeler qui je suis, qui je dois être. Mon nom, mon sang plane sans cesse au dessin de ma tête comme une épée de Damocles, m’empêche de dévier de ce chemin tout tracé que l’on a dessiné pour moi, d’une manière ou d’une autre, je suis bloqué dans ce corral sans pouvoir m’échapper. Sors du rang, tu y sera remis à grands coups de pieds par celui qui t’as élevé, qui t’as vu grandir. C’est comme cela que ça marche.
Tu es l’oiseau en cage.
Celui là même qui par la fenêtre rêvera des nuages. je l’ai toujours été. Je suis l’oiseau à qui l’on a coupé les ailes avant même qu’il ne puisse prendre son envol. L’aigle sur mon épaule en jette, imposant, son envergure immense , son bec doré, son regard perçant, mais il n’y a que cela, l’apparence. Je suis tombé de mon nid le jour ou je suis tombé endormi. Ce jour qui se répète quotidiennement depuis des années. Une maladie sur le papier anodine mais qui n’apporte sur mes épaules qu’un poids supplémentaire, une honte à cacher. Narcoleptique Catalplectique. Des mots bien compliqué pour décrire le paresseux, celui qui dort sans arrêt, celui qui ne peut se contrôler. J’ai l’habitude, je vis avec depuis tant d’années que je ne les compte plus mais c’est un fardeau qui s’alourdit toujours un peu plus contre lequel je ne peux rien. Il fait partie intégrante de qui je suis, et je n’y peux rien. Mon esprit calculateur a du s’articuler autour de cette problématique, s’habituer, vivre avec, alors que j’aurais voulu m’en défaire. Aujourd’hui, les crises arrivent et je n’y peux rien, je peux uniquement tenter de les repousser, les retarder. Dormir ça et là, à l’abri des regards, des quolibets. Cette maladie s’est installée sans mon autorisation et contrôle aujourd’hui une grande partie de mes réactions, comme l’oiseau de proie que l’on endort en lui couvrant les yeux. Ce comportement plein de flegme ou je préfère la moquerie à l’action, ce calme et cette nonchalance qui m’animent, sont tous nés de cette atteinte. J’ai appris à contrôler au mieux mes réactions et mes émotions pour ne plus m’écrouler bêtement face au plus stupide des Gryffondors, j’ai appris la solitude pour ne plus me réveiller en hurlant à chaque court un peu trop long, un peu trop ennuyant, parce que j’y aurais vu un fantôme ou un monstre inexistant.
Je suis cet aigle que je refuse d’accepter, qui derrière sa froideur apparente n’acceptera pas que l’on atteigne sa fierté, ni celle de es semblables. je n’aime personne, je parle aussi sarcastiquement à mon père, ma mère, mon frère qu’à n’importe qui, mais je ne tolérerais sous aucun prétexte que l’on vienne salir leur personne ou leur nom. Je suis rancunier et je me souviens toujours de tout. La narcolepsie m’empêche d’étudier avec autant d’aisance que certains, elle m’empêche d’être pleinement fonctionnel, mais elle ne m’a pour l’instant jamais forcé à oublier. Rancune et vengeances sont des plats que je connais bien, et je n’hésiterai pas à attendre que l’on m’oublie moi, pour mordre par derrière. Mieux vaut un couteau dans le dos mais un ennemi à terre qu’un combat à la loyal que l’on est certain de ne pouvoir gagner. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Tor est un taureau de combat aussi large que haut. Il prend de la place dans les couleur et affectionne particulièrement sa forme physique. J'ai mis longtemps à accepter sa présence, difficilement oubliable et loin de tenir dans une poche. Encore aujourd'hui, je suis le premier à lui envoyer des piques, à rouler des yeux lorsqu'il tente de me conseiller, ou à lui grogner dessus gratuitement pour passer ma frustration. Pourtant, à l'heure qu'il est Tor s'approche de ce que j'ai de plus cher, une ancre qui m'est d'une aide précieuse malgré la mauvaise foi que j'ai toujours à son égard. Il est imposant et n'hésitera pas à se mettre en bouclier face à des situations délicates ou dangereuses pour moi, malgré qu'il soit loin d'être immortel lui aussi... sa taille me le fait oublier, autant qu'à lui certainement. Il est mon confident, celui envers qui je pense à voix haute. Il est le bruit de respiration constant qui accompagne mes moment de silence, ses sabots lourds sont une défiance envers mon père, il sont la seule confiance en moi assez solide pour cacher le masque effrité qui me pend au nez. S'il est la plupart du temps calme et mesuré, le taureau n'est pas sans avoir parfois des réactions bien à lui. Fortes, intimidantes, la tête baissée en signe de menace. il est le reflet externe des émotions que je ne laisse ressortir. Il ne tolère pas que l'on s'approche de moi ou que l'on me fasse du mal. Seul exempt de cette protection; mon père. J'ai toujours refusé que Tor ne s'interpose, de peur peut-être, d'éventuelles représailles. C'est aussi le seul moment où il daigne m'écouter, à contrecœur, mais tout de même.
Dans de rares moments, le taureau disparaît pour laisser place à un pygargue de Steller. Cela arrive rarement à Tor, qui préfère le plus souvent sa forme imposante de bovin, mais cela lui permet de m’accompagner dans les endroits qui ne lui auraient pas permis de le faire sur ses quatre lourds sabots, tout en évitant de reprendre cette forme brumeuse qu’il a en horreur. L’oiseau est voyant, lourd sur mon épaule et n’est pas moins menaçant que le taureau avec son énorme bec, il est encore et toujours la pour servir son rôle de bouclier, en quelques sortes. L’oiseau est un peu plus discret dans les rues de Londres, surprenant, il fait lever les sourcils et ronronner les murmures mais qu’importe, je n’ai jamais porté grande attention à toutes ces ombres qui jonchent les ruelles. A la maison comme à l’école, j’ai pourtant pris et gardé cette habitude de m’installer à un endroit ou ce n’est pas l’oiseau mais le taureau qui pourra prendre place. L’oiseau est selon moi un bien trop bon mensonge de liberté et une blague trop ironique par rapport à mon prénom pour que je me sente à l’aise à ses côtés et ça, Tor en est aussi conscient qu’il le puisse. Cette seconde forme arrivée sur le tard est un peu pour moi comme ce meuble qui n’est plus vraiment à la bonne place, cette petite habitude que quelqu’un se serait amusé à pousser très légèrement pour qu’elle soit toujours là mais juste un peu différente. Je n’aime pas cela. J’ai mis des années à accepter Tor tel qu’il est lorsqu’il ballade à mes côtés son énorme masse, et je mets une mauvaise foi sans nom à accepter le volatile lorsque ce dernier décide de prendre cette forme. A choisir, j’aurais préféré quelque chose de plus terrestre, venimeux peut-être. Je n’avais rien à faire d’un gros animal emplumé. Mais ça non plus, ce n’est pas quelque chose que l’on choisit, ça, comme tout le reste. | Pseudo et âge: mika, 24 ans Où as-tu trouvé le forum ? Je l'ai jamais vraiment perdu. Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? Non Présence: Régulière Une remarque ? Je suis jamais parti bien loin |
Dernière édition par Horus B. Malefoy le Dim 26 Nov - 18:34, édité 12 fois |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mer 1 Nov - 0:47 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Quand est-ce que tout à commencé à déraper? Je suis assis là, dans mon lit à la lumière blafarde de ma baguette. Mon regard d’azur planté immobile sur un mur où je ne regarde rien. Je suis ailleurs, je suis comme ça depuis des heures, depuis des jours. Je suis relu dans ce lit comme un animal blessé se tirerait dans sa tanière pour espérer guérir, faible espoir s’il en est. Je n’écoute pas le taureau qui pourtant je le sais tente d’entrer en contact avec moi. Appuyé à la tête de mon lit, je ne suis qu’une ombre, je dors à moitié, je rêve éveillé. Je ne les sens pas tomber mes paupières et pourtant c’est mon corps entier qui sombre de nouveau dans les limbes, sans crier gare, c’est ce qu’il fait bien trop souvent ces dernier temps. Je suis fatigué de dormir trop mais pas assez en même temps, je suis fatigué d’ouvrir les yeux pour voir des horreurs, des monstres invisibles de tous que je ne peux combattre. Je devrais pourtant avoir l’habitude, depuis toutes ces années, ces hallucinations font partie de mon quotidien, des rêves éveillés desquels je ne peux me tirer alors que mon corps sort du sommeil laissant derrière lui mon esprit y sommeiller encore un peu. Le taureau à mes côtés ne peut rien faire, il reste debout, là, sa lourde masse prenant la majorité de la place à côté du lit, sa grosse tête posée sur les draps, il m’observe mais je ne peux le voir. Je ne suis qu’un mannequin à la respiration tranquille, surface immobile d’un océan en tempête qui ne me laisse reprendre ma respiration depuis des lustres déjà. J'étais là, petit gamin à la tête blonde, assis au bord d’une table beaucoup trop haute pour moi. Mes grands yeux bleus essayaient d’écouter les questions que posait ma mère, debout dans sa belle robe noire, elle avait l’air sévère, mais je n’en avais pas peur. J’essayais d’écouter sans être distrait, ce n’était pas facile, la concentration n’était pas vraiment mon fort, je préférerais sans doute être dehors, aller jouer avec Éliandre. J'étais un garçon appliqué pourtant mais j'étais jeune, huit ans tout au plus. À cet âge, je n’avais pas conscience des grandes choses que l’ont pouvait attendre moi. J’avais la volonté de faire au mieux, mais il fallait bien l’avouer: jouer était beaucoup plus attirant. Je me concentrais comme je pouvais pourtant, mais les mots se mélangeaient, elle qui avait la voix si claire, ces voix que l’on écoute sans broncher d’habitude, je l’entendais de loin. Je ne sentais même pas mes paupières lourdes, je ne les sentis pas non plus tomber, alors que je m’avachis sur la table, mes bras pour seul oreiller. C’est tout ce que je retiendrai de cette leçon. Une région d’Angleterre que je confondais toujours avec l’autre, et plus rien. Je ne comprenais pas, et je ne cherchais pas vraiment à comprendre. Je n’avais pas grand monde à qui me comparer si ce n’était mon frère, et à cet âge, loin de moi l’idée de m’y comparer. C’était un compagnon de jeu que j’avais toujours connu, pas un rival, pas un élément de comparaison. Est-ce que je me rendais seulement compte de mes petites siestes intempestives? Pas vraiment, pas au début, pas tout de suite. Je n’avais rien fait. Des semaines durant c’était là ma plus grande arme. je n’avais rien fait. Ce n’était pas de ma faute. Je ne comprenais même pas vraiment ce que l’on me reprochait. Mais cette arme n’était d’aucun impact sur le regard de mon père lorsque c’était lui qui venait rendre les comptes de mes journées. Des mauvaises blagues, une sale manie, une habitude qui devait cesser. tant de mots, tant de tournures de phrases pour me faire comprendre que dormir ainsi ne se faisait pas, mais je n’y pouvais rien. Comment aurais-je pu? Mes paupières se fermaient, les sons s’assourdissaient comme dans un bocal d’eau, et je ne pouvais rien contre cela. La première fois et toutes les autres mon père ne me cru pas. Il n’avait jamais été aussi mesuré et doux que ma mère, il était celui qui distribuait les corrections, cela avait toujours été ainsi. C’était pour cela que je craignais lorsque je le savais venir me voir. dans ces moments là, je savais que malgré moi, j’avais fais une bêtise, et toute bêtise mérite correction. Mentir alourdi la peine. C’est peut-être pour cela que j’en veux à Mère. Je ne l’ai jamais vraiment su, je n’ai jamais vraiment cherché à en avoir le cœur net, mais Père n’aurait pas pu savoir sans qu’on le lui dise. Pas avant du moins que cela n’arrive à table, car c’est arrivé. Je n’avais même pas dix ans, je ne contrôlais rien. Pourtant personne ne semblait me croire. Aujourd’hui j’en veux à Mère pour ça, même si ce n’est pas complètement de sa faute, même si elle n’a pas non plus choisi tout ça. Difficile d’oublier qu’elle était là tout ce temps, qu’elle ne faisait rien, mais qu’elle ne disais rien non plus. Malade. J’étais un gain, je ne comprenais peut-être pas encore tous les tenants et les aboutissants de mon nom, de mon sang, mais ayant toujours été élevé dans cette ambiance soyeuse d’un manoir un peu trop coûteux, il est des choses que même un enfant comprendrait. Et maintenant, l’on me disait malade. Un médecin, un second, encore un. J’ai depuis longtemps cessé de me demander combien m’ont occulté, regardé pendant de longues minutes, et tous sans exceptions finissaient toujours par avoir le même regard, la même expression, anodine, presque invisible, sur leur visage au traits tirés par une journée sans doute un peu trop longue. Certains plus délicats que d’autres préféraient prendre mes parents à parti, d’autres se contentaient d’expliquer ce qu’ils savaient devant moi. Le verdict jamais ne changea: j’étais malade, et l’on ne pouvait rien y faire. Une maladie qui n’avait rien de très préoccupant disaient-ils tous. On ne la connaissait pas bien, mais elle n’était pas dangereuse. Ils n’y connaissaient rien. Ou est-ce que tout commença à dérailler? Tout avait commencé avec cette sieste malencontreuse sur une table du manoir. Tout ça parce qu’un gamin de huit ans n’était pas fichu d’être normal. Condamné à passer entre douze et seize heures par jours à dormir ou somnoler, condamné à voir ses jambes se dérober sous son poids dès que son père levait la main sur lui, dès qu’il lui faisait peur. Le quotidien insouciant changea plus vite que je ne pu réellement m’adapter, mais il fallait faire avec. Le seul à mes yeux qui ne changeait pas, c’était Éliandre. Ou peut-être pas. Était-ce la peur, la colère, était-ce un cauchemar ou un fantôme cette nuit là qui m’avaient fait sortir de ma chambre? Tout le monde dormait, tout le monde sauf moi. Quelle ironie. Je ne sais comment ce tapis pris feu, je ne sais pourquoi. L’idée de rendre à mon père ce qu’il m’avait donné qui avait laissé à mon visage une ombre à peine visible mais suffisante pour que je ne m’en souvienne que trop m’avait traversé la tête. Oui, mais je n’étais pas comme ça. je n’étais pas de ceux qui font du mal aux autres pour rien. J’étais un gamin un peu trop discret, qui baissait les yeux lorsque son père était dans la pièce. C’était un accident. J’avais juste perdu le contrôle, je n’avais pas compris, tout s’était passé si vite. Trop vite même, la chaleur avait eu le temps de lâcher ma peau avec l’avidité d’un animal affamé, j’avais eu peur, et dans ma frayeur je n’avais fait qu’empirer les choses. Une magie sordide avait mis le feu à ce coin de tapis, la panique avait juste fait gonfler les flammes. Tout ce qu’il se passa ensuite, je n’en fut que le maladroit spectateur. incapable de bouger, incapable d’appeler à l’aide, je ne me souviens que du regard que mon père me jeta lorsqu’il me prit à bras le corps pour me sortir de là. Déception. une de plus, comme chaque fois. Mais si avant je ne comprenais pas, je commençais maintenant à m’en rendre compte,à mesurer l’ampleur des choses. Et la déception dépassait l’incompréhension, je savais que j’avais encore fait quelque chose de mal. Ce quelque chose qui engloutissait le manoir comme une simple bûche, je pense que jamais Père ne me l’a vraiment pardonné. Ils m’avaient toujours tout donné, et moi, je venais juste de tout leur prendre. Cela signifiait peut-être que j’avais en moi cette source de magie que toute bonne famille de sorcier espère voir un jour, mais il n’y eut pas de réjouissance pour cela non plus. Père pour une raison qui fut sienne, se mit en tête que j’avais juste voulu leur faire du mal, et dans le fond, ma voix semblait me mentir lorsque je lui assurais entre deux sanglots maladroit que non, je n’avais rien fait. Qu’aurait été la vie si lui ou Mère ou même mon frère avaient péri cette nuit là? Une question à jamais sans réponse, mais je ne peux oublier ce que la vie est devenue depuis. __________ Poudlard arriva vite, trop vite. Ce fut pourtant une sorte de soulagement autant qu’un fardeau. Je n’avais jamais été le genre à sortir me faire beaucoup de connaissances lorsque j’étais à la maison, me retrouver ainsi projeté dans un endroit pareil changeait d’un coup d’un seul toutes mes habitudes. J’étais lâché dans la nature avec ma santé anarchique et ma robe de sorcier hors de prix. Nouvel endroit, nouveau départ. inutile de me dire plusieurs fois qu’à cette école, je pouvais être presque qui je voulais, à la seule condition de m’y prendre correctement. Au fil des mois, au fil des ans, je me fis avec une facilité surprenante une place au sein de l’école. Mon nom m’aidait sans doute un peu trop. Il faut dire que j’en jouais, comme on me l’avait appris. Ici, personne ‘avais à savoir que mon père me terrifiait, et ici, j’étais maître de tout ce qu’il pouvait m’arriver. L’horreur, la honte, n’arriva qu’une fois. Pas deux. Plus jamais. Je n’ai jamais été bagarreur, mais celui là avec son petit air de n’en avoir rien à faire me tapait sur le système, avec son écusson brillant de rouge et d’or, sa voix reconnaissable entre mille. Qu’est-ce qui avait déclenché ma mauvaise humeur je ne sais plus. Mais cela avait été suffisant pour que je sorte ma baguette, avec la ferme intention de lui faire clouer son caquet. Évidemment, il fallait que rien ne se passe comme il l’aurait fallu. Évidemment cet andouille n’aurait pas pu juste se laisser faire, cela aurait été un sort sans grande incidence. Mais il fallait que cet abruti se retourne, et en remette une couche avant que je ne puisse faire quoi que ce soit. Assez bien pour que ma colère l’emporte. Je ne me souviens aujourd’hui plus de ses mots, ni des miens, ni même ce ce qui avait fait basculer cette sombre histoire, mais je me souviens encore très bien de ma chute au sol, mes jambes qui se dérobèrent sous moi alors que je m’écroulais sans pouvoir rien y faire. Une honte sans égal, qu’aujourd’hui je ne lui ai toujours pas pardonné. Certains diront que cette obsession pour ce Machar est disproportionnée, à ceux là, je me contenterai un regard noir. Qu’ils me laissent rejeter toutes les fautes sur cet abrutis, et qu’ils s’occupent de leurs affaires. Cet incident est survenu quelque part lors de notre 3ème année. Depuis j’ai fait en sorte de toujours me garder des crises de cataplexie. Mes siestes intempestives sont une chose, me retrouver inanimé au milieu d’un couloir en est une autre. Depuis ce temps, je me suis amélioré pour tout, du dédain que je montrais à ceux qui n’étaient pas à mon goût à la maîtrise de mon sang froid et même de mon sommeil. Les années passèrent, et à la maison les choses ne changèrent pas vraiment, ou plutôt si, mais je fit en sorte de m’appliquer à ne pas le remarquer. Finit l’insouciance envers mes parents. Rentrer pendant les vacances étaient un devoir plus qu’un plaisir car je savais que quelque chose irait mal. Peut-être était-ce à cause de cette étrange insolence que je développais envers mon père, malgré la peur qu’il m’insufflait? A chaque parole trop haute, les coups tombaient, cela n’avait pas changé. Ma mère, peu à peu, la communication cessa. Elle ne me faisait pas peur, pas de la même manière que mon père, mais cette méfiance envers elle continuait de planer comme si elle était la source de tous mes mots. Mes échanges avec elle n’étaient plus que courts, factuels, presque froids par moment. J’aurais aimé faire autrement, mais c’était plus fort que moi. Peut-être était-je trop méfiant, mais une partie de moi me murmurait un délicat « peut-être pas » qui me faisait reculer à chaque pas que j’aurais pu prendre en avant. Même envers on frère, les échanges se simplifièrent avec les années. Quelque part, à mesure que les mois passaient, que mes yeux se creusaient de fatigue, une anxiété latente prenait place en moi concernant Éliandre. J’étais celui chargé de prendre les rênes de la famille, mais j’étais un objet recollé qui passait son temps à se briser, aussi proches que nous ayons pu être, l’idée qu’il puisse me passer devant m’était insoutenable. Il était hors de question que je ne me fasse voler la seule place qui me promettait encore quelque chose dans l’avenir. Et pourtant, mon esprit aujourd’hui ne cesse d’être distrait. Je pense trop, je me vois, chaque jour, veiller un peu trop tard, perdu dans mes pensées. je fais comme je peux pour être au moins ce que l’on veux que je sois, je suis plus acerbe que jamais envers les plus jeunes et les impurs, c’est ce que je fais de mieux. Je suis distrait, bien trop pour mon propre bien et je le sais,j’en suis conscient. Je pense et fais tout de travers, j’envoie des courriers anonymes à quelqu’un que je ne devrais même plus regarder, je laisse mes émotions me submerger et je ne suis plus concentré. J’ai ignoré tous les rappels à l’ordre de mon père, de ma mère, de tous ceux qui m’ont dit de faire attention. Aujourd’hui, je suis dans ce lit que j’ai eu l’impression d’abandonner trop longtemps. J’ai fait des erreurs que je n’aurais pas du commettre. Mes parents se sont assurés que je revienne à l’école dans un état de santé correct. Mon père a insisté ces derniers mois pour que je sois pris en charge par des médecins qualifiés pour gérer des cas comme le mien, essayer de me sortir ces histoire de Gryffondor et autres « idées stupides » de la tête . Il ne m’ont pas laissé mettre à exécution les menaces sordides dont j’avais gratifié ma mère il y a quelques temps dans un hibou ou j’avais daigné tenter de communiquer, malgré un ton qui je le sais, était tout à fait désagréable. Je suis de retour à l’école, où je n’ai certainement manqué à personne, et encore moins à ces pauvres premières années. J’ai bien l’intention de leur rappeler qui je suis dès lors que je remettrai les pieds dans ces couloirs. Mais pour le moment, je reste immobile sur mon lit, dans le silence du dortoir. Je me réveillerai bien assez tôt. père m’a assuré qu’ils m’auraient à l’œil, mais personne ne pourra m’empêcher de nombre dans les bras de Morphée. Pantin immobile l’espace de quelques minutes, de quelques heures, pendant lesquelles j’abandonne le vile petit Malefoy que je suis, et j’oublie tout le reste. Pour moi fermer les yeux c’est mourir un peu à chaque fois.
Dernière édition par Horus B. Malefoy le Jeu 23 Nov - 0:11, édité 2 fois |
| Euphrasie Malefoy admin - i don't want just a memory Répartition : 11/08/2015 Hiboux Envoyés : 1420
| Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Euphrasie Malefoy, Mer 1 Nov - 0:48 ( #) |
Dernière édition par Euphrasie D. Malefoy le Mer 1 Nov - 0:53, édité 1 fois |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mer 1 Nov - 0:49 ( #) | Rebienvenue ! (On va s'en sortir, promis xD) |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mer 1 Nov - 1:03 ( #) | REBIENVENUE |
| Charlie de Breteuil admin - their tense grace made tender Répartition : 22/02/2017 Hiboux Envoyés : 1500
| Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Charlie de Breteuil, Mer 1 Nov - 8:00 ( #) | Un petite tête qu'on connait Et encore un rejeton de Déi J'aurais une madame à te jeter dessus Rebienvenue à toi |
| Reine C. Delacroix admin - i don't want just a memory Répartition : 31/03/2017 Hiboux Envoyés : 1203
| Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Reine C. Delacroix, Mer 1 Nov - 9:26 ( #) | Rebienvenue ! |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mer 1 Nov - 12:37 ( #) | Re bienvenue |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mer 1 Nov - 13:51 ( #) | (re)bienvenue parmi nous |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mer 1 Nov - 14:17 ( #) | rebienvenue |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mer 1 Nov - 17:45 ( #) | bienvenue |
| Isaure Lenoir admin - war is the sea i swim in Répartition : 27/09/2015 Hiboux Envoyés : 656
| Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Isaure Lenoir, Ven 3 Nov - 16:30 ( #) | rebienvenue |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mar 7 Nov - 10:57 ( #) | re bienvenue |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Invité, Mar 7 Nov - 22:45 ( #) | Merci tout le monde, content d'être de nouveau par ici J'essaie de tout finir au plus vite |
| Ezra S. Blackbird membre - i don't want just a memory Répartition : 17/12/2015 Hiboux Envoyés : 305
| Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Ezra S. Blackbird, Sam 11 Nov - 8:57 ( #) | |
| | Re: Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horuspar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | Our memory will be my lullaby, sing me to sleep now ▬ Horus | |
| Page 1 sur 2 | Aller à la page : 1, 2 | | Sujets similaires | |
| Sujets similaires | |
| » Lullaby ஐ " C'est dur de porter un nom tellement célèbre " » Cooκ E. Angel ~ Sweet Lullaby » Zara-Lynn ▲ It's not a dream, it's a... memory ! » Sing a song with sun ~ Némé&Kat » I guess I'll sleep when I'm dead
|
| | | | |
|
|