BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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Gayle Grayson membre - high above, the greatest wonder Répartition : 23/02/2018 Hiboux Envoyés : 92
| Bubblegum Bitch (lenore)par Gayle Grayson, Ven 23 Fév - 22:16 ( #) | Lenore Irmhild Lieselotte Nott (née Von Sachsenheim) ft. Nicola Peltz sang-mêlée officieusement, sang-pur officiellement 21 ans mariée depuis peu bisexuelle 11ème année en Confection de Potions lama et paon Pro-Mangemorts crédit tubmlr | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Née Von Sachsenheim Nom purement germanique. Et pour cause : si les Von Sachsenheim ne sont pas tres connus en Angleterre, en Allemagne en revanche, ils font partie de l'aristocratie Allemande. Fiers de leur sang-pur (même-si aujourd'hui ce n'est plus du tout le cas), ils restent très anti-moldus. Leur devise : Sublimi feriam sidera vertice montre ainsi leur arrogance et leur fierté sans égal. Devise que Lenore tente de rendre hommage chaque jour de sa petite vie. Mariée Nott depuis le 29 janvier 1983. C'est de son union avec Marverick Nott qu'elle a abandonné le nom des Von Sachsenheim comme le veut la tradition. C'est dans sa nouvelle famille qu'elle tente de trouver sa place tout en restant digne de ses racines allemandes. Prénom: Lenore Irmhild Lieselotte. Prénoms tous aussi germanique les uns que les autres. Cependant, Lenore, ne les aime pas du tout. Elle reste ravie de son premier prénom qu'elle trouve beau mais elle refuse qu'on l'appelle autrement. Elle trouve les deux derniers prénoms trop vieux et démodés. Âge et Date de Naissance: 21 ans, 1er juin 1963. Lenore est née en Allemagne dans la maison familiale. Nature du sang: Sang-mêlé. Les Von Sachsenheim sont connus pour leur sang-pur. Ou tout du moins c'est de cette manière que tout le monde les voit et qu'ils l'affirment haut et fort. En réalité, leur sang est souillé depuis deux générations par une moldue du nom horrible de Raymonde (ou Cunégonde ?). Les Von Sachsenheim ont honte de cette partie de leur histoire. Ils répètent à qui veut bien l'entendre qu'ils sont des sangs-purs et gardent férocement leur secret. Situation familiale: Lenore adore sa famille. Elle adore ses parents et a tendance à se montrer étonnement respectueuse avec eux. Venant de la branche très radicale de la famille Von Schasenheim, elle a eu une éducation stricte qu'elle suit tout de même aujourd'hui. Cependant, elle reste proche de ses parents malgré tout. Étant la dernière fille de cette branche, elle est encore plus gâtée que de raison, ce qui n'a pas arrangé les défauts de son caractère. Elle a aussi trois grands frères : Aloysius (aussi nommé Alouette), 33 ans, Orpheus (aussi tendrement nommé Phyphy ou Phyphynette) 30 ans et Ulrich (aussi nommé tête d'œuf) , 19 ans. Elle adore Aloysius même-si avec la différence d'âge, elle reste tout de même très jeune. Il est un peu son modèle dans la famille même-si elle voudrait éviter de finir avec des mioches moches comme les siens. Orpheus est ensuite le second homme de la famille. Les relations avec Orpheus sont devenues inexistantes depuis que celui-ci a fui, provoquant la colère et le désespoir des Von Sachsenheim. Lenore est énormément en colère contre son frère aîné et elle considère qu'il les a trahit. Et enfin Ulrich. Pour ce dernier, on peut clairement dire qu'ils ne sont pas si proches que cela bien que Lenore ne peut décidément pas lui tourner le dos. On notera cependant qu'elle a finalement décidé de se rapprocher de lui suite à la peste qui les a tous les deux touchés. Les liens du sang sont plus forts que tout après tout ? Et enfin, vient Euridyce. Euridyce était la grande sœur de Lenore. Elle est malheureusement décédée à Belize en 1979. Lenore adorait sa sœur. C'était à vrai dire le seul modèle féminin qu'elle avait et appréciait. Petite, elle voulait lui ressembler entièrement. Elle allait jusqu'à mettre son maquillage et porter ses vêtements. Sa mort a affreusement touché la jeune fille qui veut maintenant la venger coûte que coûte. La famille Von Sachsenheim est aussi composée de deux autres branches que Lenore aime tout autant. Cependant depuis le 29 août 1983, Lenore a épousé Marverick Nott, devenant ainsi une Nott à son tour. Bien qu'elle ne l'aime pas et que ce mariage soit tout bonnement intéressé, elle essaie de faire de son mieux pour s'intégrer à sa nouvelle famille bien qu'elle se considère et se considèrera toujours comme une Von Sachsenheim Miroir du Rised: Sa sœur, son frère Orpheus et toute la famille Von Sachsenheim réunie. C'est aussi simple que cela. Elle donnerait tout pour revoir sa famille unie et aimante. Epouvantard: Une armée d'elfes de maisons voulant l'attaquer. Cette peut sembler parfaitement risible et pourtant, Lenore a une peur effroyable des elfes de maison. Ce traumatisme vient en particulier depuis l'enfance. Lenore fait des crises horribles quand elle se trouve dans la même pièce qu'un elfe et c'est d'ailleurs le cas avec l'elfe de maison dans la famille. Elle ne peut aussi pas mettre les pieds dans les cuisines. Composition de la baguette magique: Bois de chêne rouge, ventricule de dragon, 27 cm. Le bois de chêne rouge est un bois très rare. Il montre à la fois son caractère quelque peu instable, mais aussi son esprit vif mais aussi de son esprit inventif, surtout pour les sorts. Sa baguette est une très bonne baguette pour les duels mais aussi pour les enchantements. C'est une baguette particulièrement fine et très délicate au touché. Etudes Suivies: Le choix ne fut à vrai dire pas si compliqué que cela. Il était évident que les autres cursus ne lui convenaient pas et c'est tout naturellement que Lenore débuta ses études supérieures en confection de potions. Décidée à continuer à gratter des points, elle a gardé l'option d'Histoire de la Magie qu'Orpheus enseignait jusqu'alors. Depuis son départ, elle trouve cependant que la matière a beaucoup moins d'intérêt. Elle a aussi prit Métamorphose en seconde option, tout simplement parce qu'elle devait en prendre une. Animal de compagnie: Lenore n'a jamais eu réellement d'animal, sans doute parce que la plupart d'entre eux finissent par mourrir, soit parce qu'elle les délaisse, soit parce qu'elle a décidé de tester ses potions dessus. Ainsi, on ne calcule plus le nombre de hiboux qui sont passés entre ses mains et ses parents continuent de les lui acheter malgré tout (parce qu'elle refuse de prendre un des hiboux de l'école, ayant peur d'attraper une maladie). Elle possède cependant depuis quelques années déjà un boursoufflet qu'elle a réussi à capturer grâce à ses aventures diverses. Ce boursouflet est de la couleur noire et extrêmement agressif sauf avec elle notamment car elle a passé de longues heures à lui faire boire divers potions. | Caractère De grands yeux tantôt bleus, tantôt verts. Des cheveux blonds parfois peut-être un peu trop foncés. Des joues à croquer. Une beauté atypique. Une beauté allemande. Un petit mètre soixante-cinq. Un corps robuste mais fragile malgré tout. Cet air innocent. Ces sourires presque candides. Lenore aurait presque l'air d'un ange. Mais ne vous y trompez pas : ça n'est absolument pas le cas. Lenore n'est pas un ange, n'en a jamais été un. Vous n'aurez jamais envie de la protéger. Vous n'aurez jamais envie d'être gentille avec elle. Car inévitablement, vous aurez envie de la frapper. Lenore, c'est le genre de fille que vous allez forcément détester. Parce que Lenore n'est pas gentille. Elle vous regardera toujours avec cet air hautain sur le visage. Elle vous regardera toujours comme-ci vous étiez un moins que rien. Et c'est d'ailleurs le cas, vous l'êtes. Après tout, qui ne voudrait pas être elle ? Elle a tout : la beauté, la richesse, le sang (même-si sur ce point-là, ça reste discutable, mais nous y reviendront plus tard), l'intelligence, la malice. Qui ne voudrait pas s'appeler Lenore Von Sachsenheim ? Elle est parfaite, elle se trouve parfaite du moins. Et elle vous le dira, encore et encore parce qu'elle ne sait faire que cela : se vanter. Vous serez aussi transportés par son arrogance, par son orgueil. Trait assez commun chez les Von Sachsenheim, il faut le dire, mais ce trait est encore plus exacerbé chez l'adolescente. D'autant plus qu'elle n'est pas du genre à être humble : on ne le lui a jamais appris. Pourrie gâtée jusqu'à la moelle, petite dernière de sa branche, dernière fille aussi de sa branche, c'est avec une cuillère en or dans la bouche qui se trouve entre les délicates et pulpeuses lèvres de l'allemande. Elle ne connait pas la pauvreté et elle dénigre la pauvreté, elle la regarde de haut, elle les écrase du talon de sa chaussure à 100 gallions. Et elle se moque délibérément, n'ayant décidément aucune compassion pour le peuple, pour les moins que rien, pour ces impurs qu'elle déteste tant. Cette vanité, cet orgueil fait qu'elle se trouve être insolente, irrespectueuse des autres. Elle vous asticotera avec des phrases acerbes et parlera avec ironie et sarcasme, elle vous dénigrera telle la petite peste qu'elle est. Elle adore se moquer des autres et elle ne se dérange pas non plus pour vous critiquer alors que vous êtes devant elle. Et puis elle prendra un malin plaisir à vous détailler entièrement. Rien ne lui échappera car elle possède un très bon sens de l'observation. Et le pire, c'est qu'au lieu de garder cela pour elle, elle le dira à haute voix, comme-ci vous n'étiez pas là. Car le fait qu'elle n'est pas la langue dans sa poche est un second trait de caractère qui la définit bien. Elle ne cache rien. Elle est parfaitement honnête avec tout le monde et dans son honnêteté, elle est méchante, ni m'étant pas les formes, ne cherchant pas à se faire des amis parce que personne, après tout, ne lui arrive à la cheville. Si vous êtes un de ses amis, elle sera sans doute d'une très grande loyauté, mais elle ne vous estimera pas autant que sa famille. Elle sera sans doute plus gentille…. Quoique non, la gentillesse n'est décidément pas un trait de caractère qu'elle possède. En revanche, elle sera sans doute un peu plus taquine. Un peu moins moqueuse. Mais toujours aussi méchante et franche. Vous serez aussi surprit par sa façon de parler. Venant d'une famille assez haute aristocratiquement, on aurait plutôt tendance à penser qu'elle est délicate. Que nenni ! Elle se fiche totalement de la délicatesse, elle n'est pas douce pour un sou. Elle n'a peur de rien dans ce qu'elle dit et vous remarquerez qu'elle est étonnamment crue et parfois peut-être un peu vulgaire dans ses paroles, ce qui témoigne de sa perversité tout aussi exacerbée que son orgueil. La perversité. Vous ne pensiez tout de même pas qu'elle était aussi angélique que cela ? Je vous l'ai dit : il n'y a rien d'angélique chez cette peste. Elle est perverse et vous le montrera. Elle a toujours une réflexion sur la gente masculine ou féminine. Parce que peu importe pour elle, tant qu'elle s'amuse. Les relations amoureuses ? Lenore se montre aussi romantique que Rusard et son chat. Elle ne supporte pas les niaiseries. Elle ne supporte pas les roses, les mots doux. Elle fonce, et elle n'a pas froid aux yeux. D'ailleurs, quand elle se met à draguer, c'est souvent des choses extrêmement crues qui sortent de sa bouche. Et elle s'en fiche. Parce qu'au final, elle finit toujours par avoir ce qu'elle veut. Elle se montre aussi très libérée de ce côté-là. Elle n'a pas peur des corps nus, se montrant même totalement impudique. Elle pourrait même se déshabiller devant vous sans aucuns soucis bien qu'elle se montre particulièrement pudique et délicate lorsqu'il s'agit de sang impur. S'il y a bien une question sur laquelle il n'y a aucun tabou avec elle s'est bien le sexe. Oh, elle ne va pas s'offrir à n'importe qui (elle préfèrerait d'ailleurs mourir que de se donner à un impur), mais que ce soit fille ou garçon, elle s'en fiche. Cependant, Lenore a une peur panique de tomber amoureuse. Ayant déjà été amoureuse une fois dans sa vie et de la mauvaise personne, elle s'efforce de tout son être à repousser toute tentative de rapprochement et de sentiments amoureux… Ce qui rate plus ou moins quand on sait que Lenore malgré tous ses défauts n'en est pas moins un cœur d'artichaud. Elle ne tombe pas amoureuse à outrance, en réalité, elle essaie de l'être de son mari actuel et de tout faire pour trouver un tant soit peu de douceur et de tendresse. Parce que Lenore a besoin de se sentir aimée autant que détestée… Et si son mariage est foncièrement intéressé, elle ne peut nier que Marverick Nott joue son rôle à merveille et respecte tous ses engagements. Alors, elle le fait elle aussi, essayant de jouer le jeu mais ne renonçant pas non plus aux plaisir de la chaire.
Si vous êtes un ennemi, vous aurez forcément Lenore sur le dos et elle vous fera forcément de votre un enfer. Elle attaquera sans prévenir, quand vous avez le dos tourner par exemple. Elle se fiche totalement des principes que vous pouvez avoir parce qu'elle n'en a pas. Elle n'éprouvera aucune honte à vous attaquer par derrière. Lâchement. Parce qu'au fond, elle n'est pas bien courageuse la petite. Elle fuira toujours devant le danger. Elle fuira toujours en vous laissant dans votre merde. Ami ou ennemi peu importe. Sauf s'il s'agit d'un membre de sa famille. Là, elle saurait se montrer comme une furie capable de sacrifier sa vie. Et elle vous le fera aussi payer cher si vous vous en prenez à un membre de la grande famille des Von Sachsenheim. Elle n'aura aucune pitié là-dessus. On ne touche décidément pas au clan des Von Sachsenheim ou tout ce qui s'en rapproche de près ou de loin. Elle se montrera même peut-être un peu cruelle avec cette légère lueur euphorique dans les yeux témoignant de sa légère folie. Elle ne vous lâchera pas tant que vous n'aurez pas pleuré et implorer de voir votre mère. Elle fera durer le plaisir longtemps parce qu'elle n'a pas froid aux yeux, parce que dans le fond, elle est un peu trop sadique dans son genre. Un peu bizarre, un peu creepy même. D'ailleurs, tout le monde s'en rend compte assez rapidement : cette fille est bizarre et bien plus intelligente que vous ne pouvez le penser malgré ses airs d'ange, ses phrases mythiques. Avec sa façon de s'exprimer, vous pourrez penser qu'elle est un peu bête. Ça n'est pas du tout le cas. Elle est intelligente malicieuse et brille surtout de sa ruse. Elle est d'ailleurs une férue de potions et de plante. Elle est tout le temps en train d'essayer d'expérimenter des potions et sur tout ce qui lui passe par la main. Généralement, se sont ses hiboux qui sont les cobayes, mais si elle le pouvait, elle le ferait sur des nés-moldus, ça ne lui poserait strictement aucun souci. Elle teste, invente, mélange. Et ça, tout le monde le sait. Et vous comprenez qu'elle est bien plus dangereuse qu'elle en a l'air et bien plus bizarre qu'elle en a l'air. C'est le genre de fille qui fera des expériences en tout genre et toutes aussi plus dangereuses les unes que les autres. Elle est curieuse il faut le dire. Très curieuse. Vous entendrez forcément parler de Lenore et de son côté bizarre, de son adoration pour les potions en tout genre. Vous entendrez parler aussi de rumeurs intéressantes. Comme par exemple qu'elle est une empoisonneuse. Et le pire, c'est qu'elle rigole et s'en vante. Bien qu'il n'y ait encore pas eut mort d'homme, certains se sont retrouvés malade suite à une discussion plutôt animée avec Lenore. Personne n'a de réel preuve que ce soit vraiment elle, ainsi, il y a toujours le bénéfice du doute, mais elle ne s'en cachera jamais. Ça l'amuse même tout ça. Parce qu'elle adore aussi colporter des ragots, les alimentés et voir les réactions des autres.
Tout cela ferait penser qu'elle est totalement dépourvue de tact et de bonne manière. Je vous répondrais que oui, elle en est dépourvue quand il s'agit d'autres personnes que sa famille. Mais il est étonnant de voir à quel point elle peut être différente avec ceux qu'elle aime. Quand Lenore se retrouve avec sa famille, elle n'a strictement rien à voir de la petite peste arrogante et effrayante. Oh, elle sera toujours un peu crue et un peu trop franche, elle ne perdra pas non plus de sa superbe, mais c'est dans ces moments-là que vous remarquerez qu'elle a des bonnes manières. Surtout avec ses parents. Elle passera d'ailleurs toujours pour la petite fille sage et modèle auprès d'eux. Et elle le sait : ils sont fiers d'elle. Étant aussi la dernière fille dans première branche des Von Sachsenheim, elle est ce qu'on peut appeler pourrie gâtée. Et elle adore ça. Elle adore être couverte de cadeau. Parce qu'elle adore le luxe. D'ailleurs, le fait qu'elle soit gâtée ne l'aide pas et rajoute encore quelques défauts a liste, déjà longue : elle est égoïste, exécrable. Lenore se montre très taquine avec les membres de sa famille. Même son mari bien. Elle se montre beaucoup plus joyeuse et blagueuse avec ses proches. Elle ne respecte personne en dehors de sa famille et de ceux qui comptent vraiment. Elle les adore tous. Elle les aime tous. Même son grand frère qu'elle adore martyriser et effrayer. Elle ferait n'importe quoi pour eux. Elle sacrifierait sa vie pour eux s'il le fallait. Elle n'aurait aucun scrupule à vous massacrer non plus si jamais vous vous en preniez à eux. Elle est une Von Sachsenheim et elle les respecte tous autant les uns que les autres. Ils sont sa fierté, ils sont tout ce qu'elle a. Ils sont ceux qui, au final, l'acceptent telle qu'elle est. Et elle est même prête à rejoindre les rangs du Lord pour eux. Et au fond, elle est tout à fait en accord avec les idées racistes. Elle a été élevée comme cela et ces idées se sont ancrées en elle depuis toujours. Mais le vrai tournant de sa vie a été la mort de sa grande sœur : Eurydice. Depuis sa mort, elle recherche la vengeance et s'en prend de plus en plus aux nés-moldus comme-ci c'était leur faute à eux. Au fond, elle en est persuadée. Au fond, elle souffre de la mort de sa sœur et elle s'est donné un objectif : la rendre fière d'elle. Alors, elle rentrera dans les rangs du Lord et elle sera la meilleure fidèle qu'il peut avoir. Parce qu'elle sait qu'elle a le potentiel pour cela. Et la peste n'a strictement rien arrangé à son racisme ambulant. Elle déteste tout ce qui n'est pas pur par principe, parce qu'on lui a toujours dit qu'elle risquait d'être malade, qu'elle se souillait. L'accident de train auquel elle a participé n'a fait que renforcer ses convictions, la peste a quant à elle, achevé sa haine envers les autres. Elle ne supporte pas qu'on la touche. Elle ne supporte pas qu'ils la touchent. Et dans le fond, elle sait qu'elle brille de cette hypocrisie. Parce que les VS n'ont plus le sang pur depuis quelques temps maintenant. Malgré son sang affreusement souillé par une moldue, elle sait qu'elle peut être aussi capable qu'un sang-pur. Et au fond, elle n'accepte pas ce sang souillé. Elle garde le secret bien sûr de tout cela, mais si elle avait pu retourner dans le temps et étrangler de ses propres mains cet ancêtre immonde, elle l'aurait fait. Parce que c'est une honte. Parce que c'est inacceptable. Alors, si elle ne peut pas retourner dans le temps, elle écrira le futur à sa manière et bientôt, tout le monde craindra les Von Sachsenheim et les Nott, sa nouvelle famille. Tout le monde. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Olaf est le prénom du patronus de Lenore. La jeune fille s'est tout de suite énormément attachée à lui sans doute parce qu'il a tout de suite reflété qui elle était réellement. Au tout début, Olaf prenait la forme d'une tarentule, bestioles que Lenore adore. La deuxième forme en revanche a toujours été un peu particulière. Un lama n'est pas du tout le genre d'animal qui intéresse la jeune fille, mais elle doit bien avouer au fond qu'elle l'adore même sous cette forme. Olaf est cependant un patronus assez particulier, il représente en fait la folie de la jeune fille. Quand il parle c'est souvent pour sortir des trucs salaces ou pour inciter la jeune fille à s'en prendre à des nés-moldus. Il adora faire peur aux autres. Il est vrai que peu de gens aiment la tarentule et toutes les arachnoïdes et c'est d'ailleurs pour cette raison principale que Lenore l'adore. Lenore le laissa d'ailleurs souvent faire ce qu'il veut et notamment terroriser les autres. Elle est dans un accord parfait avec son patronus. C'est lui la plupart du temps qui lui souffle des idées toutes aussi sordides. Il est aussi très pervers et adore faire des remarques sur les gens. Sous sa forme de lama, la bêtise d'Olaf ressort énormément. En effet, il se fait un devoir d'aller cracher sur les nés-moldus. D'ailleurs, Lenore et Olaf font souvent des paris à ce propos. La peste n'a cependant pas épargné ce fragment d'âme. C'est avec cette horripilante idée qu'elle allait le perdre que Lenore a assisté à sa transformation. Olaf n'a pas perdu sa forme de lama mais c'est la forme de tarentule qui a fini par disparaitre. Lors de la première vague de peste, Olaf a obtenu une deuxième forme de coq, forme qui a déclenché les moqueries de sa famille à son égard mais qui a symbolisé toute la fierté de lenore en tant que Von Sachsenheim. La prise du premier remède l'a beaucoup aidée à se remettre. Cependant, depuis que la peste est revenue, Olaf a encore changé de forme pour prendre celle d'un paon. Forme qui n'a fait qu'empirer l'égo de Lenore et celui d'Olaf. |
Pseudo et âge: Guimauve, 23 ans Où as-tu trouvé le forum ? lol Personnage: Il vient de la meilleure famille du monde As-tu un autre compte sur BP ? mohohoho Présence: Quelle question Une remarque ? AVIS IMPORTANT : MERCI DE BIEN VOULOIR M'ENVOYER UN MP SI VOTRE PERSONNAGE A PECHO OU S'EST FAIT PECHO PAR LENORE, MERCI |
Dernière édition par Lenore I. Nott le Lun 26 Fév - 0:09, édité 1 fois |
| Gayle Grayson membre - high above, the greatest wonder Répartition : 23/02/2018 Hiboux Envoyés : 92
| Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Gayle Grayson, Ven 23 Fév - 22:16 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]L’atmosphère était tendue. Lenore Von Sachsenheim âgée alors de 11 ans, était penchée sur le livre qu’elle avait ouvert depuis déjà une demi-heure. Son visage était concentré, ses sourcils blonds froncés. Elle devait réaliser une potion basique pour ce premier cours. C’était en quelque sorte une épreuve que le professeur leur imposait. Lenore était en avance sur tout le monde. Il ne lui restait plus grand-chose à faire. La jeune fille releva un instant la tête et regarda tous les autres élèves. Certains semblaient paniqués à l’idée de rater la potion, d’autres semblaient prendre tout leur temps. Lenore, elle, semblait d’un grand calme. Elle faisait des gestes précis, elle faisait très attention à ce qu’elle faisait et le professeur la regardait faire depuis un moment. Quand la jeune fille rencontra le regard de l’homme, elle lui sourit poliment et elle retourna à sa potion. Le temps défilait à une vitesse fulgurante. Lenore ajouta le dernier ingrédient et tourna doucement comme il était conseillé de faire. Quand la potion pris exactement la bonne couleur, elle prit une fiole qu’elle remplit du liquide violacé. Elle reboucha la fiole, y colla son nom et se mit à ranger sa table de travail. « Il vous reste 2 minutes » Lenore avait fini de ranger sa table de travail et attendait patiemment que la fin du temps soit donnée. « C’est terminé ! Restez à vos place et ne touchez plus à rien ». La jeune fille regarda le professeur passé entre les rangs et commenter les potions de chacun. Certains avaient plus ou moins bien réussi leur potion. Le professeur arriva jusqu’à elle et s’arrêta devant le chaudron. Il tourna doucement la cuillère dans le liquide violacé. Il regarda ensuite Lenore en la scrutant attentivement. La jeune fille maintient le regard. Un silence s’éternisa entre les deux individus. Et puis un sourire illumina les joues du professeur et il s’exclama : « Eh bien ! Mademoiselle Von Sachsenheim! Cette potion est parfaite ! Vous l’avez aussi bien réussi que je l’aurais fait. Bravo ! Il semblerait que vous aillez du talent en potions Mademoiselle ! J’ajoute 10 points pour votre maison ! » Un sourire vient fendre les lèvres de la jeune fille. La fierté inonda son visage. Elle avait réussi et ça avait été encore plus facile que d’habitude. Elle sentit le regard de plusieurs autres personnes sur elle. Mais elle s’enfichait. Mais elle s’enfichait. La cloche sonna, les gens commencèrent alors à sortir. Lenore bouscula alors plusieurs personnes sur son passage sans s’excuser et soudainement, une fille fit tomber son flacon de potion au sol. Celui se brisa déversant ainsi le liquide s’étala alors sur le sol et vint aussi éclabousser les chaussures de la jeune allemande. Celle-ci se mit alors à jurer en allemand et son regard bleu se posa alors sur la fille. Lenore se mit alors à hurler : « Mais t’es conne ou quoi ?! Espèce de sale sang-de-bourbe ! » Le professeur de potion se retourna alors visiblement outrer parce qu’elle venait de dire : « Mademoiselle Von Sachsenheim ! » Lenore ne fit pas attention à l’adulte. Son regard bleu énervé ne se détachait pas de la fille qui la regardait bouche bée. « Tu vas me nettoyer ca tout de suite sale Sang-de-Bourbe ! TOUT DE SUITE ! » La fille paru un instant choquée mais quand elle se rendit compte de ce que la jeune Von Sach lui demandait elle répliqua : « Va te faire foutre Von Sachsenheim ! » Lenore ne fit pas attention aux paroles outrées du professeur. Elle avait déjà saisit sa baguette et en un sort, la fille se retrouva alors à genoux totalement ahurie. Lenore regarda alors autour d’elle et remarqua alors l’écharpe de la jeune fille. Un sourire apparut sur ses lèvres et elle balança l’écharpe au sol en ordonnant à la fille : « Essuie » « Mademoiselle Von Sachsenheim ! C’est inadmissible ! Je vous enlève 10 points et sortez de cette salle tout de suite ! Mademoiselle, relevez-vous. » « J’ai dit, essuie. » « Mademoiselle Von Sachsenheim ! Cessez donc… » « Oh ça va hein ! Cette saleté m’a bousillé mes chaussures ! » « MADEMOISELLE VON SACHSENHEIM ! SORTEZ IMMEDIATEMENT DE CETTE PIECE ET VOUS AVEZ UNE HEURE DE RETENUE ! » Lenore leva les yeux au ciel. Elle décida tout de même d’obéir. Elle se mit alors en direction de la porte et quand elle fut à côté de la fille, elle lui glissa a l’oreille d’une voix terrifiante : « Je n’en ai pas fini avec toi, tu les essuieras mes chaussures. Je te le garantis.» Et finalement, elle tourna les talons et s’en alla, un sourire aux lèvres. *** Les élèves étaient impatients. Le bal d’Halloween allait avoir lieu et tout le monde semblait excité. Lenore Von Sachsenheim entra alors dans la Grande Salle. Pour une fois, Lenore était ce qu’on pouvait appeler la grâce même. Elle avait pris un déguisement d’ange déchu. Ses cheveux pour l’occasion avaient pris une teinte assez foncés avec une mèche blanche. Elle avait des ailes noires avec des plumes et elle portait une longue robe noire, élégante et sexy à la fois. Oui, quand on est une Von Sachsenheim, on ne fait pas dans la demi-mesure. Lenore se dirigea alors de son pas assuré et arrogant vers le buffet. Mais quelqu’un vint alors l’intercepter. Elle leva alors la tête pour voir le garçon qui lui faisait face. Un sourire étira alors ses lèvres. Amory Burke, un sang-pur de quatre ans son ainé avec qu’elle connaissait rapidement, semblait vouloir lui parler. « Burke. » « Von Sachsenheim. Tu es électrisante ce soir. » « Oh épargne-moi toute cette bienséance. Dit plutôt le fond de ta pensée… que je suis bonne par exemple. Tu crèves d’envie de le dire. » « Tu m’as arraché les mots de la bouche, Lenore. » Elle continua alors sa route vers le buffet suivit de Burke. Son regard se posa alors sur le punch et elle grimaça. « Ne le boit pas. Quelqu’un y a mis du polynectar. » « De toute façon ca a la texture et la couleur de la pisse de dragon. Tu trouves pas ? Et puis je l’avais déjà remarqué qu’il y avait un truc de pas net dedans. » Le jeune homme eut un sourire. Lenore sentit alors le regard d’un professeur se poser sur eux. La jeune fille âgée de 16 ans décida alors qu’il était temps de partir de là. Elle prit alors le bras de Burke et ils se déplacèrent plus loin. L’ambiance était un peu électrique dans la salle. Les gens semblaient tous un peu sur les nerfs de la mauvaise surprise que leur offrait le punch. Lenore, elle, trouvait cela particulièrement amusant. C’est exactement le genre de chose qu’elle aurait pu faire. Elle songea à aller féliciter la personne qui avait fait cela. Et elle le ferait si elle finissait par en découvrir l’auteur un jour. La jeune fille tourna regarda alors les gens qui se transformaient au fur et à mesure. « Oh mon dieu, celle-là elle a bien fait de le boire le punch. Elle est beaucoup moins moche comme ça. Ceci dit, je suis pas sure que la jupe aille bien avec les jambes poilus de mec qu’elle a du coup. » Ils restèrent alors un long moment à critiquer les autres élèves quand soudainement, Burke demanda à la jeune Von Sachsenhein de danser avec lui. « Parce que tu sais danser Burke ? Bah dis donc, je savais pas qu’on t’avait appris les bonnes manières. » Ils se dirigèrent alors vers la piste de danse et une valse commença. Lenore suivit alors les mouvements de son cavalier. C’est alors que le jeune homme demanda à l’adolescente : « Je me demandais Von Sach, est ce que je mourrais empoisonné si jamais j’osais t’embrasser ? On dit que le poison est partout sur toi et plus particulièrement sur tes lèvres. » La jeune fille se mit alors à rire et répondit : « Qui a dit qu’il n’y en avait que sur moi ? » Il sourit et ils se mirent de nouveau à tourner. Lenore garda le silence pendant un petit moment. Son regard bleu était planté sur dans celui du jeune homme. Elle finit alors par lui répondre une lueur dans l’œil : « Essaie et tu verras bien » Un sourire amusé sur les lèvres, la blonde continuait de tourner sous la musique et elle vit le visage du jeune homme plus âgé qu’elle s’approcher d’elle. Fermant un instant les yeux, faisant le soudain pari avec Olaf de savoir si Amory embrassait comme un pied ou pas, elle attendit alors qu’il daigne poser ses lèvres sur les siennes. Sauf que rien n’arriva. Elle l’entendit rire et, les sourcils froncés, elle rouvrit les yeux… Sauf qu’il était déjà trop tard. Dans leur danse, ils s’étaient rapprochés du saladier de punch contaminé et ce fut d’un geste avec une certaine force qu’Amory poussa Lenore. Se prenant les pieds dans sa robe, elle tomba et… finit la tête dans le saladier. En ressortant, totalement surprise sous les rires de certains, elle se rendit alors compte qu’il était déjà trop tard : elle avait ingurgité du punch et… Et elle sentait déjà son corps se transformer… Prenant l’apparence d’Orpheus. Observant son reflet changer dans une bouteille, elle se rendit aussi compte qu’elle grandissait et que sa robe…. Devenait un peu trop courte. Les rires lui parvenaient et après la surprise se fut une colère innommable qui la saisit. Vexée, humiliée, elle se tourna alors vers Amory Burke, furieuse sous les traits de son frère. Sa main partit tout seule et vint claquer avec une certaine violence la joue d’Amory alors qu’elle hurlait avec la voix de son frère : « MAIS T’ES VRAIMENT QU’UN CONNARD BURKE ! TU VAS ME LE PAYER JE TE JURE QUE TU VAS ME LE PAYER ESPECE DE SALE …. » Et elle le gifla de nouveau, trouvant un effet soudainement apaisant devant ce geste avant de s’arrêter devant les rires de toute le monde. Humiliée et en colère, la jeune femme (maintenant homme) finit par sortir de la salle de réception non sans tenter d’agrandit sa robe en tirant dessus pour éviter de ridiculiser encore plus son frère et elle-même. *** Elle se tenait droite dans ce canapé de cuir qui avait sûrement dû coûter particulièrement cher à un de ses ancêtres. Dans le salon familial de la grande demeure des Von Sachsenheim, Lenore Von Sachsenheim alors âgée de 17 ans remettait sa robe d’or en place alors qu’elle attendait ses parents. Elle n’avait strictement aucune idée du pourquoi ses adorables parents l’avaient fait venir, mais Lenore savait parfaitement ce que cela signifiait : ils avaient quelque chose à lui dire et d’important vu qu’ils étaient de toute évidence seuls, aucun de ses frères n’avait été convié. Ne stressant absolument pas, la blonde vint tourner la tête vers la glace et remit ses cheveux en place dans ce geste d’un narcissisme absolu, souriant, satisfaite avant de reporter son attention sur la porte qui s’ouvrait. Ses parents vinrent s’asseoir en face d’elle, sur l’autre canapé et Lenore, à peine avaient-ils mis les pieds dans la pièce prenait un air parfaitement innocent. Air qui semblait les berner au possible alors qu’Olaf, sous sa forme de tarentule sur son épaule lui soufflait des insanités pas possibles pour essayer de la déstabiliser. Un instant de silence s’installa entre les trois membres de la famille et finalement, ce fut son père qui prit la parole. Les mots étaient froids et pourtant, Lenore pouvait y entendre une touche de douceur. Evidemment, il aimait sa fille, la dernière qu’il leur restait et évidemment, il tenait à lui donner le meilleur, une vie descente, la vie qu’elle méritait. Et elle aurait dû s’en douter dans le fond, c’était inévitable. Les mots sortaient de sa bouche les uns après les autres. Au début, Lenore ne comprit pas et puis… il y eut un prénom évoqué. Un prénom qu’elle ne connaissait que trop bien. Son visage resta impassiblement doux, avenant, bien que son sourire se figea légèrement sur ses lèvres. Elle venait de saisir l’ampleur de la situation et… Et Olaf riait à côté d’elle. Sa voix raisonnait dans sa tête et son rire effroyable rebondissait partout dans son crâne. « Tu as des questions particulières ? » Elle a la gorge sèche mais ne perdant pas de sa contenance, elle répond, soumise et d’une douceur inattendue à sa mère : « Non, mère. Puis-je disposer ? » Ils lui donnèrent la permission de partir et Lenore se leva, un peu trop droite, un peu trop raide. Elle quitta la pièce, comme une somnambule. Tournant dans un couloir, elle finit par arriver jusqu’à la porte de sa chambre qu’elle ouvrit et referma un peu trop doucement. Dans la pénombre de la pièce, elle sentit Olaf descendre de son épaule. « Mohohohohoho FIANCEE MHOHOHOHOHOHOHOHOHOOH FIANCEEE !» hurlait-il, retrouvant sa forme de lama et sautant tout autour de l’adolescente qui soudainement, laissa éclater sa colère. Se saisissant d’un de ses biblo fragile qu’elle balança à travers la pièce. « ILS ONT OSES ! ILS ONT OSES ME FIANCER A CE CONNARD FINI ! » « Mohohohoho tu vas porter le nom des Buuurke ! » Elle se mit à crier de rage, hystérique et ridicule, se saisissant d’une autre de ses affaires et fracassant violemment contre le sol : « AMORY BURKE A CET IMBECILE CE CONNARD D’AMORY BURKE ! CE …. » Elle arriva à son bureau et s’empara de tous ces parchemins les froissant les déchirants, continuant d’hurler comme une hystérique. « JE VAIS PORTER LE NOM DE BEUUUURK ! » « Mohohoo et tu vas le voir tout nuuu! » Elle s’arrêta alors totalement terrifiée devant la réalité de la chose. Elle allait non seulement porter son nom, habiter chez lui mais aussi… « OH MON DIEU IL VA M’ENGROSSEEEERRRR ! » Se mettant soudainement à pleurer elle se jeta alors sur son lit et prit son oreiller pour crier dedans comme une enfant faisant un gros caprice, ajoutant encore plus de ridicule à la situation. *** « BORDEL MAIS DEGAGE SALETE D’ELFE A LA …. ORPHEUUUUUUUUUUUUUUUS! » Elle est debout sur son lit, les larmes aux yeux. Il est là, hideux, monstrueux et un sourire sadique aux lèvres. « A L’AIIIIIIIIIIIDE ! » Olaf est fou, n’arrêtant pas de cracher sur l’elfe de maison familial. « Mais enfin, Mademoiselle Lenore. Kartoffel n’est là que pour faire votre valise… » répondit l’elfe un sourire pervers sur les lèvres. « KARTOFFEL DEGAGE ! TOUCHE A MES AFFAIRES ET JE TE JURE QUE JE TE DECAPITE SUR LE CHAMP ! » Le sourire de l’elfe de maison s’élargit alors qu’il s’approcha un peu plus. Lenore se recule alors et saisit sa lampe de chevet le menaçant avec alors qu’Olaf lui crachait une nouvelle fois dessus. L’elfe de maison s’inclina alors et se retira alors que Lenore lui balançait la lampe de cheveux qui lui tomba sur la tête et vint finalement s’écraser au sol. Une fois seule, la blonde mit un certain temps avant d’oser descendre de son lit. Baguette à la main, elle finit par fermer sa porte de chambre d’un sort avant de se tourner vers sa valise à moitié faite. Passé les émotions de sa peur, elle finit par s’y remettre. Bientôt, sa garde robe entière fut étalée sur son lit. Chantonnant, un sourire aux lèvres, l’allemande choisit ses vêtements : mini-short, robe de soirée courtes et sexy, sandales, talons hauts, vêtements tous plus chers les uns que les autres. Bon, elle devait avouer qu’elle n’avait d’abord pas été emballée par l’idée d’aller en Inde. Il fallait dire que Lenore Von Sachsenheim ne brillait pas spécialement de générosité. Mais ses parents ne lui avaient pas laissé le choix. Alors elle avait, comme d’habitude plié l’échine et s’attelait à faire sa valise, y fourrant même son maillot de bain une pièce. « Je croyais que tu bronzais les seins à l’air. » lui dit Olaf. « T’as raison, j’en ai pas besoin du haut. » Elle prit le bout de tissu rouge et le balança à travers la pièce avant de se décider à refermer sa valise. Ca n’était pas une si mauvaise chose peut-être d’aller en Inde. Elle pourrait profiter de la plage, du sable fin, revenir totalement bronzée, et puis des garçons et des filles aussi. Elle passerait des vacances loin de son Allemagne natale mais elle n’en serait pas moins dans le luxe et les paillettes et ça lui allait très bien. Et elle pourrait bitcher sur les pauvres. Ses lunettes de soleil sur la tête, dégageant son visage angélique, short et débardeur, elle sortit finalement de sa chambre, trainant sa valise, Olaf la suivant, fier sous sa forme de coq nouvellement acquise. Traversant les couloirs de la demeure, elle finit par arriver au niveau de ses cousins et cousines avant de leur dire d’une voix chantante et enjouée : « Bonne vacaaaances ! » Puis, décampa pour ne pas rater le portoloin. Elle détestait ce moyen de transport mais force était de constater qu’elle n’avait pas le choix et qu’elle était décidément arrivée à destination. L’endroit n’était pas dénudé de charme certes mais Lenore se rendait alors compte que quelque chose n’allait décidément pas. Il y avait trop d’impurs par là. Fronçant du nez, elle finit par se décaler de ces êtres putrides pour aller rejoindre Achille qui lui aussi était présent. « Chouchou ! Ca va ? Alors prêt à montrer tes beaux muscles aux belles filles sangs-purs des environs ? » Le brun tourna la tête vers elle et le vit la regarder étonner mais n’eut pas le temps de dire quoique ce soit qu’un moine était déjà présent, leur parlant calmement. Lenore posa son regard bleu sur lui, le regardant de haut et d’un air dégoutée devant sa tenue. Puis, n’écoutant strictement rien à ce qu’il disait, elle tourna la tête vers Achille pour lui chuchoter en pouffant de rire : « Regarde, on aurait vraiment dit un clodo ! Quel manque de goût ce.. ; truc qu’il a sur lui ! » « Je vais donc vous montrer vos dortoirs. » Lenore reprenant soudainement intérêt à ce qui se passait, suivit le reste de la foule. Ils traversèrent le monastère alors que Lenore se rendait compte que quelque chose clochait décidément beaucoup. Ca ne ressemblait pas vraiment à un hôtel. Il n’y avait aucune décoration sur les murs, pas de serviteurs pour prendre leurs valises…. « Mais ils savent ce que c’est l’hospitalité ces indiens-là ? Ou ils sont juste…. » « Et voilà votre dortoir. » La porte de bois s’ouvrit et le visage de Lenore se décomposa. Ne comprenant pas au début, elle resta un instant hébétée devant la pièce sobre et au mobilier très sommaire qui s’offrait à elle. Et puis elle entendit Olaf éclater de rire dans sa tête : « Mohohohoh comment tu t’es fait avoiiiir ! » « Euh mais… il est où le lit double ? Et puis les toilettes et la salle de bain ? Et c’est quoi cette décoration là ? » Le moine la regarda longuement, dubitatif. « Non mais vous comprenez ce que je dis ou vous êtes débiles ?! » Elle sentit quelqu’un arriver dans son dos et se rendit compte qu’un des professeurs de Poudlard était là. Visiblement exaspéré par la jeune fille il posa sa main sur son épaule et lui dit : « Vous n’avez strictement rien écouté Mademoiselle Von Sachsenheim. Vous êtes ici pour rattraper les cours que vous avez loupés pendant votre confinement lors de la peste. On n’est pas en vacances. Maintenant, installez-vous et mettez cette toge, vos vêtements sont décidément indécent pour l’endroit… » Olaf mourrait de rire dans sa tête alors qu’elle regarda totalement hébétée l’homme qui s’en alla, la laissant seule devant son dortoir. Oui, ses parents l’avaient bien eue pour le coup. *** Elle le déteste. Il ne fait aucun effort. Il ne veut faire aucun effort. Alors qu'elle, elle essaie. Elle essaie vraiment même si elle est amoureuse d'un autre mais que son coeur est brisé. Mais lui, il continue de faire comme si de rien n'était. Il continue de la tourner en ridicule et Lenore Von Sachensenheim n'était pas le genre de femme qu'on tournait en ridicule sans s'attirer ses foudres. Un homme lui avait déjà brisé le cœur en partant comme un lâche sans un au revoir. « Ah ça oui, c'était un homme. Pas un puceau comme Beurk mohohoho » « C'est pas drôle Olaf. » lui répond-elle mentalement. Elle sait qu'il essaie de la faire dédramatiser mais elle n'y arrive pas. Elle lui avait offert son cœur. Il lui avait fait croire qu'il l'aimait aussi. Et puis il s'était barré, l'avait jeté comme une des robes qu'elle ne pouvait pas remettre à deux soirées d'affilée. Et maintenant Amory Beurk la prenait pour une imbécile. Non, c'était décidé, elle n'allait pas se laisser faire comme ça. « Papa ? » Elle avait passé la tête par la porte du bureau de son père qui travaillait ce jour-là à la maison. Hermann Von Sachsenheim se trouvait assis derrière son bureau et semblait travailler. Entendant la voix de sa fille, le patriarche de la famille releva la tête et adressa un doux sourire à celle-ci. « Ma chérie, rentre donc. Que veux-tu ? » Lenore referma la porte derrière elle et sentit Olaf étendre leur lien pour aller s'allonger vers à côté de la chaise sur laquelle Lenore vint prendre place. Elle se rappelait qu'il n'y a pas si longtemps encore, elle faisait exprès d'entrer en douce dans le cabinet de son père pour venir s'asseoir dans son grand fauteuil. Elle n'arrivait pas à voir au-dessus du bureau à l'époque et son père la trouvait souvent endormie dans son fauteuil. Même si elle était bien trop grande pour ce genre de jeu, Lenore savait qu'elle avait toujours eu une place particulière dans l'amour de son père. Elle était sa fille unique, sa dernière fille maintenant. Son trésor. « Je ne veux pas épouser Amory. » Son père reposa sa plume et d'écouter entièrement la jeune fille. « Il ne me respecte pas. Il ne fait aucun effort pour que ça s'arrange alors que moi, j'essaie. Il m'humilie sans cesse. Je ne veux pas épouser un homme comme ça. » « Puceau, Lenore. Puceau Mohohoho. » souffla Olaf mais Lenore lui intima de se taire. Hermann le visage concerné se leva de son fauteuil et vint se placer devant son bureau avant de prendre la main de sa fille chérie. Lenore se leva alors. Elle voulait que son père arrange d'autres fiançailles. Elle épouserait n'importe qui même un vieux s'il le fallait, mais pas Amory. Hermann savait qu'elle n'avait jamais rechigné en face de lui de son devoir. Il savait aussi que si elle faisait la requête c'est qu'elle n'était pas heureuse et il voyait depuis quelques temps que ça n'était pas le cas. Ne sachant bien évidemment pas que Lenore avait eu une autre relation impliquant des sentiments, il mettait donc ça sur le compte qu'elle n'était pas heureuse avec Amory. « Ma Lenore, tu n'es vraiment pas heureuse avec lui ? » Le serait-elle seulement un jour avec quiconque ? « Non, papa. Et il ne me rendra pas heureuse. C'est pour ça que je veux annuler ces fiançailles. » Parce que dans le fond, elle voulait être aussi heureuse que ses parents l'étaient. Et Amory Beurk ne lui offrirait jamais ça. *** Elle ne peut s'en empêcher, elle joue avec son alliance. C'était un gros dimant qu'il lui avait offert et elle l'avouait : elle l'adorait ce gros diamant. Ca montrait qu'il s'en souciait d'elle. Pas comme Amory Beurk. Bon, elle ne pouvait pas le cacher, elle n'avait au début pas été très chaude pour épouser Marverick Nott. Il était vieux, plus vieux qu'elle-même s'il ne manquait pas de charisme. Il était traditionnel cependant, bourré de fric et capable de donner deux fois sa dote. Il était un ami de la famille donc une longue connaissance de ses parents. Il avait eu quelques déboires avec son ex-femme qui n'était pas une sang-pure mais enfin… Il n'en restait pas moins gentil, attentionné avec elle et toujours respectueux. Alors quand son père le lui avait dit elle avait fait un peu la moue, essayant de réprimer son air dégoûté à l'idée de partager le lit d'un vieux. Puis, elle s'était posée avec Olaf. S'il veut de toi c'est qu'il recherche juste un héritier vu que le sien a été renié et comme tu es jeune… … C'est dégueu… Je vais quand même pas… Mais elle s'était retenue de ne pas faire semblant de vomir et avait tenu la face devant son père. Celui-ci lu avait assuré que l'accord était correct pour elle et qu'il avait confiance en Marverick. De même, il lui avait assuré qu'elle avait la possibilité de revenir quand elle voulait en Allemagne et leur parler librement si quelque chose n'allait pas. Hermann avait tout fait pour convaincre sa fille, sa dernière et unique de fille, que ce contrat était un bon contrat et quand elle réfléchissait aux termes, elle se disait qu'avec un peu de chance elle pourrait toujours avoir des amants, profiter de la fortune des Nott, lui donner un héritier d'ici quelques années et prendre un peu sur elle, et puis d'ici cinq ans, il mourrait d'une crise cardiaque parce qu'il serait trop vieux. Alors, elle avait tenté de mettre de côté son dégoût et avait accepté la demande en mariage. Lenore Von Sachensheim devenait Lenore Nott. « Encore des impurs… mais ça pullule ici…» murmura Olaf, se retenant de cracher sur le garçon de 15 ans, Serdaigle qui avait décidé de rester dans son compartiment avec l'autre gamine de 13 ans. Lenore Nott, sa bague au doigt de mariage au doigt, avait relevé la tête de son livre intitulé " Les meilleures méthodes de tortures selon Augustus Doigtsdefer ". « Euh dégage. T'as rien à faire là. C'est mon compartiment le morveux. » Le gamin la regarda de haut et lui répondit un peu agressivement : « Il n'y a pas écrit ton nom ici et tous les autres wagons sont pleins. » « Dis, dis, dis, je peux lui cracher dessus Lenouuu Mohohohoh » demanda Olaf en trémignant d'impatience et en faisant un drôle de bruit à côté d'elle. « Ouais, vas-y. Et arrose les autres aussi jusqu'à ce qu'ils partent. » Et elle reposa son regard sur son livre, sa bague de mariage trônant toujours sur son doigt délicat. « MAIS PUTAIN ! » « Mohohohohohohoh » ricana Olaf qui n'arrêtait pas de cracher sur le Serdaigle et l'autre gamine. La blonde qui pensait pourtant être tranquille vit alors son livre voler à travers le compartiment et le gamin de 15 ans qui faisait deux têtes de plus qu'elle s'approchait d'elle, furieux. « T'es qu'une sale pétasse, Von Sachsenheim ! » Lenore, outrée, se leva à son tour avant de hurler : « Mais tu vas dégager oui ?! On veut pas de toi ici toi et ta sang-de-bourbe ! Rends-moi mon livre ! Bordel mais elle est où Delliha ! Hey les préfets ! » Elle souffla, mécontente avant de se rendre compte que le train s'était arrêté depuis un moment déjà. N'ayant pas réalisé ce détail avant que ce sombre crétin vint l'interrompre dans sa lecture, elle vit alors la porte du compartiment s'ouvrir et un homme avec le sigle du gouvernement cousu sur sa poitrine entra à son tour. Lenore, redevenant douce et aimable, déclara : « Monsieur, cet imbécile me menace ! » Le gamin de 15 ans se déplaça alors et s'apprêta à répondre quelque chose. « Vos marques, s'il-vous plait. » répondit froidement l'homme. Un silence de plomb s'abattit dans le compartiment et Lenore resta un instant sans comprendre jusqu'à ce que l'homme se penche vers elle pour voir sa marque. « Si vous cherchez la sang-de-bourbe, c'est elle. » décréta-t-elle alors qu'elle entendait le rire d'Olaf dans sa tête. « Dehors. » ordonna l'homme à la fillette qui s'était recroquevillée sur sa banquette. Lenore récupéra son livre et entendit le gamin, ce stupide gamin, s'exclamer outrer alors que la gamine prenait ses affaires : « Vous n'avez pas le droit de faire ça ! Elle a le droit comme tout le monde à… » Mais il ne termina jamais sa phrase et ce fut son corps qui fut projeté contre la vitre du compartiment avant de tomber lourdement par terre. La fillette se mit à pleurer et fut saisit par le bras pour la virer du compartiment. Lenore, un instant pantoise, finit par lever les yeux au ciel comme-si ça ne l'atteignait pas le moins du monde et se satisfaisant du départ de cette sang-de-bourbe avant de s'asseoir de nouveau et de rouvrir son livre. Avant que l'homme ne disparaisse, elle finit par l'interpeler, le plus sérieusement du monde : « Est-ce que vous pourriez le virer celui-là aussi ? Sinon, je hurle. »
Dernière édition par Lenore I. Nott le Jeu 1 Mar - 12:57, édité 1 fois |
| Gayle Grayson membre - high above, the greatest wonder Répartition : 23/02/2018 Hiboux Envoyés : 92
| Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Gayle Grayson, Ven 23 Fév - 22:16 ( #) | +2, je compte pas trop m'étendre mais sait-on jamais |
| | Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Invité, Ven 23 Fév - 22:22 ( #) | héhéhéhéhéhé coucou T'es belle mais je t'aime pas t'es vilaine Liens |
| | Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Invité, Ven 23 Fév - 22:34 ( #) | toujours aussi bonne |
| Alekseev Gaunt admin - high above, the greatest wonder Répartition : 27/08/2017 Hiboux Envoyés : 480
| Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Alekseev Gaunt, Ven 23 Fév - 23:45 ( #) | ce quoi ce commentaire dans ta fiche je casse les dents à qui moi T'es belle, la sang-mêlée bon courage pour ta fiche |
| Demetria Argyris admin - high above, the greatest wonder Répartition : 19/08/2014 Hiboux Envoyés : 1509
| Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Demetria Argyris, Sam 24 Fév - 0:26 ( #) | j'envoie aussi un MP du coup? BITCH IS BACK on va rire jotem |
| | Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Invité, Sam 24 Fév - 1:15 ( #) | |
| | Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Invité, Sam 24 Fév - 1:34 ( #) | je suis shook elle est de retour bon courage pour la fiche |
| | Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Invité, Sam 24 Fév - 3:47 ( #) | |
| O. Jill Peverell membre - i don't want just a memory Répartition : 11/04/2015 Hiboux Envoyés : 11656
| Re: Bubblegum Bitch (lenore)par O. Jill Peverell, Sam 24 Fév - 10:02 ( #) | |
| | Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Invité, Sam 24 Fév - 10:54 ( #) | Rebienvenue ici Courage pour ta fiche |
| Nam So Hyun admin - the universe is full of intentions Répartition : 19/01/2014 Hiboux Envoyés : 1391
| Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Nam So Hyun, Sam 24 Fév - 14:38 ( #) | lenore il y a un an ou plus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]lenore maintenant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]#olaflelama REBIENVENUE T'ES TROP BELLE (personne n'est surpris sur ça ) JE SUIS TROP CONTENTE QUE LENORE SOIT LÀ LIEENNNNNNNNSSSSSS ma tata |
| | Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Invité, Sam 24 Fév - 14:42 ( #) | YAS Lenore Rebienvenue Bonne chance pour ta fiche |
| Reine C. Delacroix admin - i don't want just a memory Répartition : 31/03/2017 Hiboux Envoyés : 1203
| Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Reine C. Delacroix, Sam 24 Fév - 15:52 ( #) | |
| | Re: Bubblegum Bitch (lenore)par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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