BELLUM PATRONUM
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Version 34
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équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Owen Ziggler — It's sad to be an eye. | | Charlie de Breteuil admin - their tense grace made tender Répartition : 22/02/2017 Hiboux Envoyés : 1500
| Re: Owen Ziggler — It's sad to be an eye.par Charlie de Breteuil, Ven 14 Sep - 14:32 ( #) | Bien sûr, pas de problèmes pour le 19 septembre Si tu as des questions, n'hésite pas à me contacter |
| | Re: Owen Ziggler — It's sad to be an eye.par Invité, Jeu 20 Sep - 0:58 ( #) | Encore merci de m'avoir accordé un délai. Logiquement c'est tout bon ! |
| Delliha McLeod admin - shame to die with one bullet left Répartition : 06/12/2015 Hiboux Envoyés : 3371
| Re: Owen Ziggler — It's sad to be an eye.par Delliha McLeod, Jeu 20 Sep - 12:42 ( #) | Bonjour Owen Avant toute chose, je te demanderai de ne pas modifier la mise en page des modèles mis à disposition par le forum à l'avenir, par respect pour les personnes qui les ont créé (cela leur appartient) et leur temps investi ; pour préserver la cohérence graphique du forum ; et nous faciliter le travail lorsqu'il y a des MAJ de design. De ce fait, je me suis permise de retirer tes modifications de ta fiche Ta fiche est vraiment très agréable à lire tu t'es adapté et approprié le contexte du forum avec une facilité déconcertante et absolument plaisante c'est motivant, et voir tout ceci au travers de son oeil de journalisme est d'autant plus intéressant ! J'espère que tu sauras t'éclater avec tout ça sur le forum Petite précision (concernant les réponses aux questions, quand bien même dans ton historie cela semble être compris) : l'attaque du Poudlard Express, quand bien même oeuvré par les Mangemorts, ne l'a pas été revendiquée. Les seules personnes qui auraient pu potentiellement les voir, sont morts. Ils n'ont pas laissé la marque magique des ténèbres après leur passage, et il n'y a rien eu à ce propos. Donc effectivement, il n'y a pas de "responsable" vers qui se tourner. Ensuite, je suis désolée de te demander de rallonger ta fiche mais.... il faudrait faire davantage mention de ton don d'animagus expliciter un peu plus son apprentissage, l'influence du don sur lui, comment il en use, etc... afin de confirmer et terminer le processus d'acquisition du don L'objectif est que tu te l'appropries davantage, et aussi de voir que les propriétés du don sont bien "comprises" ! (tu peux d'ailleurs me citer les passages si jamais à la suite de mon message, lorsque tu les auras ajoutés, pour aller plus vite, si jamais tu choisis de les disséminer un peu partout dans ta rédaction). Voilà c'est tout Bon courage |
| | Re: Owen Ziggler — It's sad to be an eye.par Invité, Ven 21 Sep - 0:23 ( #) | Bonsoir Delliha, et merci beaucoup pour ce retour. Je tiens à m’excuser si ma retouche du modèle de la fiche a mal été perçu, je trouve juste les blocs trop petits en hauteur pour une lecture agréable, mais je ne pensais pas à mal. Désolée sur ce point. Je retouche ce que tu m’indiques. Pour le don d’animagus, c’est vrai que j’avais déjà pas mal pris le temps de détailler dans ma « candidature » au don, mais j’ai oublié de redispatcher tout ça plus en profondeur dans l’histoire, je fais ça de ce pas. - Voici donc les différents éléments rajoutés, à ce sujet.:
- Été 1962, découverte de l’animagie.
Parcourir avec curiosité les imprimeries magiques de Walter Borchardt, ce n’est qu’un jeu, à cette époque, une occasion de découvrir les impressionnantes rotatives magiques et la façon dont les journaux et autres livres prennent forme et prennent vie. Pour le jeune garçon de 12 ans qu’il est alors, c’est véritablement fascinant. L’imprimerie n’étant pas bien loin du logement familial, et l’homme étant un grand ami de son père, il n’est pas rare qu’il s’y aventure. Il a pris l’habitude, rien qu’une heure parfois, de simplement observer le processus avec une application des plus déconcertantes, et quand il le peut, il récupère quelques jets ratés qui devraient finir à la poubelle. Souvent, ce sont des rush du quotidien local, Les Runes de Swansea. Parfois, des livres de toute sorte. Quand ça ne l’intéresse pas – les romans à l’eau de rose, en général – il les donne à sa sœur qui s’empresse de lire, pour voir. Lui, il aime quand c’est le journal, mais il est aussi curieux quand ça traite de thématiques magiques. Ainsi il a gardé de multiples épreuves sur des thèmes bien différents. Parmi eux, des extraits d’une œuvre traitant de la métamorphose physique sous toutes ses formes. C’est là, pour la première fois, qu’il entend parler de l’animagie. Ou du moins, qu’il lit ce mot. Ça ne lui paraît pas bien clair, et il n’en récupère que quelques pages éparses, pas suffisamment pour bien en saisir le contenu. Alors, une fois rentrée, il montre les pages en question à sa sœur, et il lui demande. « C’est quoi un animagus ? » Aliah est étonnée d’entendre ce terme dans la bouche de son jeune frère, ce n’est pas au programme des deuxièmes années, mais elle s’empresse de dire ce qu’elle sait. Il faut dire que le fait de se transformer en un animal, par le simple pouvoir de la pensée, c’est quelque chose d’impressionnant que les élèves de Poudlard imaginent souvent sans même penser pouvoir y parvenir, ni même s’y essayer. Owen, il aime expérimenter. Mais il est bien trop jeune et pas assez expert en sortilèges pour y songer. Ça lui reste quand même dans un coin de l’esprit, comme bien d’autres choses.
(...)
- 1967 – 1976.
S’il brille par sa plume et sa manière d’assimiler un grand nombre d’informations, il n’est pas non plus le meilleur des élèves et est parfois à la traîne, particulièrement dans des matières la botanique ou l’étude des créatures magiques. A l’inverse, il se débrouille plutôt bien en Défense contre les forces du Mal, ayant – à croire son professeur – un sacré talent pour les sorts de bouclier, il n’est pas le duelliste le plus aguerri pour autant. Seulement, il travaille. Surtout en cours de métamorphose, il travaille beaucoup. Quand il ne réussit pas un sort, il le refait, le refait et le refait encore. Parce que cette animagie, qu’il a découvert tôt, il n’en a rien oublié. Il se doute que c’est en améliorant ses compétences en métamorphose qu’un jour, peut-être, il pourra tenter. Dans les rayons de la bibliothèque de Poudlard, il a lu tout ce qu’il y avait à lire à ce sujet. Il sait que la difficulté réside aussi dans la capacité à trouver les bons ingrédients et surtout à respecter le timing. Rien qu’une tentative, « pour voir », semble nécessiter une organisation folle. Un jour, il essaiera. Il le sait.
(...)
- Novembre 1977 – Janvier 1978, la première tentative.
Au Chaudron d’Aberystwyth, il s’entend particulièrement bien avec Colin Sanders, qui s’occupe de la rubrique sport du journal. A eux deux, ils ratissent tous les bars de la ville et se lancent des défis absurdes à longueur de journée. Si les souvenirs d’Owen sont flous, c’est sans doute qu’il était alcoolisé, ce soir-là. Pourtant, une chose est certaine : c’est lui qui a mis au défi Colin de s’essayer au rituel d’animagie. Il se souvient encore de la tête de son compère quand il a sorti ça, comme ça. Après, une fois en meilleure possession de ses moyens, il a quand même expliqué qu’il s’agissait là d’une forme de magie qui le fascine depuis longtemps, et qu’il veut tenter. Rien qu’une fois, au moins. Il a ressorti l’un des livres qu’il avait acquis depuis et qui parlait clairement de la préparation, des risques qui allaient de paire et de l’image – très contrastée – que les animagus avaient auprès de la population. Pour Owen, cependant, c’était là une envie toute personnelle. Pas la volonté de briller en société, juste un challenge de lui à lui, et il se demandait si lui-même serait capable d'une telle prouesse. Lui il ne voyait en cela un atout, une opportunité, un défi.
Avec Colin, ils parviennent à rassembler tout ce qu’il faut : les feuilles de mandragore, les fioles en cristal, un cheveu de chacun, des gouttes de rosée recueillie en un lieu qui n’a été ni exposé au soleil ni foulé par l’homme pendant sept jours entier et – plus compliqué encore, et qui a nécessité de s’aventurer dans des boutiques particulièrement obscures – de la chrysalide d’un Sphinx tête-de-mort. Et si tout cela n’était pas compliqué, d’autant plus en ayant un rythme de vie pour le moins aléatoire, guetter l’orage est devenu quelque chose de… dingue. Autant la pluie, oui. C’est chose fréquente au Pays de Galles, autant l’orage… on ne sait jamais vraiment, hein. Owen scrutait le moindre signe de pluie, de nuages sombres, de ciel qui se couvre. Il ne s’est jamais autant intéressé au temps qu’il fait qu’en cette période (puis à bien d’autres reprises ensuite, hélas). Mais il a échoué, et Colin tout autant. Parce qu’il s’est précipité, il est certain que c’est ça. Il n’a pas suffisamment protégée la fiole de cristal, pour lui, ça ne pouvait venir que de ça. Une frustration pendant plusieurs jours, avant de se convaincre qu’il recommencerait. Qu’il pouvait y arriver, et qu’il se devait de dépasser cette étape.
- Avril 1978 – Décembre 1978, la valse des échecs.
Impossible pour Owen d’abandonner. Maintenant qu’il avait cette idée en tête, maintenant qu’il était convaincu qu’il saurait aller plus loin dans les étapes du rituel, il ne pouvait pas abandonner. Alors il a recommencé. En avril, il a su motiver Colin pour une deuxième tentative. Retrouver les ingrédients était plus simple, ils savaient où chercher, désormais. Mais cette fois-là, Owen a manqué une incantation. Alors qu’il en devenait fou, alors qu’il rêvait en se répétant « Amato Animo Animato Animagus », seulement, suite à un bouclage compliqué, il s’est endormi tête la première sur son bureau, et il a… oublié. La fiole a fini détruite sous un excès d’humeur, balancée contre un mur. Puis il est parti d’Aberystwyth pour rejoindre Londres et la Gazette des Sorciers. Colin, lui, n’avait pas mieux réussi, et même si le sportif lui avait assuré qu’il continuerait à essayer, Owen était moins convaincu par la motivation de ce dernier, sans sa présence à ses côtés.
En juillet il retentait déjà, et en août aussi, période propice aux orages. Bien qu’il allait à chaque fois un peu plus loin dans le processus, il n’allait jamais jusqu’au bout, et cela le frustrait toujours plus.
- Février 1979, du progrès.
Il devenait physiquement impossible, pour lui, de lâcher l’affaire. Lena, qui ne pouvait qu’être au courant de cette passion de plus en plus grandissante pour l’animagie s’en inquiétait quelque peu. Le voir ainsi concentré, sa feuille de mandragore dans la bouche pendant un mois, à faire appel à tous les « capteurs d’orage » que la magie peut inventer, à lui faire promettre de ne jamais ô grand jamais toucher la fiole en cristal… c’était pas toujours évident au quotidien, mais il y avait dans cette détermination fantasque quelque chose de touchant, d’une certaine manière. De fascinant, aussi, qui faisait qu’elle l’acceptait et lui demandait parfois, à l’inverse, d’accepter certaines de ses folies à elle, en retour. Lors de cette tentative, pour la première fois, la fiole devint rouge sang. Mais quand Owen alla s’isoler pour la boire… il ne se passa rien. Tant pis, il y avait du mieux.
Par la suite, avec le mariage, avec la vie, aussi, il ne put trouver le temps de retenter… mais il n’abandonnerait pas.
(...)
- Décembre 1981 – Juillet 1982.
La préparation et le rituel, il les connaissait par cœur, depuis tout jeune ado, il s’était fasciné pour cette forme de magie. Il s’était beaucoup documenté et avait toujours son bouquin qui relatait chacune des étapes. Les pages étaient cornées, il avait gribouillé des annotations au fil de ses tentatives, et le chérissait plus que tout. C’est peut-être parce qu’il était retombé sur le livre en question, qu’il décida de retenter. Retrouver les ingrédients, une fiole adéquate et faire preuve de discipline et de patience. Voilà le maître mot. Lors d’un orange tant attendu la fiole devint rouge, une nouvelle fois, mais quand il fallut la boire… rien. Toujours rien. Cette fois-ci, plutôt que de s’énerver, il prit la chose avec philosophie. Si ce n’était pas bon cette fois, peut-être que ça le sera à la prochaine, ou celle d’après, ou celle d’encore après. Il avait une vie de pleine lune et d’orage devant lui, pour essayer.
Et effectivement, fin juin 1982, il se prépara encore, avec une application presque monacale. La mandragore, la pleine lune, la fiole, la rosée et la chrysalide. Et surtout, surtout, l’incantation. « Amato Animo Animato Animagus, Amato Animo Animato Animagus, Amato Animo Animato Animagus ». Mi-juillet, l’orage béni, il en était venu à attendre le moindre éclair comme une bénédiction. Il avait beaucoup échoué, mais il se donnait toujours plus d’occasion et de droiture d’esprit pour avancer dans le rituel. Et cette fois-ci… non pas comme un Phénix qui renaît de ses cendres mais un petit merle qui prend son premier envol… il a réussi. A ce moment-là, il lui fallait une réussite dans sa vie, pour se reprendre en main. Pour lui, ça a été ça : réussir à se métamorphoser en un merle. Ce défi fou qu’il avait su mener à bout était à l’image même de sa ténacité. La première métamorphose. La douleur, son cœur qui lui donnait l’impression de vouloir sortir de son être. La peur aussi, en sentant ses habits faire corps et se transformer, peu à peu en… des ailes ? Sombres, épaisses. Son corps devenir petit, si petit. Sa vue, perçante. Une fois transformé, une nouvelle appréhension ensuite : bouger. Il était un merle (qui l’aurait cru ?), mais un merle qui ne sait voler, à quoi sert-il ? La deuxième épreuve a donc été de se lancer, essayer, à l’instinct, de voler. Lui, un homme qui vole. Ce talent, il lui a fallu du temps pour l’appréhender et se sentir à l’aise dans ses mouvements. Car il ne l’a appris que plus tard, les animagi oiseaux sont rares. Pour Owen, cette particularité qu'il n'évoque qu'à mi-mots lorsque la situation l'y oblige est devenue une force et une aide essentielle dans la grande mission de sa vie : celle d’ouvrir les yeux des autres. Pouvoir se fondre dans la nuit et voir les choses d’en haut, quoi de mieux pour quelqu’un en quête d’informations et qui a la volonté d’utiliser sa plume pour éclairer les consciences.
Ce pouvoir, il l’a gardé pour lui quelques temps, avant de discrètement s’enregistrer auprès du Ministère de la Magie. C’est devenu un échappatoire autant qu’un atout. Et ça lui a fait du bien. S’il est fier de cette capacité, il ne s’en vante pas le moins du monde. Même s’il est un animagus déclaré, il préfère que peu de personnes soient au courant et ne l’évoque quasi jamais.
Pour autant… il adore cette forme de petit merle noir, passe partout et qui n’attire quasiment jamais les regards. Ce n’est qu’un merle, après tout ! Qui suspecterait qu’à travers ce petit volatile se cache un observateur appliqué et silencieux. Cette forme lui est utile dans les possibilités qu’elle offre au journaliste qu’il est, mais également pour s’évader, dans le sens figuré du terme. Au début, il avait peur. Peur de ne pas savoir reprendre son corps humain. Une réaction normale chez un animagus qui prend sa forme animale pour la première fois, mais cette peur l’habite encore, parfois. Peur de voler aussi. Car ce n’est pas chose naturelle, s’élancer, battre des ailes, voir le monde d’en haut… et pourtant, il s’y est fait. C’est presque comme une drogue, parfois, une douce euphorie et l’idée de mettre tout le reste de côté. Des fois, à l’inverse, il se dit qu’il ne serait pas contre une vie de merle !
Enfin… presque. Il ne compte pas les personnes l’ayant chassé d’un rebord de fenêtre sur lequel il se tenait ou les chats, chiens, et autres animaux hostiles ayant voulu l’attraper ! Plus d’une fois, trop concentré à regarder devant lui, il a failli se faire déchiqueter par une patte pleine de griffes manquant de s’abattre par derrière. Il en a même perdu quelques plumes !
(...)
- 1982.
Au fil des mois, il en vient à entretenir presque un rythme de vie réglé comme du papier à musique, entre ses journées à la Gazette et sur le terrain, ses soirs et ses nuits à écrire pour le Daily Protest et/ou à observer sous sa forme de merle. Il y a dans ce pouvoir d’animagus une porte de sortie qui lui plaît énormément. Voler, c’est réellement devenue une addiction, autant que le fait de se faufiler un peu partout pour observer et écouter ce qui peut se passer, sur les rebords de fenêtre. Personne ne fait attention à un petit oiseau noir aussi banal. C’est d’ailleurs à force d’utiliser son pouvoir qu’il est parvenu, à cette période, à de métamorphoser sans baguette, signe d’une acceptation complète de cette seconde nature en lui. Actuellement cantonné à la rubrique des faits de société pour la Gazette, cela lui permet parfois d’illustrer certains de ses articles ou de faire des questions ouvertes pour noyer le poisson, là où il a déjà la réponse. Il parvient aussi à avoir des éclairages nouveaux par ce biais, et trouve parfois les personnes les plus adéquates pour des témoignages pertinents. S’il était maladroit au début, il a maintenant pris l’habitude de relater ce qu’il a pu voir en tant que merle de la manière la plus neutre possible, noyée dans d’autres suppositions ou questionnements, sans appuyer lourdement dessus. Avec parfois un mot ou deux permettant de mettre ces données quelques peu en lumière. A de rares occasions, il va parler de « source anonyme », si le contenu est réellement important, mais il a conscience qu’il ne peut pas user de ce stratagème bien trop souvent, au risque d’être repéré dans ces agissements.
(...)
- 1984.
Il continue bien évidemment ses sorties sous sa forme de merle, car il ne peut plus vivre sans ça. Désormais, il lui arrive encore d’utiliser cette forme pour glaner quelques informations et plus particulièrement les petites phrases susceptibles de s’échapper lors de certains rassemblements officiels à l’extérieur auxquels il ne serait pas convié en tant que journaliste. C’est très rare et risqué… mais ça lui arrive de jouer avec le feu. Il reste de toute manière limité à des zones à l’extérieur et sait qu’il doit faire en sorte que la présence d’un merle n’ait rien d’anormal.
Il a toujours des moments où cette forme de volatile lui permet d’oublier tout le reste. Car oui, il ne se métamorphose pas uniquement avec un « but », de plus en plus, il vole pour voler et se laisser griser par le vent dans les plumes et la hauteur qu’il peut prendre sur le reste de la vie, de sa vie en particulier.
En espérant que cela convienne ! N'hésitez pas à m'indiquer si je dois modifier autre chose. |
| Le Choixpeau Magique pnj - we are all subjects to the fates Répartition : 19/01/2013 Hiboux Envoyés : 2104
| Re: Owen Ziggler — It's sad to be an eye.par Le Choixpeau Magique, Dim 23 Sep - 14:20 ( #) | bienvenue owen Happiness can be found even in the darkest of times C'est un honneur pour nous d'accueillir un joueur avec une telle plume et investissement quant à la création de sa fiche ! Nous t'espérons un bon jeu, de plaisir et d'amusement au sein de Bellum Patronum Te voilà prêt à jouer sur le forum mais pense à bien lire le message qui suit, assez important pour ton intégration. Ci-dessous te sont listés les liens importants pour t'aider à te retrouver sur le forum mais s'il te manque quoi que ce soit, n'hésites pas à envoyer un mp à un admin ou à rejoindre ton flood d'intégration (tout est expliqué dans [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]). Du côté des registres, n’oublie pas d’aller faire recenser toutes tes informations dans le sujet [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Et pour finir avec les demandes, toute demande d'adhésion à l'Ordre du Phoenix et les Mangemorts se fait [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] afin que nous puissions réguler les membres y appartenant. Du côté du jeu et hors jeu, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaites. Pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Sache également que pour pimenter tes rps, tu as [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], ainsi que des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] proposés chaque semaine. Pour finir, voter toutes les deux heures pour le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] te rapportera des points. Enfin, sache que tu peux avoir toutes les informations sur l'intrigue en cours [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], dans le sujet récapitulatif de la dernière maintenance. |
| | Re: Owen Ziggler — It's sad to be an eye.par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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