BELLUM PATRONUM


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night is dark and full of terros.
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par Invité, Ven 17 Mai - 21:58 (#)
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Lewis Roman McLeod


FEAT. kevin flamme




21 ans ϟ Étudiant brillant en médicomagie ϟ Bastarelle commune et geai bleu ϟ Sang Pur

Grand, brun, élancé, un McLeod. Ces enfants sont nés avec le charisme inné. Lewis n'a pas dérogé à la règle. Des cheveux noirs comme l'ébène. Du moins, c'est ce que pensent les passants car personne ne s'arrête jamais pour regarder Lewis. Mais si l'on se rapproche un peu, on peut remarquer qu'ils ne sont pas noirs, mais châtain très foncé, comme la coquille d'une noix. Ils sont sombres aux racines et éclaircissent aux pointes. Sa chevelure est constamment coiffée à la perfection. Cet effet de « je sors du lit » demande en réalité plus d'une heure au sorcier chaque matin, mais c'est impératif pour lui. Il n'applique absolument aucune crème, ou autres lotions qu'il juge totalement superflues. Lewis n'a jamais eu les cheveux plus longs ou plus courts qu'il les a actuellement, c'est pour lui quelque chose, un juste milieu. Un homme se doit d'avoir les cheveux courts. Rien n'énervera McLeod plus que vous lui passiez la main dans les cheveux, il ne supporte pas ça, c'est comme rentrer dans une dimension intime avec lui. Alors un petit conseil, ne le faites pas à moins que vous soyez terriblement en manque de coup de chaussures parfaitement cirées hors de prix là où nous pensons. D'ailleurs, il ne les touche jamais, Lewis ne souffre pas de cette habitude qu'on beaucoup d'individus de tripoter les cheveux lorsqu'ils sont sujets à de fortes émotions. Ses mèches tombent légèrement sur un front blanc, lisse et brillant. Il ne lui arrive jamais de se blesser ou d'avoir de petites imperfections tout d'abord parce que Lewis ne joue pas au Quidditch, les risques qu'il reçoive un cognard sont ainsi très faibles. Lorsqu'il est contrarié, de petites ridules se forment sur son front, lui donnant un air grave et solennel. Les sourcils de Lewis jouent énormément dans ses expressions faciales. Légèrement plus clairs que ses cheveux et tout aussi bien peignés, ils sont assez épais, recouvrants ainsi une partie de ses paupières. Ce sont eux qui font la différence entre une expression de dégout, de haine ou de mépris. Lewis a cette manière tout à fait horripilante d'arquer un sourcil lorsqu'il vous trouve pathétique, et de vous remettre à votre place. Deux quand ce qu'il entend est si idiot qu'il en est étonné. Cependant, la plupart du temps, ils restent froncés, Lewis s'avérant être un éternel insatisfait. Il possède de long cils noirs, ceux que toutes les femmes envient, ceux-ci formant un voile sur son regard brumeux. La teint de sa peau est très pâle, une tendance génétique et non une aversion du soleil. Ses paumettes ne rougissent jamais, même par un matin de décembre, elle resteront impeccablement neutres. Pour faire rougir Lewis, il faut avoir de l'entrainement et de la patience. A moins qu'il entre dans une colère haineuse ou que quelqu'un touche au sujet qui dérange, il restera de marbre. Et d'un marbre onéreux. Un nez fin et droit est au ventre de son visage, Lewis écarte légèrement les narines lorsqu'il est énervé et ça a le don de faire rire son frère, Lysander, qui le trouve assez ridicule comme ça. Chose étrange, les lèvres de Lewis sont incroyablement rosées et épaisses. Il lui arrive de les mordiller légèrement mais elles n'en resteront pas marquées. Elles sont brillantes et parfumées, on aurait dit que deux pétales de fleur comme une rose auraient été déposées sur son visage. Le plus souvent, elles restent cousues et il arrive très régulièrement qu'elles se fendent en un petit rictus moqueur. Lewis ne mâche pas ses mots – dans les deux sens du terme – il articule énormément, voir exagérément. Lorsqu'il parle – si lentement qu'il en endormirait une mandragore – sa langue passe sur ses dents d'un blanc étincelant et sa voix est tellement grave qu'elle vous en donnerait le tournis. Sa dentition est en parfait état, il peut accéder à tous les soins possibles pour la converser. Lewis possède trente deux dents toutes à la même hauteur, alignées sans défauts et d'un émail irréprochable. L'hygiène dentaire est primordiale. D'ailleurs, même si ses lèvres peuvent paraitre appétissantes, ses dents carnassières et aiguisées dissuaderont qui que ce soit de s'y risquer. Mais en soit ce visage serait plutôt banal voir inintéressant si il n'y avait pas ce détail ; ses yeux. Les yeux de Lewis sont très spéciaux. A moins de s'approcher si près que l'on pourrait sentir sa respiration, on jugerait que Lewis n'a pas de pupille. Ses iris sont aussi noir que le charbons. Un seul regard mauvais dans votre direction et il vous tuerait sur place. Ce regard est à la foi étrange, fascinant et effrayant. Connaissez vous la triste légende antique de Méduse et ses yeux ? On aurait pu jurer que le mythe s’appliquait au jeune McLeod. Ou encore, on pourrait comparer le charme du regard de Lewis à l'effet qu'un détraqueur peu produire. Il vous absorbe, vous terrifie. Les battements de votre coeur se font plus de plus rapides, le sang bouillonne dans vos tempes, serrez les poids, ouvrez la bouche. Lorsque vous vous serez éloignés, vous vous en souviendrez. De ces deux yeux qui vous fixaient. Ils sont extrêmement expressifs et ont même tendance à s'humidifier très souvent. Non, Lewis ne pleure pas, c'n'est pas une fille, voyons. Mais ils sont si sensibles à la lumière du soleil que rester plus plus de deux heures dehors par un temps chaud et lumineux relèvent du calvaire pour le jeune homme. Il passe son temps à les cacher de ses mains. De ses longs doigts fin et élégants. Des doigts de pianiste blancs, des ongles impeccablement propres. Les mains de Lewis ont la particularité d'être étonnement froides. La carrure de ce garçon n'est en rien impressionnante, même s'il est assez grand pour la moyenne, 1m88. Lewis n'est pas un homme musclé, disons qu'il ne cherche pas à l'être, il se considère très bien (voir même un peu trop) comme il est. Et de toutes façons, comme il le dit, « on n'est jamais mieux servi que par soi même »

L'épouvantard de McLeod, aussi étonnant que cela puisse paraitre, est son père. Arthur McLeod. Non qu'il l'ait fait souffrir durant toute son enfance mais Lewis a une telle peur bleue de le décevoir qu'il s'en rend malade. Les plaques d’exéma qu'il a le long des bras pourront en témoigner. Lewis est capable de rester une nuit entière à travailler sur un devoir, un sortillège jusqu'à le maitriser à la perfection et ainsi être le meilleur de la famille. Parce que c'est ce qui lui importe, être le meilleur. Pour lui, famille ou non, la compétition est là, on doit défendre l'honneur de la famille quoi qu'il arrive. Les sentiments, compassion ou autre «amour» n'ont pas leur place. Alors imaginez si le patriarche McLeod apprenait ça ? Lewis n'en dort plus la nuit. Personne ne doit savoir, ce n'est même pas vrai. C'est la fatigue, il n'y a aucune chance pour que ce soit réellement ça. Le jeune McLeod est on ne peut plus fier de ses origines, être sang-pur est une obligation dans la vie s'il on veut réussir. Les sangs-mélés et nés-moldus ne devraient en aucun cas avoir accès aux postes et services importants de la société. Ce que ne supporte pas le jeune homme – qui lui fait donc hausser ses deux sourcils – c'est qu'un sang pur puisse ce mélanger avec un sang impur. Comment est-ce possible ? De même, un sang pur se doit d'être parfait sous tous les abords. C'est donc comme ça que s'explique le fait que son épouventard est son propre géniteur, le visage fermé, les sourcils froncé, les bras croisés, s’avançant doucement vers lui. L'air terriblement...déçu. Parce que oui, c'est la plus grande peur de McLeod, décevoir sa famille et briser l'honneur. Il ne vit que pour ça.


Lewis a ses secrets, il déteste que l'on s'approche trop de lui ou qu'on cherche à le connaitre. Oh non, ne croyiez pas que c'est parce qu'il a peur que quelqu'un se rendre compte qu'il n'est pas si méchant qu'il en a l'air. Non non, mais il vous répondra « Va te faire foutre » Si vous lui posez une question sur quelque chose qui ne concerne que lui. Lewis a un égo sur-dimensioné, mais ce n'est pas pour autant qu'il aime parler de lui. C'est même plutôt le contraire d'ailleurs. Lancer des piques aux autres, les juger, oui, faire de même pour lui, hors de question. Lewis n'a rien à se reprocher. Il est l'un des meilleurs élèves de son année, on ne plus compté ses occupation extra-scolaires, c'est primordial pour Lewis, il doit être le meilleur et on doit le mériter. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, Lewis aime travailler. Lire, apprendre encore et encore. Pour lui, quelqu'un qui n'est pas instruit, est quelqu'un d'idiot. C'est bien beau d'être issu d'une belle famille mais si on n'a rien dans le crane, c'est ridicule. On se demande même comment il fait pour trouver du temps pour sortir. Si McLeod sait se comporter en parfait fils à papa lors des diners mondains, il n'est pas rare de le retrouver dans les soirées les plus douteuses. Cependant, jamais vous ne le verrez dire un mot de trop, faire un geste de trop. Tout est réglé comme du papier à musique. Lewis a l'énorme qualité (ou défaut) d’anticiper tout avant tout le monde, il sait quand ouvrir sa bouche ou bien la fermer, même sous l'effet de l'alcool. On peut lui reprocher son côté «robot», mais il s'en fiche éperdument. Il est un McLeod. Personne n'a plus le sens de la famille que Lewis, il accepterait sans hésiter de se marier avec une femme dont il connait rien et qu'il considère totalement idiote, qu'il n'aimerait pas mais il accepterait. C'était ainsi, la mentalité McLeod. Cela ne l'étonne pas qu'ils soient dix enfants, encore moins que son frère ainé, Andres, en ait déjà quatre à l'âge de vingt-neuf ans. Il ferait sans doute de même. Malgré tout ce qu'il se passe dans la famille, personne ne lui fera abandonner sa famille, même s'il dit du mal d'eux, même s'il ignore délibérément sa soeur Violett et pourri Lysander, il ne quittera jamais sa famille pour quelqu'un d'autre. Lewis est très accroché aux valeurs. Le sang doit rester pur.

Les moldus. Lewis les déteste tout particulièrement et sans aucun doute, ils sont bien inférieurs aux sorciers. Il n'hésite pas à se montrer haineux envers eux, pas de petites allusions ou par des sorts malheureusement échappés de sa baguette. En réalité, McLeod les trouve si idiots qu'il en rit. Mais alors, que des enfants issus de moldus puissent se retrouve à étudier à Poudlard, à respirer le même air que lui, s'approcher de lui, ça le sidère. Jamais un sang-mêlé ne sera son ami, encore moins un né moldu. En ce qui les concernent, ils n'ont absolument pas leur place ici et il est certain qu'il fait de son mieux pour leur faire vivre un enfer. Ils peuvent être très gentils, Lewis n'en doute pas mais ils ne seront jamais de bons sorciers. Il trouve d'ailleurs ridicule ceux qui essaient de « militer » pour les droits des moldus et ceux qui revendiquent à tort et à travers qu'ils sont égaux aux sang pur. Non ils ne le sont pas, point à la ligne. Pourtant, Lewis ne peut pas se résoudre au fait que sa soeur, Violett, douze ans, soit une cracmol. Car, dans l'idée, une cracmol est une moldue, puisqu'elle n'a pas de pouvoirs magiques. Alors, Lewis devrait la mépriser comme tous les autres. Mais c'est sa soeur et il a véritablement été peiné d'apprendre qu'elle ne le rejoindrait jamais à Poudlard, il pensait réellement lui apprendre pleins de choses, mais non. Il ne lui parle plus, par orgueil, pas souffrance, mais dignité mais il donnerait cher pour que leur relation redevienne comme avant. Il commence à remettre son jugement en question par rapport à la réaction qu'il a eut envers sa petite soeur. Mais quand il y repense une deuxième fois, non, les cracmol sont une horreur de la nature. C'est triste mais c'est ainsi. Il ne se laisserait attendrir par personne, pas même sa petite soeur.

Au même titre que les homosexuels, encore une aberration. N'en parlez pas à Lewis, ou il se mettra dans une colère monstre. C'est homme/femme, il n'y a pas de mélanges possibles entre les gens du même sexe. Même pour « s'amuser » comme ils le disent. La famille est le fondement de la société et si l'homosexualité était banalisée comme ce qu'il est entrain de se passer, ce serait porte ouverte à toutes les autres formes de de déviances, sexuelles ou non. Clairement, Lewis est homophone et il ne cherche même pas à les comprendre. Parce que s'il essayait de les comprendre, ça remuerait trop de chose dans sa tête et y sèmerait le doute, alors il ne faut pas. Même pour « s'amuser » Lewis ne se laissera jamais dévier de la sorte par toutes leurs idées libérales qui sentent l'égalité à deux balles. Le monde avait été créé de la sorte et il était hors de question que cela change. Mais le plus important à savoir est que l'homophobie de Lewis ne vient pas que du fait que son père lui ait dit que c'était contre nature. Mais ça vient aussi d'un malaise au plus profond de lui. Parfois, il lui arrivait de regarder des hommes et pas de la façon dont il le devrait et à chaque fois, il s'inflige les pires punitions. le plus souvent, il apprend des bouquins par coeur jusqu'à ne plus penser au garçon qu'il a regardé. Pour Lewis, s'il était homosexuel, cela ruinerait son existence entière et il ne pouvait pas se permettre de décevoir sa famille de la sorte. Que penserait Arthur McLeod si il savait son septième fils était attiré par les garçons ? Est-ce que ses frères le renieraient ? Comme ils l'avaient tous fait avec Violett. Si ça se trouve, Andrès, son frère ainé qu'il admire temps, ne lui adressera plus la parole. Peut-être même que ses neveux et nièces le mépriseront. Ca commence très tôt le mépris chez les McLeod. Avec l'égo qu'il a, cette orientation le blesserait au plus profond de lui. Il fait tout pour refouler ça sans avoir conscience mais il sait, dans un petit coin de sa tête que c'est trop tard. Mais ça, il ne veut pas l'accepter. Il a énormément de mal à accepté le choix de son frère et lui fait savoir. Malgré ses minuscules efforts, il avait du mal à rester dans la même salle que son frère. Au fond de lui, il avait une grande admiration pour son petit frère qui avait réussi à sauter le cap. Si il y avait un faible entre eux, c'était clair que ce n'est pas Lysander. Mais ça, jamais il ne lui avouerait. Également, personne et vraiment personne n'a jamais su que Lewis était confus par rapport à son orientation. « t'es d'jà couché avec un mec Lewis ? » « Ecoute moi petit idiot. Comprends bien ce que je vais te dire, mais je doute que tu en sois capable. Dis encore une chose comme ça, n'y fait plus jamais allusion, ne te risques même pas d'y penser ou je te jure que la prochaine fois je te jette du haut de la tour d'astronomie et t’écraseras tellement fort sur le sol que tu regretteras toute ta misérable petite existence. »

Cela dit, Lewis a tout de même plus de qualités que l'on ne veut bien le croire. Mais à part son patronus, personne ne le sait. Il faudrait souffle sur tout ce mystère pour arriver à les cerner. Qui se lance ?



a little something from you.



« N'est-il pas beau Lewis ? Jamais tu n'as vu un homme aussi magnifique que celui là, c'en est à couper le souffle. Mais regarde Lewis ! Regarde, je t'assure que tu manques quelque chose. Ses belles paumettes rosées, ses yeux bleus, tu vois, tu te noies dedans. Tu devrais aller le voir, il cherche son chemin. Peut-être qu'il ne parle pas anglais, tu devrais l'aider toi qui est si doué en langue. Je n'aide personne. Siffla le brun. Autant pour moi, tu n'aides personne. Cependant, tourne la tête un peu, regarde le marcher dans le froid, seul. Il n'est presque pas couvert. Imagine comme il doit être frigorifier, ses jambes doivent greloter, ses bras en trembler. Ses adorables lèvres...brûler. Comme les tiennes si je ne m'abuse ? Ses cils sont recouverts de flocons de neige, n'as-tu dont pas envie de les faire fondre avec d'ardents baisers ? Tout brûle en toi mon cher Lewis. Ne me dis pas que c'est cette autre idiote de blonde, la semaine dernière, dans les toilettes qui a calmé tes pulsions. Nous savons tous les deux que c'est faux. Ne parles pas de ce que tu ne connais pas. De ce que je ne connais pas ? N'est-ce donc pas de ces jolis cheveux bruns dont tu as envie ? Passer tes mains dedans, imagine comme ils doivent être parfumés. Peut-être qu'il n'est pas un sang pur, oh la lah. La belle réputation de McLeod serait gâchée. Quelle réputation Lewis ? Tu es le plus beau des enfoirés du château. Oh ! Il s'approche, le garçon, il vient à toi, tu n'as à peine à te déplacer. Quel beau sourire. Tu ne peux t'empêcher de sourire à ton tour. Que dit-il ? Tu ne sais, tu vois ses lèvres bouger au rythme des battements de ton coeur, jamais tu n'as éprouvé ça. Sa respiration est là, tu peux la sentir, chaude. Oh la, il est juste devant toi. Qu'allez vous faire ? ..... Ca y est. Ton coeur s'enflamme, ta peau te brûle, cette envie d'exploser, tu as envie de plus, de plus loin, de plus fort. Tu n'es jamais satisfait. Mais que ce passe t-il ? Tu ne contrôles plus ton corps, c'est ce garçon qui le fait ? Tu détestes ça. Ton perfectionniste te force à être le maitre de toutes situations. Mais, ce que tu fais n'est-il pas passable d'une lourde peine ? Ah oui, contre nature. Tout le monde le sait Lewis, tout le monde a pitié de toi. Ils veulent te renvoyer, te faire suivre des examens pour que ça parte, cette chose, cette maladie. C'est répugnant Lewis. Je ne comprends même pas comment tu as pu faire ça. » Le brun se tourne et se retourne dans son lit, cherchant de l'air. Son front est brillant de sueur, désespérément, il cherche un point d'appui pour sortir de cette situation. Il est foutu, il est foutu. Des cris s'échappent d'entre ses lèvres parfaites, à en réveiller tous ses frères. « Tu n'es rien Lewis. » Après un éclat de voix strident, le McLeod se réveilla. Son coeur battait la chamade et les idées se bousculaient dans sa tête à un tel point que ça lui procurait d'horribles maux. Et là, Lewis n'en crut pas ses yeux. Une minuscule boule de lumière sorti tout droit de sa poitrine, sa mâchoire se décrocha. Le jeune homme resta quelques instants interdit, après quelques minutes, il décida de s'approcher un peu plus de la source de lumière. Source de lumière qui devint de plus en plus clair, puis bleue, l'espace de quelques secondes, Lewis cru apercevoir un oiseau. Puis tâche d’assombri d'un seul coup. McLeod arqua un sourcil. Pas de doute, c'était une chauve souris. Après recherches, il s'agissait d'une barbastelle commune, une cousine de la chauve souris, celle-ci était noire. « Eh bien, t'en tires d'une tête mon bonhomme. » Ces deux là se sont bien trouvés. Ils se détestent. Peut-être car son patronus voit en lui plus qu'il ne le devrait. Lewis l'a appelé Othelo. Au début, il refusait de lui donner un nom mais cette espèce de boule de poils nocturne avait insisté. Sans vraiment savoir pourquoi, Othelo est venu. Othelo est le pire des patronus. Bien pire que son maitre. D'ailleurs, personne ne se risque à l'approcher, il fera déguerpir les inconscients qui le jugent « troooop adorable » car il ne faut pas se méprendre, ce n'est pas parce que Othelo est petit qu'il en est plus « gentil » d'ailleurs, ce mot les dégoutent tous les deux. Othelo est absolument insupportable, hargneux et aussi insolant que Lewis. A de très rares occasions – vraiment très rarement – Othelo prend une autre forme, celle d'un geai bleu. Encore Lewis déteste son patronus quand il est sous la forme d'une barbastelle, encore lorsqu'il devenait cet oiseau, il en perdait la tête. Cela donnait une image de lui qui ne lui correspondait pas, comme s'il avait un petit coeur tendre. Lewis n'a jamais comprit pourquoi Othelo devenait un oiseau parfois, enfin, il a peut-être une idée mais il reste très évasif là dessus. « Qu'est-ce que tu veux, sang de bourbe ? » Lewis ne pris pas la peine de relever la tête, il était entrain de boire du café dans le réfectoire, il travaillait, personne ne devait le permettre. Othelo pris la parole à sa place, le seul détail était que la fille devant lui ne pouvait pas l'entendre. « Eh oh, Lewis McLeod, c'est à toi que je parle » « Pourquoi ont-il toujours besoin de parler ? Je n'aime pas parler, tu n'aimes pas parler, alors qu'il nous laisse tranquille.»




Tell me who you really are.



ϟ pseudo et âge: verlaine, 16 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? PAR LYS ADORÉ ET LENNON CHERIE ** ϟ Personnage: Pv de la famille McLeod écrit par Lysander le killer 8) ϟ As-tu un autre compte sur BP? Niiiiion. ϟ Présence: euh, je dirais 4/7 ouip. et dans trois semaines, les vacances What a Face ϟ Une remarque? C'EST HEATHER CASTELANE LA BADASS BLONDASSE. c'pour ça que j'ai déjà 80 messages :jaeden: et aussi « Trouver un gif d'un animal trop bien trop cool, kiffer, le prendre en patronus, se croire original et se rendre compte qu'il a déjà été pris. deux fois. VDM. » kiss sur vous les amis, on va s'amuser Twisted





Dernière édition par Lewis McLeod le Lun 20 Mai - 21:12, édité 18 fois
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Ven 17 Mai - 22:01 (#)
This one moment when you know you're not a sad story.

17 août 1962, treize heures.
Spoiler:
    « Andrès, les triplés, Cassio, Léandre, Lewis, Matthew, venez voir votre frère. » Lewis McLeod referma machinalement la machoire sur la bouché de pomme de terre contenu dans sa fourchette. Son frère attendrait bien quelques minutes en plus. Il n'avait que trois ans mais il savait déjà comment se faire attendre, il était désormais le dernier à table. Tant pis, il ne mangerait pas son assiette si elle était froide. En mâchant, Lewis se demanda quelle tête allait avoir son frère, ce n'était pas son premier petit frère, il en avait déjà un autre, Léandre. Mais celui savait à peine marcher. Son grand frère, le plus grand, Andrès, s'avanca devant lui et le regarda, désespéré par l’attitude de son frère. « Lewis, on t'attend. » La mâchoire inférieure se refermant lourdement sur l'intérieure, Lewis leva très lentement les yeux vers son frère. Il inspira avant de passer une minuscule main l'épaule d'Andrès - qu'il n'arrivait peinait à toucher - Il pris le temps de bien finir ce qu'il était entrain de manger avant ouvrir la bouche. « Je n'ai pas fini ma patate. Andrèèèèèsse. » Malheureusement pour lui, une main l'agrippa par le bras et l'entraina jusqu'au salon, malgré ses protestations. Arthur McLeod, le père, avait toujours le dernier mot. Ils étaient maintenant tous là, les yeux grands ouverts devant le minuscule berceau. Lewis fut pris d'une envie irrépressible de bailler, il ouvrit la bouche en grand, lui attirant les foudres de son père. « Et il a un prénom je suppose ? » demanda Andrès. Ludvina arborait toujours ce sourire, resplendissant, malgré neuf grossesses, dont trois triplés. Lewis fit une petite moue, il aurait aimé une petite soeur cette fois ci. Que sa mère se retrouve moins seule entourée de tous ces hommes. Il se hissa sur la pointe des pieds, espérant appercevoir un main, un pied. « Lysander. » Lysander ? Ca c'était bizarre comme prénom. Les sourcils de Lewis se fronçaient, définitivement, il aurait préféré une petite soeur. McLeod pris le nourrisson dans ses bras et le montra à ses fils. Lewis fut tout de suite étonné par l'expression du visage du bébé. Ludvina tira sur le polo parfaitement repassé de son fils, lui souriant largement. « Alors, tu es content Lewis, d'avoir un autre petit frère ? » murmura t-elle de sa voix douce. Le petit hocha la tête, toujours focalisé sur l'enfant, est-ce qu'il lui ressemblerait ? Peut-être. Lewis espérait qu'ils s'entendraient bien.
Août 1968.
    « Matthew, qu'est-ce tu fais ? » Lewis se laissa tomber sur l'herbe du jardin. La nuit commençait à tomber mais le temps était encore agréable. Nous étions un soir d'été, dans la maison familiale des McLeod. Du moins, dans le jardin. Tout au fond du jardin, là où les herbes sont si hautes que l'on ne voit pas la tête des bambins quand ils y sont assis. Matthew, son frère âgé d'un an de plus que lui, donc de dix ans releva la tête, poussant la mèche qu'il avait devant les yeux sur son front. « J'ai attrapé un papillon » déclara Matthew. Lewis haussa les épaules, ce n'était pas la première fois qu'il ne comprenait pas son frère, mais cela l'amusait énormément. Le papillon était sublime, d'un bleu et ors éclatant. Jamais il n'en a vu de pareil. Ses grandes ailes devaient l'emmener là où il le souhait en un rien de temps. Lewis resta immobile devant l’inceste majestueux. « Et qu'est-ce que tu vas en faire ? » Un sourire malicieux s'étirra sur les lèvres de Matthew McLeod. Il tenait dans sa main droite un bocal en verre. D'un geste vif, il l'ouvrit. Lewis était fasciné par les gestes de son frère, prompts, rapides et directs. Il plissa les yeux, cherchant à savoir ce qu'il avait derrière la tête. « On va voir combien de temps il va tenir là dedans. » Avant de laisser son frère réagir, Matthew fit glisser l'animal dans le bocal et le referma rapidement. Lewis comprit. Il se rapprocha de son frère pour admirer le papillon en cage. Ses ailes s'étaient immédiatement refermées, Lewis entre-ouvrit la bouche pour laisser échapper un « waou » de surprise. Son frère était très fier de lui et regardait le bocal comme s'il étaient empli des joyaux les plus précieux. « Mais les papillons ne vivent qu'une journée en général, non ? C'est vraiment impressionnant. Tu crois qu'il lui reste combien de temps avant de crever ? » La fascination malsaine qu'éprouvait Lewis en voyant l'animal innocent souffrir et agonisant ne dérangeait en rien Matthew qui s’apprêtait à lui répondre mais la voix forte de leur père retendit dans tout le jardin. Réveillant Andrès qui s'était endormi dans l'herbe, un livre à la main, près d'eux. « CASSIO A RECU SA LETTRE ! » Waou. La lettre. Leur parent leur parlaient de ce parchemin depuis des années et des années. Lorsque Andrès l'avait reçu en premier, cela avait été incroyable. Andrès était le modèle de Lewis, depuis toujours. Il tardait à Lewis de la recevoir lui aussi. Il viendrait fièrement remplir les rangs de la famille McLeod à Poudlard. Il pourrait apprendre, plus que les histoires idiotes que lui donnait sa mère à lui. Il pourrait se cultivier, dans tous les domaines possibles et imaginables. Les yeux du petit garçon s'emplissaient d'une fascination qui semblait sans limite. « J'espère que vous avez tous conscience de la chance que vous avez, de faire parti de la famille McLeod. » Ah ça oui, Lewis le savait. Il se sentait déjà supérieur de tous les autres petits garçons, tous ceux qui ne faisaient pas parti des McLeod. et il ferait tout pour garder l'honneur. L'honneur, Lewis avait entendu tellement de fois ce mot qu'il était devenu son préféré. Il savait qu'une fois à Poudlard, il serait le plus studieux des élèves, et évidemment le meilleur. Bien meilleur que ces sangs de bourbe, ils les écraseraient tous. Il comprenait son père sur ce point, comment était-ce possible que certains soient des sorciers ? La différence n'avait pas sa place dans le monde de la sorcellerie.
Février 1972
    « Putain...Recommence Lewis, tu vas y arriver. » Cela faisait maintenant plusieurs heures qu'il était entrain de s'exercer à un sortilège. Dans la cour de Poudlard, caché derrière des arbres. Il pleuvait mais il ne rentrerait pas avant avoir réussi son sort et ce, parfaitement. Alors il recommencerait. Il brandissait sa baguette vers l'objet victime de plusieurs de ses accès de colère. Il pris une grande inspiration et cria le sort avec la plus grand des convictions. Toujours rien. Il me mordit violemment la lèvres. Il fulminait, ses narines s'écartaient sous la rage, il devait réussir, c'était son devoir. Encore une fois. Il fixa la peluche qu'il avait dérobé à sa soeur pendant les dernières vacances précédente. Rien. Lewis ne baisserait jamais les bras. Abandonner, c'était quelque chose pour les moldu. Ce n'était pas digne d'un McLeod. Son regard glissa sur son bras, rougi par les coups qu'il s'ingligeaient lui même. A seulement treize ans, Lewis était intransigeant envers lui. A chaque fois qu'il n'arrivait pas quelque chose, il se pinçait l’intérieur des bras si violemment qu'ils viraient au rouge, au jaune puis au violet. Il n'avait qu'à être plus fort. Si il avait réussi du premier coup, jamais il n'aurait eu ça. Il détacha la cravate de sa maison et la lança sur le sol avant de faire une nouvelle tentative. Il n'avait pas réussi. Un professeur l'avait remarqué et l'avait collé. Lewis était en rage dans le réfectoire de Poudlard. Sa soirée était gâchée et il était hors de question d'en parler à ses frères. Il s'assit donc à une table, seul. Un garçon d'une autre maison pris place à côté de lui et le regarda en souriant. Lewis fit mine de l'ignorer. « Qu'est-ce que tu veux ? » Le garçon aux cheveux blonds sourit. « Qu'est-ce que tu as au bras ? » Lewis dissimula rapidement son bras sous sa robe de sorcier et soupira d'agacement. Le garçon se rapprocha encore de lui. Il lui pris le bras. Lewis s'en retrouva terriblement décontenancé, jamais quelqu'un n'avait osé le toucher, encore moins lui tenir tête. Or, il reprit le dessus aisément. « Dégage. » McLeod ne parlait pas beaucoup pour un garçon de treize ans, mais lorsqu'il le faisait, ce n'était pas bon signe. Ce garçon s’insupportait déjà alors que cela faisait seulement deux minutes tout au plus qu'ils étaient assis l'un à côté de l'autre. Qui plus est, il avait entendu dire que celui là faisaient des choses interdites. Non pas par le règlement de Poudlard. Mais moralement parlant. Qu'il préférait la compagnie des garçons que celle des filles, contrairement à ce qu'un individu normal et sain d'esprit devait faire. Les gens comme lui ne méritaient qu'une seule chose, être enfermés. Il ne comprenait pas pourquoi ce n'était pas encore le cas. Comment ce garçon pouvait se regarder dans le miroir le matin ? N'avait-il pas envie de se tuer quand il embrassait un autre garçon ? Comme le disait son père, c'était contre nature. Lewis réprima une envie de vomir, alors qu'il n'avait absolument rien dans le ventre. Le garçon posa sa main sur celle de Lewis. McLeod la pris et la serra tellement fort que le garçon en eut le souffle coupé. « Tu refais ça encore une fois et j'te la tranche. C'est clair ? Toi et les gens de ton espèce me répugnent. » Le garçon ne se fit pas prier et se leva, blanc comme un linge et déstabilisé sous le regard noir de Lewis. Son regard n'était pas encore si impressionnant qu'il le sera plupart mais personne ne s'était encore risqué à le défier. Même son propre père n'insistait pas. Lewis repris sa lecture, tout de même un peu confus par le geste du blond. Une étrange de sensation s'était emparée de lui lorsque leurs peaux avaient été en contact. Le dégout, surement. Il s'est couché aussitôt mais eut un mal énorme à s'endormir. Histoire de la magie. Comme tous les mardis. Lewis était un élève modèle, quoi qu'un peu trop silencieux pour ses professeurs. Mais ils étaient toujours impressionnés par ses devoirs. Le dos droits, les deux bras posés parallèlement sur le bureau en bois brute, il écoutait le professeur en silence. Aujourd'hui, le professeur rendait des devoirs importants pour leur année. La fille de Gryffondor, assise à deux places de lui soupirant en voyant son résultat. « Pff, mes parents vont me DÉCHIRER. » Lewis détestait cette fille. Elle rigolait très fort, était très indiscrète et passait le plus clair de son temps à discuter avec d'autres filles. Et elle s'étonnait d'avoir de médiocres résultats. « En même temps, si tu passais plus de temps à réviser, ma chère, au lieu de faire ce qu'on sait tous. La petite tarpin dans les toilettes du château. Oh mais regarde toi, tu devrais remonter ta jupe encore plus dis moi. Tes lèvres couvertes de rouge à lèvres, toute ta face également. Tu vas pas me dire qu'il y a autre chose que de l'air dans cette tête ? Quand tu auras un minimum de dignité, tu reviendras te plaindre. » Il avait dit ça sur le plus monotone et calme des tons. Il gratifia un sourire élégant à la rouge et or qui ne savait plus où se mettre.
Durant le reste de sa scolarité à Poudlard, Lewis devint de plus en plus détestable. D'un perfectionniste maladif, il resta cependant dans bien des domaines. Sa haine envers les moldus et les homosexuels ne s'est pas atténué. Au contraire. Il regarde les Moldus avec toujours autant de mépris, i les maudit. Et les homosexuels, n'en parlons pas. Encore heureux qu'il n'y en ait pas à Poudlard, même s'il ne devait pas en avoir du tout même. Il les fuit comme la peste, de peur d'attraper leur maladie. Son petit frère, de trois ans son cadet est rentré lui aussi à Poudlard. Il a malheureusement intégré la maison des lions, Gyrffondor. Comme la fille qu'il détestait. La honte de la famille. La guerre à commencé comme cela. Au début, ils ne s'adressait pas la parole. Lewis trouvait son frère insupportable à toujours vouloir se rebeller, pour être différent, à contredire ses parents, à briser les règles. Peut-être qu'il était aussi idiot que cette fille. Mais après, ils ont commencé à s'envoyer des pics, tout le temps et à longueur de journée. Les vacances étaient infernales. Lewis et Lysander n'avaient absolument aucuns points communs et ne partageaient plus rien. Lewis déteste le fait que Lysander soit en perpétuel désaccord avec sa famille. Il espérait sincèrement que sa petite soeur, qu'il aimait tant, ne ferait pas comme lui. Violett était de loin la personne avec qui s'entendait le plus dans sa famille. Lewis avait tant voulu une petite soeur qu'il lui tardait qu'elle le rejoigne à Poudlard. Cependant, ce ne fut pas comme cela que ça se passa. Février 1978
    « Cracmol » Cracmol. Cracmol. Cracmol. Le mot résonna un nom incalculable de fois dans la tête de Lewis. Son regard se perdit dans le vide. Comment était-ce possible ? Non, il devait y avoir une erreur. Une putain d'erreur. Violett ne pouvait en aucun cas être une cracmol. Elle était destinée à être une grande sorcière, une des plus grande. Lewis voyait beaucoup en sa petite soeur, elle avait un gros potentiel. Il resta interdit, ne sachant plus comment agir, quoi dire. Il se contenta de rester de marbre, comme le reste de ses frères. Tous ? Sauf Lysander qui se jeta aux pieds de Violett pour la réconforter. Violett regarda Lewis en espérant du reconfort, quelque chose qui lui indiquerait qu'il ne lui en voulait pas. Malheureusement pour elle, ce ne serait pas le cas. Elle n'était pas une sorcière, c'était...une moldue. Rien, ce n'était plus rien à ses yeux.Tout ce qu'il avait pensé, imaginer faire avec sa soeur une fois qu'il serait à Poudlard, non, c'était fini, il ne restait plus rien.
Avril 1979
    Lewis n'en revenait pas. Comment...Comment. McLeod se doutait bien que son frère Lysander était différent de lui mais à se point là. Lysander McLeod. Lysander McLeod avec un garçon, Sebastian Prince. Le gars avec les cheveux longs là. Comment avait-il fait ça ? Vraiment, comment ?! Lewis jetta sa chemise et se regarda dans la glace. Il était encore plus blanc que d'habitude. Il ne se supportait plus. Comment Lysander avait-il fait ? « Comment il a pu assumer CA ! » Lewis s'était surpris à en regarder un autre, il était parfaitement sobre. Il ne pouvait plus le vivre, ça ne devait pas arriver et encore aucun cas ce n'était censé le freiner dans son ascension professionnelle. Ca le dégoutait, c'était impossible. Pas lui, pas ça. Les images de ce garçon repassait dans sa tête, ses cheveux courts bruns , ses grands yeux bleus profonds. Des mains délicates qu'on rêverait de toucher, d'embrasser. Et surtout, ses lèvres...ses lèvres qu'on... « STOP ! » Il frappa le miroir très violemment, il se fit plus de mal qu'à la glace. Lewis McLeod ne pouvait pas être comme ça. C'était quelque chose d'impossible à concevoir pour lui. Les images devaient cesser de passer en boucle dans son esprit. Lewis devait se concentrer sur ses études et ne pas dévier comme il le faisait. Ce n'était qu'un passage. Il n'était pas comme Lysander. Lewis n'osait plus se regarder, il ne voyait que ses défauts, ce torse vraiment trop maigre, comment pouvait-il regarder des garçons de cette façon là. C'était contre nature et il le savait très bien. Il devait être simplement fatigué et il était même persuader que ça irait mieux quand il dormira. Cependant, ce ne fut pas le cas. Une fois dans son lit, il ne pu fermer l'oeil. Personne ne devait savoir ça. Il ne fréquenterait plus d'hommes s'il le fallait car ce genre de pratique était bon pour se faire enfermer à Ste Mangouste. L'espace d'un instant, il pensa à se lever pour aller lui même s'administrer un endoloris. Lewis pensa à sa famille, à sa mère et surtout à son père. Lewis n'était pas comme Lysander, il devait tout faire pour que son père soit fier de lui. Mais quelque part, bien enfoui au fond de lui ; Il admirait Lysander. Il l'admirait qu'il puisse faire ce qu'il veut sans se poser de questions. Non non non, ce n'était pas le problème. Il n'y avait rien à assumer. Il ne l'était pas. Ou si peut-être.



Dernière édition par Lewis McLeod le Lun 20 Mai - 16:44, édité 4 fois
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Guest, Ven 17 Mai - 22:23 (#)
Re bienvenuue *-*

C'est trop trop trop troooop génial que tu prenne Lewis.

Ha et je sais pa ssi Lys t'as dit mais je t'oblige a avoir un lien avec moi Chou
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Ven 17 Mai - 22:28 (#)
Re bienvenue Han!
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Ven 17 Mai - 22:32 (#)
CE TIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIITRE Chou

ET CET AVATAR bavebave

Re bienvenuuue Potté

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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Ven 17 Mai - 23:36 (#)
flaaaaaaaaaamme. bave bienvenuuuuuue :3
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 4:22 (#)
Re-Bienvenue ! Daengelo

Jeveuxunliendèsquet'esvalidét'aspaslechoix. Chou
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 15:37 (#)
La fan de GoT en moi adore ton titre... dead bave
Et Kevin F. est magnifique, très bon choix. Chou
Re-bienvenue à toi alors. Daengelo
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 15:40 (#)
ENCORE UN MCLEOD ! GNOE Nous sommes perdus ! RIP Bienvenue et bonne chance pour ta fiche. Daengelo
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 15:50 (#)
:o Twisted Yaaa Grey :drunken: :drunken: Chou Brille :gaga: :youhou: YoucandoIt Han! :panic: :friends: Potté :peter: :o Twisted Yaaa Grey :drunken: :drunken: Chou Brille :gaga: :youhou: YoucandoIt Han! :panic: :friends: Potté :peter: :o Twisted Yaaa Grey :drunken: :drunken: Chou Brille :gaga: :youhou: YoucandoIt Han! :panic: :friends: Potté :peter: :o Twisted Yaaa Grey :drunken: :drunken: Chou Brille :gaga: :youhou: YoucandoIt Han! :panic: :friends: Potté :peter: :o Twisted Yaaa Grey :drunken: :drunken: Chou Brille :gaga: :youhou: YoucandoIt Han! :panic: :friends: Potté :peter: :o Twisted Yaaa Grey :drunken: :drunken: Chou Brille :gaga: :youhou: YoucandoIt Han! :panic: :friends: Potté :peter: :o Twisted Yaaa Grey :drunken: :drunken: Chou Brille :gaga: :youhou: YoucandoIt Han! :panic: :friends: Potté :peter: :o Twisted Yaaa Grey :drunken: :drunken: Chou Brille :gaga: :youhou: YoucandoIt Han! :panic: :friends: Potté :peter:

sorry.

NIAAAAAAAAAAH MON GRAND FRERE D AMOUR CHERI QUE J AIME !! mon dieu julie je t'aime je te l'ai déjà dit et fgnseorig ton titre il gère kevin il est encore plus beau que sur sa photo wiki que j'ia vu à rache jeudi matin à la gare et niaaaaaah je suis trop contente t'imagine même pas Potté

LES MCLEOD DOMINERONT LE MONDE WESH.
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 15:57 (#)
Welcome petit Twisted Daengelo
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 15:59 (#)
Re bienvenuuue Brille

Encore un Mcloed , on se fait envahir Pantémort
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 16:16 (#)
merci à vous tous Daengelo
oui, GoT gère sa maman et cette réplique aussi Brille
Silver, effectivement, elle m'a dit pour le lien aha mdr
avec grand plaisir Ridley :freehugs:
Flamme est juste...mon crush masculin. (même si j'en ai au moins 20 et que je change toutes les semaines)
ET OUI LES MCLEOD SONT LAAAAA.
Lys ;
Spoiler:
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 16:37 (#)
Tu enlèves les smiley sexuel parce que je veux pas me la jouer à l'inceste et c'est bon, ton messages gère sa maman des rillettes par les fenêtres What a Face

Oh bah tu sais moi ..; devant un film ... tu m'aurais vu devant the impossible c'était encore pire *meurt*


TU GERES TA VIE JULIE JE VOULAIS ENCORE TE LE DIRE DE NOIRGHKIDJFNKLSDJGN *w*

(j'arrive à flooder sur une fiche de presa)


d'ailleurs hate de lire *w* et viens sur la cb Lysfèlagueule
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Invité, Sam 18 Mai - 16:57 (#)
Je dirais même plus ; CA ENVOIE DU BOUDIN.
niark.
Mais j'aime bien moi les petits smiley sexouels What a Face
JE SAIS QUE JE GERE MA VIE ET TOI AUSSI DGKJLSFJSSORKFKDZER
Le Flood c'est la VIE. non non. LA MOZZARELLA C'EST LA VIE.
t'as conscience que la description physique fait une page word et demi ? Arrow imagine pour le caractère mdr
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Message Re: night is dark and full of terros.
par Contenu sponsorisé, (#)
 

night is dark and full of terros.

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