| Aslinn c'est plus que merveilleusement classe.par Invité, Jeu 27 Juin - 23:12 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Aslinn Sebhmet Dwyer FEAT. Alyssa Milano 39 ϟ Maître Patronus ϟ Lionne ϟ Sang-mêléAslinn Aslinn Aslinn... si elle n'existait pas, il faudrait l'inventer. Par où commencer ? Certainement par le trait de caractère le plus présent chez elle : sa franchise qui est étroitement liée à son honnêteté. Elle n'a absolument aucun sens du tact. Non pas par naïveté, elle sait très bien que le monde n'est pas rose, mais simplement par facilité. Elle ne voit pas l'intérêt de prendre des gants avec qui que ce soit. Ah ça ! Si elle ne vous aime pas, vous pouvez être sûr de le savoir, elle vous le dira, et en face. De même pour les compliments, elle ne dit rien sans le penser. Cependant, elle n'est pas malveillante et elle ne remue jamais le couteau dans la plaie de qui que ce soit (sauf cas exceptionnels où elle est le couteau et/ou la cause de ladite plaie). Au contraire même, elle a un instinct maternel très très développé. Enfin maternel, pour ne pas dire autre chose. Elle n'a pas d'enfant, et elle n'en veut pas. Mais quand elle décide de protéger quelqu'un elle est prête à tout sacrifier, y compris sa propre vie pour lui. Elle a de l'humour, aussi, mais n'en fait pas étalage. Mais, chose curieuse, Aslinn rit. Tout le temps, de tout, avec n'importe qui. Elle éclate de rire sans raison apparente, dans des moments inopportuns, la plupart du temps (sinon c'est pas drôle), et est sans aucun doute la meilleure spectatrice que vous puissiez avoir. Autre chose... elle est particulièrement douée en métamorphose. Chose à savoir, elle a un sens des règlements très particulier pour quelqu'un travaillant au ministère. Elle n'obéit qu'à ses propres règles qu'elle se fixe elle-même et qui varient en fonction des circonstances. Ah oui tiens, d'ailleurs. En parlant du Ministère. Elle a fait des études brillantes à Poudlard et est vite entré dans le Service des usages abusifs de la magie... sauf que voilà, elle n'a pas tout à fait le même sens du mot « abusif » que ses autres collègues et elle s'est vite fait remarquer par ses supérieurs. Mais malheureusement pour eux, elle est suffisamment intelligente pour qu'ils aient besoin d'elle et qu'ils ne puissent la virer. Elle possède un courage impressionnant et appartient à l'Ordre du Phoenix, ce qu'elle ne cache absolument pas. Elle aime les animaux mais pas au point de mourir pour eux, contrairement à certaines personnes. Par contre, elle n'a aucune affinité avec les bestioles qui vivent la nuit, exception faite des chats. Quand elle apprécie quelqu'un, ça n'obéit à aucune logique. Dans ses amis il y a des sang-purs, des personnes hautaines, des enfants, des vieillards, ceux qui ont le sens de l'humour, ceux qui sont sérieux comme une tombe, ceux qui ont de l'argent, ceux qui ont le cœur sur la main et ça n'est pas parce que vous êtes gentil qu'elle vous aimera et ça n'est pas parce que vous êtes antipathique qu'elle vous détestera. Aslinn est une des personnes les plus ouverte d'esprit et les plus tolérantes que vous croiserez. Peu de chose la dérange et il n'y a rien de tabou pour elle, vous pouvez lui parler de tout, elle écoutera et ne sera pas, ou presque pas, choquée.
a little something from you. Bon, j'ai laissé la voix off me décrire (très mal si vous voulez mon avis mais passons) mais mon histoire, c'est à moi de la raconter, et à personne d'autre.
Tout commence en juillet, le 22, plus précisément, de l'année 1940. Je suis née en Égypte, d'une mère égyptienne et d'un père irlandais. Drôle de mélange me direz vous, surtout qu'en me regardant, on ne voit pas du tout le côté arabe. La seule chose égyptienne chez moi c'est mon second prénom et mon amour du sable et de la mythologie. Mon prénom, Aslinn, signifie rêve en gaélique. Oh, ça ne me correspond pas du tout mais je trouve ça joli. Mon second prénom, Sebhmet, me vient de ma culture maternelle. En effet, il s'agit de la déesse lionne de la mythologie égyptienne. Voilà qui me correspond mieux. Bref. Pour la faire courte, j'en avais assez des regards de travers qu'on m'adressait au Caire parce que je ne faisais pas assez « fille locale », et, quand mon père se sépara de ma mère quand j'avais dix ans, je décidai de le suivre en Irlande. Et là. Choc culturel. Je ne sais pas comment ça se passe chez les Moldus (les seuls qui faisaient parti de mon arbre généalogique il y a quatre ou cinq générations sont morts depuis trop longtemps pour que je connaisse ce monde), ils se ressemblent tous de toute façon, mais chez les sorciers, la différence est plus que notable entre les deux pays. Déjà, rien que de m'adapter à l'anglais chantant des irlandais et à leur météo désespérément glaciale, j'ai mis plusieurs mois. Mais bon, je suis une battante, j'ai survécu. Je parlais à ma mère par hibou, de temps en temps, et puis elle s'est désintéressée de moi quand je suis entrée à Poudlard. Oh, elle ne me l'a pas dit, bien sûr, mais de toute façon elle ne dit jamais rien de ce qu'elle pense. De deux lettres par semaines, on est passé à deux par an. Pour mon anniversaire, et le sien. J'en ai souffert au début, puis je m'y suis accoutumée, plutôt bien, même. Après tout, elle ne s'est jamais trop comportée comme une mère avec moi, donc aucune raison que je me comporte comme une fille parfaite. Sans surprise, le jour de ma répartition j'ai été admise à Gryffondor. Sans surprise parce que de toute façon je ne me voyais nulle part ailleurs. Les Serdaigles ? Bof, je n'aime pas tellement les bouquins, et j'ai horreur du bleu. Les Serpentards ? Beaucoup trop ambitieux, et beaucoup trop de magie noire. Les Poufsouffle ? La loyauté me plaît pas mal mais j'ai horreur de ces saletés de blaireaux qui t'attaquent par derrière dans le noir. Bref. Après avoir réussi mes études (6 BUSE et 5 ASPIC, dont deux O), je ne savais pas quoi faire. Mais genre, pas du tout. Aussi, lorsque j'étais de passage à Londres, je me suis arrêté au Ministère pour regarder leurs formations. Et je n'en suis jamais ressorti, 20 ans après. « Service des Usages Abusifs de la Magie. » Ce nom m'a tapé dans l’œil immédiatement, moins classe que le « Département des Mystères » mais beaucoup plus prometteur. Je m'y suis amusée pas mal, en effet. J'aime bien trouver les gens, savoir ce qu'ils ont fait, pourquoi, leur expliquer pourquoi il ne faut pas le faire, les arrêter, s'il le faut. De la protection, de la générosité, de l'autorité, du social, le boulot parfait quoi. Bon, je crois que la plupart de mes supérieurs s'arrachent les moustaches à cause de moi parce que je ne respecte pas tout à fait le règlement. Mais peu importe, vu que je fais le double, voir le triple, de leur boulot, ils me laissent faire ce que je veux. Mais ils râlent quand même beaucoup. J'ai remarqué que c'est une qualité récurrente des bureaucrates, plus ils passent leur temps à se plaindre, plus ils sont considérés comme étant compétents. Je fais parti de l'ordre du Phoenix aussi. Disons que je ne suis pas très utile en combat (non pas que je ne sais pas lancer les sorts, simplement mon temps de réaction est tellement long que j'ai le temps de me faire tuer trois fois avant que je songe à prendre ma baguette), mais par contre je peux espionner le ministère et détecter avant tout le monde un quelconque envahissement. Bon, avant tout le monde peut être pas, je ne suis pas la seule espionne, mais je sers à quelque chose et, là-bas au moins, on m'apprécie, ce qui change agréablement. J'avais donc ma petite routine, je faisais mes dossiers et mes rapports le matin, j'allais sur le terrain l'après-midi, je faisais des perquisitions le week-end et je passais mes soirées au QG de l'ordre. Je ne me suis jamais mariée, et je ne compte pas le faire, sauf si je tombe vraiment amoureuse un jour, qui sait, les aventures légères me suffisent. Bref, j'étais heureuse. Et puis... ce jour est arrivé. Ce jour où ces crétins du Ministère se sont dit « Tiens, et si on allait jeter un sort qui va sauver le monde ? » J'ai eu beau m'époumoner en leur expliquant, sur tous les tons inimaginables, que ce sort n'était pas au point, qu'il n'était pas assez précis, qu'il faudrait beaucoup plus de temps pour le mettre en place et plus de pouvoir pour le lancer, mais on me répondait inlassablement « Vous n'êtes pas assez qualifié pour participer à ce projet. » Aussi, lorsque j'ai déboulé dans le bureau du Ministre de la Magie, la semaine qui a suivi l'enchantement raté, et que je lui ai rit au nez en disant « Je vous l'avez bien dit. », il ne l'a pas très bien pris. Du coup... on m'a chargé d'étudier les conséquences dudit enchantement, en guise de punition. Bon, pour être franche au début tout le monde m'a surveillée et chacune de mes observations a été revérifiée douze fois par « des éminents spécialistes ». Spécialistes de n'importe quoi ouais, ce phénomène de patronus est une nouveauté, je suis celle qui s'y connaît le mieux, au Ministère. Mais va leur dire. Cependant, quand, dans l'un de mes rapports, j'ai indiqué que tuer un patronus, un simple animal, reviendrait à condamner psychologiquement son possesseur, ils se sont un peu mis à flipper, à cause des Mangemorts, tout ça. Ils m'ont interrogée pendant des heures pour connaître l'étendue de mon savoir sur le sujet en détails, ils m'ont posé pas mal de questions, aussi, auxquelles je n'avais aucune réponse. C'est là qu'ils ont eu l'idée du camp. Ça fait du trois en un : on met les élèves en sécurité le temps de rétablir, ou d'essayer, un semblant de paix dans le pays, on fait des tests et des observations précises sur les patronus et en prime on se débarrasse de moi pour deux mois. Autant dire que cette solution a fait l'unanimité dans les bureaux de la hiérarchie du Ministère. Ils ont certes quelques réserves sur mes compétences, mais au vu de ce que j'ai quand même réussi à obtenir comme informations, pas grand chose certes mais toujours plus que les « éminents spécialistes », à partir de rien, ils ont décidé de me faire confiance. Une première. Je suis à l'aise avec les adolescents, je l'ai toujours été et j'aime ça en plus, mais genre vraiment. Je les trouve drôle ces êtres un peu perdu et un peu naïfs qui croient que tout est noir ou que tout est blanc. C'est un état d'esprit, pas une critique. Je confierai beaucoup plus volontiers ma vie à une personne de 17 ans qu'à un quelconque bureaucrate qui mange trop et qui passe des heures à méditer sur chacune de ses actions. Je ne suis pas le genre de personne qui pense qu'à dix ans on est indigne de confiance mais qu'à partir de soixante ans on peut avoir l'avenir du monde entre les mains. Au contraire, j'estime que, quelque soit notre âge, la confiance se gagne, point. Je m'estime donc qualifié pour ce job et en prime, j'en suis heureuse. En même temps, qui ne le serait pas ? Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Krys' ϟ Où as-tu trouvé le forum? Bonne question, par mon autre compte sans doute ? ϟ Personnage: Rôle Temporaire (parcequemondctemporaireaétéacceptéewai ) ϟ As-tu un autre compte sur BP? Oui ϟ Présence: Tout le temps. ϟ Une remarque? Faites comme si vous me connaissiez pas ok ?
Dernière édition par Aslinn S. Dwyer le Ven 28 Juin - 10:08, édité 2 fois |
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