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Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
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Message Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Dim 4 Aoû - 23:05 (#)
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Adèle Caleigh de Volange
FEAT. Nastassia Lindes
18 ans ϟ Enseignement magique ϟ Panthère nébuleuse ϟ Sang pur

« pour que la matière ait tant de pouvoir, il faut qu'elle contienne un esprit. »

Adèle est une personne froide, à en devenir exaspérante et certainement trop imposante. A regret, elle ne compte plus le nombre d'expressions désagréables qu'elle a entendues à son propos, être chuchotées d'une oreille à une autre dans les couloirs de l'école. « Quelle petite peste. » De nature solitaire, Adèle ne se laisse pas approcher facilement et consacre son temps libre non pas à ses amis, mais plutôt aux arts pour lesquels elle se passionne tels que la lecture – elle voue un véritable culte à la littérature française – ou encore la musique. Oui vous l'aurez compris, Adèle est une incomprise. Elle préfère en effet rester distante vis-à-vis d'autrui, elle aime qu'on prenne le risque de l'approcher. Les rares individus avec qui elle daigna engager une discussion, aussi brève soit-elle, ne sont en général restés qu'au stade de simples connaissances, voire de parfaits inconnus. Elle n'accorderait ses moments de solitude qu'à une personne qui aurait selon elle atteint la perfection, or entre nous, ce n'est pas souvent le cas il faut bien se l'avouer. Raison pour laquelle Adèle occupait habituellement ses heures seule.
En observant de plus près la jeune sorcière, on peut déceler dans son comportement une pointe – et le mot est faible – de jalousie acharnée, qui peut parfois s'avérer dérangeante. Par exemple, elle ne peut pas supporter l'idée qu'une de ses anciennes ou futures conquêtes ait le moindre contact avec une autre. Son imagination pouvant l'emporter sur sa raison, elle se permettrait alors de mettre des bâtons dans les roues à cette même personne et lui réserverait des surprises sûrement peu agréables.
Malgré les remarques de certains de ses professeurs concernant une attitude trop passive en cours, Adèle a une ambition démesurée ; elle veut arriver à ses fins et rien ni personne ne l'en empêchera, elle est donc prête à faire des sacrifices importants pour atteindre son but. Elle s'entête à penser cependant qu'elle atteindra ses objectifs sans fournir un effort plus conséquent qu'à présent, difficile d'y croire oui, même si elle s'est toujours très bien démenée à la tâche. Elle trouvera toujours un moyen pour détruire un obstacle qui se trouverait sur son chemin, du moins en ce qui concerne ses études et est prête à tout pour sauver sa mise, soyez en sûrs.
Elle aime revendiquer son opinion auprès de ses camarades et ne se laisse pas comme on dit « marcher sur les pieds ». Elle s'intéresse de prés à l'actualité du monde sorcier et de plus loin du monde moldu. La culture est pour elle un facteur essentiel au développement intellectuel.
Adèle n'est certes pas surdouée, mais comme tous les membres de sa famille, est très perspicace et maligne. Le fait d'être la plupart de son temps seule lui donne l'opportunité d'observer avec précision puis d'analyser le comportement et l'emploi du temps des élèves qui l'entourent pour ensuite, prévoir de leur jouer de mauvais tours. Il lui est alors assez délicat d'apprendre à connaître quelqu'un sans se baser sur les idées qu'elle s'est faite de lui en le guettant auparavant.
Sa seule et unique faiblesse est sans aucun doute sa conscience ; elle sait en effet avant même d'agir que c'est mal. Elle ne peut pour autant pas s'en empêcher, au fond d'elle, elle sait qu'elle doit le faire. Le plaisir qu'elle peut ressentir lorsqu'elle s'amuse à torturer certaines personnes atténue les remords qui la hantent parfois même si elle préfèrerait vivre sans pour autant avoir ce besoin, le besoin de s'amuser du malheur des autres. Son inconscient lui révèle une peur bleue de l'eau. Son épouvantard est tout simplement un jet sortant d'une pomme de douche. Ne vous moquez pas de notre sorcière, mais Adèle a une peur panique de l'eau. Elle se remémore encore le jour où, alors qu'elle n'avait que cinq printemps et pensait que nager ne devait pas être difficile, elle a sauté dans ce qu'on appelait le grand bassin et a coulé. Voir la surface de l'eau mais ne pas réussir à l'atteindre tout en ayant besoin de respirer l'a totalement traumatisée. Depuis rien que de passer proche du lac l'oppresse terriblement.

En d'autres mots, Adèle est à mes yeux étonnante et surprenante, bien sûr méfiez-vous d'elle mais ne cacherait-elle pas sous cette carapace une autre personnalité ?

Ah oui, un autre point important qui pourrait aider à déceler le mystère de cette personnalité incongrue : sa baguette est en bois de houx, d'une longueur de 26,2 cm. Elle est d'une agréable souplesse ce qui favorise sa maniabilité ; en sachant que chaque baguette est unique, celle d'Adèle est composée d'une plume de phénix.


a little something from you.

« Non, non et non. Je n'ai pas besoin d'être poussée à faire quelque chose que je ne veux pas faire ou être au contraire dissuadée. Je ne veux pas d'une petite voix qui résonne dans ma tête pour me faire comprendre combien mauvaise est la décision que j'ai prise. Je veux être seule. Je ne veux rien derrière mon épaule. Maudit soit ce sort. »
Adèle s'acharnait, sans cesse. Elle se sentait épiée, oui c'est le mot. Elle ne s'adressait pas à un membre de sa famille, mais à une charismatique panthère nébuleuse, nommée Saturne qui se tenait à ses côtés. Heureusement, elle restait la plupart du temps discrète, ne disant que quelques mots. Avec ses tâches en forme de nuage, le complément nébuleuse lui convenait parfaitement.
Adèle avait été difficile à apprivoiser, d'ailleurs elle n'acceptait encore pas son patronus, du moins pas d'une façon aussi envahissante. Elle n'avait pour le moment pas été confrontée à une situation de conflit ou de doute profond, d'autant que sa confiance en elle, pour le moins excessive, en a freiné plus d'un. Alors en quête de dialogue, la panthère et la jeune femme se regardait longuement. Saturne se perdait elle aussi dans les yeux d'Adèle, de couleur lapi-lazuli, plutôt vert lors d'une pluie dense ; ils sont entourés de longs cils et décrivent un regard inflexible et très profond. Un regard qui vous pétrifie à la première seconde où vous la croisez. Elle n'est pourtant pas consciente des sentiments qu'il laisse paraître. De la nostalgie. Du mystère, de la passion.
C'est d'ailleurs pourquoi Saturne s'entêtait à pousser Adèle à aller de l'avant, à ne plus se morfondre dans ses souvenirs de famille et même si elle le niait encore, elle avançait. Saturne la rendait bien plus forte.
 


You're not a sad story.

De l'enfance...

La mention « il était une fois » n'est habituellement réservée qu'aux contes de fées et l'histoire d'Adèle n'en est pas un.
Adèle ne naquit pas dans une grande ville, mais dans un petit village paisible de France, en province. Ce choix ne fut en aucun cas décidé à l'avance, les deux parents s'étaient simplement accordés une semaine d'apaisement et de sérénité et avaient donc décidé de s'échapper grâce à un Portoloin de Londres, Royaume-Uni ; la naissance d'Adèle, prévue le premier août eut lieu quelques jours plus tôt que prévu. Ses deux parents étaient naturellement deux sorciers, de sang-pur eux aussi et pourtant pas aussi purs que l'on pourrait se l'imaginer, au fond. Sarah de Volange (Sade), la mère d'Adèle descend de la lignée de Sade, une famille de sorciers particulièrement étendue dans le monde entier, influente donc et populaire, si bien qu'elle a retrouvé pendant leur voyage en Bretagne, un de ses cousins éloignés dont elle ne connaissait pas même l'existence. Le représentant symbolique des Sade, le fondateur si nous pûmes le nommer ainsi n'est autre que Auguste Sade, personnage datant du dix-huitième siècle.

Christophe, le père et Sarah n'étaient donc pas acteurs de la situation dans laquelle ils étaient, ce n'était qu'un simple héritage dont ils profitaient pleinement – ils pourraient ne pas travailler pendant plusieurs générations – et n'avaient aucun mérite à s'en vanter. Ils étaient en effet considérés comme deux sorciers raisonnablement modestes, bien qu'ils préféraient garder du recul par rapport au reste de la population sorcière. Ils demeuraient dans un grand manoir, perdus dans une petite ville en périphérie de Londres. Leurs déplacements étaient rares et leur mode de vie attirait bon de nombre de questionnement voire même d'inquiétude du voisinage.

Reprenons sur l'histoire de notre sorcière, un beau bébé vit donc le jour pour la première fois à l'hôpital du Moulin Vert, au côté de médecins et d'infirmiers, cependant une personne manquait à l'appel : sa grande sœur Apolline, qui était soit-disant trop occupée pour faire le déplacement et être présente ce jour-ci, même si les Sade n'en croyaient pas un mot. Il faut dire qu'il y avait de quoi douter de ses dires : depuis l'annonce faite à une réunion de famille à propos du futur bébé – sans compter le fait que Apolline se soit levée de table sans l'avoir demandé – Apolline commença à se montrer terriblement jalouse et n'exprima aucune joie à l'idée d'accueillir un nouvel individu à la maison, certainement trop étroite pour deux enfants. Il est sûr que ses privilèges de fille unique serait considérablement remis en question – les trois chambres qu'elle avait pour elle toute seule, entre autres – et cette condition la dérangeait. Elle avait jusqu'à maintenant toujours été la petite préférée, la petite fille gâtée qui ne manquait jamais de rien. Ce statut évoluerait sans doute après la naissance du bébé, ce qui ne lui plaisait pas du tout. A croire vu ses caprices qu'elle était déjà abandonnée.

Apolline avait peut-être une circonstance atténuante à cette protestation, une circonstance plus que valable : il y a quelques années de ça, Sarah fut enceinte par miracle d'un petit garçon, elle était alors en déplacement et n'était pas à Londres quand elle apprit la nouvelle. Christophe ne fut bien sûr pas mis au courant immédiatement, il y avait de quoi prévoir cette tâche ardue : le futur bébé comme vous l'aurez deviné n'était pas le sien, mais celui d'un autre, un inconnu, un moldu... Sarah avait en effet commis une terrible erreur, une époque où la relation entre les deux conjoints n'était pas des plus cordiales, il est vrai. Je vous laisse deviner la nature de son bébé ; c'était un sang-mêlé et ce serait sans nul doute la honte de la famille, son déshonneur. J'ai le malheur de vous dire que le gamin est bel et bien née mais n'est pas resté longtemps en vie, quelques heures ou quelques jours, tout au plus. Lorsque Christophe appris le fin mot de l'histoire – Sarah avait d'abord préféré lui cacher sa grossesse, une erreur de plus, à croire qu'elle ne connaissait pas assez son mari – il fut pris d'une haine incontrôlable, Apolline n'osait même plus l'approcher, elle qui était son petit ange tout droit descendu du ciel, elle le craignait, tout comme Sarah. Il n'hésita pas une seconde lorsqu'il s'agit de s'en débarrasser... Cet acte était surtout justifié par la faute de Sarah, l'enfant aurait grandi sans père, sans repère selon Christophe et puis, c'était un sang-mêlé, ne nous voilons pas la face, c'était une raison de plus. Cette histoire resta gravée dans la mémoire d'Apolline, elle l'avait très mal vécu, tout comme Sarah et Christophe, qui n'y font plus allusion et préfère gommer ce passage effrayant de leur passé commun.

Revenons à la naissance de la petite Adèle, enfin un événement heureux qui survient dans cette histoire me diriez-vous. Comme vous avez pu le remarquer, les deux sœurs de la famille portent un prénom d'origine française, telle est la tradition chez les Sade ; les femmes n'ont porté, ne portent et ne porteront que des prénoms français, pour faire notamment honneur à son fondateur. Une tradition expliquée à Adèle lorsqu'elle eut atteint un âge plus mur et qu'elle trouva dénuée d'intérêt, à en devenir ridicule.

Son enfance n'a pas été particulièrement surprenante, on retient que la petite blonde a toujours obtenu ce qu'elle désirait, du moins par ses parents. Adèle, aussi jeune soit-elle savait déjà comment les convaincre. A cet âge, ses désirs n'étaient que matériels, elle ne demandait pas grand chose d'autre, si ce n'est un peu d'amour et encore, ses parents n'avaient donc aucun mal à les assouvir. Sa grand-mère s'occupait aussi régulièrement de son éducation, qui devait être excellente selon elle, mais elle se faisait elle aussi bêtement piéger par les caprices d'Adèle. Son aïeul était persuadée que c'était à cause du peu de sorties du bambin, elle avait besoin de jouer, de rencontrer d'autres enfants, de courir... de grandir comme il se devait mais pour Sarah et Christophe, mieux valait ne pas prendre le risque. Elle restait donc isolés et grandit entourée par des serveurs et gouvernantes qui répondaient à ses moindres désirs.

C'est lorsqu'elle prit conscience de son don de persuasion qu'elle commença à s'en servir sans ne plus se modérer. Toutes les excuses étaient bonnes pour rendre fous ses parents, elle aimait les voir se démener pour elle ; jeune et pourtant, des idées déjà très prononcés, la suite ne pouvait être que pire. Son caractère se forgea en effet très rapidement, elle n'hésitait plus à se faire entendre pour obtenir ce dont elle avait envie et cette crise était devenue maintenant insupportable pour toute sa famille, y compris pour Apolline même si elle avait en quelque sorte l'impression de se revoir en sa petite sœur.

...à la découverte des pouvoirs...


Venons en au thème principal de ce récit, la magie. Jusqu'aux neuf printemps d'Adèle, les Volange n'avaient préféré pas aborder ce sujet et se faisaient le plus discret possible sur ce point. Ils attendaient avec impatience l'âge où Adèle découvrirait par elle-même ses pouvoirs. Adèle, rusée de nature n'était pas dupe et s'était bien rendue compte de phénomènes étranges voire anormaux ; elle avait aussi déniché des livres qui lui semblaient bien suspects dans la bibliothèque, au fin fond du troisième étage du manoir : ils abordaient des thèmes des plus bizarres, mais qui lui étaient encore incompréhensibles à l'époque tels que la métamorphose, les défenses contre les force du mal ou encore les potions. Elle ne s'en doutait bien sûr pas, mais il s'agissait des anciens livres d'école d'Apolline. Adèle gardait ces petits secrets au plus profond d'elle-même, mais épiait ses parents dans l'espoir de deviner le fameux sujet qui animait leurs conversations.
Toujours rien. Pas la moindre étincelle de magie et l'inquiétude des parents de notre blondinette devenait pesante. Ils n'attendaient que ça. Un signe. Un signe qui confirmerait qu'elle pourrait effectivement faire honneur à ce nom qui leur ait cher. L'énervement mêlé à la hâte ne faisait pas bon ménage au manoir.
D'horribles cauchemars hantèrent la nuit du vingts-cinq juillet. Des cris, des pleurs et bien plus. Pourtant difficile de s'imaginer qu'à la veille de son anniversaire, Adèle serait confrontée à l'apparition de ses pouvoirs, malheureusement illustré par un incident perturbant.

Elle ouvre les yeux, elle est en sueur et ne veut plus se rendormir. Elle hésite : « J'ai passé l'âge de dormir dans le lit de papa et maman au moindre cauchemar. » Notre sorcière décida de rester dans son lit et d'attendre que les minute passent. Elle compte les moutons mais rien n'y fait, elle ne retrouve pas le sommeil et s'énerve. Après une heure interminable passée à contempler le plafond, Adèle se tourna violemment vers sa lampe de chevet. Cette dernière ne s'allumait pas, l'ampoule était certainement grillée ; l'orage de la veille avait fait des dégâts. Pas de baguette, ni de sort jeté. Adèle se concentra dessus et ne lâchait pas l'objet du regard, elle en devenait obstinée mais tout à coup la lampe de chevet prit feu sous ses yeux, alors que son visage se trouvait à quelques centimètres de celle-ci. La fillette fit un bond en arrière avant de se précipiter dans le couloir pour avertir ses parents. Elle était tétanisée par cet élément qu'elle ne pouvait pas contrôler comme elle le voulait.
Un réveil décoiffant pour Christophe et Sarah qui après hésitation en pensant qu'Adèle avait inventé cet incendie, n'ont pas tardé à deviner l'odeur de brulé qui s'était transporté jusqu'à leur chambre et à monter à toute vitesse les marches de l'escalier de marbre qui menait jusqu'à la chambre de la fillette. Les flammes s'étendaient à une vitesse incroyable et les meubles d'époque de la chambre d'Adèle ne seraient bientôt plus que poussière. Ils lancèrent à plusieurs reprises un aqua eructo pour faire cesser le feu. La tâche fut rude, mais les flammes disparurent relativement vite grâce aux sorts jetés par Christophe et Sarah, comparés aux solutions qu'auraient pu trouver un moldu pour ce genre d'accident.

Les Volange fêtèrent cet évènement comme il se devait, champagne compris. Adèle faisait maintenant vraiment partie de la famille, il ne restait plus qu'à en être digne. Contrairement à d'autres enfants du même sang, l'infériorité des sangs-de-bourbe n'a pas été inculquée à Adèle dès son plus jeune âge, du moins pas du côté de sa mère. Christophe, lui, prône la supériorité des sangs-purs et revendique haut et fort son ascendance irréprochable ; Adèle quant à elle préfère ne pas faire de distinctions entre les origines et considère que tous les sorciers sont en quelque sorte ses rivaux, même si entre nous, un combat entre sangs-purs peut être d'autant plus intéressant.

...aux années passées à Poudlard...

L'arrivée d'Adèle a Poudlard fut mouvementée. La sorcière était perdue et ne retrouvait plus ses repères. En observant ses camarades, elle se rendit compte qu'elle était une des plus jeunes sorcières à être ici, ce qui pouvait être un privilège selon elle. Elle préférait passer inaperçu à ses débuts, n'étant pas toujours très sure d'elle et se sentant parfois terriblement seule, elle n'avait plus la compagnie de sa famille, qui était composée des uniques personnes qui l'entouraient ; cette présence lui manquait beaucoup. Elle prit donc très tôt l'habitude d'être seule, de prendre ses repas seule et d'étudier... seule, aussi. Elle remarquait que les regards posés sur elle n'était pas des plus sympathiques, des regards qui la rendaient mal à l'aise naturellement ; elle ne se sentait vraiment pas à sa place dans cette école et sa scolarité, tout du moins pendant sa première année ne ressemblait pas du tout à ce qu'elle s'était imaginée.
La cérémonie des répartitions fut encore source de malaise pour Adèle, elle n'avait absolument pas envie de s'y rendre et avait essayé d'ailleurs d'y échapper mais c'était peine perdue. Elle était apparemment dans l'obligation de faire partie d'une des quatre maisons, de se rallier à d'autres élèves sans en avoir le choix.

Elle trouva le Choixpeau très étrange, mais la tournure que prenait cette répartition devenait de plus en plus comique, à la limite du ridicule : certains étaient humiliés, d'autres encore semblaient profondément déçus. Adèle n'avait pas été mise vraiment au courant à propos des réputations de chacune des maisons, mise à part par Apolline qui pronait la supériorité de Serpentard. Elle savait également que sa mère avait eut sa place à Serdaigle et son père à Serpentard. Le Choixpeau hésita justement entre ses deux maisons, l'une dédiée à la sagesse, la réflexion et l'intelligence, l'autre plutôt à la malice, l'ambition et la fourberie.
Sans un tonerre d'applaudissements, Adèle fut accueillie à bras ouverts par sa nouvelle maison, du moins en apparence...

Adèle réussit très vite à se faire une place dans cette nouvelle communauté, elle ne se laissait pas marcher sur les pieds et refusait qu'on la traite comme inférieur, pour la simple et bonne raison qu'elle était en première année. Après tout, tout le monde y était passer un jour alors ce n'était pas une source de moquerie valable.
Elle rencontra quelques rares à personnes à qui elle s'intéressa plus en profondeur, sans pour autant se lier d'amitié avec, ils restaient au stade de simples connaissances. Elle prit petit à petit goût à ce nouveau mode de vie, les cours étaient certes pesant mais l'ambiance était pour le moment paisible. La guerre n'avait-elle pas encore commencé ?
Elle aimait, comme toujours aujourd'hui, se promener dans le parc et sentir une grande variété de fleurs et de végétaux ou encore descendre telle une souris aux cuisines avant le dîner pour sentir l'odeur des succulents aliments qui l'attendraient à table.

Les liens qu'elle aurait souhaité conservés le plus longtemps possible avec sa famille se délièrent peu à peu. Adèle s'étonna d'elle-même de ne penser que rarement à eux et ne pas s'attarder aussi longtemps qu'elle le voulait à l'écriture des lettres qu'elle avait promises de leur écrire. De leur côté, l'inquiétude qu'ils avaient ressenti durant sa première année s'était atténuée et Adèle n'en était que plus rassurée. Elle aurait aimé gardé contact avec Apolline, comme son unique confidente mais cette dernière ne lui donnait plus signe de vie ; elle était partie du manoir sans en toucher un mot à quelqu'un. Certainement un conflit familial qui aurait mal tourné mais si tel était le cas, Apolline ne reviendrait sûrement pas en arrière, son ego démesuré en serait bien trop touché.


Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: Juliette, 18 ans
ϟ Où as-tu trouvé le forum? De forum en forum...
ϟ Personnage: Inventé
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non
ϟ Présence: 4/7
ϟ Une remarque? Youpi 


Dernière édition par Adèle C. de Volange le Mar 6 Aoû - 23:42, édité 13 fois
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Dim 4 Aoû - 23:09 (#)
//
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Dim 4 Aoû - 23:15 (#)
Bienvenue officiellement ! Chou
Je te souhaite bon courage pour la rédaction de ta fiche ! Et si tu as besoin d'aide n'hésite pas !
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Dim 4 Aoû - 23:20 (#)
BIenvenuuuuue *-*
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Dim 4 Aoû - 23:42 (#)
Bienvenue ! :D
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Guest, Dim 4 Aoû - 23:53 (#)
La bienvenue officielle ! Chou
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Lun 5 Aoû - 0:10 (#)
Merci à tous :3
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Lun 5 Aoû - 0:17 (#)
Bienvenuuue Haww
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Lun 5 Aoû - 0:39 (#)
Welcome here!! Daengelo
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Guest, Lun 5 Aoû - 0:51 (#)
Bienvenue parmi nous Daengelo
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Lun 5 Aoû - 12:15 (#)
Bienvenue parmi nouuuus Brille
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Guest, Lun 5 Aoû - 13:20 (#)
BIENVENUE. Daengelo Officiellement. Perv ! 
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Lun 5 Aoû - 14:50 (#)
Merci hihi Je pense avoir fini!
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Guest, Lun 5 Aoû - 17:13 (#)
NASTASIA Haww Haww
bon courage et bienvenue !
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
par Invité, Lun 5 Aoû - 21:10 (#)
Bienvenue parmi nouuus !!! En tout cas, cette fille est vraiment magnifique !!! Daengelo 
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Message Re: Adèle - Que l'on m'offre l'excitation, le pouvoir et le respect
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