« -Attention ! »

La jeune fille aux cheveux brun avait à peine entendu l’avertissement que déjà elle était happé vers le fond de l’eau, elle n’avait pas eu le temps d’attraper sa baguette que déjà l’homme qui l’avait prévenue jetait un sort sur le strangulot qui avait failli la noyer. C’est ainsi qu’ils s’étaient rencontrés, le né-moldu et la sang pur. Pourtant elle avait fui après qu’il l’est sauvée, non pas parce qu’il lui avait fait peur, mais parce qu’en étant trempé comme elle l’était, elle ne pourrait pas avoir d’explication valable à fournir à ses parents qui lui interdisait tout contact avec l’extérieur. Mais même après avoir fui, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas remercié le sorcier, si bien que tous les jours elle revenait à cet endroit précis, espérant le revoir. Et au bout d’une semaine il revint au bord de ce lac, elle le remercia et appris alors qu’il voyageait depuis la fin de ses études, qu’il était gallois et aussi apothicaire. Ce ne fut que lorsqu’ils devinrent amant que la vérité éclata, ce n’était pas un sang pur mais un simple né-moldu. Malgré les craintes de l’homme, Richard Ewart de son nom, sa belle danoise ne fuis pas et ils décidèrent de fuir ensemble la famille de Gyda, un peu trop soucieux de la pureté de leur sang.

Mais il était déjà trop tard, le sang avait été souillé car Gyda portait en elle une petite sang-mêlée qui naîtrait quelques mois plus tard au Pays de Galles dans un village sorcier près de Cardiff qui porterait le doux nom d’Idunn en référence aux racines scandinave de sa mère.  La petite Idunn vécut une enfance banale, enfin si aller voir des dragons le week-end pendant que les moldu visitent des fermes c’est banale, ponctué de quelques événements importants comme par exemple la première fois où elle est montée sur un balai.

« -Maman ! Je suis coincé dans l’arbre ! »

La petite Idunn, qui avait 6 ans à cette époque-là était en pleure, respirait très mal et avait fermé les yeux pour ne pas voir le vide qui s’étendait sur à peine 4 mètre en dessous d’elle, elle se tenait au tronc fin de l’arbre pour ne pas tomber et quand sa mère tenta de la récupérer en essayant de la calmer, ses cris reprirent de plus belle, et il fallut près de deux heure  à Gyda pour faire que sa fille lâche le tronc pour revenir sur la plancher des vaches. Plancher qu’elle n’a plus jamais quitté ayant développé une phobie de tout ce qui est capable de vous faire ne plus avoir les pieds sur terre. Et ayant aussi développé une fascination pour les oiseaux et les joueurs de Quidditch.

Puis un autre événement marquant arriva un an après, l’arrivée de ses deux petits frères, les jumeaux : Balder et Hoder, deux petits châtains aux yeux noirs, le portrait craché de leur père. Puis la jeune Idunn grandit, lisant tous les livres de ses parents qui lui tombait sous la main, bien que ceux de sa mère lui plaisait plus car contrairement à ceux de son pères ils étaient rempli d’histoires épiques et de sorciers plus ou moins valeureux, que les moldus prenaient pour des dieux, tandis que les livres de son père quand ce n’était pas des livres moldus qu’elle appréciait était des livres sur les plantes magique et bien qu’elle les lisaient et finissait par se souvenir de certaines caractéristiques de certaines plantes ce n’était pas ses lectures favorites.

Puis ses onze ans arrivèrent, sa mère qui n’avait jamais été dans une école de magie se demanda qu’elle était cette lettre que venait de rapporter une chouette qu’elle n’avait jamais vu et qui était adressé à sa fille. Son père regardait la lettre avec un regard plein d’espoir et leur parla à tous de Poudlard, et son père en parlait avec tellement de passion qu’Idunn se jeta sur la lettre pour l’ouvrir et découvrit avec joie qu’elle allait fréquenter l’établissement dès la rentrée. Pour fêter cela son père lui acheta un hibou grand-duc qu’elle nomma Hugin, et bien sur elle reçut sa baguette, une très belle baguette en bois de charme qui plus tard se révéla très bonne pour les sortilèges de défense. Et Poudlard lui tendis les bras, son père lui en avait parler comme d’une place idyllique où elle se ferait ses meilleurs amis et qui la formerait à devenir une sorcière merveilleuse, que sa soif de connaissance serais épanché, et qu’elle adorerait chaque recoins du château. Il lui avait expliqué tout ce qu’il savait sur le fonctionnement  de l’école, et c’est ainsi qu’en entrant pour la première fois dans la grande salle tout ce que son père lui avait dit lui sauta aux yeux et elle fut d’autant plus émerveillée.

Les années passèrent et ce que son père lui avait dit se révélait vrai, elle s’épanouie à Poudlard étant tout à fait amicale avec la plupart des élève quel que soit leur maison ou leur statut de sang, tant qu’ils étaient sympathique elle ne voyait aucune raison de les rejeter, même si certes elle avait beaucoup plus d’affinité avec ceux de sa propre maison. Elle passa ses BUSEs et ses ASPICs avec brio dans presque toutes les matières sauf en soin et créature magique et en botanique, au grand dam de son père, dans lesquels elle et seulement un Acceptable et un effort exceptionnel qui failli lui coûter sa place en enseignement magique. Ce fut ses meilleurs années, pour deux raisons notable, premièrement elle commençait enfin par se concentrer beaucoup plus sur l'Etude des Runes et surtout...Ce fut les années où elle eu son permis de transplanage ce qui lui permit, enfin, de se déplacer à sa guise sans utiliser le réseau de cheminé ni l'horrible magicobus.

Et c’est finalement là qu’elle se retrouva à faire ses études, pendant que ses deux frères entamais leurs deuxième année, elle commença le cursus d’enseignement afin de devenir une professionnelle en Etude des Runes et devenir soit enseignante à Poudlard, soit experte au ministèr. Et alors que sa quatrième année en cursus magique était bien entamé elle fit la connaissance de son patronus, un adorable raton laveur prêt à tout pour la défendre et  surtout à se servir d’elle comme d’un lit ambulant. Et pourtant malgré cela elle s’y attacha énormément.