BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. » | | | Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Dim 18 Aoû - 16:54 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Laura E. Mills-Davidson FEAT. Natalie Dormer 21 ans ϟ Cycle Secondaire, Enseignement Magique ϟ Diable de Tasmanie & Cygne Noir ϟ Sang purNoms : Mills-Davidson ϟ Prénoms : Laura Enyo ϟ Âge : 21 ans ϟ Date de Naissance : 14 Février 1958 ϟ Lieu de Naissance : Écosse. ϟ Statut du sang : Sang Pur ϟ Origine/Nationalité : Écossaise. ϟ Situation familiale : Son père est mort lorsqu'elle n'avait que neuf ans. Il ne reste plus que dans la famille Mills-Davidson, sa mère et ses deux sœurs. Heureusement, il y a aussi ses cousines (Skyler & Daedra) et son cousin (le plus effrayant, Setheleth). Roderick n'est qu'un vague souvenir pour elle, elle en a presque oublié son existence. ϟ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Elle ne se voit pas du tout avec une fille, d'ailleurs. Elle refuse cette éventualité, pour elle, c'est comme ci c'était contre nature. ϟ Situation sociale : Célibataire, dans le genre de fille à croquer les hommes de Sang Pur ? Et un cœur qui s'anime. C'est mal, trop malsain... C'est … humain ! ϟ Particularités : Hypochondrie. Elle assimile les né-moldus comme des êtres pourris, des êtres qui nichent un nombre incalculable de maladies. Alors, elle les évitent le plus possible, tout en aillant des potions pour la désinfecter d'eux au cas où. Elle ne tient pas à tomber malade ! Qui plus est, chaque symptôme qu'elle éprouve est une source de panique pour elle. Un moindre mal de tête et elle se croit déjà en train de mourir ! Un moindre rhume se transforme pour elle en une grippe ! Cela peut être un calvaire pour son entourage, mais généralement, elle s'exprime de façon très théâtrale, du fait qu'elle y croit elle-même. _ En particularité « physique », elle possède un tatouage en bas de son dos, juste au dessus de la naissance de ses fesses. Seul ses amants ont pu le voir, c'est une tête de mort qu'un serpent traverse au travers des yeux et de la bouche. Ça n'a rien avoir avec la marque des ténèbres. Mais celle-là, elle compte bien avoir la marque des ténèbres à la fin de ses études. _ Un détail pour le moins personnel, toujours, jamais il ne la quitte. Une chaine en argent, avec pour pendentif, un petit crocodile en or blanc, incrusté de deux petits rubis (rouge). Un cadeau de son père durant sa jeunesse, avant qu'il ne meurt. ϟ Situation financière : Plutôt aisée, elle fait partie de la Noblesse après tout. ϟ Son plus grand rêve : Réussir ses études, Être Immortelle et Manger Dante. ϟ Son plus grand cauchemar : Voir l'épouvantard. ϟ Études : Elle a réussit tous ses aspics avec un Optimal. Elle avait eu en option par le passé : Études des Runes et Arithmancie. Puis au cursus secondaire, elle a choisit : Enseignement magique, option : Études des Runes et Arts Occultes. ϟ Avenir professionnel : Elle souhaite réussir comme Nicolas Flamel par le passé. Devenir Alchimiste de renommé. Pour cela, elle doit réussir ses études en enseignement magique pour travailler au ministère de la magie en tant que chercheuse. Elle désire aussi rejoindre le camps de Pro-Voldemort, elle veut la marque des ténèbres et en terminer avec les moldus/né-moldus. ϟ Baguette : C'est une baguette en bois de rosier, elle mesure 35,8 cm et comporte une plume de phénix en son cœur. ϟ Épouvantard : Un cadavre, en décomposition. Sûrement un inferi. ϟ Amortentia : Le sang. N'est-ce-pas appétissant comme amour ? On le déguste et on l'aime quand il est frais.
Personnalité : Laura n'a pas de troubles de la personnalité, et pourtant, on peut observer deux aspects de sa personne. On dit que les premières impressions sont les bonnes. Alors, je vous laisse voir cette demoiselle sous ce magnifique jour.
« Je l'ai vu s'asseoir dans le parc intérieur de Poudlard, sous ce saule pleureur. Elle est si douce, je l'ai vu jouer avec cette fleur comme ci elle cherchait à savoir si son prince charmant l'aimait un peu, beaucoup, passionnément. Elle m'a par si fragile, elle me donnait envie de la protéger. J'ai décidé alors de l'aborder et elle m'a accueillit avec un sourire timide avant de laisser son visage se figer sous mon humour un peu lourdaud. Poliment, elle m'a répondu avec gentillesse et j'ai senti dans sa façon d'être qu'elle était une personne élégante. J'ai l'impression de tomber sur une demoiselle éduquée pour être une princesse. Elle m'a demandé d'une voix douce en me regardant avec ses jolis yeux d'un bleu gris envoûtant, si je pouvais lui apporter quelque chose à manger & à boire, elle ne semblait pas être bien. Alors, j'ai envie de lui dire « oui », et je fais ce qu'elle me demande. Je reviens cinq minutes plus tard avec un verre de jus de citrouille et une petite assiette de biscuits. Elle lève son regard du livre de potions qu'elle feuilletait avant que je revienne. Je lui ai demandé ce qu'elle faisait et d'une voix monotone, elle m'explique qu'elle travaille pour son examen. Quelle femme intelligente. Mes yeux se perdent à la contempler quand ses fines lèvres touchent la surface du liquide orange, ou que ses dents brisent sans aucun bruit, le biscuit. Elle est tellement parfaite, si bien éduquée. »
N'a-t-il rien vu ? N'a-t-il pas ressenti l'être infâme et violent qui se cache sous ce visage de princesse ? Elle n'a rien d'une princesse. Cette femme, c'est le diable en personne, une personnalité qui devrait être détestée si les gens se rendaient compte de la succube qu'elle était. Un indice : elle ne cherchait pas à savoir comment son prince charmant l'aimait, elle pestait sur cette fleur qu'elle ne supportait pas une tierce personne et lui arrachait chaque pétale comme ci elle arrachait un membre. La réalité est bien loin des premières impressions que l'on a d'elle. « Cette fille use de ses charmes, de la beauté de ses yeux, de son air faussement innocent. Elle manipule les faits, les évidences, elle essaye tout simplement de tout amener à son avantage et ça, de façon très subtile. C'est un procédé plutôt vicieux, mais c'est elle. Elle est très intelligente, elle calcule le moindre de ses mots, le moindre de ses actes et il est difficile de la faire sortir de ses gonds. Tout comme il est difficile de la sortir de ses livres. Oh, très souvent ce sont des livres de cours qu'elle travaille avant la rentrée ou qu'elle n'a pas fini de travailler l'année durant. Elle n'a pas beaucoup d'amis pour cette raison et ce, malgré sa face angélique totalement fausse, elle a de l'ambition à revendre et n'hésitera pas à s'allier avec des personnes aussi intelligentes qu'elle pour parvenir à ses fins. Elle a cependant un goût prononcé pour une chose dont peu de femmes assumeraient : les hommes. Elle les croque, elle les dévore. Très souvent, c'est par intérêt. Pour tirer un quelconque bénéfice, rares sont les hommes qu'elle a touchés pour le plaisir, ils se compteraient possiblement sur les doigts de ses deux mains. Et puis, elle est difficile. Déjà, elle est sadique. Elle ne joue pas que mentalement avec les gens, elle peut se montrer forte d'esprit et parfois violente. Cependant, elle est à la fois le Ying, à la fois Yang dans cette façon d'être. Je n'irai pas trop loin, je dirais seulement qu'elle est masochiste, elle pourrait facilement se laisser souffrir dans tous les sens du terme soit pour son intérêt personnel ou tout bonnement pour le plaisir que ça lui procure. Elle se contrôle. Elle a un certain équilibre qui fait qu'elle ne flanche pas et ne devient pas folle. De toute manière, elle se contient, ceci n'est que sa véritable nature, perfide et parfois qui manque d'un peu d'humanité. Cependant, ce n'est pas qu'une perfidie sur pattes, elle a tout de même un peu de positif dans son être. Elle reste une femme élégante, calme. Elle parle toujours aux personnes qui l'entourent par « Monsieur, Madame, Mademoiselle » etc... Jamais elle ne prononce un prénom, trouvant alors que cela marque un rapprochement, une intimité avec une personne qu'elle ne désire pas. a little something from you. Cette enfant ressemble à une princesse, allongée sur son lit, envahit par le plus profond des sommeils, elle ne se rendait pas compte de cette forme qui prenait vie à côté d'elle. Cette forme flotte au-dessus du sol, prenant petit à petit une forme de ... bête féroce? C'est plutôt surprenant à vrai dire. Le suspens est à son comble, l'impression qu'il s'apprête à la dévorer est proche. Réveillée par cette lumière blanche émise par le spectre de brume, elle ouvre les yeux et dans la seconde, pousse un gémissement de peur. ❝ Qu'est ce que c'est ?! Va-t-en ! Sors de ma chambre, créature ! ❞ Dans un élégant mouvement de pattes, il s'approche d'elle en sautant sur le lit. « - Calmes-toi, je ne vais pas te manger ! » La tête se penche sur le côté, la bouche s'entrouvre. Elle est surprise de le voir parler ! Un animal sauvage qui parle, première nouvelle ! ❝ Qui es-tu ? Que fais-tu là ? Tu me veux quoi à la fin ? ❞ pesta la jolie blonde alors que son dos cognait contre son armoire. Elle n'était pas rassurée, cependant, elle gardait son assurance face à cet être de brume complètement ... intriguant ! L'animal descendit du lit et s'assit. Soudainement, il devint « vrai ». De chairs, d'os et surtout, un pelage aussi noir que l'ébène. Aussi noir que l'esprit de sa maîtresse. « - je suis toi. Du moins, une représentation animal de ton être : un diable de tasmanie. Je suis là pour te protéger, te répresenter. Je ne te ferais jamais le moindre mal, crois-moi. » Il fermait les yeux, avant de les rouvrir vers elle. Soudainement, elle se sentait soulagée. Elle avait envie de le croire. Elle s'accroupit, se rapprochant du Diable alors qu'il s'allongeait sur le ventre. Il était magnifique. Pas très gros comparé à ce qu'elle aurait cru d'une bête sauvage mais ça n'enlevait rien de sa beauté. Rares sont les animaux comme lui. L'impression était forte qu'il était unique. « - Tu as un prénom ? » demandait-elle, sans se rendre compte que ses lèvres n'avaient pas bouger d'un pouce. « - à toi de me le donner. Je te préviens, je suis une femelle. Je ne te laisserais pas tranquille si tu m’affubles d'un prénom grotesque ! » La belle blonde passe ses mains dans la fourrure du de la bête, il s'en délectait. Rare les fois où elle était gentille, mais … si elle est avec elle-même, elle ne peut que montrer de l'affection. « - Princesse. Parce que je suis ta reine. » souriait-elle. Le diable rugit, la faisant tomber sur le sol sous la surprise. Il la remercia pour ce nom magistral. Puis soudainement, elle se lève et saute sur le lit. Contre toute attente, elle changea de forme. Étonnement, elle prenait la forme d'un cygne... de couleur noire ? ❝ Un cygne ? En quoi suis-je lié à cet oiseau ? ❞ demanda t-elle timidement. « - L'élegance, la grace, le calme, la fragilité... ça te correspond un peu. » Princesse ne répondit plus par la suite.
Par la suite, elle devint très proche de son patronus. Contrairement à ce qu'elle était habituellement, jeune demoiselle appréciant la solitude sauf pour la présence de certaines personnes, elle s'est trouvée une alliée avec qui elle s'entendait bien. Un sentiment profond l'envahissait en sa présence, elle avait totalement confiance en Princesse, chose qu'elle était incapable de ressentir pour le commun des sorciers. Cependant, elle respecte son bien-être. Elle ne se permet pas de critiquer ses choix, ses actes ou mêmes ses plans plus lugubres les uns que les autres. Princesse sait qu'elle n'aime pas qu'on la contredise, pour la bonne raison qu'elle est pareil qu'elle. D'ailleurs, elle prend la plupart du temps sa forme de Diable de Tasmanie, mais quand elle se sent d'humeur légère, le diable fait place à un cygne noir. Celle-ci vole autour d'elle, sans franchir le périmètre qui pourrait la faire souffrir de cet écart. D'ailleurs, elle se permet de voler en balai de temps à autre, à faible hauteur au-dessus de l'eau. Elle n'est pas aussi douée qu'un joueur de Quidditch, mais de rendre le cygne noir libre de voler à sa volonté, la rend aussi bien mieux dans son esprit, un apaisement parfait, une liberté à se délecter autant que l'on veut. You're not a sad story.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le premier sentiment qui anime le cœur d'une enfant. A la place de la « Joie », nous avons la « Douleur ». Des cris se font entendre dans le Manoir des Mills. Que se passe-t-il ? Je pars à la recherche de ma famille, levant le pan de ma robe pour courir plus vite. Derrière moi, arrivent ma mère, mes soeurs et le reste de la famille présentes ce jour-là. Je vois mon père en prise avec d'autres hommes, les voix sont fortes, je n'arrive même pas à comprendre ce qu'ils se disent. J'ai envie de crier. Laissez mon père tranquille ! Partez! mais je ne trouve pas le courage. Ses trois hommes me font peur, mes tripes forment des noeuds dans mon ventre. Puis explose mon corps en mille morceaux lorsqu'un éclair de couleur vert frappe violemment le corps de mon père. Celui-ci s'écroule sous mes yeux et je ne sais que faire. J'entends mes soeurs pleurées, elles ont compris, peut-être, mais je n'arrive pas à me rendre compte que le corps de mon père ne possède plus de vie. Ma mère pleure, ma tante retient Lumen. Quant à moi, mon visage reste impassible, mais le reste de mon corps réagit. Mes yeux se ferment. Mes jambes cèdent et tombent sur le sol. Mes yeux ne fixent pas le corps inanimé alors que mes tripes explosent, se retournent et me donnent envie que d'une chose. L'elfe de maison apparaît à mes côtés et en peu de temps qu'il n'en faut, il me laisse vomir à foison dans le seau qui a glissé sous mes lèvres. ❝ Enlèves ça ... ❞ suppliais-je alors que d'un claquement de doigts, tout le vomis disparaissait. On ne sait jamais si ça me reprenait ? Après tout, mon monde s'écroulait à cet instant, cet exemple parfait de ma vie venait d'être démolis par trois inconnus.
J'étais sous le choc, impossible de réagir, d'exprimer le moindre sentiment au travers de mon visage. Tout le monde se tenait autour de mon père, j'ai envie de crier, mais je n'y arrive pas. Cette douleur qui m'envahit est tellement nouvelle. Je comprenais bien trop vite les choses alors que je n'ai que neuf ans. Je me suis attachée à cet homme, qui malgré l'éducation de fer qu'il nous offrait, était mon père, mon patriarche, l'homme de fer et qu'il m'était impossible de détester. Je comprenais que cet attachement à lui était une faiblesse, que des sorciers ingrats m'ont arrachés une partie de mon être sans se soucier des conséquences que cela pourrait avoir. J'inspire un bon coup, je n'ai pas le courage de m'approcher, de le toucher une dernière fois. Je voulais garder cette image de l'homme fort qu'il m'avait laissé par le passé. Je sais qu'il ne reviendra jamais, mais je sais aussi que je dois garder un bon souvenir de lui. Je me laisse alors guider sur le côté, me levant et fixant alors le mur pour ne pas voir la scène. Ma mère m'appelle, elle me veut dans ses bras, mais je ne suis pas capable de m'approcher. Ne m'obliges pas à ça, par pitié. je sens une petite main agripper ma cheville, je ne sais pas qui c'est, mais dans un plop, je sens que l'ambiance de la pièce a changé. Mes yeux se lèvent et je comprends : je suis dans ma chambre. « Reposez-vous, maitresse. » dit la petite voix de l'elfe alors que je me laisse tomber sur mon lit.
Mes lèvres mordent l'oreiller, mes mains martèlent le matelas dans le seul but d'étouffer les grognements de rage qui sortaient de ma bouche.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Quand une mère et sa fille se retrouvent. Cest pour le moins la meilleure éducation à donner à son enfant. Je n'ai que dix ans, mais j'impressionne déjà par ma maturité et ma sagesse. Je ne comprends pas pourquoi autant de surprises, je me contente d'essayer de comprendre ce qu'il se passe autour de moi. Et de soulager ma mère de cette douleur qui nous handicape tous. Elle avait été une grande femme pour moi, aux côtés de mon père, j'admirais sa droiture, mais depuis qu'il est parti, je ne retrouve plus tellement cette femme saine d'esprit. « Je ne pensais pas qu'il finirait par me manquer ainsi. Je compte sur toi pour faciliter la vie de tes sœurs. On doit toutes se serrer les coudes, aller de l'avant. Je ne me sens pas assez forte pour tenir le coup. » Et encore, elle était calme, elle avait encore un peu d'humanité... jusqu'à ce que. « Tout cela est de la faute de ses moldus ! Ma fille, fais attention, ce sont des êtres inférieurs qui essaient d'accaparer notre magie. Petit à petit, le monde des sorciers diminuent en beauté, ils sont ... comme une maladie incurable, ils se répandent et tuent ce que nous sommes. Ce sont comme des rats, facile à jouer. Mais ils sont voraces, il faut s'en méfier... Les Mills risquent de s'éteindre, tout l'espoir est entre les mains de ton cousin Setheleth. » Je la regarde, aucune réaction se fait de ma part, elle parle d'une voix lente, comme ci elle était dans un autre monde, elle est … évasive. J'enregistre chaque mot, essayant de séparer ses propos de femme sénile de ceux véritablement profonds et concrets, ceux que mon père aurait pu dire par le passé. ❝ Mère, les moldus … ils sont comme les enfants qui pratiquent la magie et viennent à Poudlard. Alors, je risque de tomber malade si je les touche ? ❞ demandais-je à ma mère en toute innocence. J'espérais qu'elle me répond avec discernement. Je redoutais la maladie, les symptômes en tout genre. Ce sont comme des rats, les rats apportent les maladies, c'est pour cette raison que j'en ai la profonde horreur. Ma mère me répondit d'une voix vague, comme ci elle pensait à autre chose. Je soupire, elle part encore dans ses pensées, ses délires de femme qui perd la tête à cause de la perte d'un être aussi proche que l'était mon père. Je me sentais encore plus dégoûté de cette discussion avec ma génitrice.
Je m'assois alors sur un banc, elle m'y rejoint. « Ne t'en fais pas. Je te protégerais d'eux. Et puis, quand tu iras à Poudlard, je te conseille de te concentrer sur tes études ! Les amis sont secondaires! » Je roule des yeux, mettant fin à cette discussion. ❝ Ne vous en faites pas, Mère, je saurais faire la part des choses ! Je ne suis plus une enfant, considérez moi comme votre égal ! ❞ Et malgré ma maturité, je restais une enfant qui voulait être plus grande qu'elle ne l'était. Je l'assumais, je m'en moquais que ça puisse gêner. J'avais besoin de grandir, je ne voulais pas être cette innocente enfant qui souffre de l'absence d'un père. Car à présent, même s'il laisse un vide, je ne ressens plus rien à présent. Je me forge cette image solide de ma personne, non touché par son éducation, une demoiselle polie, gentille et surtout, propre sur elle. Si seulement ça pouvait continuer ainsi.
Elle continue de déblatérer sur les moldus, qu'ils sont néfastes... Puis elle repense à mon père et je sens que c'est encore plus trouble dans son esprit. Je pousse un long soupir, découragé. Je ne savais pas quoi penser de notre discussion. Ma mère était totalement sénile, la preuve en est qu'elle décida d'aller rejoindre ma tante pour discuter avant le déjeuner, me laissant seule sur ce banc. Elle perd la tête et ce n'est pas la première fois que je le remarque. Un sentiment de mépris envers elle naît en vivant à ses côtés. Elle m'exaspère, m'énerve au plus haut point. Mois après mois, je m'écartais d'elle, de cette folle qui n'avait qu'à présent le statut de génitrice. Je ne ressens plus du tout de fierté lorsqu'elle applaudit quand je suis en cours de danse, que je me débrouille de mieux en mieux quand le professeur en fait la remarque lorsque mes petites boucles volettes avec légèreté lors d'un arabesque. Et pourtant, ma tante me dit que je n'ai pas à lui en vouloir, elle qui sent mon éloignement, que ma mère est juste secouée, qu'elle s'ennuie de l'absence de mon père. Seulement, je n'arrive pas à l'accepter comme elle me le dit.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Quand l'enfant devient grand et se prépare à entrer dans la cour des grands. Ma main se pose sur la cage de l'oiseau, il a disparu. Il reste seulement quelques plumes. Je vois alors une petite chose blanche bougée au loin, je m'approche lentement. L'oiseau cherche à manger, il a faim. Maman a encore oublié de nourrir l'oiseau. Je m'approche, mais la vipère a été plus rapide que moi. Elle mord l'aile de l'oiseau, mais je me venge rapidement. J'attrape le premier caillou qui me vient sous la main et je le jette sur la vipère. Cette dernière change alors de chemin, l'oiseau était blessé, il ne risquait pas d'aller loin. Il siffle, il s'approche. Mon coeur se met à battre soudainement. Et pendant une seconde, j'ai crue que c'était une possible maladie du coeur, je comprenais que c'était la peur de me faire mordre par cet animal remplis de maladies qui me faisaient plus peur et qui crispait mes muscle. Je ne bouge pas, j'ai trop peur ! Je me concentre sur la vipère qui s'approche et d'un coup ... elle devient plus grosse, plus volumineuse. Non, ce n'est pas un sortilège, on dirait qu'on lui souffle dans le corps pour former un ballon en peau de serpent ! Mes yeux sortent de leur orbite en voyant le serpent s'élever dans les airs... ❝ Par Merlin... ❞ murmurais-je en voyant le serpent. Je sors mon petit mouchoir blanc et je l'attrape avec précaution. Je cours jusqu'à la porte du manoir où ma mère arrive, je lui montre le serpent. Elle pousse un gémissement d'horreur alors que je le lâche devant elle. Elle s'évanouit sous mes yeux, surprise par l'horreur écaillé qui était sous ses yeux. Je secoue la tête, dépité. Je lâche alors le serpent qui s'envole dans les airs. Ma mère se réveille et voit ce ballon dans les airs. Tendant sa baguette, le serpent explose. « On va éviter qu'il ne soit trouvé par n'importe qui. »ajouta-t-elle avant de rentrer. Je la suis et la dépasse pour aller jusqu'à la cuisine. Les elfes de maison sont en train de préparer le repas, mais je ne m'en occupe pas. Je vole un couteau et je cours dehors.
Je retourne sur mes pas, retrouvant alors l'oiseau qui sautillait en piaillant. Je m'agenouille à côté de lui, l'observant. ❝ Ne bouges pas. ❞ Et dans un coup sec, l'animal ne fit plus un bruit. Je retire le couteau alors que j’entends ma tante qui peste. Je le jette au loin, alors que je retourne vers elle. ❝ Que vous arrive t-il ma tante ? ❞ Elle se retourne, me montrant la cage vide de l'oiseau. Je comprenais soudainement que je venais de faire une erreur. Mais, je sais déjà comment me sauver. Je pleure. Mes larmes viennent si facilement que ça ne fait qu'ajouter du crédit à ma scène théâtrale. ❝ Je l'ai trouvé ! Il est là-bas, un serpent l'a croqué mais il est mort ! Je ne suis pas arrivée à temps ! ❞ Elle me prend dans ses bras, tapotant mon dos en me disant que ce n'était pas grave. Je pose ma joue contre son épaule alors qu'elle me ramène à l'intérieur. Un faible sourire se dessine sur mon visage. Qui pourrait accuser une demoiselle aussi douce et fragile que moi ? Elle essuie simplement mes larmes et m'offre une chocoballe pour me réconforter de mes pleurs. Je lui offre un tendre sourire pour la rassurer. Je vais faussement mieux.
Quelques temps après, je reçus ma lettre pour intégrer l'école de sorcellerie : Poudlard. Je me sentais fière. Je suis la première Mills à y entrer, en même temps, Roderick Mills n'est qu'un souvenir pour moi que je ne tenterais pas de ranimer.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]L'enfant grandit, elle est en bonne santé et évolue à son gré. Que dire de mes années à Poudlard ? En réalité, pas grand-chose. Ma vie se résume à un jeu de manipulation pour obtenir des faveurs. Je suis aux yeux de tous, une demoiselle bien élevée, élégante, et surtout polie. Jamais un professeur n'a élevé la voix contre moi. Jamais je n'ai eu de mauvaise notes. Sauf pour les cours de soins aux créatures magiques. J'avais une tendance à vouloir mettre tout le temps des gants pour éviter les maladies. Pour la botanique, j'étais étrangement plus à l'aise, on peut mettre des gants, au moins ! Je sais que j'ai longtemps eu cette réputation de princesse. Mais je n'y arrive pas, la peur des saletés, des maladies sont plus fortes, je ne peux pas lutter contre cette partie naturelle de ma personne. Qui plus est, aussi, parce que j'ai longtemps refusé de participer aux bals, aux clubs en tout genre à Poudlard pour la simple raison que je devais travailler sur mes cours. La moitié du temps, c'était vrai. Je travaillais, mais je prends plus de plaisirs à lire un livre sur un banc que de subir la présence de certaines personnes.
Ma vie semble monotone et s'anime seulement quand je décide de m'amuser un peu. Comme ce garçon de cinq ans mon cadet, il est amoureux de moi. Ou du moins, je dirais plutôt qu'il m'admire. Nous faisons partie de la même maison et depuis son arrivé, il me donne l'impression de vouloir être mon « ami » malgré la distance que je mets. Alors, je joue le jeu. J'aime jouer après tout. Ils pensent tous que je suis fragile, douce et polie. Je n'ai jamais fait preuve d'impatience envers ce petit, alors, il fait tout ce qu'il peut pour répondre à mes volontés. Un véritable larbin qui passe pour un amoureux transit . Quelle pathétique histoire, je peux vous le dire ! Mais je suis comme ça, je n'éprouve aucun remord à faire vivre ce genre de choses à un enfant plus jeune, plus faible. Puisqu'évidemment, rares sont les élèves dont le mental surpasse le mien. Je l'admets, je suis vicieuse, rusée et perfide. Mais c'est moi et je n'y peux rien. On ne peut pas aller à l'encontre de sa nature.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Il suffit d'une personne pour ébranler l'être infâme, pour l'affaiblir et l'accompagner dans ses délires. Ce garçon est accoudé au mur, se penchant sur ma douce nuque alors que mes yeux sont évasifs. Il m'ennuie et franchement, j'aimerais bien m'enfuir. Seulement, je suis trop polie, trop fragile et bien trop adorable pour repousser un garçon aussi important que lui. Son père travaille au ministère de la magie, cela pourrait me faire une relation de plus. Je laisse mon regard se perdre dans la douceur de Pré-au-Lard alors qu'il se perd finalement dans celui d'un Inferi. Du moins, c'est ce que j'ai cru au début. Ce garçon, entièrement tatoué passa devant nous. Mon attention en est éprise, je le regarde et j'aime. Je me demande qui c'est, je retiens souvent les noms et les visages, mais là, je n'en sais rien pour le coup. Mais il disparaît trop vite. A contre cœur, mon regard se pose dans celui de l'ancien amant. Je prétexte un devoir à terminer et je m'enfuis dans les rues plus sombres du village.
Dès l'instant où plus aucun regard ne pouvait être captivé par ma silhouette, je sens une force m'attirer et me plaquer contre ce mur. Je me retiens à temps pour ne pas abîmer mon visage, alors que je penche ma joue sur le côté pour voir mon agresseur qui me plaquait contre cette paroi de granite. Le squelette, l'inferi. Le son de sa voix me percute et tout de suite, je le reconnais. Je ne côtoie pas beaucoup de personnes, mais je retiens facilement les noms. Ma respiration se ralentit et cette odeur ferrique parvint à mes narines. ❝ Mr. Brown, que me vaut le plaisir de cette étreinte chaleureuse ? ❞ Ma langue passe lentement sur ma lèvre, intriguée par l'action du Serpentard. Cependant, il faut connaître son ennemi avant de l'agresser. Ou peut-être m'a -t-il mal jugé ? Ma main glisse le long de ma cuisse découverte, de l'étui dont la ceinture entoure ma cuisse, j'en sors ma baguette qui électrise le squelette pour l'écarter de moi. Pas de beaucoup, il reste un homme très fort. ❝ Et bien … répondez, Mr. Brown. ❞ Un fin sourire pervers se joue sur mon visage alors que je remets ma robe en place, mes cheveux en une natte dorée sur le côté pour laisser mon cou libre à la vue. N'est-ce pas appétissant ?
Mon corps se crispe en sa présence, il veut jouer avec moi. Il veut me faire du mal. Je neconnais pas sa limite alors je me méfie. Je disparais.
Je referme mon livre, la bibliothèque va bientôt fermer ses portes. D'une allure élégante, comme toujours, je prends la direction de la salle commune. C'est alors que ce parfum enivrant et cuivré parvint à mes narines. Plus rapide que mes pensées, mon corps se retrouve dans la pénombre d'un angle, alors que son corps se presse contre le mien. Je n'ai pas besoin d'utiliser ma baguette pour savoir qui est là. ❝ Mr. Brown. Quel plaisir de vous revoir.❞ Combien de temps s'est passé depuis la dernière fois à Pré-Au-Lard ? Je n'en sais rien, et à vrai dire, je me concentre sur l'instant présent. Mon corps s'excite de ce danger. J'aime le sadisme, j'aime aussi avoir mal. Mais la méfiance a toujours été de mise, il me semble fou et je tiens qu'à ma vie alors, je tiens à lui démontrer qu'il se trompe. Je ne suis pas fragile, je ne suis pas douce.
Mon corps s'excite, se crispe et mes lèvres se referment sur la sienne avec une force incommensurable. Je ne lâche que parce qu'il m'a fait violence. Mes yeux essayent de capter les siens malgré la pénombre. ❝ Qu'avez-vous cru, Mr. Brown ? Arrêtez de mal me juger. ❞ Un sourire mesquin se dessine sur mes lèvres. Il avait de la chance d'être dans Poudlard, si nous étions hors de ses murs, je l'aurais obligé par les sorts à se mettre à genoux, un sortilège interdit pour le jeu, pour jouer. J'aurais tellement aimé continuer ma discussion, mais Rusard approche. Je me rapproche rapidement de Dante et je dévore sa bouche. Mes dents serrent avec langueur sa lèvre, mes ongle griffent sa nuque tatouée. ❝ Ce changement vous va à ravir, Mr. Brown. ❞ Mon index passe rapidement sur le menton du Serpentard avant de m'enfuir élégamment en direction de la salle commune. Je fuis toujours, ça me frustre, mais je dois rester méfiante. Il est violent, il est fou. La plupart des gens ont peur de son aspect, moi je m'en moque. Au fond, ce n'est pas son physique qui m'attire, mais sa personnalité. Quelque chose en lui me rappelle ma propre folie. Jusqu'où est-il allé ?
Il a réussi, il m'a eu. Ma baguette est trop loin pour que je la rattrape, mon crâne est plaqué contre l'herbe fraîche. La respiration trahit mon excitation, ma poitrine se soulève à une allure hallucinante. Je ne réagis pas à cette situation, mon visage reste neutre. ❝ Est-ce une manière de traiter une dame, Mr. Brown ? ❞ questionnais-je. Rester classe et élégante jusqu'au bout. Du moins … quand je suis calme. Cette agression n'est pas de mon goût, je n'ai pas confiance en lui. Qui aurait confiance en un fou ? Un fou qui veut faire de vous sa victime ? Et pourtant, j'apprécie, j'aime ce danger, mais j'aime aussi le contrôler. Mes jambes s'enroulent autour des siennes, comme prête à me laisser « baiser » par cet énergumène ! Seulement, c'était sans compter mes beaux talons provenant de France. C'est à la mode chez les sorciers, vous savez ? Le talon se loge quelques instants contre son mollet, encore perfide que je suis, je ne peux pas l'avoir par la force, il est plus fort, plus fou que moi. Je me retrouve à le pousser, à me retrouver à califourchon sur ses hanches. Mille idées s'emparent de moi.
Mais cette fois-ci, je ne fuirais plus.
Ma langue vient prendre soin de la sienne, mais c'est sauvage. J'espérais intérieurement qu'il ne s'attendait pas à des attentions goût vanille. Ma main se loge sur sa gorge, cherchant à étouffer le mal qui était entre mes doigts. J'aurais dû profiter ces sensations, car je déchante vite. Il est fort, puissant, dangereux. [...]
Je ne pourrais vous raconter la suite, c'est trop violent, trop perfide ... la folie est de mise. Les enfants pourraient se sentir choquer de ce que font deux jeunes adultes complètement fou tous les deux. Mais c'est la naissance d'une étrange liaison entre un homme et une femme.
Je n'ai jamais accepté d'aller plus loin que ces baisers voraces avec « Mr. Brown ». J'ai peur de trop aimer, d'exploser en millions de particules. Sa présence me suffit, nos échanges violents m'amusent et me distraient. Je souris plus, je m'amuse encore plus et je me joue encore plus de tous ses enfants novices du monde qui m'entoure. Dante Brown & Laura Mills-Davidson, c'est une drôle d'histoire. Comment une fille aussi douce, aussi fragile arrive à rester en vie aux côtés de cet homme ? Comment reste t-elle en vie ? Si tout le monde savait la vraie nature, celle que Dante Brown a su déceler en elle, ils comprendraient tous qu'ils sont issus de la même folie, du même bain de sang. Il faut juste ouvrir les yeux...
Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Chucky, 20 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Je me souviens plus ϟ Personnage: Scénario de Dante & Famille Mills. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Ouaip'. Je vous laisse deviner. ϟ Présence: Tous les jours, malheureusement pour vous. ϟ Une remarque? Vous nem . & Dante a approuvé ma fiche
Dernière édition par Laura E. Mills-Davidson le Lun 19 Aoû - 12:32, édité 8 fois |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Dim 18 Aoû - 16:55 ( #) | Tu sais très bien dans quel état je suis. Ta présentation est parfaite. Tu es parfaite. Je t'aime déjà. |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Dim 18 Aoû - 17:03 ( #) | Gardes ton énergie pour plus tard. Je sais, je suis la perfection depuis ma naissance. Je t'aime aussi, à la vie & à la mort. |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Guest, Dim 18 Aoû - 17:20 ( #) | Rebienvenue chou |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Dim 18 Aoû - 17:31 ( #) | Re Bienvenuuue Natalie GOOOOT |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Guest, Dim 18 Aoû - 18:20 ( #) | Rewelcome bella !!! Ce qu'elle est sexy cette fille... TU L'AURAS !!! |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Dim 18 Aoû - 18:32 ( #) | Rebienvenue |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Dim 18 Aoû - 21:17 ( #) | nathalie re-re-bienvenue ma belle |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Dim 18 Aoû - 23:10 ( #) | Merci à tous ! |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Guest, Lun 19 Aoû - 0:12 ( #) | |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Lun 19 Aoû - 1:29 ( #) | Merci Braonàin |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Lun 19 Aoû - 11:00 ( #) | NAN MAIS.... toi + mon prénom + Mills-Davidson je sais que c'est un scéna mais rien que le fait que t'ai pris notre famille, je décède mais bref REBIENVENUE COUSIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINE je vais passer te valider sous peu |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Lun 19 Aoû - 11:21 ( #) | DAEEEE Je suis contente que ça te fasse plaisir & j'ai hâte que tu passes |
| Le Choixpeau Magique pnj - we are all subjects to the fates Répartition : 19/01/2013 Hiboux Envoyés : 2104
| Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Le Choixpeau Magique, Lun 19 Aoû - 11:41 ( #) | Il y a quelques modifications à apporter à ta fiche avant de pouvoir te valider. Tout d'abord, les lions noirs n'existent pas (les images d'internet étant des montages) il va donc falloir trouver la forme d'un animal bien réel pour ton patronus. Ensuite, en ce qui concerne ton écriture, je vais te demander d'enlever les quelques "&" que j'ai pu trouver, étant donné que ce ne sont que des abréviations; et également, il faudra bien te relire, il persiste des fautes d'accords qui peuvent être évitées, notamment en ce qui concerne les mots en -é et -er que tu as tendance à confondre. Merci Il faudra également attendre 3 jours que l'autre Laura ait fini sa fiche ou non |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Invité, Lun 19 Aoû - 12:37 ( #) | Au final, il semble que l'autre Laura abandonne le personnage (elle a mp Dante) Du coup je repasse avec le choixpeau |
| | Re: Laura Enyo Mills-Davidson. ϟ « Le diable représente en quelque sorte les défauts de Dieu. Sans le diable, Dieu serait inhumain. »par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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