BELLUM PATRONUM


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C. Utah Wilson
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Message C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 4:41 (#)
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Chase Utah Wilson
FEAT. Ben Haggerty / Macklemore
20ans ϟ Offensive magique ϟ Renard Arctique ϟ Sang mêlé

« Irresponsable, ... comportement dégradant, .... une première journée d'école, mais n'avez-vous pas honte ? » Embarré dans un bureau grand comme une armoire je ne dis mot, laissant le professeur face à moi faire les cent pas, le laissant crier au meurtre devant tant d'inconscience. Les regards se croisent, des rictus se forme, faut pas faire attention, les bureaux exécrables on connait trop bien ça. Oh et puis ce n'est pas comme si quelqu'un avait été VR-AI-MENT blessé. C'était juste une petite bagarre, une toute petite bagarre. Blondinet aura peut-être un oeil au beurre noir, mais il m'a quand même cassé le nez. Ce n'est pas non plus comme si on n'était en perpétuelle chicane, lui et moi, c'est la famille ! Avec les deux autres qui nous attendaient à quelques mètres de là -Théoriquement, aucunement, mais pratiquement, on se connait depuis les suces et couche-culotte, peut-être même qu'on se criait des insultes et des secrets à travers les ventres de nos mères - S'il y a une chose à savoir des Australiens, c'est qu'ils sont bons pour ce boxer le nez et nous on ne fait pas encore exception à la règle. D'ailleurs la boxe est mon sport favori ! Oh, merde. Pourquoi il nous fixe en silence comme ça lui ? Il sait bien qu'il n'y avait rien de malsain dans tout cela, il m'a simplement filé une raclé parce que j'ai embrassé - un malheureux baiser, nom de dieu ! - l'amie de sa petite soeur et que je n'avais nullement envie d'entamer une relation sérieuse. Il fallait bien, par principe, qu'il me tâte de son poing. Seulement par principe eh, parce que si cela avait été un autre cas, le high-five aurait été de mise. Non. Tu ne m'enverras pas en retenue, c'est la première journée d'école, tu pourrais bien être gentil pour une fois, non ? Non. Il me tend un bout de papier que j'attrape en ronchonnant, tu veux vraiment nous emmerder aujourd'hui. ¨Rapport à la direction et au Haut Ministre de la Magie.¨ Ah bon ? Voilà, ma mère va me tuer à coup de balai et mon père ramassera les restes pour n'en faire qu'une bouillie pour les chats. -Ce n'est pas comme s'il n'était pas capable de me faire cela ce vieux sorcier. - Je serai mieux de disparaître, de trouver la cape d'invisibilité, de me cacher quelque part où personne ne me trouvera jamais, parce que ce serait plus doux que la mort qui me guette. « Vootre nooom? » Un croassement désagréable monte du papier, au nom de dieu, je ne pourrai quand même pas faire disparaître un véritable rapport officiel. « Chase Utah Wilson », ce serais le tour de Blondinet par la suite il faut croire. « Dateee de naissancee ? » « 4 mai 1959», « Positiion sociiale ? » je lance un coup d'oeil au professeur, nan. Les rapports officiels ne demandaient jamais le degré de notre sang, jamais. Mon poing se serre, froissant le bout de papier en une petite boule que je lançais dans la corbeille. OHH ! Et c'étais un lancé parfait mon cher ami ! « Cher professeur, je n'apprécie guère que l'on me prenne pour un imbécile. » À voir le rictus amuser sur son visage, il s'était bien moqué de nous le vieux filou. Je pris mes cliques et mes claques et sortis sans plus de cérémonie. Quelle perte de temps.


a little something from you.

« Fucking cunt ! C'pas un prof ça, c't'une merde informe.» «Cunt jar bra' !» « Oh. Lâche moi les couilles avec ça !» Je sortais quand même une pièce de cuivre de ma poche pour l'envoyer valser sur la tablette où les pots s'accumulaient et débordaient de pièces en toute sorte. On aura pu penser que de vivre loin d'Australie neuf mois par années depuis les neuf dernières années nous auraient aidés à améliorer notre langage, mais les pots s'accumulaient dans notre dortoir, submergé par l'argent qui sortait de tout bord, tout côté. Mélange d'argent moldu et d'argent sorcier. C'était quoi l'idée aussi de se mettre tous les trois dans la même chambre ? Étendu sur mon lit, j'écoutais distraitement Kansas radoter des histoires, Dakota se moquer de lui et Alaska - invitée dans un dortoir réservé aux hommes - les taquiner à propos d'une fille qu'ils n'arrivaient aucune à attirer l'attention. Ce n'est pas faute d'avoir essayé, croyez-moi. Ne vous ai-je pas dit que nos quatre pères respectifs ont décidé, probablement pour nous emmerder, de nous nommer par des états américains ? Le quatuor Australien-Américain. Mais quelle connerie. Une paire de yeux bleue me fixait depuis le bout du lit, bleu comme la nuit, presque noir, la boule blanche semblait être mécontente. «What's up Watson ?» Oh. Il boudait le verrat. « Je pari que dans l'fond, tu veux juste que j'te fasse des calins, allez viens-t'en boule de poil. » Le bras relever pour lui faire de la place, oh il ne lui en faut pas gros pour qu'il se décide à ce petit manipulateur ! Il voulait juste me faire sentir coupable ! Le voilà qui s'enroule tout bien, tout chaud dans le creux de mon épaule, la queue sur mon torse. Watson de son prénom, il est mon acolyte et ma boule de poil. Un peu de chaleur la nuit n'a jamais fait de mal à personne et monsieur est un vrai parasite la nuit. Parfois je me demande s'il a manqué d'affection avant qu'il ne devienne chair et os.
 


You're not a sad story.


« Oh putain les gars, regardez le trésor que je viens de trouver ! » « Y'as pas que des gars ici, Kansas ! » « Oh, on a compris là, t'es une fille, arrête de nous emmerder avec ça et rapplique toi ! » Je me levais lentement, un sourire en coin devant leurs habituelle rengaine. J'espère au moins que ça en vaux la peine, parce que j'ai pas fait tout ce chemin pour rien, mon lit était des plus confortable ! Et puis Watson me regardais d'un œil mauvais, je l'avais laissé en plan ce vieux rabougrit, il n'appréciais guère. Je pris le morceau de papier que me tendais Blondinet, ah, une photo. Non, des photos. Un mélange moldu/sorcier. Certaines étaient animé, d'autre restais fixe. Nos mères respectives avec leurs ventre de femme enceinte de huit mois, l'océan se déchainant derrière, nous quatre en couche-culottes sur une seule planche de surf lorsque nous avions à peine deux ans, 'laska crachant de l'eau sur un Dakota en pleur. Moi et Kansas remplie de boue, un sourire malicieux éclairant nos visages. Il y a en avais une centaine comme ceux-là. « Où est-tu aller chercher ça ? » « Je sais pas, elles étaient dans ma valise. » Un haussement d'épaule, un éclat de rire, je regardais par dessus l'épaule de 'laska pour trouver une photo de nous ainsi que de toutes la famille, seize bouts de choux, incluant nous quatre. « C'est quoi ça ? » « Une vieille cassette idiot » « Sérieux, il est où mon linge ? Il n'y as que ces machins et les photos dans ma valise ! » «Triple idiot ! T'as pas pris la valise de souvenir à ton père au lieu de la tienne ? Il t'avais pourtant avertit de faire attention !» Je jettais un œil à la valise, que des casettes et des photos en quantité industrielle. Ô mon dieu. On en avais pour des mois à regarder tout ça ! J'en pris une au hasard, « Comment on fait pour les regarder si on n'as ni télévision ni vhs ? » «Bande de bon à rien. » Elle sortit de la même valise un vieux projecteur à cassette « Ton père est un inventeur, mais pas n'importe quel et tu le sais. Il aime bien faire fonctionner les vieux appareils moldus avec de la magie, ce qui veux dire que celui-ci est fonctionnel ici. » « Tu est géniale 'Laska ! » Je l'as vit y mettre une cassette, je fermais les rideaux et tout d'un coup la projection s'étala sur le mur.

AUSTRALIE - 1976 (i crash my car into the bridge)
Un jeune homme, les cheveux blonds, il sourit à la caméra, assis sur sa nouvelle voiture.« Oh non. Pas celle-ci. C'est pas drôle ! » « Oh! Fait pas ton rabat-joie, Utah. On aime te voir t'écraser, nous !»
Il sourit à la caméra, « Allez, monte dans ta voiture, montre nous ce que tu es capable de faire ! » « J'suis sûr que je suis meilleur que vous tous anyway ! » Il monte dans la voiture, met la clé dans le contact, mais au moment d'embrayer, s'enfonce dans le mur de la maison. Silence. La lumière accrochée au mur se détache et tombe sur le capot. Des hurlements de rire se font entendre.
« Oh que j'adore celle-là ! Tu te souviens que ton père l'a mis en continue sur la télévision de la cuisine pendant toute l'année qui a suivis ? » « Oh. Ça va j'ai compris. Je suis nul avec les véhicules. » Ils sont tous là à se tordre de rire devant moi. Un rictus apparaît sur mes lèvres. Bon, d'accord c'est drôle, très drôle même, mais l'égo elle est touchée là !

AUSTRALIE - 1968 (throwing stones like a kid, make your way so easily)
L'image disparaît, remplacé par une autre, plus sombre, plus vieille aussi. Quatre jeunes assis à une table, tous font tranquillement leurs devoirs, m'enfin, tranquillement si on veut. L'un mâchouille son crayon, l'autre déchire une feuille et lance des petits bouts de papier à celui assis devant lui, l'une se tortille sur sa chaise, essayant de ne pas rire alors qu'elle dessine et le dernier est debout sur sa chaise imitant Jules César. Tout cela dans le plus grand silence pour ne pas avertir les parents. Et puis le mâchouilleur arrête de mâchouiller, le lanceur ouvre grand les yeux en arrêtant son lancer et la jeune fille se fige brusquement, seul le faux César ne remarque pas que dehors, une roche fonçait vers la maison, se dirigeant droit vers le jeune acteur. « Attention ! » mais cela ne fit que le faire se retourner, d'où il regarda la roche lui heurter l'estomac. Il se renversa sur la table, les yeux grands ouvert fixant le plafond. « C'était quoi ça ? » Il pris la roche pour la fixer quelque temps. « Ça, mon fils, ce doit être tes premiers signes magique.» « Ouais, alors pourquoi ça m'a frappé ? » « Parce que même toi tu te trouve mauvais acteur. »
« Bon. J'ai compris, on va rire de moi toute la soirée c'est ça ? » Un museau froid se frotta contre ma main, même boule de poil riait de moi maintenant !

AUSTRALIE - 1963 (i can show you what you wanna see and take you were you wanna be)
Le noir encore et puis une image réapparait sur l'écran, cette fois-ci quatre couches-culotte sur leurs planches de surf. Oh, des petites planches, adapté pour leurs petits corps. « AH. AH. Enfin quelque chose où je ne me ridiculise pas ! » « Schh. On écoute nous. »
Les couches-culottes essaient tous de rester bien droit sur leurs planches, du moins l'un deux. Les trois autres sont assis en indien et refuse de se lever, ils en ont eu assez. Le petit téméraire est debout, mais à la moindre vague son petit corps est renversé dans l'eau. D'où son père le rattrape pour le remettre sur la planche, le manège dure quelque temps puis enfin le jeune se lève et reste debout, ne tombant plus à la moindre vague. Il réussit même à faire quelques pas sur cette planche qui a pourtant été un véritable enfer quelque temps auparavant. Il se retourne, un grand sourire aux lèvres, enfin il est debout ! Il exécute une petite danse avant de se retourner et de regarder l'océan. Il reste quelques minutes encore debout, c'est déjà un bon départ pour une petite crevette.

AUSTRALIE - 1970 (I ain't gonna wait around)
Une scène de chaos apparaît sur l'écran, quatre lettres sont arrivées au petit matin. Quatre lettres bien distinctes par l'estampe apposé sur chaque enveloppe. On entend des cris de joie alors que les quatre adressés se précipite pour ouvrir leur lettre. On entend des cris, des rires, des explosions de joie, le visage d'une jeune fille apparaît en gros plan, tout sourire devant la caméra, elle explose de rire avant de fuir vers l'océan, les bras dans les air, la lettre au vent. Un autre petit garçon apparaît, criant de joie, suivant la jeune fille. L'avant-dernier saute dans les air avant d'atterrir sur le sable et de se rouler dedans en riant. Le visage du petit dernier apparaît, un petit blondinet, il lui manque une palette avant, il colle sa lettre sur l'objectif, le mot Poudlard apparaît en gros, il rit, enlève sa lettre.« Papa ! Papa ! Tu devineras jamais ! Je m'en vais à Poudlard!»

AUSTRALIE - 1976 (we are the reckless, we are the wild youth)
«Vous êtes tous punit pour les vingt prochaines années ! » L'image apparaît tranquillement après un vide noir où l'on n'entend que cette voix. Apparaisse à l'écran quatre jeunes, une mer de cadavres de bière devant eux. Les jeunes semblent ne pas prendre conscience de la menace, l'un apparaît en gros plan, étendu sur le plancher, les quatre fers en l'air, il semble beaucoup plus attiré par ses propres mains que par les cris de son père. « Je dis ça comme ça, mais je crois qu'ils ne sont pas que saoul. » Deux autres jeunes sont pliés en deux à force de rire, ils regardent celui qui est bien trop captivé par ses mains. Le quatrième est étendu dans son coin, le visage au sol, les jambes écarter, son vomit répandu près de lui. Une belle scène de déchéance humaine sur la plage. Celui qui semble malade se traine vers l'océan dans un bref éclair de lucidité, se disant qu'il était normal de se laver après avoir vomit. Il entre dans l'océan, essai de nager, mais est vite rejeté par les vagues et reste étendu sur le sable, l'eau venant lécher son corps. La jeune fille se lève pour aller s'étendre à côté du malade, il lui semble que c'est une bonne idée cette position, au moment de s'étendre, l'autre se relève subitement pour dégobiller sur elle. L'écran devient noir.

«Voir que papa à filmer ce moment-là. C'était franchement dégoutant. D'ailleurs tu aurais dû me dire que t'allais vomir Utah ! » «J'savais même pas que t'étais là... » «Anyway, on a mangé la raclé du siècle après cet épisode là ! Vous vous souvenez les gars ? » « Y'as pas que des gars ici. » « La ferme 'Laska. » « Nan sérieux, vous vous souvenez qu'ils nous on assigné à résidence tout l'été ? Et même l'été suivant il a tout fallu pour qu'il nous laisse sortir ! » « Ouais, c'est loin derrière nous tout ça. » « Pas tant. C'est juste qu'ils ne nous ont juste jamais attrapé de nouveau ! »

Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: 19bougies (presque 20. Je me fais vieille.)  & 'Lizbeth
ϟ Où as-tu trouvé le forum? uhm. Sur le groupe Je suis RPgiste et je m'assume
ϟ Personnage: Inventé
ϟ As-tu un autre compte sur BP? nooo.
ϟ Présence: uhm uhm. dépendament de mon cursus scolaire et ma charge de travail (qui n'est pas bien grosse pour l'instant) je dirais plus ou moins entre 4-5 jours de présence par semaine. Malgré que je risque de venir tout le temps faire un petit saut. (J'me sens intelligente en disant des mots comme ça. Mais dans le fond j'ai un pois à la place du cerveaux)
ϟ Une remarque? j'ai faim. et je suis merdique pour m'intégrée sur un forum  
[/i]


Dernière édition par C. Utah Wilson le Mer 11 Sep - 20:16, édité 31 fois
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 4:49 (#)
Bonjour joli monsieur bave :fitna: 

Bienvenue parmi nous Chou 
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 7:37 (#)
WAOUH. héhé bave

Bienvenue sur BP Brille
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Message Re: C. Utah Wilson
par Guest, Mar 10 Sep - 8:38 (#)
Saaaales Haww

Bienvenuuuue Brille
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Message Re: C. Utah Wilson
par Guest, Mar 10 Sep - 9:42 (#)
Bienvenue :coucou: 
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 11:27 (#)
Bienvenue à toi jeune homme ! Chou

Et crois moi, si TU as des difficultés à t'intégrer, c'est BP qui va s'intégrer en toi Robert47cm
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 14:42 (#)
Bienvenuuue toi :3

Bonne chance pour ta fiche, et j'aime beaucoup ton vava **
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Message Re: C. Utah Wilson
par Guest, Mar 10 Sep - 14:44 (#)
Bienvenue. hihi
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 17:01 (#)
Bienvenuuue Brille
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 17:06 (#)
merci à vous! Youpi 
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 17:40 (#)
    Quel beau monsieur que tu as là Robert47cm

    Bienvenue, j'aime déjà beaucoup ta façon d'écrire Haww
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 17:41 (#)
Bienvenue Haww
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 21:52 (#)
Merci à vous deux! :)
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 22:36 (#)
Bienvenue. Potté
J'aime le nom que t'a choisi. Daengelo
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Message Re: C. Utah Wilson
par Invité, Mar 10 Sep - 23:25 (#)
Bienvenue officiellement Haww
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Message Re: C. Utah Wilson
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