Narkisse n'est pas dépressif, contrairement à Phenicia. Lorsqu'il la rencontrée il était en dépression, mais depuis, il s'en est remis. Depuis, il a vraiment changé. Passant de garçon sans ambition autre que la mort à un jeune homme sombre et attiré par la magie noire. Il a soif de pouvoir et compte bien devenir un grand sorcier noir dans l'histoire de la magie. Il n'as pas de quête particulière, pas de partie prix de sang (même s'il déteste sa famille sang-pure et ses grands-parents qui les ont reniés.) il veut seulement être riche et puissant. Guidé par la phrase de l'un de ses ancêtres « pour le plus grand bien. ». Elle justifie chacun de ses gestes mauvais. Dans son futur idéal, il se voit ministère de la magie et à ses côtés il veut Phenicia comme femme. Femme à la maison bien sûr. Arrivera-t-il seulement à reprendre contact avec la jeune femme ? Encore pire dompter son caractère rebel pour la réduire à ce point à simple objet dans sa future grande demeure ?    

• Le reste de l'histoire est libre, sa naissance, son enfance et tout ça. Son adolescence marquée par sa dépression et sa situation maintenant.
  
  
• Le prénom est négociable, le nom de famille, très peu (sont cool les Grindelwald  ) et l'avatar l'est très peu.  
  
  
• Logiquement, pour assouvir son ambition de devenir ministre, son Cursus serait Justice Magique.
  
  
• Probablement beaucoup d'autre relations se grefferons à toi, si tu prend ce scéna. Beaucoup de mes admirateurs voudront te faire la peau et les filles te voudrons toutes pour elle (oui, oui, je te le dis  )
  
  
• Un minimum d'activité et un bon niveau rp est demandé parce que ce scénario est super important pour moi.
  
  
• PS. J'taime déjà.     Ramène tes fesses et n'hésite pas.   
  

Tu l'avais remarquée depuis longtemps déjà. Elle arborait une chevelure rose et courte à cette époque. Entièrement vêtue de noir, les poignets couverts et le regard violent. Ton regard ne pouvait plus se décrocher d'elle et de l'aura de mort qui la suivait comme une ombre. Tu ne savais pourtant pas comment l'approchée sans qu'elle ne te rejette avec la même violence qu'elle rebutait tous ceux qui la suivait de trop près. Le hasard à bien fait les choses. Un soir, alors que tu remontais de la bibliothèque, tu entendis un son provenant des toilettes de filles. Tu t'arrêtais, mais tu n'osais pas. Tu passais tout de même ton regard dans l’embrasure de la porte et tu la vis. Ses poignets découvert et ensanglantés, ses yeux baignant de larmes, le miroir brisé, la lame dans ses mains. Tu t'approchais et elle se retournait brusquement. Refermant de nouveau sa carapace solide pour te repousser toi aussi. Tu te retrouvais près d'elle alors qu'elle était sur ses gardes, avançant jusqu'au lavabo pour prendre l'une de ses lames déjà souillée. Dévoilant tes propres poignets cicatrisé. Tu enfonçais sa lame dans ta peau pour en faire ressortir ton sang encore et encore. Au moment où tu relevais tes yeux vers elle, Phenicia souriait doucement. Et puis, elle ne t'as plus lâchée. Vous étiez toujours ensemble, même si les gens autours de vous ne voyaient pas bien votre relation. Tu avais des sentiments pour elle, forts, destructeurs. Ton goût pour la mort avait trouvé une âme soeur, mais cela ne vous donnait pas pour autant une raison de vivre. Au contraire, vous vous êtes promis de mourir main dans la main, de vous enlever la vie ensemble. Ça devenait de plus en plus sérieux votre truc et votre entourage à été alerté, vous séparant brusquement l'un de l'autre comme Roméo et Juliette, mais vous, vous êtes pas morts. Pas l'un sans l'autre. Mourir ensemble, autrement ce serait une trahison. Le temps à passé et tu t'en est remis un peu, même si ton amour pour Phenicia ne mourrait pas. Elle, ne s'en remettait pas, elle ne se calmait pas, elle était hystérique, elle en était malade, elle frappait et hurlait sur tout le monde en refusant catégoriquement d'oublier votre idée. La voir comme ça te faisait mal, tu as donc convaincue ton entourage de le sien de vous accorder un dernier entretient. Phenicia était à la fois heureuse, mais pressée. Elle voulait que vous embrassiez votre pacte de mort immédiatement, mais tu ne voulais plus. Tu ne voulais pas la voir mourir, mais elle voulait encore mourir. Tu l'as convaincue qu'il fallait que ça cesse, que vous vous oubliez. Elle a accepté que tu t'efface de sa mémoire. Elle t'as oublié, elle ne sait même plus que tu existe et ce que vous avez vécut, mais toi tu le sais. Tu l'aimes encore, tu te demandes si tu ne l'aimeras pas le reste de ta vie. Comment retourner vers elle sans répéter l'histoire ? Est-ce seulement possible ?

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Terrence L. Ó Cathasaigh

FEAT. Xavier Samuel