| C. Astana Goodwin ~ J'aimepaslestitres :haww:par Invité, Dim 20 Oct - 21:46 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Callista Astana Goodwin FEAT. Jacqueline Emerson 20 ans ϟ Cursus secondaire, CURSUS ORDINAIRE ϟ Macaque ~ Gerbilleϟ Née-MoldueCallista Astana Goodwin, c’est une née moldue. Dans son ancien monde à elle, on la traitait de sorcière. Alors c’est sur qu’elle a eu du mal à se faire des amis - qui voulait trainer avec cette rousse à la mauvaise réputation ? Du coup, elle garde de cette enfance un petit côté associal et rêveur. Oh, ça ne veut pas dire qu’elle n’a pas d’amis, bien au contraire. Mais elle a des amitiés profondes, stables et posées, le genre de celles qui durent dans le temps. Du coup, avec les inconnus, elle a un peu plus de mal - un reste des moqueries trop subies durant son enfance. Mais elle fera des efforts et vous souriras si vous n’essayez pas de la menacer ou de lui faire du mal. Parce que sourire, c’est ce qu’elle préfère faire quand elle n’est pas perdue dans ses rêves. De toutes ses dents, à tout le monde, parce que la vie, elle veut en profiter, elle veut mordre dedans à pleine dents, et qu’elle pense que la meilleure façon d’y parvenir, c’est en étant joyeux. Elle est énergique, toujours prête à motiver ses amis pour faire quelque chose, toujours prête à danser ou à courir un marathon. Un peu comme une pile électrique en fait.
Mais de temps en temps, la batterie d’Astana a besoin de se recharger, et dans ces moments là, les rêves, ce sont ses meilleurs compagnons. Ceux des moments de solitude et ceux des moments de doute. Ceux qui lui permettent de s'évader quand ça va pas. Ceux auxquels elle s'est raccrochée dans son enfance. Tous ceux la en même temps. C'est pour ça qu'on la retrouve souvent perdue dans ses pensées, même si elle a vingt ans maintenant. Parce que les rêves, ils sont importants pour elle. Et au même titre que les rêves et la joie de vivre, pour notre rousse trône la nature. Cette beauté à l'état pur, la perfection de ces êtres du règne animal et végétal. Les arbres, ce sont ceux dans lesquels elle grimpe pour se blottir contre le tronc et retrouver de la force. Les fleurs, ce sont celles qu'elle cueille et qu'elle accroche partout pour égayer sa journée et celle des autres. Les champs de blé, c'est là où, en été, elle tourne sur elle même en rigolant à gorge déployée, parce qu'elle est heureuse d'être là, et qu'elle veut faire partager son bonheur aux plantes. C'est là qu'elle puise son réconfort, et c'est aussi la première à s'extasier devant la beauté naturelle des choses. D’ailleurs, en la voyant agir et réagir parfois, on pourrait croire avoir affaire à une gamine, mais elle l’assume totalement, et préfère garder cette vigueur et cette énergie plutôt que de devenir blasée comme les adultes.
En ce qui concerne la nature du sang, elle pense que ça n’a aucune importance. C’est vrai ça, pourquoi elle, née-moldue, serait moins puissante, moins douée, ou moins n’importe qu’un de ces sang purs ? Alors elle dit à qui veut l’entendre qu’elle, elle est née moldue et fière de l’être. Ce que certains n’apprécient pas forcément.
a little something from you. Quand on a pas connu la magie une moitié de sa vie, avoir un patronus qui apparait d’un coup en plus de ses pouvoirs, ça fait du changement, surtout pour Astana. Naturellement aimante envers les animaux - il ne faut pas oublier qu’elle aime la nature et tout ce qui s’en rapproche - elle a néanmoins tout de suite adopté son patronus. Que ce soit sous forme de singe ou de rongeur, elle a immédiatement noué une énorme complicité avec. Elles sont devenues inséparables au-delà du lien qui les liait de force toutes les deux. Certains renient certaines formes de leur Patronus, mais la rousse accepte aussi bien le macaque poilu, calin et farceur que la gerbille surexcitée qui coure et saute partout. Elle trouve d’ailleurs que ces deux là reflètent à merveille sa personnalité et son âme.
Durant les moments où elle rêve, il n’est pas rare qu’elle emmène son Patronus avec elle dans ces contrées lointaines. Ou qu’elle se perde dans d’interminables discussions avec ce dernier, à propos de tout et de n’importe quoi.
En plus, au moment où ses boules de poils lui sont apparues, Astana a tout de suite vu en elles une sorte de réincarnation du chat qu’elle avait, dans son enfance. Le genre de grosse peluche câline. Du coup, son Patronus a hérité du surnom un peu stupide mais non moins affectueux de Croquette. Oui, oui, Croquette. C’était inconscient pour Astana, mais elle avait besoin de trouver de part son Patronus un bout de ce passé perdu. Parce que Croquette, c’est le nom du chat que son père lui avait offert, quelques mois avant de divorcer. Alors en plus de trouver un formidable partenaire, la jeune fille trouve dans son Patronus un fragment de son passé, auquel elle tient comme à la prunelle de ses yeux.
You're not a sad story. Callista, c’est le nom qu’a donné sa mère à cette fillette à peine née et déjà rousse. Un prénom qui lui plaisait, auquel elle tenait. Son père a décidé d’y ajouter sa touche à lui, et a décrété que son deuxième prénom serait Astana. Parce que son paternel, c’est un professeur d’Histoire Géographie, amoureux de sa matière et plus précisément d’un pays qu’on oublie trop souvent, ici, à l’Occident : Le Kazakhstan. Alors il a donné à sa fille le nom de sa Capitale. Du coup, les deux parents étaient satisfaits, et la fillette s’est finalement prénommée Callista Astana Goodwin. Elle a passée les cinq premières années de sa vie dans le plus aimant et le plus magique des foyers moldus. Un père et une mère aimante, une fillette souriante, qui respirait la joie de vivre … Il ne fallait rien de plus pour parvenir au bonheur de cette simple famille. Mais les choses ne se passent que rarement aussi bien qu’on aurait pu l’espérer. Callista grandit. Ses parents commencent à se disputer. Violence. Cris. Insultes. Autant de choses que ses pauvres yeux et ses pauvres oreilles innocentes ne peuvent pas supporter. Elle se réfugie dans ses rêves pour échapper à la tension qui règne constamment chez elle, pour échapper aux engueulades devenues quotidiennes. Mais elle, elle aime ses deux parents et se sent blessée par la situation.
Un verre qui se brise contre un mur. Un bruit assourdissant, des éclats partout dans la salle à manger. La fillette lève des yeux implorants vers ses parents. Ils ne se préoccupent pas d’elle. Se contentent de se crier dessus. Elle fond en larmes, mais ça passe inaperçu. Finalement, sa mère se tait, attrape Callista, lui enfile un manteau et des bottes et elles quittent toutes les deux la maison familiale. Pour ne plus jamais y remettre les pieds dans le cas de la fillette. Le dernier souvenir qu’elle a emporté de cette demeure, c’est une image vague de verre brisé et le regard implorant de son père qui criait « NOOOON ». Son père d’ailleurs, à l’instar de la maison, elle ne le reverra jamais. Elle ne se souvient même plus des traits de son visage. Ça l’énerve, mais c’est comme ça. Aujourd’hui, son père il continue à vivre au fond de son cœur, mais il est incarné pour elle par un pendentif. C’est la seule chose qu’il lui reste de lui, mis à part son deuxième prénom. Un petit pendentif en forme de cœur, accroché sur une chaine en or. C’était son cadeau pour ses cinq ans. Le seul souvenir qu’elle a pu emporter de son ancienne vie parce qu’elle l’avait sur elle au moment où sa mère est partie. C’est le genre de petit cœur rouge qui ne coute pas bien cher. Mais Callista le chérit comme un de ses biens les plus précieux. Elle a juste été contrainte de changer la chaîne en or en grandissant, parce que son cou ne passait plus dedans sinon, mais le pendentif en lui-même ne l’a plus jamais quitté. Les seuls moments où elle ose l’enlever, c’est pour dormir et nager. Sinon, il est impossible que vous la croisiez sans ça. Ce pendentif, c’est son passé, c’est son porte bonheur et c’est comme un morceau de son âme pour elle.
Callista a emménagé chez la sœur de sa mère pour quelques mois, après leur fuite de la maison familiale. Mais elles ont été contraintes de partir car la tante de Callista voyait la fillette d’un mauvais œil. De là a commencé le véritable calvaire de l’enfance de notre rouquine. Sa mère n’a jamais obtenu plus qu’un contrat à durée déterminée pour une poignée de mois à chaque fois. Parfois à l’autre bout du pays. A donc commencé une longue errance pour ces deux là. Mais de nouvel appartement en nouveau studio dans les combles, de nouvelle école en nouvelle école, Callista n’a jamais réellement pu se poser nulle part. Elle n’a jamais pu nouer de véritables amitiés avec les jeunes de son âge. D’autant plus que, arrivant généralement en cours d’années, les groupes étaient déjà formés, et la fillette exclue. Ses cheveux n’inspiraient pas non plus confiance, et dans chaque école, les moqueries, plus méchantes les unes que les autres fusaient. Ils partaient tous avec un apriori sur elle et le gardaient jusqu’à ce qu’elle déménage. De plus, ils la trouvaient « bizarre », « différente ». Alors elle a aussi hérité du charmant surnom de « sorcière ». Oui, comme les rousses qu’on brûlait sur le bûcher au moyen âge, parce qu’on les accusait de tous les maux du village. C’était pareil pour Callista. Elle a donc vite appris à changer de prénom d’une école sur l’autre, pour essayer à chaque fois – mais en vain – de se faire des amis parmi des gens qui n’auraient aucune opinion négative sur elle. Elle alternait donc entre Callista et Astana, persistant à en changer à chaque fois même si ça ne changeais rien. Parce que qui ne tente rien n’a rien.
Elle a donc eu une fin d’enfance fade, sans vrais amis avec qui partager ses gouters d’anniversaires et sans père pour lui raconter des histoires le soir. Mais au final, cette enfance gâchée, elle a vite été oubliée – parce que se repentir sur le passé ça sert à rien – et parce que quelque chose de magique lui est finalement arrivé. Comme si tous ses rêves s’exhaussaient enfin, comme si elle devenait enfin la personne que tous les enfants avaient toujours prétendus qu’elle était : une sorcière. Sa mère a eu un choc le jour où un envoyé de Poudlard est venu leur annoncer. Mais elle n’avait que très rarement vu ces derniers temps sa fille aussi heureuse. Ça signifiait pour elle un endroit où se poser enfin, un endroit où vivre et avoir enfin les amis tant désirés et si peu trouvés.
Son entrée à Poudlard a marqué un nouveau départ dans la vie de la fillette. Elle a choisi de prendre le nom que son père lui a légué pour aller là bas, c’est pourquoi tous la connaissent sous le nom d’Astana. Ça lui rappelle que son père aurait surement été fier de savoir qu’elle est une sorcière – si seulement il vit encore. Elle a eu du mal, les premiers temps, à trouver une place dans ce château où les escaliers tournent, ou la magie fait partie du quotidien, alors que pour elle jusque là, ce n’était que des « Abracadabra » un peu vagues et enchantés. Un peu de mal à apprivoiser ses nouveaux pouvoirs aussi. Mais elle s’en est plutôt bien sortie, et, sans être une jeune fille qui excelle dans la magie, elle ne se débrouille plutôt bien pour quelqu’un qui n’est pas né dans ce monde et qui en découvre chaque jour un peu plus.
Dans ce nouvel établissement, elle a pu redevenir enfin pleinement la vraie fille qu’elle était, joyeuse et pleine d’énergie. Elle a réussi à finalement se faire des amis – entre sorciers, on se comprend – et à profiter de la stabilité que lui offre une demeure fixe à l’année. Elle ne s’en est d’ailleurs que plus épanouie. Au niveau des cours, elle n’a qu’un seul point faible majeur : les potions. Décidément, quoi qu’elle fasse, elle n’y arrive pas, même avec toute la bonne volonté du monde. Toutes ces instructions, ces ingrédients … Et ça l’a d’ailleurs emmenée dans une situation quelque peu … désagréable. Parce que, voyez vous, elle a rencontré un garçon notre Astana. Un peu plus vieux qu’elle, un Serdaigle. Ils se sont rentrés dedans en sortant de la bibliothèque, et même si elle n’a jamais été vraiment adepte du coup de foudre, elle est forcée d’avouer que son sourire lui as tout de suite plu. Et puis, elle ne sait plus vraiment comment ça s’est passé – elle était perdue dans la contemplation de ses yeux – mais les livres du jeune homme sont tombés et elle l’a aussitôt aidé à les ramasser. Elle a essayé de lancer la conversation avec le Serdaigle, mais ça n’a pas vraiment pris. Alors elle a récupéré discrètement un de ses livres. Elle avait prévu de faire comme si de rien n’était et de le lui rendre un peu plus tard, prétextant le livre pour enfin avoir une conversation avec lui. Mais la curiosité de la jeune fille a été plus grande que cela. Ravalant son dégoût vis-à-vis du livre qui s’avérait être un livre de potion, Astana le feuilleta. D’après le nom inscrit dans le livre, il s’appelait Hélios A. De Mertreuil. Elle nota bien précieusement ce nom dans un coin de son cerveau. Hélios. Hélios. Ce serait son Soleil à elle. Mais quelque chose un peu plus loin dans le livre attira encore plus son attention. Un philtre d’amour … Quoi de mieux pour essayer de faire battre son cœur comme le sien ? Elle prit son courage à deux mains et tenta de réaliser scrupuleusement la potion, s’appliquant comme jamais elle ne l’avait fait jusque là quand il s’agit de potion. Mais malheureusement, elle était toujours aussi peu douée. Et ce fut une catastrophe qui eut l’effet contraire de celui initialement escompté. Hélios fut malade de sa potion ratée, et sa tentative d’approche tomba complètement à l’eau. Mais il va lui en falloir plus que ça, à notre rouquine pour abandonner l’affaire, et elle cherche déjà un moyen de se faire pardonner sa potion ratée et pour enfin engager une vraie conversation avec lui.
Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Ambrouille, presque bientôt 17 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Harcelée par Lys et Ri ϟ Personnage: Scenario de Hélios A. De Mertreuil ϟ As-tu un autre compte sur BP? Oui, j'ai ma Constance ϟ Présence: Tous les jours sauf le jeudi ϟ Une remarque? JesuisdevenueaccroàBP Maisjevousaime Et c'est définitif, je suis nulle pour les fiches de pres
Dernière édition par C. Astana Goodwin le Lun 21 Oct - 20:58, édité 6 fois |
|