| walter l. chatterton. we dwell on things we cannot bear to leave undone.par Guest, Ven 8 Nov - 4:28 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Walter Lloyd chatterton FEAT. ben whishaw 23 ans ϟ Cursus secondaire (médecine magique) ϟ faon&lapin ϟ sang-mêléchatterton. Le nom Chatterton est connu, non pas parce qu'il s'agit d'une longue lignée de sang-pur, bien que la majorité des Chatterton soient effectivement des sangs-purs, mais bien parce que le père de Walter est un sorcier connu et respecté. En effet, il est un expert en ce qui attrait aux arts de combats et au défense contre les forces du mal ou plutôt un auror particulièrement compétent. On peut vous laisser deviner la pression qui repose sur les épaules de Walter. Son père tenait absolument à ce que son fils excelle dans le domaine où lui-même était des plus compétents. C'est une pression qu'il supporte plus au moins bien principalement parce qu'il n'est pas des plus doué dans le domaine. Aussi cliché que cela puisse paraitre, la majeure partie des insécurités du jeune homme ont été causés par son père. Il faut dire que ce dernier n'a jamais témoigné beaucoup de fierté pour les accomplissements de son fils. Dans le genre insatisfait, son paternel est des plus forts ; aucune note n'était satisfaisante et tout ce qu'il arrivait à faire était accueilli par un « tu pourrais faire mieux » des plus charmants. walter lloyd. Son prénom lui a été donné pour honorer ses deux grands-pères. Le père de sa mère s'appelant Walter et celui de son père Lloyd. D'abord, il ne faut pas se méprendre au sujet du premier prénom, celui que préfère d'ailleurs le jeune homme, se prononce « Valter » à l'allemande et dieu sait à quel point il trouve désagréable d'entendre une autre prononciation. Enfin, son second prénom est tout ce qui est de plus inutile à ses yeux puisqu'il ne l'entend que lorsque ses parents sont particulièrement en colère contre lui. Sauf que ça le terrifie plus que tout si bien qu'entendre Lloyd attire toujours d'adorables réactions de sa part. trente-et-un décembre mille neuf cent cinquante-cinq. Être né quelques minutes avant le changement d'année est une situation que Walter n'apprécie pas particulièrement. Non pas par caprice comme quoi sa fête serait toujours dans l'ombre de célébrations plus globales, que ce soit Noël ou la Saint-Sylvestre. Sauf qu'il se retrouve toujours dans un plan où les gens ne lui font que lui rappeler que sa fête ne tombe pas très bien. Puis imaginez un pauvre gamin qui ne peut jamais faire de fête parce que tous sont occupés, à l'époque, ça pesait bien lourd dans la balance. londres. La capitale anglaise fut son territoire de gamin et la représentation totale de ce que Walter apprécie. Son amour de cette ville est non-négligeable et c'est peut-être un des seuls points communs qu'il a avec son père. C'est dans cette ville que le jeune homme aimerait bien s'établir plus tard. germano-anglais. Comme vous l'aurez peut-être compris, le père de Walter est un anglais tandis que sa mère est allemande. Les deux cultures ont toujours bien cohabité dans la famille Chatterton bien que le jeune homme lui-même se soit toujours senti plus près de ses racines allemandes. Il a d'ailleurs passé deux ans lors de son enfance dans les contrées de la forêt noire, une expérience qu'il a énormément apprécié. sang-mêlé. Tout comme son statut de semi-allemand, il tient son sang de moldus de sa mère. Peut-être être pour cela que certaine partie de lui se sent plus proche de son côté moldus parfois. Bon, ce n'est pas non plus qu'il regrette d'être un sorcier, au contraire c'est comme un rêve devenu réalité. Il a, cependant, une place toute réservée pour sa mère moldus et son semi-appartenance à cette réalité. crin de licorne, saule, dix-neuf centimètres et sept millimètres et assez flexible. La baguette de Walter est très représentative de sa personne. C'est certes assez normal, mais ça vaut la peine d'être souligné. On peut la loyauté de sa baguette amené par le crin de licorne chez le jeune homme. C'est plutôt à toute épreuve du moment que la personne le mérite à ses yeux. Niveau taille, il est réputé que les petites baguettes choisissent des gens à qui il manque quelque chose et sans doute que chez Walter c'est un manque de confiance en soit. Un problème qui est d'ailleurs souligné par le bois de sa baguette. En effet le saule a tendance à prendre des porteurs avec des insécurités. Il est dit que c'est un sentiment injustifié ce à quoi le jeune homme s'opposerait. Il cache assez bien ses insécurités en général, mais il faut croire que mentir à sa propre baguette est quelque chose de plus complexe. Finalement la flexibilité montre qu'il est relativement ouvert, sans l'être énormément. À quelque part, c'est le genre de chose dont il se fiche éperdument, mais s'il a à trancher, il serait souvent plus ouvert que bien de ses compatriotes. lui-même. Au moins aussi révélateur que sa baguette, le fait que Walter se voit lui-même lorsqu'il est confronté à un épouvantard en dit beaucoup sur sa personne. Déjà, il faut savoir qu'il ne se voit pas seulement lui-même, mais bien une version... moins réussie ? Il se voit comme un looser qui n'aurait rien réussi, une crainte qui habite toujours le jeune homme, particulièrement pour ne pas décevoir son père. C'est néanmoins plus profond que ça, il craint en fait de décevoir quiconque. La façon de le rendre rigolo est une série de masques qui s'ajoutent au visage en le rendant toujours un peu plus drôle. Eh oui, ça fait rire le jeune homme. petit duc. Walter en est fait en deuil de son chat. Mort avant le début de l'année, il a dut se procurer un autre animal de compagnie et cette fois il opta pour un hibou avec qui il ne s'entend pas très bien. Il répugne quelque peu de le voir lui laisser des boules avec des parties de son repas et le peu de contact qu'il a avec son petit duc se limite souvent à l'animal qui lui manque de trancher son doigt. Sans compter le nombre de fois qu'il a tenté d'attaquer son patronus. Disons que Walter était mieux avec son chat. l'odeur d'un nouveau livre C'est présentement l'odeur qu'il sent lorsqu'il est confronté à l'armortentia. Rien de bien glamour, mais ça représente assez bien sa personne. En effet, il s'agit d'une des choses qu'il aime le plus.
··· Somme toute, Walter est plutôt gentil. Même qu’il est du genre adorable. Il s’excuse constamment même lorsqu’il n’est pas dans le tord. Il aime bien aider autrui, il aime bien les gens, mais il ne se sent pas obligé d’être toujours en la présence de quelqu’un d’autre. Il y a même des moments où il ne supporte pas ceux qui ne sont pas lui. Ce n’était pas si courant, la majorité du temps il ne fait que suivre la vague. Parce que ça lui importe peu au final, mais il n’est pas méchant, loin de là. Tout de même un peu gêné, il n’aime pas spécialement recevoir l’attention de tous, sauf que ça ne va pas au point de l’angoisser. Un peu distrait, un peu maladroit, il est souvent tête en l’air. Il lui arrive assez régulièrement de perdre ses choses et de ne les retrouver qu’un millénaire plus tard. Ça le fait également quand il est très concentré dans un quelconque travail. Il devient alors dans une bulle dont il ne faut absolument pas le tirer. Quand on le dérange, Walter devient soudainement bien acerbe comme un changement total de personnalité. Ce n’est pas méchant sauf que bon il est souvent dans sa bulle au point qu’il oublie ce qui l’entoure. C’est une marque de son sérieux, tout simplement, il veut absolument réussir, un peu même si le prix à payer est élevé. Son sérieux a cependant des bons côtés, outre le rendre plutôt compétent, il le rend assez adorable. En effet, Lloyd est du genre à tout prendre au premier degré comme un réflexe avant de capter qu’il a fait une erreur ce qui le rend assez gêné. Aussi, Walter est extrêmement perfectionniste, il ne supporte pas du tout de ne pas terminer quelqu'une chose une fois qu'il le commence - peu importe le temps que ça peut lui prendre, mais en plus, il faut que ce soit bien fait. Bref, il est un peu un frêle garçon, un peu timide, trop sérieux pour qu’on le prenne au sérieux, qui ne sait pas toujours comprendre les intentions des autres, bref il est un peu comme un bébé chat version humaine. a little something from you. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La seule fois que Walter a réussi à produire ce sortilège de façon plus ou moins concluante - avant l’utilisation du sortilège par le ministère, il avait pris la forme, bien floue, d’un faon de renne. Une image assez facile à comprendre lorsqu’on sait que le paternel du jeune homme produit un magnifique renne comme patronus. Une version amoindrie de son père voilà ce qui le représente assez bien. La seconde forme, un lapin, n’est apparue qu’après le sort lancé par le ministère, c’est cependant la forme que Zucker préfère. Mais bon, revenons à ces vacances de Noël où tout ça a commencé. Walter était dans le domaine familiale de sa la famille de sa mère. Un petit voyage qui s’annonçait plaisant a été ponctué d’une grande surprise. En effet, il fut réveillé pendant la nuit suite à un mouvement dans son lit. Il découvrit alors un petit faon tout enroulé dans ses couvertures. Il eut besoin d’un moment pour capter ce qui se passait, mais il s’habitua à la présence de la créature. Au départ, ils ne se parlaient pas beaucoup, leur relation se basait plutôt sur un accord silencieux. Comme s’ils n’avaient pas besoin de se parler pour se comprendre - ce qui était en soit assez logique. Sauf que le faon finit par prendre la parole pour encourager Walter à se tenir devant son père. Une piètre tentative qui ne mena pas à grand chose, mais leur relation s’est améliorée à la prise de parole du patronus. C’est peu de temps après que Zucker prit la forme d’un tout petit lapin nain blanc, une forme plus pratique pour le transport. Walter fait un peu exception à sa règle de ne pas se faire déranger pour la présence du patronus puisqu’il est effectivement le seul à pouvoir franchir la bulle du jeune homme. Bref le relation est plutôt bonne même si Walter a un peu de mal à accepter que ses formes soient aussi peu.... imposante. Ça ne change pas le fait qu’il s’entend particulièrement bien avec Zucker, c’est seulement comme une apparence d’échec disons ? You're not a sad story. chapitre un ou comment apprendre que votre père se fiche de vous. « Maman... il est où papa ? » Voilà sans doute une question qu’aucune mère veut entendre, du moins pas dans la bouche de leur gamin de cinq ans. Pourtant c’était ce que Walter demanda, sans aucun détour, à sa mère. Il voulait savoir pourquoi son père n’était jamais là. Des histoires de combats contre les forces du mal, du fait qu’il faisait son devoir pour protéger sa famille et son fils. Oui bon, c’était bien beau, mais ça n’expliquerait pas au petit garçon pourquoi son père manquait encore son anniversaire. À cet âge, ça compte ce genre de chose, et lui, il se faisait encore décevoir par la personne qui pourrait compter le plus. Même à cinq ans, Walter voulait rendre son père fier. Il faisait mine de s’entrainer à la magie pour affronter le mal, bref tout ce qu’un gamin pourrait imaginer qui l’aiderait à attirer l’attention de son père. Ça ne fonctionnait pas vraiment en soit, bien au contraire, mais ça n’empêchait pas le petit d’espérer. « Il est en train de sauver le monde, pour que tu puisse grandir. » Une réponse qui aurait pu satisfaire bien des gamins, mais pas lui. Non, il fit une mine boudeuse avant de retourner dans sa chambre jouer avec le minet que sa mère lui avait offert pour son anniversaire.
chapitre deux ou comment attirer l’attention du père en question. Ça y était, il avait été accepté à l’école de sorcellerie ! C’était un peu comme un rêve devenu réalité, bref une occasion en or aux yeux du garçon de briller enfin. Une opportunité qui fut rapidement assombrie par son père. Il se fit un plaisir d’annoncer à son fils ce que ça signifiait d’être accepter à Poudlard. D’abord ça venait avec une liste de contrainte : « Tu ne peux pas être dans une maison qui ne rehausse pas le standing familial. Ne me fais pas honte. » Le choix de la maison en était donc un. Ah oui, comme si Walter décidait de tout. Son père insistait sur le fait que le choix du sorcier avait de l’importance, que la volonté primait sur tout le reste, mais franchement, le jeune garçon en doutait quelque peu. Puis ce n’était pas la seule contrainte qu’il aurait de la part de son père : « Tu ne dois pas perdre ton temps avec le Quidditch, c’est un sport indigne de toi et ce n’est que ceux qui ne sont pas suffisamment intelligents qui y jouent. » Une drôle d’image d’un sport pourtant fort important chez les sorciers, mais Lloyd garda le silence face à son père ne sachant pas quoi lui répondre. Il n’allait pas le provoquer quand même ! « Puis finalement ne me déçoit pas, tu est un Chatterton, tu dois être dans les meilleurs, le meilleur même. Tu es mon fils, montre toi à la hauteur. » Une autre consigne que Walter accueillit en silence ne sachant pas quoi y répondre. Le silence était souvent la réaction qu’il avait face à son père. Il s’en irait à l’école et il essaierait de ne pas décevoir son père une fois là-bas. C’était avec le coeur gros que le garçon monta à bord du train qui le mènerait à l’école. Dans le wagon, il ne fit que lire un bouquin sur l’histoire de la magie. C’était fort intéressant, mais franchement, il aurait préféré se faire des amis, profiter de cette aventure.
chapitre trois ou comment s'éloigner de tout ça. Sa scolarité se passa sans grandes embuches. Walter réussissait plutôt bien dans ses cours même si ses notes n’étaient jamais suffisante aux yeux de son père. Tout particulièrement parce qu’il ne réussissait pas si bien en défense contre les forces du mal. Au contraire, il s’agissait du cours, le seul franchement, où il était plutôt moyen. Je vous laisse imaginer les remontrances auxquelles il eut droit à cause de son peu de compétence dans la matière chérie de son père. Peut-être que c’était ce qui poussa le jeune homme à essayer de s’extirper du joug de son père, qui sait. Walter lui-même ne sait pas vraiment ce qui le poussa à le faire, il ne fit que prendre un pas vers l’avant. Ce fut lorsqu’il eut terminé son cursus primaire que ce pas fut pris. En effet, au lieu de ce diriger vers le même domaine que son père, celui qu’il aurait normalement du prendre, il décida de prendre le cursus de médecine magique. Il était nettement plus doué dans les sortilèges de soins que dans tout ce qui avait un rapport à l’attaque. Son choix de domaine avec donc beaucoup plus de sens avec ses capacités. Sauf que son père ne vit pas les choses ainsi. Lorsque son choix fut officiel et que le paternel en question fut informée du choix Walter eut droit à une merveilleuse beuglante en guise de félicitation. Au beau milieu de la salle de repas et il ne fit que rester silencieux pendant le spectacle qu’il donnait involontairement. Ça le marqua profondément, mais il s’entêta quand même à rester dans son cursus.
chapitre quatre ou comment vivre maintenant. « Walter, tu pourrais pas te ramasser un peu ? » Relevant à peine la tête du bouquin qu’il lisait, l’interpellé ne se montra pas très charmant à l’égard de la personne qui venait d’interrompre sa lecture. « C’est pas comme ça que ça se prononce et laisse moi je suis à un point intéressant. » Voilà tout ce que la personne reçut en guise de réponse à sa demande. Même si le jeune homme avait effectivement envahi une table entière de toutes ses choses. Il était du genre bordélique quand il se concentrait sur quelque chose. Heureusement, Zucker fut celui qui le ramena à l’ordre : Fais attention veux-tu ? Haussant les épaules, Walter ne pouvait pas se voir dans le tord à cet instant précis, parce qu’on l’avait déranger lorsqu’il était dans sa bulle. Il rouspéta donc pendant un moment avant d'obtempérer à ce que son patronus lui avait conseillé. Peut-être n’avait-il pas tord après tout... Il nota néanmoins son idée dans un calepin avant de se ramasser un peu. Ça l’embêtait parce que prendre de l’espace faisait partie de son processus quand il cherchait quelque chose, mais bon. Durant les années de son cursus secondaire, Walter avait muri. Il n’était plus autant un gamin effrayé, bien que cette partie de lui n’était jamais partie. Il ne tenait pas encore tête à son père et il était toujours dans l’idée de vouloir l’impressionner. Une fois son travail avancé suffisamment pour ses standards, le jeune homme alla retrouver la personne qui l’avait dérangé. « Je suis désolé de t’avoir parlé comme ça, j’étais seulement concentré. » Eh oui, il ne pouvait pas s’empêcher d’agir ainsi, mais ça ne l’empêchait pas de reconnaitre son tord pour le coup. La personne accueillit bien les excuses et le tout se régla assez rapidement. Sa vie à l’école était mieux, il s’y plaisait à quelque part, même s’il avait encore l’impression d’être un échec pour son père. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: dday & 19 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? quelqu'un m'a filé le lien parce que quelqu'un lui avait filé le lien, mais j'avais passé par un topsite avant il me semble. ϟ Personnage: inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? eh non ! ϟ Présence: tous les jours normalement (: ϟ Une remarque? comme j'ai dit il est magnifique votre forum ! et je pensais pas que ben avait 33 ans *sors*
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| Re: walter l. chatterton. we dwell on things we cannot bear to leave undone.par Guest, Ven 8 Nov - 13:12 ( #) | |
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