18 ans ans ϟ cursus offensive magique ϟ une loutre et un lémurien : ϟ sang-pur
Bentley, bon comment décrire Bentley?
« Bentley, comment dire. C'est une garce, je vis un cauchemar depuis qu'elle a quatorze ans, y paraît que c'est là où elle a arrêté d'être timide, m'enfin elle aurait pu rester la petite Parkinson sans défense. Avec ses petits yeux calculateurs, sa mine réjouit quand elle vous dit quelque chose qui vous donne envie d'aller vous cacher.... enfin bref, elle aime casser les gens comme si c'était son passe-temps préféré. Surtout les Poufsouffle, c'est un peu ses victimes de l'année, je ne comprends pas comment elle fait, mais elle a toujours un souffre-douleur, avant c'était moi, maintenant elle commence à m'oublier. Mais elle fait peur, elle est si hautaine, sûre d'elle, une vraie vipère quoi. Enfin bon, je ne la connais pas sinon, elle paraît seulement très froide, sourit que très rarement et se promène toujours avec une bande d'amis qu'elle regarde à peine, comme s'ils ne valaient pas son attention, comme s'ils n'étaient pas à sa hauteur. Enfin après ce n'est que mon avis et celui de mes amies à moi, que je n'ignore pas, moi au moins ! Bref, je la déteste, elle est raciste en plus, elle dit qu'aucun né moldu ne peut l'approcher, car elle vaut mieux qu'eux et que donc que les sangs-purs et les sangs-mêlés à la limite peuvent être son ami. En gros, Bentley c'est une petite garce hautaine, manipulatrice, menteuse, enfin une vipère sournoise quoi... »
« Bentley c'est un peu la princesse des glaces de Poudlard, très confiante, peu souriante et froide, elle ne montre pas ses côtés positifs. Mais en étant une de ses amies proches je peux dire qu'elle a de l'humour et qu'elle sourit très souvent, mais qu'en présence de gens qu'elle apprécie. Elle est très protectrice et donc a tendance à être impulsive pour défendre un de ses proches, peut-être que c'est pour ça qu'elle fusille les gens du regard, en sachant qu'ils ont fait du mal à ses amis. Puis elle est drôle et patiente, très patiente, elle prend des gens sous son aile et pour leur expliquer comment se passe les choses au château elle doit avoir beaucoup, beaucoup de patience.. Bon c'est vrai qu'elle n'est pas tolérante, mais elle a été élevé comme ça, de manière à n'accepter personne d'autre que des gens d'un sang limpide et pur. Bentley est aussi débrouillarde, elle n'a pas besoin des autres pour faire quelque chose, elle a un but et bien elle fait tout pour l'atteindre, elle est donc plutôt ambitieuse et sait ce qu'elle veut. Très déterminée elle ne laisse rien tomber, comme ses amis puisqu'elle est très loyale et honnête. »
« Cette fille ? La blonde là ? Celle qui a l'air complètement énervée ? Bah on l'appelle souvent l'hypocrite. Comme si elle regardait les gens en pensant qu'ils sont stupides et ensuite leur sourire comme s'ils faisaient partis de la bande, mais en fait pas du tout, ça m'exaspère un peu, mais au fond elle est jolie donc je m'en fiche. Elle a même peut-être un caractère un peu aguicheur avec les garçons, peut-être pour cacher un grand manque de confiance qu'on ne voit pas ? Je ne sais pas, mais elle drague et je vois qu'elle enchaine les garçons comme des trophées. C'est son choix après tout, mais bon on ne peut pas dire qu'elle se fait une bonne réputation avec ça. Mais les garçons ont l'air de l'aimer ou plutôt de se servir d'elle, je ne sais pas, mais je ne me mêle pas de ses affaires ! Bref, c'est une jolie fille et elle a tendance à s'en servir parce qu'elle le sait, peut-être son manque de confiance en elle lui fait faire des choses comme ça ou peut-être pas, enfin elle reste plutôt mystérieuse... »
Bentley est née le 12 août 1960 à Londres dans l'hôpital sainte Mangouste, elle a un père, une mère et une soeur. La jeune blonde est la seule à avoir cette couleur de cheveux dans sa famille, elle est la seule tête claire et on l'a doté d'un prénom de garçon, parce que ses parents voulaient tellement un petit bonhomme à la naissance, mais non, au lieu de ça ils ont eu leur petite majesté Cocaïne Bentley Sophie Parkinson. Une petite graine bien chiante, mais qui n'était pas comme cela avant. Petite fille timide, curieuse, intriguée par tout, du jour au lendemain alors que beaucoup de camarades à elle se moquait d'elle, elle a commencé à se révolter et à devenir une vraie petite garce aussi étonnant que ça puisse paraître. Tout le monde la croit très confiante, mais au fond, non voulut de ses parents, petit mouton noir de la famille de sang-pu,r elle essaye de tout faire pour que ses parents la remarquent et lui donnent plus de leurs regards qui lui sont si important. Bref, elle cache toute sa frustration sous cette petite carapace de vipère, elle aime jouer le petit serpent bagarreur, mais ce n'est peut-être pas réellement elle et elle en a conscience.. mais ce serait trop dur de changer.
« Bentley, tu n'es rien à mes yeux, tu es stupide, tu ne sers à rien. » La jeune fille crie, pleure, pète littéralement un câble, voilà comment elle a réagi la première fois que son père est venu la voir et lui a dit cela alors qu'elle n'avait que quatorze ans. Après s'être attirée les foudres de son professeur de métamorphose, elle avait été convoquée par le directeur de sa maison et ses parents étaient au courant, mais jamais n'aurait-elle pu croire que son père réagirait de telle façon. Elle en avait les larmes aux yeux, le coeur qui bat à cent à l'heure ou même pire, l'envie de tout casser, de crier de frustration, de fatigue et surtout d'énervement. Personne n'avait le droit de lui dire ça, personne n'avait assez de cran pour lui cracher ça à la figure et pourtant si.. Elle se sentait sali, mal traité, nul, pas intelligente, stupide, tout ce qui pouvait lui passer de négatif dans la tête elle se l'attribuait. Voilà, depuis c'est son épouventard, c'est peut-être déjà arrivé, mais elle ne veut pas revivre ce moment une deuxième fois, cette envie de pleurer, de tout donner pour que son père regrette ce qu'il vient de dire et qu'il oublie ce petit dérapement. Enfin bref, chose qui n'arrivera jamais avec monsieur Parkinson et elle le sait, c'est pour ça qu'elle ne veut plus jamais à avoir à regarder son père dans les yeux et y voir la déception.
a little something from you.
Bentley et Vodka. Vodka et Bentley. Non pas tellement en fait, elle n'accepte pas trop le fait de devoir partager sa vie avec un animal, son patronus, surtout que Vodka reflète tout ce qu'elle pense, fait et ressent, il fait donc des choses un peu idiote qu'elle doit rattraper ensuite. Elle n'aime pas se sentir dépendante d'un objet, de quelque chose et surtout pas d'un truc dont on ne sait pas vraiment l'arrivée, le pouvoir et surtout l'utilité, à part se faire du mal en étant loin de son patronus il ne sert pas à grand-chose, du moins c'est ce que Bentley pense. Mais elle a des avis très arrêtés sur la chose et pense qu'un changement dans sa vie n'est pas le bienvenue. Son patronus prend la forme d'un lémurien, peut-être parce que ces animaux sont très malin et savent ce qu'ils font et aiment bien embêter les autres et en loutre, peut-être parce que cette petite bestiole et très débrouillarde... En tout cas elle l'a appelé Vodka, peut-être pour provoquer des professeurs ou ses parents, mais le nom va bien à son patronus, un peu fou, un peu déboussolant.
This one moment when you know you're not a sad story.
]«Bentley sera un garçon, j'en suis sûr ! » Il regarda sa femme et n'était plus si déterminé en fin de compte. Si ce n'était pas un bonhomme comme il l'avait souhaité, comment allait-il bien pouvoir faire ? Il avait déjà une fille, il avait besoin d'un descendant qui assurerait la lignée des Parkinson. Il croisa les doigts, ne sachant pas vraiment comment faire pour en être sûr et ne plus s'inquiéter, il essaya de calmer sa femme, mais lui-même était tendu. Il lui prit la main et elle d'une voix faible lui dit « Et si c'était une fille ? Comment l'appellerait-on ? » Étonné par autant de joie dans la voix de sa femme, s'ils avaient une deuxième filles, il prit une mine sérieuse et froide et répondit à sa femme « Aujourd'hui, le 12 août 1960, à Londres, naitra un garçon et si c'est une fille elle restera Bentley. » Il avait ce regard froid, strict auquel on n'avait pas envie de se frotter, plutôt partir en courant et pleurer tout son soule s'il vous foudroyez de ses yeux petits et plissés. Sa femme en eut la chair de poule et marmonna « J'espère que ce sera une fille. » Puis vinrent les contractions, la perte des eaux et enfin la naissance, mais une grande déception se lisait sur le visage du père, une joie et un sourire sur le visage de la mère. Si contradictoire et une petite fille entre eux deux. Monsieur Parkinson dit d'un ton absent « Elle restera Bentley. » Puis sa femme le regarda étonnée et dit « Tu ne crois pas qu'il vaut mieux qu'elle ait un prénom de fille ? Comme toutes filles sur cette terre ? » Cédant un peu à sa femme, il nomma sa fille Bentley Sophie Parkinson... la jeune fille y rajouta Cocaïne plus tard.
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Blonde par apport à tous ces bruns qui se promènent dans sa maison. Les Parkinson, une famille de personnes ténébreuses, avec les cheveux aussi noirs que charbon, mais Bentley est l'exception à tout. Elle a les yeux bleus clairs, comme l'océan lorsque le soleil tape dessus, des cheveux blonds, quoi qu'un peu châtain et une mine timide, mais un peu arrogante. Elle n'avait rien avoir avec la famille Parkinson.. Avait-elle été adoptée ? Non, mais c'était comme si. Bentley ne s'entendait pas bien avec sa famille, sa soeur l'exaspérait, sa mère voulait faire la surprotectrice avec elle et son père était déçu rien qu'en la voyant en imaginant toujours qu'il y aurait pu avoir un fils à sa place, un descendant et non pas une jeune fille qu'elle allait devoir marier avec un sang-pur. Mais il essaya quand même de la traiter avec justice et amour.. mais il se ravisa très vite lorsqu'il vit en elle cette petite once d'insolence et fit le père strict et arrogant pour que sa fille comprenne qui était le chef. C'est peut-être pour ça qu'elle était si timide à une époque, pour ne pas avoir trop d'attention sur elle et que son père la reprenne dans son coeur, mais c'était perdu d'avance. Elle n'était pas faite pour ne pas être vue, pour rester discrète dans son coin, elle se devait d'être une peste, une petite garce, un peu comme toutes les Parkinson de la famille et son père allait se rendre compte que Bentley était loin d'être ce qu'il avait voulu, mais elle n'était pas loin non plus de lui, le même caractère et le même défaut que d'être têtue comme une mule. Déçu ? Loin de là, elle était prête à prouver qu'elle valait mieux que tous les garçons de la terre.
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Les yeux brillants d'angoisses ou d'adrénaline ? Elle ne savait pas trop, mais entrer dans l'entrepôt de son père sans en avoir l'autorisation était peut-être risqué, mais qu'est-ce que c'était drôle. Elle s'ennuyait dans le manoir Parkinson, toute seule et elle ne voulait pas jouer avec sa soeur, elle était trop détestable. Alors, elle avait décidé de faire une bêtise et d'aller dans l'endroit où son père laissait développer les photos qu'il prenait. Il tenait peut-être plus à ses appareils photos qu'à elle, mais ce n'était pas dur de la surpasser pour ce qui était de l'amour de son père. Elle fit la moue et ouvrit la porte qui la menait vers tant d'adrénaline et de peur, si elle se faisait attraper elle allait sûrement être puni, mais depuis toujours elle avait voulu savoir ce qui se cachait dans cet endroit un peu lugubre vu de la fenêtre de sa chambre. Elle avança d'un pas et s'habitua lentement à l'obscurité, il y avait quelques lampes rouges, mais elles étaient minimales par apport à la taille de l'entrepôt. Elle avança d'un pas mal assuré et plissa les yeux, elle faillit se casser la figure cinq fois à cause des câbles qui traînaient par terre. Bentley s'était toujours posé la question pourquoi il laissait développer ses photos sans magie et il répondait que les moldus avaient inventés cela et que c'était pour une fois une idée ingénieuse. Lorsqu'elle s'approcha d'un bac avec un liquide bizarre dedans, elle sentit d'abord et vit que ça ne sentait rien. Elle était plutôt déçue, il y avait quelques photos, mais rien de très intéressants. La jeune blonde était prête à repartir, mais elle bascula en arrière à cause d'un pied de table qui dépassait et tomba sur un des bacs et arracha quelques photos du mur. Paniquée elle se releva tout de suite et constata les dégâts avec beaucoup d'inquiétude, elle était morte avant la fin de la journée. Une photo était détruite en trois morceaux, mais c'était le seul problème irréparable. Elle commença à pleurer et à ranger le reste, sachant que son père était très pointilleux, il remarquerait qu'une photo manque au tableau. Elle prit la feuille déchirée dans sa main et laissa couler encore plusieurs larmes, puis ferma les yeux et espéra tellement que la photo soit réparée... puis lorsqu'elle les rouvrit, émerveillée elle vit la photo en un morceau. Bentley la recolla vite au mur et s'en alla en courant et se promit de ne plus jamais y retourner.
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C'était le grand jour. Elle allait voir Poudlard pour la première fois, les yeux brillants d'excitation, d'espoir et de détermination. Elle avait enfin eu la lettre qui l'invitait à passer sa première année dans le château et avait sauté de partout comme une dingue. C'était une vraie sorcière et lorsqu'elle avait acheté toutes les fournitures nécessaires dans le chemin de traverse elle savait enfin ce qu'elle voulait faire : être bonne élève, la meilleure de toute, petite élève modèle. Mais lorsqu'elle arriva dans son premier cours, elle se rendit compte que cela allait être plus dur que prévu. Elle avait toujours fait l'école à la maison avec une professeur qu'elle voyait tous les jours.. Maintenant elle était avec d'autres enfants, qui la regardaient soit d'un mauvais oeil, soit bizarrement. Elle s'était assise pleine d'espoir et en fait n'avait absolument rien compris, avait presque crevé un oeil à une personne avec sa baguette et avait limite fait exploser le château avec son chaudron plein de potions... alors oui l'année s'annonçait plutôt compliqué. Mais elle restait ambitieuse et savait ce qu'elle voulait, même si à l'époque elle restait correct avec ses camarades et se laissaient marcher sur les pieds. Jusqu'en quatrième année elle resta comme ça, puis se révolta et devint Bentley la garce. Elle eut du succès avec les garçons, enfin elle se servait initialement d'eux pour atteindre ses buts, tout comme ses amies. Elle n'en avait pas réellement et assumait pleinement d'être détestée des autres. Son père commençait à voir en elle une potentielle, future femme dont il pouvait être fier ! Puis vint le moment où elle devait choisir son cursus.. elle avait longuement hésité entre un cursus ordinaire ou un cursus offensif magique, mais sachant qu'elle voulait devenir auror ou quelque chose comme ça, elle se décida pour le cursus qui la mènerait vers la victoire.
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« Espèce de petite sang-de-bourbe. » Bentley regarda l'adolescent qui venait de lui dire ça droit dans les yeux, elle n'était pas une née moldu. Qu'est-ce qui pouvait bien lui faire croire ça ? Après tout elle s'appelait Parkinson ? Elle est née, élevée par une famille qui ne pensait presque qu'à la valeur du sang et c'est comme ça qu'on lui faisait passer toutes ces années à devoir tolérer les cris et les règles stricts de ses parents ? Elle avait quatorze ans bon sang, ça faisait déjà presque quatre ans qu'elle était à Poudlard et on la traitait toujours comme un petit être sans défense qui ne savait rien faire de ses deux mains, mais elle cachait sa vraie image, cette image de vouloir se venger, d'avoir l'air froide, sa timidité. La jeune blonde gardait sa curiosité, mais s'il fallait qu'elle enlève ce masque de petite fille sans défense elle n'hésiterait pas ! Elle avait tant souffert par les moqueries de ses camarades et là que quelqu'un l'accusait de quelque chose qu'elle n'était même pas, la mit hors d'elle. Elle leva sa main et gifla le garçon qui se trouvait devant elle. Puis se racla la gorge, regarda le garçon d'un air froid et peut-être qu'elle avait même l'air un peu hystérique et dit hautainement « Tu ne sais même pas ce qu'est un sang-de-bourbe, quoi que ça ne m'étonnerait pas que tu en sois un. » Puis elle s'avança vers lui, le plaqua contre le mur et poursuivit « Je suis plus pur que pur, Parkinson ça te dis rien ? Maintenant dégage avant que je ne m'énerve vraiment. » Il la regarda, elle le toisait, pourquoi ne bougeait-il pas ? Il resta là pendant quelques secondes puis était prêt à partir, mais au dernier moment se retourna, lui prit le bras et dit « J'en étais sûr, ça allait t'énerver, si tu pouvais rester méchante ça serait cool, tu souilles le côté fort et grand des vrais sorciers sinon. » Puis il s'en alla avant qu'elle ne puisse le rattraper..
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Dernière édition par C. Bentley S. Parkinson le Ven 1 Mar - 15:05, édité 25 fois
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Re: Bentley ll Mais à part ça, je suis une fille, oui.
Les Potter et les Gaunt sont des cousins ! (Eloignés, mais cousins.) Cela te dit d'être mère à dix-neuf ans ? Bienvenue en tout cas et remplis-nous vite cette fiche ! *-*
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Re: Bentley ll Mais à part ça, je suis une fille, oui.
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