BELLUM PATRONUM


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✻ you can call me queen bee (amy)
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par Guest, Mer 25 Déc - 21:42 (#)
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Diane Amy-Lee Hamilton
FEAT. blake lively
dix-neuf ans. ϟ médecine magique. ϟ biche & l'araignée. ϟ née-moldue.

   
Hamilton, Amy-Lee, de son deuxième prénom Diane, est née le dix octobre dix-neuf cent soixante à Londres. Le dix octobre, période de l'automne après la saison estivale durant laquelle chaque plante prend vie, chaque couleur devient chaude et chaleureuse et avant la saison hivernale durant laquelle chacun se meurt pour mieux renaître après, tel un phénix, chaque couleur devient froide, la neige recouvre les paysages comme elle recouvre nos humeurs chagrines. L'automne, la période de la chasse, petits et grands s'amusent à traquer les petits animaux, munis d'un fusil ou d'un arc pour les plus traditionnels et aventureux. Amy-Lee, petite anglaise aux origines françaises de par sa grand-mère maternelle, est également la quatrième enfant d'une fratrie de trois sœurs et un frère, désormais décédé. Née d'une famille très moyenne et qui plus est nombreuse, elle n'a pas toujours été très gâtée. Son père était un simple paysan avant de disparaître soudainement. Est-il soupçonné d'être parti avec une autre femme ? L'a-t-on enlevé ? Personne ne le sait réellement. La disparition de Monsieur Hamilton reste un mystère entier. Madame Hamilton, quant à elle, était une couturière qui travaillait à la maison pour pouvoir élever ses cinq enfants à l'aide de sa mère, Aurore.

Concernant sa vie de sorcière, Amy-Lee a un animal de compagnie, une chouette nommée Trivia, en hommage à la déesse de la magie, connue aussi sous le nom grec Hécate. La baguette magique de la jeune fille est en bois de cerisier avec pour cœur une plume de phénix. Son épouvantard serait de voir le cadavre de son frère jumeau, mort noyé à l'âge de dix ans seulement.

Amy-Lee est sûrement synonyme d'un caractère complexe, compliqué et peut-être à deux facettes. Amy-Lee peut-être une jeune femme arborant un visage aussi souriant que fermé. Comme chacun, elle possède de nombreuses qualités comme elle possède de nombreux défauts. Parmi eux, elle peut certainement compter sur le fait qu'elle aime râler. La première chose qu'elle fait le matin en se levant lorsqu'on a le malheur de lui adresser la parole. Elle se lève, traîne des pieds en baillant à s'en décrocher la mâchoire, se fichant bien qu'on lui entraperçoit ses amygdales avant de s'en aller prendre son bol de chocolat ou de café, dépendant de son humeur et du matin. Tant qu'elle ne l'a pas bu, il est donc impossible d'avoir une conversation intelligible avec elle, si ce n'est des « hum. » ou un silence pesant qui veut en dire long pour finir avec sa phrase typique : « C'est l'matin, laisse-moi tranquille. » Tout dans l'art de la politesse et de l'élégance, ses cheveux blonds emmêlés lorsqu'elle ne les attache pas en chignon pour déjeuner. Puis c'est après son bol que le monstre devient fée. Sinon, Amy-Lee peut aussi être agréable. Souriante la plupart du temps, elle arrive à illuminer la journée de quelqu'un. Elle est le genre de personne que l'on aime bien avoir auprès de soi, qui aime parler – et qui parfois parle un peu trop –, qui sourit constamment et qui rit à n'importe quelle blague, elle est l'auditoire rêvé de n'importe quel apprenti humoriste encore peu assuré de son succès. Une joie de vivre qui la rend rayonnante, sous ses cheveux blonds et son petit air angélique. Un tantinet timide, elle sait se tenir lors de réception mais non pas parce qu'on le lui a appris, c'est un acquis qu'elle réussit à obtenir seule. Beaucoup la croit d'ailleurs venue d'une grande famille. Famille qui lui a valu la caractère qu'elle a également. Sous ses apparences de fille sage et charismatique – parce qu'il faut bien le dire, parfois on ose peu l'aborder car elle en impose, comme on dit – elle a appris à se défendre, autant verbalement que physiquement. Nombre de fois a-t-elle mordu ses sœurs pour se défendre, nombre de fois les a-t-elle également manipuler pour arriver à ses fins. Tout est dans l'art de l'éloquence, a-t-elle de nombreuses fois répété à sa grand-mère pour sa défense. Que pouvons-nous répondre à cela ? Future Cicéronienne dans l'âme ? C'était ce qu'aurait pu penser sa mère. Malgré cela, elle reste très affective. Déterminée, Amy-Lee est très studieuse et curieuse mais est aussi persévérante pour obtenir ce qu'elle veut et généralement, ce qu'elle veut, elle l'obtient ou essaie par tous les moyens de l'obtenir. Ses études, ce sont le point principal de sa vie autour duquel elle gravite, point central qu'elle souhaite par-dessus tout réussir même si parfois elle s'écarte du chemin, transgressant certaines règles, après tout, les règles sont faites pour être transgressées, n'est-ce pas ? Mais un brin impulsive pour couronner le tout, il lui arrive souvent d'agir sur un coup de tête, ce qui lui est souvent reproché. Mais malgré cette façade chaleureuse et forte, au fond, se trouve une petite Amy-Lee effacée, enchaînée comme à un rocher, qu'elle ne souhaite pas voir faire surface. Une petite Amy-Lee abandonnée par un père absent, disparu et un frère manquant, fantôme de sa vie. Une souffrance constante qu'elle fait taire en se repliant sur elle-même. Il est assez facile de deviner lorsque cela ne va pas, elle reste généralement seule dans un coin, pensante, le regard perdu dans le vide, se questionnant sur des interrogations essentielles de la vie, philosophant, rêvant même à une vie où un père et un frère seraient présents à ses côtés. Tant de rêves et espoirs qui creusent cette cicatrice encore fraîche et non refermée. Cela reste un sujet qu'elle déteste aborder.



   
a little something from you.

   
« J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, parce qu'on les hait ; (…) Parce qu'elles sont maudites, chétives,  noirs êtres rampants ; Parce qu'elles sont les tristes captives de leur guet-apens ; (…) »

« Aaaahhhhh ! » fut ce qui s'échappa de ma gorge lorsque je vis le petit animal rampant sur la table en face de moi. Les yeux dans les yeux, plus aucun mouvement de ma part ni de la sienne, nous restions stoïque, du moins je l'étais jusqu'à ce que l'animal en question me lança : « Je sais, c'est souvent l'effet que je fais. » Mon exclamation précédente, qui n'avait pourtant rien de flatteur, était exactement ce que je ressentais à l'instant même où mes yeux s'étaient posés sur l'animal d'abord vaporeux, devenu réel par la suite, avec ses huit pattes et ses yeux noirs qui me toisaient. Pourtant, je lui trouvais un petit air affectif. « Mais... Qu'est-ce... Que... Quoi ? » réussis-je enfin à dire, tentant de remettre de l'ordre dans mes idées alors que je venais tout juste de me lever de ma chaise, sur la défensive. « J'ai toujours su qu'au fond, t'avais quelques petits problèmes d'expression. » C'était à mon tour de la toiser. « Non mais tu sors d'où ? » L'araignée sembla presque souffler, du moins c'était ce que je ressentis face à son expression nonchalante qu'elle affichait, si toutefois on pouvait juger qu'une araignée pouvait arborer de telles expressions. Le pire dans tout cela, c'était que j'avais toujours eu horreur des araignées, je ne supportais pas les voir traverser ma chambre et généralement je les écrasais. Mais celle-ci était différente. Elle était spontanée, elle pouvait communiquer avec moi et au fond, je sentais que nous étions liées. « Comme si tu ne le savais pas. T'as un patronus non ? » L'ironie dont elle faisait preuve ne me plaisait guère mais j'en fis abstraction, me contentant plutôt de la détailler. Un corps noir légèrement bleuté, un peu plus grosse qu'à la normale et ses yeux noirs avaient des reflets jaunes en fonction de la lumière. Cette araignée était différente. « Non, mon patronus est une... biche. » « Oui mais la forme réduite, ça donne ça ! » me répliqua-t-elle aussitôt jouant avec ses pattes comme des doigts. Incroyable. « Je déteste les araignées. » Voilà, c'était dit. Je déteste les araignées, allait-elle le comprendre et changer de forme ? « Mais ça, ma chère, c'est le reflet de ta personnalité compliqué, contradictoire, frustrante et bien d'autres mots. Que ça te plaise ou non, tu vas devoir me supporter. Et puis, je t'ai demandé de critiquer ma forme ? Non. Rappelle-toi le poème que ta grand-mère t'avait lu et t'avait dit de retenir, tu crois vraiment qu'elle l'avait fait par plaisir ? » Je l'aurais espéré oui. Ce poème n'était autre que celui de Victor Hugo. « J'aime l'araignée. » soufflai-je. Je me rassis sur ma chaise, laissant tomber ma tête sur ma main, mon coude appuyé contre la table. Mes cheveux retombant sur mon visage, j'essayais de penser quand elle se fraya un chemin, poussant une des mèches de mes cheveux à l'aide d'une de ses pattes. « ça va bien se passer, t'en fais pas. » « J'en suis pas sûre. » « Pourquoi t'es si négative ? » « Et toi, pourquoi t'es là ? »  Après un court silence qui me semblait être un temps de réflexion, elle me déclara : « Bah, je sais pas. »


   
Tell me who you really are.

   
ϟ pseudo et âge: mélou & 18 y.o
   ϟ Où as-tu trouvé le forum? bazzart world.
   ϟ Personnage: inventé.
   ϟ As-tu un autre compte sur BP? nope.
   ϟ Présence: le plus souvent possible même si plus rarement en semaine.
   ϟ Une remarque?  bave  Daengelo  Brille   


Dernière édition par D. Amy-Lee Hamilton le Ven 27 Déc - 17:30, édité 13 fois
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Guest, Mer 25 Déc - 21:42 (#)
You're not a sad story.

 
« Ma raison somnolait. Ma conscience me conseillait. Mon subconscient me déconseillait. Mais mon esprit veut s'envoler. (…) Tu n'es que l'ombre de toi-même. La raison se déchire. »
maitre gims - zombie
Le regard assombri, perdu dans le vide. Les flocons de neige qui tombaient lentement sur le cercueil de mon petit-frère. Hermès Samuel Hamilton, puisses-tu retrouver une vie paisible et aussi sage que tu l'avais menée par ici. Je détaillais chaque visage qui se trouvait près de moi, je les détaillais espérant y trouver autant de douleur et de chagrin que j'en ressentais à ce moment-même suite à ta disparition. Un ange parti trop tôt. Voici ce que certains disaient. Un ange envolé. C'était ce que d'autres disaient. Tu te rappelles de Madame Octave ? Cette vieille bique chez laquelle tu avais l'habitude de toujours piquer quelques mûres l'été ? Elle se tenait là, face à notre mère, qui essuyait quelques larmes de son mouchoir jauni avec le temps, bout de tissu qui en traversa les âges, ayant appartenu à notre grand-mère et notre arrière-grand-mère, souvenir des époques et des âges, souvenirs des temps anciens. Mon regard se pose alors sur Echo Leah Hamilton, notre sœur aînée qui me tire la manche et me lâche pour seul commentaire : « Ta montre ne fonctionne plus. » Petit écho qui résonna dans ma tête, ironie quand on pensait à son deuxième prénom, celui de cette pauvre nymphe amoureuse de Narcisse, tu sais, certainement cet Ethan envers lequel elle n'a plus que d'yeux. Ma montre s'était arrêtée. Elle avait cessé de fonctionner le jour-même où tu étais parti, où tu nous avais quitté, laissant notre mère pleurait chaque soir dans sa chambre, s'enfonçant un peu plus chaque jour dans son lit et notre père qui se laissait perdre dans ses champs et ne rentrait plus que pour dîner si ce n'était pas pour boire de temps à autre. Je l'y soupçonnais. Oh Sam. Puisses-tu être bien mieux là où tu te trouves que tu ne l'étais ici. Ma montre s'était arrêtée. Elle portait désormais la marque du temps, telles que les ruines de certains caveaux pouvaient les porter. On ne les visitait plus, peut-être n'avaient-ils plus de famille, je l'ignorais. Seule marque d'existences de ces pauvres gens étaient les lettres gravées dans la pierre délabrée qui avait à son tour traversé les âges, le temps. Le temps qui passe et qui ne s'arrête pas. Le temps qui est passé et qui passera. Le temps qui t'évinça, loin de nous. Je pourrais lui en vouloir au temps, tu sais. Je pourrais le haïr, le détester, implorer Chronos qu'il nous rende notre temps passé mais n'est-ce pas la particularité du passé que de le laisser derrière nous, regrets, peines et joies et que nous devions avancer ? Samuel Hamilton, laisse-moi déposer cette rose sur ce qui te sert de lit. Laisse-moi admirer les lettres creusées dans le bois par notre père, laisse-moi les toucher et les caresser comme jamais plus je ne le pourrais. Laisse-moi pleurer en paix.


« Tous les héros ne sont que des hommes. Je le resterai pour toi. Les héros ne sont que des hommes à côté de toi.  »
robin des bois - j'attendrais
« Un an que tu es parti. Un an que je me rends chaque jour auprès de toi. Tantôt je parle, tantôt je demeure silencieuse. Après tout, le silence est précieux. Mais il y a bien quelques mois que je ne suis pas venue ici. Pour les nouvelles, Calypso Anna Hamilton, notre sœur aînée va se marier dans moins de trois jours. Europe Maria-Ally Hamilton poursuit ses études en France et elle compte même voyager un peu partout en Europe. Quant à Echo Leah Hamilton, et bien, elle apprend auprès de notre mère à coudre. Je ne vais plus à l'école parce que les gens me regardent différemment. Je ne suis plus, la troisième fille des Hamilton de onze ans, mais je suis devenue la pauvre petite qui a perdu son frère jumeau. Tu sais, ce n'est pas facile d'être ta sœur. » Je jetais une poignée de terre sur l'herbe qui recouvrait enfin la terre retournée auparavant. Mon regard se perdait sur le paysage alentour avant de retomber sur l'épitaphe. « Si je te parle d'une chose, tu me promets de garder ça pour toi ? » Je laissais un court silence avant de m'asseoir, comme s'il se tenait réellement auprès de moi. Assise en tailleur, je me rappelais lorsque nous étions tous deux assis en tailleur sur le tapis de notre chambre que nous partagions avec nos trois sœurs, faute d'autres moyens. Nous parlions des heures, à en perdre la notion du temps, ce temps qui avait filé et m'avait pris ma moitié. Nos sujets de conversations étaient toujours très diversifiés. Parfois il me parlait de Kristy, petite fille de laquelle il s'était épris et alors je lui répliquais que cela ne servait à rien de tomber amoureux et il me répondait que si, cela avait toute son importance et du haut de ses dix ans, il avait essayé de m'expliquer sa philosophie. « J'ai reçu une lettre, venue d'une école de magie. Oui, je n'y croyais pas non plus. Mais Grand-mère a insisté pour que je l'ouvre, en disant que cette lettre, elle l'avait également reçue plus jeune et que ce que je trouverai là-bas, serait un paysage unique. Alors je l'ai écouté, me répétant sa phrase préférée : « Il y a toujours une part de magie dans la vie. » Et pour la première fois, je compris ce qu'elle voulait me dire. C'est un monde incroyable. Je ne peux pas trop en parler parce que nous ne sommes pas autorisés à parler de cela en dehors de l'école et en plus, je vois quelqu'un approcher. Je m'en vais. Je t'aime Sam. »


« Je veux juste une dernière danse, avant l'ombre et l'indifférence. Un vertige puis le silence. Je veux juste une dernière danse. »
kyo - dernière danse

Assise sur le canapé dans la salle commune, je fixais le feu. Nous étions en plein mois de décembre, le pire mois de l'année pour moi. Parce qu'il y avait eu le décès de mon frère jumeau, le départ de mon père et un noël seule et pesant. « Tu sais que je suis là, moi. » fit une petite voix qui vint se logé sur ma main. Je n'étais pas complètement habituée encore à ce que mon patronus partage tant ma vie. « Je sais. » murmurai-je seulement, la posant sur mon genou tandis que je continuais de scruter le feu comme si à un certain moment mon frère apparaîtrait. C'était le pire mois de l'année. Je détestais décembre. « Tu ne pars pas cette année, Hamilton ? » Je reconnaissais à peine cette voix qui venait de me poser la question, certainement le préfet, ou qui savais-je, à vrai dire cela ne m'intéressait pas vraiment de discuter ce soir. « Hum. Non. » me contentais-je de lui répondre. « Aimable. » me glissa Cécé, un brin moqueur. En tout cas, j'obtins l'effet escompté puisque la personne s'éclipsa de la pièce sans que je n'eus à lui demander. Cécé ou l'art de toujours commenter chacun de mes gestes. Finalement ce surnom ridicule lui allait plutôt bien. J'aurais pu l'appeler Ariane, comme la tisseuse de fils dans la mythologie mais j'avais plutôt opté pour Cérynie, en hommage à la biche qu'Héraclès avait pourchassé, une biche pourtant protégée par la déesse Artémis ou connue aussi sous le nom romain Diane. Finalement, je trouvais que Diane et Cérynie était le duo parfait, bien que ce n'était pas vraiment au goût de l'araignée qui restait la quasi totalité de son temps sous cette apparence-là et ne prenait l'apparence d'une biche qu'en cas de réelle nécessité, elle préférait de loin être cet animal à huit pattes, tissant des toiles et discret. D'ailleurs, elle était aussi commère que moi et bien de nombreuses fois elle venait me rapporter les bruits de couloirs. Cécé et Diane, c'était une longue histoire. « Tu sais que ton frère serait fière de toi, Amy. » « N'en parlons plus. » achevai-je la conversation avant de me lever. Parler de cela ravivait toujours cette douleur en moi, ancrée et qui ne semblerait jamais s'effacer. J'avais à de nombreuses fois prié pour que cette cicatrice se referme, que le souvenir du cercueil de mon frère enterré s'efface tout comme cette journée durant laquelle j'étais rentrée de l'école et j'avais trouvé ma mère assise à la table de la cuisine, grande table en bois sur laquelle étaient toujours disposées de nombreuses choses telles que des tasses, des fleurs, des bobines de fils et même des morceaux de tissus. Elle était en bout de table, serrant un mouchoir dans ses mains et annonça à ses trois filles : « Votre père est parti. » Aucune d'entre nous n'osa demander ce qu'il s'était passé. Etait-il parti avec une autre femme ? Etait-il mort à son tour ? Nous n'en savions rien et le mystère demeurait entier. Toujours était-il que je détestais le mois de Décembre.


Dernière édition par D. Amy-Lee Hamilton le Ven 27 Déc - 18:08, édité 5 fois
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Mer 25 Déc - 21:46 (#)
Bienvenuuuue Haww
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Mer 25 Déc - 21:48 (#)
Bienvenue parmi nous ! love
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Mer 25 Déc - 21:54 (#)
Bienvenuuue ! Yaaa
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Guest, Mer 25 Déc - 21:58 (#)
Merci merci  Yaaa  Daengelo  bave
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Mer 25 Déc - 22:22 (#)
Je me demandais quand Blake allait être prise hihi

Bienvenue Haww
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Guest, Mer 25 Déc - 23:40 (#)
Bienvenuuuue Brille

Bonne chance pour tafiche Haww

Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite surtout pas Brille
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Jeu 26 Déc - 0:23 (#)
Bienvenuuuue Brille

Blake Chou
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Guest, Jeu 26 Déc - 14:19 (#)
LIVELY Chou Très bon choix :3
Bienvenue et bonne chance pour ta fiche Daengelo
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Guest, Jeu 26 Déc - 15:29 (#)
Hey Bienvenue :D

et bon courage pour ta fiche puis ton vava bave
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Jeu 26 Déc - 15:55 (#)
Bienvenue Daengelo
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Jeu 26 Déc - 18:43 (#)
Bienvenuuuuuuue Han!
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Jeu 26 Déc - 20:14 (#)
Bienvenuuuuue Haww Daengelo
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
par Invité, Jeu 26 Déc - 23:07 (#)
Bienvenue :coucou:
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Message Re: ✻ you can call me queen bee (amy)
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