| Atticus Greekpar Guest, Lun 20 Jan - 13:30 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Atticus Phoenix Greek FEAT. William Fichtner 57 ans ϟ Chef de la Brigade de police magique ϟ Bison d'Amérique du Nord ϟ Sang-mêlé Date de naissance : 1 décembre 1921. Lieu de naissance : Nottingham, Angleterre. Baguette magique : 32,4 cm, bois d'ébène, plume de phénix. Famille : les Greek étaient une famille de sorciers de sang-mêlé ordinaire, et quand je dis "étaient", il faut comprendre qu'il ne reste qu'Atticus, les autres (incluant deux grands-parents encore en vie à sa naissance, dont un Moldu, une poignée d'oncles et de tantes, ses parents bien sûr, et son frère) étant morts pour la plupart soit de vieillesse, soit de maladie. Son frère Justus, joueur de Quidditch professionnel, a eu un accident fatal durant un entraînement il y a des dizaines d'années, et son vieux père a été tué par un loup-garou peu après la montée au pouvoir de Voldemort. Atticus voit un avantage à cette solitude : personne ne peut se servir de ses proches contre lui et il n'a personne à protéger, une force, bien sûr, en temps de guerre. Statut : Éternellement marié à son ex-femme, Alexia Davidson, seule et unique dans sa vie. Il n'y a jamais eu d'amour passionné entre eux, Atticus n'étant vraiment pas un romantique, juste une exceptionnelle compatibilité de caractères. En lisant ça, on pourrait penser à une amitié fusionnelle, mais ce n'était pas vraiment ça non plus. C'est juste... C'est bizarre. D'ailleurs personne dans leur entourage n'a compris. C'est comme s'ils ne pouvaient s'empêcher d'être ensemble. Ils pensent toujours l'un à l'autre, penseront vraisemblablement toujours l'un à l'autre et leurs routes se recroisent régulièrement, de façon inexorable, quoi qu'ils disent et pensent. Au fond, peut-être qu'ils ignorent tout simplement depuis le début qu'ils sont amoureux. Un secret pas trop gros : manger du chocolat très noir l'aide à réfléchir, et il en garde toujours dans son bureau. Mais il ne le fait jamais devant autrui, ayant un peu honte de cette manie.
Atticus, ce n'est ni un rêveur ni un sensible. C'est un roc qui tient debout dans les pires tourmentes. Sa relative rigidité rassure autant qu'elle rebute : vous savez qu'il restera certainement à peu près le même, défauts et qualités compris, jusqu'à la fin de sa vie. On peut compter sur lui pour le meilleur et pour le pire et surtout pour se battre. Atticus est né avec le désir de lutte dans le sang. Et avec des chevilles bien enflées, aussi. Il fut un adolescent ambitieux, prétentieux et insupportable, sûr d'appartenir un jour à l'élite, n'ayant aucun doute sur son métier futur : Auror. C'était sa véritable vocation, qui a avorté faute d'avoir tout à fait le talent magique nécessaire. Un échec qui l'a énormément blessé, mais qui a eu au moins le mérite de ramener son orgueil à des proportions raisonnables, bien qu'il ne soit toujours pas le plus humble des hommes. L'histoire est bien connue dans son service, tout le monde sait qu'il s'est rabattu sur la Brigade par défaut et continue à envier les Aurors qu'il croise.
Atticus, c'est un homme respecté. Son courage n'est plus à prouver, sa droiture est exemplaire et sa détermination sans failles. Il est né pour les postes à responsabilités, ayant la force et la volonté de trancher au milieu des problèmes difficiles et de prendre une décision. Avec ses subordonnés, il s'efforce d'être juste tout en conservant son autorité. Et de l'autorité, il n'en manque pas. Son fort caractère et son fameux regard bleu glacier lui assurent une certaine aura qui peut intimider. Du reste, il ne fait pas trop bon de le contrarier. Atticus n'est pas franchement colérique, mais il a tout de même le sang plus chaud que froid. S'il peut prendre sur lui du moment qu'on a de bonnes raisons de le contredire, il ne se retiendra pas face à des lâches, des idiots, des menteurs, des cruels et nuisibles de toutes sortes. Atticus n'est sans doute pas le plus intelligent des hommes, bien qu'il soit incontestablement doté d'un cerveau en état de marche, mais il est sage. Il a derrière lui une vie assez longue et mouvementée qui ne lui a pas permis de se faire longtemps des illusions sur la nature humaine, ni sur la sienne. Plutôt sombre et sérieux de son naturel, il sait néanmoins se détendre de temps en temps si des amis sont là pour l'y faire penser.
Avec le temps, il a appris à travailler en équipe, mais il s'est toujours senti plus à l'aise dans le rôle du chef que dans celui de "sous-fifre". Attaché à son indépendance, il a tendance à vouloir en faire trop et à refuser de s'appuyer sur d'autres, par pure fierté. Mais le sens du devoir en fin de compte l'emporte toujours sur son orgueil. Il apprécie que les choses et les gens soient en ordre. Il n'est pas exempt d'un petit côté vieux jeu qui le pousse à mépriser les excentricités trop criantes. Son esprit résolument pratique dédaigne la superficialité, l'excès de raffinement, ce qu'il considère comme des pertes de temps de toutes sortes. L'individualisme lui inspire le plus grand dégoût, il déteste qu'on gaspille ses talents et qu'on ne choisisse pas la voie la plus difficile alors qu'on en a la capacité.
a little something from you. - Spoiler:
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Évidemment, Atticus est trop âgé pour avoir été touché par le sortilège du ministère, et il ne le regrette absolument pas. Ce n'est pas comme s'il aurait eu envie d'être suivi à longueur de journée par un bison qui parle. Ou même n'importe quel autre animal. Franchement, il n'a jamais été un amoureux des bêtes. You're not a sad story. 26 décembre 1928 (Nottingham, Angleterre)
- Viens voir, Pustule ! - JE M'APPELLE JUSTUS ! - Jus de pustule qui pue ! - Arrêêêête ! Justus commença à essayer de lui donner des coups de poings, mais il était tellement petit qu'il n'arrivait même pas à lui toucher l'épaule. Ils n'avaient pourtant qu'un an de différence. Mais Atticus était aussi grand pour son âge que Justus était minuscule. On leur aurait donné respectivement dix et quatre ans, alors qu'ils en avaient sept et six. - Regarde ce que je peux faire avec ça. Avec son sourire fier habituel, Atticus lui montra la boule à neige enchantée que Tante Abigail venait de lui offrir pour Noël. Justus en avait eu une aussi. Des enfants chaudement emmitouflés volaient sur des balais, sous la neige, en faisant des signes et des sourires autour d'une tour Eiffel miniature. Tante Abigail partait pour au moins un pays étranger par an, et elle leur rapportait toujours quelque chose de ses voyages. Elle avait été la seule membre de la famille à ne pas leur offrir de vêtements. Il était de notoriété publique que leurs croissances exceptionnelles posaient sans cesse des problèmes au niveau de l'habillement. En outre, les Greek étaient de confession anglicane, et Noël représentait une fête sacrée pour laquelle on ne prévoyait ni sapin, ni cadeaux idiots. Le seul amusement réel de la fête pour les deux garçons, c'était le repas. Atticus amena la boule à neige à hauteur de ses yeux bleus et vifs. Ceux de son frère, noirs comme du charbon, s'écarquillèrent lorsque la neige se mit brusquement à changer de couleur, passant du turquoise au jaune à l'orange au vert. - T'as vu ? triompha Atticus. Et ça, tu peux le faire ? Piqué au vif, Justus fit mine de s'emparer de la boule, mais il la mit hors de sa portée. - Hé ! Exerce-toi sur la tienne, tu vas la casser ! Avec un soupir, le minuscule marmot alla chercher sa propre boule à neige. Tandis qu'il se concentrait de toutes ses forces, sans se faire d'illusions, son aîné continuait à fanfaronner, comparant ses talents avec ceux de chaque gamin sorcier connu du quartier et rappelant qu'aucun ne parvenait à faire quoi que ce soit consciemment avec ses pouvoirs. Bien sûr, c'était pourquoi aucun d'entre eux ne deviendrait Auror...
1 septembre 1932 (Poudlard, Écosse)
- Davidson, Alexia. Silence. Une certaine agitation parcourut les élèves lorsqu'une petite fille aux cheveux noirs et bouclés se dirigea à toute vitesse vers l'estrade, la tête baissée. Elle s'installa sur le tabouret, l'air horriblement mal à l'aise. Son visage était marqué de cicatrices. - N'ayez pas peur, ma chérie, lui souffla la sous-directrice. Atticus l'avait déjà aperçue sur le quai de la gare, et il ne put s'empêcher d'avoir de la compassion pour elle, ainsi exposée à tous les regards. - Serdaigle ! trancha le Choixpeau. Un peu plus tard, ce fut son tour, et il s'assit sur le même tabouret avec une confiance inébranlable.
3 septembre 1932
- Monsieur ! J'ai réussi ! - C'est très bien, Atticus, dit le professeur en inclinant la tête, dix points pour Gryffondor. De nombreuses têtes se tournèrent. Le cours n'avait commencé que depuis quinze minutes et personne n'était encore parvenu à changer son aiguille en allumette. Personne sauf Atticus, qui rayonnait de fierté, percevant avec délices les murmures de ses camarades. - Essayez maintenant de rendre l'allumette à sa forme première... sans distraire vos voisins, n'est-ce pas ? ajouta l'enseignant une seconde plus tard, alors que le garçon commençait à se vanter un peu trop bruyamment. Mais son ton, aussi paisible que ferme, et son regard perçant lui clouèrent aussitôt le bec. Les petits première année l'apprirent vite, s'il était aussi bienveillant que possible, il n'était pas possible de jouer au mariole plus de deux secondes avec le professeur Dumbledore. Atticus ne put s'empêcher de jeter un coup d’œil derrière lui, vers la dernière rangée pour voir si Davidson le regardait, ce qui était le cas. Elle avait les sourcils froncés, l'air presque dégoûté et se remit aussitôt au travail.
5 septembre 1932
- Salut. - Salut, marmonna-t-elle. - Ça te plaît, Poudlard ? - Mouais. Atticus se sentait énervé, sans savoir pourquoi. Cette fille bizarre lui tapait sur les nerfs. - Pourquoi t'arrêtes pas de me regarder, en cours ? Davidson s'arrêta de marcher. - Je crois que c'est plutôt à toi de me dire pourquoi t'arrêtes pas de me regarder. C'est plutôt difficile de ne pas te remarquer, vu le nombre de fois que tu te vantes ! - Tu dis n'importe quoi, dit Atticus d'un ton dédaigneux. Et si tu crois que moi, j'ai envie de te regarder... - Fiche-moi la paix ! cria-t-elle avec un mélange de fureur et de douleur, et elle s'éclipsa. Il ne l'avait pas vue aligner tant de mots de toute la semaine. - Ouais, c'est ça, grommela-t-il en se retrouvant seul.
20 septembre 1932
Atticus n'arrivait vraiment pas à comprendre ce que cette fille lui voulait. On aurait dit qu'elle lui tombait dessus à tous les tournants de couloirs. Et pourquoi pensait-il si souvent à elle, d'ailleurs ? D'accord, ses cicatrices étaient intrigantes, mais ça ne méritait pas ça ! Une bonne fois pour toutes et au diable le truc bizarre qui l'avait retenu jusque-là, il décida d'éclaircir le mystère : - D'où ça vient, tes cicatrices ? Oh, c'est pas vrai, elle n'allait pas... et si, elle commençait à pleurnicher. Oh, bon sang, qu'est-ce qu'il était censé faire ? Les sourcils froncés, les lèvres plissées, il finit par lui donner quelques tapes sur l'épaule. - J'ai été malade, bredouilla-t-elle entre des sanglots et des hoquets. - Bon, ça va, hein, dit Atticus et il lui tendit un mouchoir. Elle se moucha. - Les autres se moquent de moi, geignit-elle. - Oui, j'ai vu, répondit-il d'un ton quelque peu indifférent. Il s'en voulut un peu, mais rien à faire, quelque chose en elle l'empêchait d'être gentil. Peut-être que c'était tout simplement le fait qu'elle l'avait insulté si souvent. Oui, après tout, elle l'avait suffisamment traité de prétentieux pour qu'il ne soit pas du tout compatissant !
14 septembre 1935
Atticus était en train de réviser son cours de potions lorsque son frère jaillit soudain en trombe dans la salle commune. Il se planta devant lui, le souffle court, les joues rouges et les cheveux en bataille : - J'ai réussi ! - Quoi ? - J'ai été sélectionné. C'est moi, le nouvel attrapeur ! Atticus en resta bouche bée. - Sérieux ? - Oui ! Il paraît que je suis le plus jeune attrapeur qu'ils ont eu depuis des années. Ils m'ont trouvé super doué ! - Wow... Bravo, Just', c'est génial ! Et il envoya balader son cours pour célébrer ça avec lui en vidant un paquet entier de Chocogrenouilles. Cela faisait longtemps qu'ils n'avaient pas été si complices.
17 janvier 1937
- Pourquoi tu veux à ce point devenir Auror ? demanda Alex. Depuis que ses cicatrices avaient disparu et que le temps avait mis un peu de plomb dans la tête d'Atticus, leur relation était moins explosive qu'auparavant. Peut-être que cela venait aussi, tout simplement, du fait qu'ils se voyaient moins. L'année des BUSES les occupait fort tous les deux, surtout Atticus qui n'avait jamais tant travaillé. - Ben... Il leva les yeux de sa brochure du ministère de la Magie, étonné. Ça lui avait toujours semblé une telle évidence qu'il ne s'était jamais posé la question. - C'est les meilleurs, finit-il par répondre. - Bien sûr... Et toi, forcément, tu fais partie des meilleurs... - Et ils sont utiles, surtout, répliqua-t-il. - C'est le principe du métier, d'être utile, non ? - Un Auror, ça ne se détourne pas quand quelqu'un a besoin d'aide, lâcha-t-il d'un ton sec. Alex se mit à se triturer les mains. - Quoi ? - Je croyais que Chloe Rosebury était ton amie. - Tu vas me faire la morale... - Peut-être bien. - Ils étaient deux et plus grands que moi ! - Je ne suis pas plus grand que toi ! - Ben voyons, ne fais pas comme si tu n'étais pas beaucoup plus doué ! - Et ça ne t'aurait rien fait de ne pas intervenir pendant qu'elle se fait casser la figure ? rugit-il. Moi, je ne pourrais pas me regarder dans la glace après un coup pareil ! Espèce de lâche !
3 juillet 1941 (Newhaven, Angleterre)
- Atticus Greek, voulez-vous prendre Alexia Davidson comme épouse et promettez-vous de lui rester fidèle, dans le bonheur ou dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie, pour l’aimer tous les jours de votre vie ? - Oui, répondit Atticus du même ton que s'il acceptait de signer un contrat immobilier. - Alexia Davidson, voulez-vous prendre Atticus Greek comme époux et promettez-vous de lui rester fidèle, dans le bonheur ou dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie, pour l’aimer tous les jours de votre vie ? - Oui, répondit Alexia d'un ton exactement semblable. - Excuse-moi, mais je ne comprends toujours pas pourquoi vous vous épousez, confia Justus à son frère plus tard en aparté. Il ne savait pas trop quoi répondre alors il haussa les épaules. - Oui, voilà, c'est ça, mon problème, soupira Justus. Vous ne savez pas ce qu'est l'amour, tous les deux. - Et comment va ton bras ? - Très bien, c'était rien du tout, un guérisseur l'a retapé en moins de deux. Atticus préféra s'éclipser avant de risquer de le lancer sur le thème du Quidditch, qui le rendait intarissable. Leur discussion n'avait pas duré trente secondes.
8 décembre 1946 (Pré-au-Lard, Grande-Bretagne)
Il resta planté devant l'enseigne de la Ménagerie magique un moment avant de se décider à entrer.
C'était sombre, à l'intérieur, confiné, bruyant. Plein de bêtes partout. Alex était là, comme prévu, en train de nettoyer le comptoir. Lorsqu'elle le vit, elle s'immobilisa, et ils restèrent un moment plantés l'un devant l'autre en chiens de faïence. - Salut, dit-il. Il n'était pas très à l'aise, et il le semblait. Il avait été assez odieux avec elle après qu'il eût échoué à devenir Auror et plus le temps passait, plus il avait honte de toutes ses manières de se comporter dans le passé. Elle repassa derrière le comptoir en jetant le chiffon comme si elle lui en voulait personnellement. - Quoi ? - Je suis vraiment désolé, dit-il. Le visage d'Alex se détendit légèrement. - J'ai entendu dire que tu étais entré dans la Brigade de police magique. Il haussa les épaules et répondit d'un ton morne : - Je m'y habitue. Euh... Il soupira. J'ai besoin d'un hibou. J'ai donné l'ancien, en fait. Alex sourit presque et lui tendit la cage d'un hibou moyen-duc déplumé qui criaillait. - Il s'appelle Leviathan. Je ne suis jamais arrivée à le vendre. Il a un caractère de dragon et vole aussi bien qu'un joueur des Canons de Chudley en pleine tempête. - Merci. - C'est une bonne chose, que tu ne sois pas devenu Auror, Atticus, lança-t-elle juste avant qu'il parte. Il se figea, la main sur la poignée. - Tu es mieux comme ça.
10 mars 1950 (Londres, Angleterre)
Cela se produisit le soir. Atticus avait vingt-neuf ans. Il étudiait un dossier qu'il avait rapporté du travail lorsqu'il entendit frapper à la porte de son appartement. - Monsieur... Vous êtes bien monsieur Atticus Greek ? Il hocha la tête. - Monsieur, je suis désolé, c'est à propos de votre frère. Il écouta en silence, ferma la porte un peu plus tard.
2 juin 1970 (Poudlard, Écosse)
- Bonsoir, Atticus... Il s'installa dans le fauteuil. - Voulez-vous quelque chose à boire ? - Non, merci. Dumbledore le contemplait d'un air bienveillant, mais sérieux, les bouts des doigts joints dans une pose familière. - J'ai appris pour le décès de votre mère, dit-il d'une voix douce. Je vous présente toutes mes condoléances. - Merci. - J'ai été plus heureux d'apprendre votre promotion. Ce ne sont pas toujours les meilleurs qui les reçoivent, et je suis certain que vous vous en montrez à la hauteur. - On le dit. Le chef de la Brigade de police magique lui rendit un regard pas moins bleu, ni moins perçant. - Je sais que je suis plus en sécurité ici que partout ailleurs, déclara-t-il. Je n'ai pas besoin de m'assurer que personne ne nous espionne, ni de parler à voix basse. Parce que je suis à Poudlard, et que vous y êtes. Voilà pourquoi je suis là, Dumbledore. Vous êtes le seul qui fasse peur à Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom. Sachez que s'il y a quoi que ce soit, et cela inclut de donner ma propre vie, que je puisse faire pour lutter contre lui, j'y suis prêt. J'y suis prêt depuis longtemps. La gravité gagna chacun des traits de Dumbledore tandis qu'il parlait. Un silence s'installa. Dumbledore le dévisagea longuement. - Laissez-moi vous parler de l'Ordre du Phénix. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Ploup ploup ϟ Où as-tu trouvé le forum? Huhu ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? ϟ Présence: Quotidienne ϟ Une remarque? Merci de m'avoir permis de créer mon DC
Dernière édition par Atticus P. Greek le Dim 26 Jan - 22:14, édité 21 fois |
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