| Something like Ô LIV "hi ha"par Guest, Sam 4 Jan - 23:37 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Liv Mills-Davidson FEAT. Freya Mavor 17 ans ϟ 7e année ϟ Un caribou et ϟ Sang-pur Je suis Liv Mills-Davidson, fille de Carron, défunt, et Morna, cinglée. Je suis la plus jeune de leur trois filles, comme vous le savez peut-être déjà. Mon père est mort quand j'avais 4 ans, par un auror aux yeux bleus, selon Lumen, l'aînée de ma famille. Je suis parfois incomprise, parfois méprisée et méprisante.
Je suis
*Petite note : Liv défend que tous les êtres vivants devraient être mis sur un piédestal, mais foncièrement, elle ne le pense pas vraiment. Elle s'exprime souvent mal et ne souhaite tout simplement pas voir aucun être sensible souffrir. Ceux qui sont au courant de cette légère déviance de pensée de sa lignée (parce qu'elle ne cri pas haut et fort ses convictions) savent que ses propos sont à prendre au deuxième degré, ou du moins les prennent au deuxième degré même si elle est parfois sérieuse. En ce sens, elle défend l'intérêt des autres, mais n'agit pas en conséquence. Il faut se savoir aussi qu'elle est très discrète et que donc peu de gens sont au courant de ses idéologies.
Ici, c'est la partie où vous présentez votre personnage. Décrivez son caractère, c'est le plus important, donc n'hésitez pas à développer. Vous pouvez parler de sa date et de son lieu de naissance, de son statut de sang, de sa nationalité, de sa baguette (elle peut avoir trois coeurs différents: plume de phénix, ventricule de coeur de dragon et crin de licorne), de son épouvantard, de son animal de compagnie s'il en a un. Minimum de 10 lignes. a little something from you. Octave est un caribou mâle qui adore la compagnie de Liv. Les deux s'entendent à merveille et sont le plus souvent ensembles. Il est le patronus principal de la jeune femme de dix-sept ans. Il est en fait un ami loyal et majestueux. Cet animal est, d'une part, le symbole de la grandeur de son statut social et de son sang. De plus, il impose le respect, sans toutefois écraser les autres. Le panache d'Octave est grandiose et symbolise la grandeur d'âme de Liv. Elle est sensible au monde extérieure et éprouve de la compassion pour tous les êtres de la Terre. Bien que l'espèce Rangifer tarandus caribou soit une espèce qui vit en harde, il est aussi capable d'être solitaire au même titre que sa "maîtresse". Le caribou est un cervidé qui possède plusieurs caractéristiques lui permettant de vivre en millier inhospitalier. Octave représente en ce sens la facilité d'adaptation et la versatilité de Liv. De surcroît, Octave adopte un régime végétarien, tout comme Liv. D'autre part, le caribou des bois est une espèce menacé. Le fait que l'animal u patronus de Liv est en voie d'extinction symbolise l'extinction de sa propre famille. Ils ont beau avoir du sang pur, un panache de fer, ils sont aussi voués à l'extinction que bien d'autres espèces. Les caribous sont dotés d'un flair et d'une ouïe développés, contrairement à leur vue. Ils préfèrent donc s'enfuir en discrètement plutôt que d'affronter le danger. Liv et Octave préfèrent s'en aller que de se mettre dans le trouble, ils sont très attentifs de leur environnement, mais aussi l'un de l'autre. - Spoiler:
Octave peut prendre aussi la forme d'un porcelet sauvage. Sa parenté avec le cochon domestique représente l'emprisonnement que Liv ressent quand elle pense trop à son sang et à ses obligations familiales. Le bébé sanglier représente en fait l'innocence de bien vouloir être libre. Marie n'apparaît de temps à autres lorsque Liv est embêtée et se sent persécutée. Elle apparaît aussi presque à chaque fois qu'elle est dégoûtée par une situation. Le confort que le bébé sanglier lui apporte grandit de fois en fois lui rappelant que peu importe l'affreuse situation à laquelle elle fait face, il y aura toujours quelque chose de pure et de beau en ce monde. *Liv adore les animaux à la base, elle ne voit donc aucun inconvénient d'en côtoyer chaque minute de son existence. Elle comprend bien ses patronus et vice versa. You're not a sad story. I. LIFE IS LIFE Je n’y était pas, je veux dire quand mon père s’est fait assassiné. Je ne m’en souviens pas non plus. Juste ma mère et Lumen, ma grande soeur, qui reviennent de je-ne-sais-où et qui nous racontent l’histoire en catastrophe à Lila et à moi. «Papa est parti?» Je ne comprenais pas tout ce que ça signifiait. J’ai toujours été une enfant intelligente et sensible - il me semble - mais je ne peux mentir et dire que ce fut la pire nouvelle de ma vie, non. Ce ne le fut pas. À quatre ans, on ne comprend pas ce genre de choses. Je ne peux toutefois nier l’effet bombe de la nouvelle. Alors que l’un des piliers principal de notre famille était mort, l’autre (ma mère) s’est effondré plutôt rapidement. Ce fut la folie qui vola ma mère à ses trois petites filles. Je ne peux la blâmer d’être tombée ainsi, elle n’a pourtant pas su nous protéger. Et c’est peut-être bien comme ça. J’y réfléchis parfois et je me dis que je n’aurais jamais été aussi folle que je le suis si tout avait été différent. Mais encore là, qu’est-ce que d’être fou? Qui est vraiment normal, et qu’est-ce qui définit cette réalité - si seulement elle existe vraiment? Nous sommes tous pareil au final. Un Avada Kedavra à n'importe qui, et c'est terminé, peu importe le statut, la race, peu importe tout court. Sang-pur, sang-mêlé, né-moldu, femme, homme, sorcier, mordu, serpentard, gryffondor, pouffsoufle, serdaigle, blanc, noir, jaune, à pois, rayé, zébré, végétal ou animal, nous sommes tous les mêmes. Un tas de cellules organisées qui forme un organisme, humain, ou pas. Pourquoi voulons-nous absolument se distinguer pour le mieux? Ne sommes nous pas tous ici pour accomplir de belles choses, tous ensembles? C'est peut-être un acte de rébellion pour ma famille Ô combien merveilleuse et une honte pour tous les sangs-purs du monde, je m'en fiche pourtant. C'est ce que je pense, foncièrement. II.LA FAMILLE «Laisse-le tranquille!» Je pleurnichais le crapaud que ma soeur Lila tenait enfermé dans un bocal, pointant sa baguette scrupuleusement dessus. «Et si je n’en est pas la moindre envie? Que me feras-tu? Explique-moi pourquoi je tiendrais en vie cette créature exécrable? Dis-moi en quoi mon plaisir est moins important que sa misérable vie d’amphibien crasseux?» Je bouillais en dedans. Si au moins j’avais eu une baguette magique, j’aurais pu désarmer ma soeur et sauver Paul - oui j’avais nommé mon ami crapaud Paul. J’aurais pu lui en faire voir de toutes les couleurs, lui faire payer pour toutes ses vies qu’elle avait menacées, pour toutes ses fois où elle a traité de façon ordurière un être vivant. «Ce que tu fais est abominable, tu me fais honte, tu n'as pas de coeur!» «Tiens, tiens, tu te décides à parler finalement? C'est drôle, je ne t'ai jamais entendu dire de telles bêtises à maman quand elle nous raconte ses histoires de tortures envers les moldus.» Lila avait craché ces paroles comme si elle m'avait craché au visage. Je ne pouvais concevoir - et ne peux toujours pas - comment quelqu'un peut être aussi insensible à la vie. Qu'est-ce que ma mère et ma soeur avaient à la place du coeur? Quelque chose de pierre, de froid. Je détestais les cruelles histoires vraies que ma mère nous racontait à mes soeurs et moi. Chaque fois, j'avais le coeur dans le fond de la gorge. Je ne pouvais pourtant pas manifester et défendre les moldus sous peine moi-même de subir une suite abominable. Je n'avais pas intérêt à considérer ces êtres différents comme étant importants. Je n'ai jamais considérer les moldus comme étant une espèce qui se doit d'être opprimée. En fait, elle est différente de la notre, pas meilleur, pas moins bonne, juste différente. Ils ne m'inspirent pas le dégoût, ni mon admiration, peut-être seulement ma pitié après toutes ses histoires que l'on m'a raconté. «Tu sais bien que c’est différent. Je t’en supplie, ne fais pas ça.» «Trop tard.» Lila ne prit même pas la peine d'utiliser la magie pour détruire le corps fragile de Paul. Elle prit un gros caillou et écrabouilla de toutes ses forces le crapaud malgré mes cris étouffés. Prise d'un haut le coeur, je me retournai, ne comprenant pas son sourire victorieux. «Compte-toi bien chanceuse que je ne raconte pas ta folie aux autres. Comme si tous les êtres vivants méritaient ton respect. Respecte donc ton sang pur avant de glorifier celui des autres! Considère cet acte comme ta sorte de… punition.» C'était certainement sa façon à elle de vouloir me faire changer d'avis à propos de la vie, et je ne pouvais rien y faire. III. LA BAGUETTE «Intéressant.» Le vieil homme avait les yeux grands ouverts et la bouche semi-fermée. Il contemplait l’objet qui se retrouvait dans mes mains d’un air ébahi. Je n’étais pas trop surprise de sa réaction, Lumen m’avait prévenu que cet Ollivander était beaucoup trop intense à chaque fois qu’un nouveau sorcier était choisi par une baguette magique. «Très intéressant.» Avait-il répété. Je me contentais de sourire. Je n’ai jamais aimé causé avec les étrangers, en fait avec les gens en général. Avant de me retrouver avec ma nouvelle acquisition dans les mains, j’avais essayé plusieurs autres modèles. «Peut-être celle-ci, bois de houx, ventricule de dragon, 21,4 centimètres.» J’ai frôlé le bois de la baguette et j’ai basculé de côté, poussée par une force invisible qui apparemment n’avait envie que de me faire tomber. J’ai alors entendu un semblant de «non» avant qu’Ollivander me tourne le dos pour choisir un autre objet. «Bois de noisettier, crin de licorne, 25,8 centimètres.» Ollivander me tendit la boîte dans laquelle la baguette reposait. Je la touchai brièvement et rien ne se passa. Je la pris donc soigneusement dans mes mains et rien ne se passa. Un peu plus confiante que la première fois, j’agitai cette baguette qui n’eut aucune réaction. J’avais beau être peu expérimentée avec la magie, je savais que cette baguette ne réagissait tout simplement pas. Lumen m’avait dit que j’allais le savoir, quand ça allait être ma baguette. Embêtée, j’ai décidé de remettre l’objet à son propriétaire du moment, Ollivander. Pendant une bonne demi-heure le vieil homme tenta de trouver ma baguette. Après dix essais, il me sorti une baguette dite «spéciale.» Je pris la baguette et j'ai su. C'était la bonne. Depuis le début de la rencontre je formulai ma première phrase complète. «C'est elle. » Je levai la tête, avec un petit sourire en coin, fière d'avoir enfin trouvé ma baguette, cet objet qui allait me suivre avec un peu de chance jusqu'à la fin de ma vie. J'étais quand même curieuse de la connaître davantage, mais Ollivander me devança et me décrivit ma nouvelle amie. «C'est une baguette de 28,9 centimètres de bois de pommier. Peu de sorciers possèdent une baguette constituée de ce bois car les baguettes en bois de pommier ne sont pas fabriquées en grand nombre. Elles sont puissantes et conviennent mieux aux personnes qui ont des aspirations élevées et un grand idéal, car ce bois n’est pas très efficace dans la pratique de la magie noire. On dit que les possesseurs d’une baguette de pommier seront entourés d’amour et vivront longtemps et j’ai moi-même observé que les clients au charme personnel marquant trouvent leur partenaire idéal dans de telles baguettes. Leurs propriétaires ont souvent un don exceptionnel pour converser avec les créatures magiques dans leur propre langue. Citons parmi eux Dylan Marwood, l’auteur du Guide complet des Êtres de l’Eau : langage et coutumes.* Le coeur de ta baguette est constitué de crin de licorne. Ta baguette te sera fidèle et fragile. Fais-en bon usage.» Intense avait dit Lumen? C'était assez d'information pour écrire un manuel. Je ne me reconnaissais pas du tout dans sa description, mais je n'allais certainement pas remettre en connaissance son savoir. Je me contentai de sourire au vieil homme et de le remercier pour son temps avant de repartir sur le chemin de traverse avec ma nouvelle baguette magique. *Source : Pottermore, merci J.K. ; ) Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Addicted, 19 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Bazzart ϟ Personnage: Scénario ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non ϟ Présence: As much as I can (souvent) ϟ Une remarque? J'adoooooore le forum, j'adore déjà les gens ici, vous êtes supers
Dernière édition par Liv Mills-Davidson le Mer 8 Jan - 16:29, édité 31 fois |
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