BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| there are no winners, only survivors. (red) | | | there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 14:23 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Jared Sean Dawkins FEAT. Theo "James" Taptiklis 22 ans ϟ Justice Magique (onzième année) ϟ Chat américain à poils courts et coyote ϟ Sang-mêléNom: Dawkins, nom de son père. Sa mère, quant à elle, portait le nom de Kaufman avant de se marier. Prénom: Jared Sean, deux prénoms d'origine hébraïque, comme le désirait la tradition. Âge et Date de Naissance: Âgé de vingt-deux ans, il a vu le jour pour la première fois le 20 décembre 1957 à Jérusalem (Israël). Nature du sang: Sang-mêlé. Son père est un sorcier ; sa mère, quant à elle, est une moldue qui rejette toute idée que le monde sorcier puisse exister. Situation familiale: Célibataire. Il vit avec son père en Angleterre, après que sa mère l'ait mis à la porte en apprenant qu'il était en réalité sorcier. Depuis, il n'a absolument aucun contact avec elle, et son père s'est remarié avec une sorcière et lui a donné deux demis-soeurs en plus de sa petite soeur qu'il avait déjà. Patronus: Un chat américain à poil court qui peut prendre la forme d'un coyote. Miroir du Rised: Sa mère qui le serre dans ses bras. Il n'a jamais réellement accepté le rejet qu'elle lui a fait subir lorsqu'elle s'est rendu compte qu'il était sorcier comme son père. Composition de la baguette magique: Trente-et-un centimètres, bois de cèdre, plume de phénix ; d'après ce qu'on a pu lui dire, elle serait parfaite pour la métamorphose, mais Jared attend toujours le jour où elle lui fera faire des merveilles. Epouvantard: Une foule qui désire le voir sur un bucher, traumatisme qui le hante depuis qu'il est parti d'Israël. Etudes Suivies: Justice Magique (justice), douzième année, option psychomagie et droit moldu. Animal de compagnie: Aucun, il a déjà bien assez d'un patronus qui lui colle aux basques toute la sainte journée. Caractère Incompris, sans doute. Loin de faire partie du même monde que les autres, certainement. Jared est une personne de bien plus intelligente que la moyenne. Littéralement brillant, il aurait très bien pu se hisser au titre de futur Ministre de la Magie. Ou devenir un mage renommé. Ou faire parler de lui durant des années, encore et encore, balayant sur son passage toutes les autres personnes qui auraient bien pu prétendre lui arriver à la cheville. Mais rien de tout cela n’arrivera. Incompris, incompris. Incompris, oui. Mais il ne se comprend même pas lui-même. Il ne comprend pas ce cerveau qui va beaucoup trop vite. Il ne réussit pas à suivre ce rythme déchainé qui lui coupe le souffle ; alors, forcément, il ne cherche même plus à y arriver. Il ne cherche même plus à y parvenir. On le traite de paresseux. De fainéant. De bon à rien. Mais ce que les autres ne réussissent pas à comprendre est qu’il ne réussit pas à changer ce qu’il est ; ce que les autres ne parviennent pas à assimiler est que cela est bien plus facile pour lui d’être distrait et désordonné. De lever le nez en l’air plutôt que de se concentrer. De dire n’importe quoi plutôt que de réfléchir à une question qu’il n’a aucun sens. C’est comme cela. Il n’aime pas perdre son temps avec sa propre intelligence. Il n’aime pas se dire qu’il pourrait faire mieux s’il avait eu un peu plus de volonté. Mais être négligé est tellement simple. Jared voit tout en grand. Jared fait tout en grand. Il est excessif dans les moindres choses qu’il peut faire ; il a des avis bien arrêtés sur certaines questions et pourrait être capable de parlementer des heures durant pour faire admettre à la personne en face de lui qu’il a raison. Il est peut-être paresseux, mais cela ne lui retire pas ce caractère de feu qu’il peut avoir ; impulsif et coléreux, il s’emporte facilement, grince des dents quand une chose le dérange et tient des propos démesuré pour la moindre petite broutille. Au fond, il est comme cela. Jared s’emporte. Jared perd pied. Pourtant, cela n’est jamais pour longtemps ; il oublie tout à la seconde. Il est extraverti. Fier, presque. Quand il parle, il parle fort, avec assurance, avec un sourire en coin et un air assuré. Quand il est calme, ses paroles sont chargées d’humour ; il rit facilement et s’anime. Charismatique, sans doute, si on lui retire ses côtés impulsif. Sociable, également, mais les personnes autour de lui sont loin de se douter de ce qu’il y a derrière. Parce qu’au fond, tout le monde le prend pour un abruti. Parce qu’au fond, personne ne se rend compte qu’il est intelligent. Peut-être même trop. Incompris, oui. Sans doute suffisamment pour que cela le nuise. a little something from you. Arya. Honorable, noble. Mais, avant d’être un prénom indien, Arya est le patronus de Jared. Arya, c’est un chat américain à poils courts. Arya, c’est également un coyote à de rares occasions. Conscience, voix sarcastique, commentatrice de ses moindres faits et gestes, elle le rend littéralement fou. Elle a toujours son mot à dire. Son commentaire à faire. Elle est cette intelligence qu'il a toujours refusé. Mais, d’un autre côté, son patronus l’aide à peser le pour et le contre, son patronus l’aide à faire la part des choses. Et, aussi étonnant que cela puisse paraître, parfois Jared l’écoute. La cohabitation ne s’est pas révélée facile. A cette époque, Jared était un élève enfoncé dans sa propre bêtise. Dans son propre mal-être familial. Jared était un jeune homme encore blessé par sa propre mère. Il refusa Arya, pensant qu’elle prenait la place de cette maman qu’il n’avait jamais eu. Mais il faisait fausse route. Il se trompait sur toute la ligne. Au fil des jours, il finit par lui faire une place dans sa vie, il finit par la considérer comme personne à part entière. Comme une personne autre que sa génitrice. Il n’est pas rare de le voir prendre le chaton qui le suit partout dans ses bras ; il n’est pas rare de les surprendre en train de converser, de manière tout à fait muette, sur les derniers cours auxquels Jared était censé assister. Arya, c’est sa coéquipière. Arya, c’est la voix féminine qui résonne dans son esprit, qui tente de le ramener sur le droit chemin, même si Jared est bien trop perdu pour que cela puisse être un jour possible. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Wild Hunger, Jilly, vingt ans et bientôt deux mois. C'est dur, ouais. ϟ Où as-tu trouvé le forum? J'ai pris le bus. ϟ Personnage: Inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? ϟ Présence: Beaucoup trop. ϟ Une remarque? Je l'avais dit dans mon absence, je prends des décisions avec mes personnages. J'ai préféré arrêter Elias plutôt que de m'obstiner avec. Désolée pour le peu de personnes avec qui j'avais encore un lien.
Dernière édition par Jared S. Dawkins le Sam 19 Avr - 19:24, édité 10 fois |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 14:24 ( #) | You're not a sad story.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]things change and friends leave. and life doesn't stop for anybody. ⊹ L’amour rend aveugle. L’amour encourage les personnes à tomber dans les extrêmes. Encore aujourd’hui, Jared peine à comprendre ce qui avait bien pu se passer dans l’esprit de son père. Ce qu’il avait bien pu penser. Croire. Faire. Ce qu’il avait bien pu espérer. Il n’avait pas été là pour le voir ; cependant, il savait pertinemment que son père, un sorcier, était éperdument tombé amoureux d’une Israélienne moldue venue étudiée à Londres avant de ne repartir dans son pays natal. Pour que cet amour soit réciproque, il avait tout abandonné. Pour que cet amour soit réciproque, il avait tout fait. Il avait abandonné le monde sorcier, sachant qu’elle n’accepterait pas de telles fantaisies. Il avait accepté de se convertir au judaïsme, et ce même s’il n’avait cru en aucun Dieu ; et il était simplement parti en Israël sans se retourner. Sans dire au revoir. Abandonnant tout un passé pour se jeter dans les bras de celle qu’il considérait comme la femme de sa vie. Ce qu’elle fût. Durant une poignée d’années. Ils se marièrent. Jared naquit neuf mois plus tard, suivi de sa sœur dans les deux années qui suivirent. Leur père cacha sa véritable nature durant tout ce temps ; mais il s’en fichait. Il s’en fichait éperdument. Il avait l’impression que sa vie était comblée, que tout allait bien aller. Il avait l’impression que son sacrifice avait valu la peine ; il ne réussissait pas à s’imaginer ailleurs. Et pourtant, il fût contraint d’aller ailleurs. Il avait suffi d’un simple laisser-aller pour que sa femme se rende compte de sa véritable nature ; après une dispute houleuse, il se retrouva sur le pas de leur porte avec ses deux enfants dans les bras. C’était fini. Aussi simplement que cela. Il avait été traité de mage noir et d’hérétique ; les propos de sa femme avaient été si cinglants qu’il avait eu l’impression de perdre pied. Elle lui avait hurlé qu’il méritait d’être brûlé. Lui et ses enfants. Jared ne conserve aucun souvenir de cet épisode de sa vie. Il ne se souvient pas des longs après-midi d’été à jouer avec ses cousins sous le soleil d’Israël ; il ne se souvient pas des histoires que sa mère lui racontait avant de s’endormir. Non. La seule chose qui le hante est la haine que sa mère commença à nourrir envers lui, son père et sa sœur depuis ce jour-là. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]like the legend of the phoenix, all ends with beginnings. ⊹ Le cœur aux abonnés absents, une douleur dans la poitrine, le père des deux enfants revint en Angleterre avec eux. Il renoua avec le monde magique après des années sans contact ; il s’installa dans un appartement sur le Chemin de Traverse et apprit à vivre seul. A vivre avec une partie de lui-même qui lui avait été arrachée. Jared et sa sœur grandirent sans mère. Jared et sa sœur grandirent dans l’idée qu’on puisse les rejeter. Que l’amour d’une mère pouvait ne pas être suffisant dans certains cas. Ce fût à ce moment-là, véritablement, que Jared arrêta de faire des efforts. Qu’il devint paresseux. Qu’il se dit que, de toutes manières, rien ne valait la peine. Les causes pour se battre n’existaient pas, alors il lâchait prise pour revenir au plus simple. Cela pouvait être considéré comme de la lâcheté. Cela pouvait être considéré comme être faible, mais au fond, il prenait simplement son courage à deux mains pour n’être que lui-même. Pour grandir en temps qu’être humain et non pas être parfait. Son intelligence continua de se développer ; cependant, lui, il ne suivait plus la cadence. Son père, lui, passa à autre chose. Il rencontra quelqu’un d’autre. Et il recommença à y croire. Les choses allèrent vite. Sans doute beaucoup trop. Il vit son père se remarier. Être heureux. Avoir d’autres enfants. Mais, jamais, Jared eut l’impression de faire partie de ce tableau-là. Jamais il n’eut l’impression d’être intégré dans cette nouvelle unité familiale. Qui était-il parmi toutes ces personnes ? Ils partageaient le même sang. Certes. Mais au fond Jared avait mal. Mais au fond Jared ne voulait pas l’assumer. Il ne voulait pas y croire. Il ne voulait pas se dire qu’on pouvait l’atteindre de cette manière, se dire qu’il pouvait se faire détruire par un passé dont il ne réussissait même plus à se souvenir. Lorsqu’il reçut sa lettre pour être à Poudlard, cela fût certainement le plus grand soulagement de toute sa vie. Il n’avait attendu que cela. Partir de cette famille à laquelle il n’avait pas l’impression d’appartenir. Prendre du recul, placer de la distance, arrêter de penser à Israël et sa mère qu’il n’avait jamais revu. Il conservait une photo d’elle, cependant. Rangée au fond de son tiroir. Rangée au fond de son cœur. Rangée là où ne pouvait réellement la voir. Rangée derrière son air enjoué et ses remarques sarcastiques, derrière son air de cancre et ses soupirs prononcés. Cachée. Cachée tout au fond de lui. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]fear doesn't shut you down, it wakes you up. ⊹ Cancre. Incapable. Incompris. Quelle était réellement la différence. Il était tous ces mots à la fois. Il était plusieurs personnes en même temps. Il ne savait juste pas encore laquelle choisir. Personne autour de lui semblait avoir compris ce qu’il était réellement au plus profond de lui-même, mais Jared s’en fichait ; il était heureux, de cette manière. On ne lui posait pas trop de questions. On le laissait à sa place. On riait à ses remarques stupides et idiotes. Personne n’attendait trop de sa part, comme son père avait pu en attendre de sa mère. Dans les couloirs, il conservait un sourire en coin sur ses lèvres, la démarche trainante mais le regard fier. Dans les dortoirs, il riait face aux conneries des autres, se jetait dans les bataille de polochons à corps perdu. En cours, il s’évadait, il pensait à autre chose. Il s’oubliait. Il apprenait à vivre. Il apprenait autre chose. Il délaissait cette intelligence qu’il considérait comme un fardeau. Il grandissait. Il vieillissait, aussi. Il se faisait des amis. Des petites-amies. Il répondait aux professeurs. On le traitait de boulet. D’imbécile. Mais peu importe. C’était la vie. Il ne voulait pas qu’elle se déroule autrement simplement pour qu’elle soit plus simple. A chacune de ses interventions intelligentes, les personnes se retournaient vers lui, presque choquées. A moitié amusées, également. Comment une personne comme lui pouvait sortir des choses pareilles, après tout. C’était le rôle des premiers de la classe. Pas le sien. Il n’avait rien appris. Il n’avait jamais rien su. Il ne pouvait pas être simplement intelligent. Puis, au fil du temps, au fil de cette vie, il finit par accepter sa famille. Par accepter ses demi-sœurs, qu’il croisait chaque jour dans l’enceinte même de Poudlard. Par accepter ses demi-sœurs, qu’il finit par apprécier à leur valeur. Il pardonna à son père, également. Il lui pardonna d’avoir réussi à tourner la page sans lui. De ne pas l’avoir attendu pour s’en remettre. D’avoir aimé quelqu’un d’autre avant même que Jared n’aie le temps de faire le deuil de l’amour de sa mère. Le temps cout les blessures. Les referme. Les soigne. Et, dans ce cycle, Jared avait fini par se conformer au moule. Jared avait fini par s’y faire. Et par être heureux, d’une certaine manière. A sa manière, presque.
Dernière édition par Jared S. Dawkins le Sam 19 Avr - 19:18, édité 8 fois |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Guest, Sam 19 Avr - 14:28 ( #) | Re bienvenuuuue |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 14:30 ( #) | |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 14:31 ( #) | Re bienvenue ! |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Guest, Sam 19 Avr - 14:34 ( #) | Rebienvenuuue |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 15:26 ( #) | |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 15:43 ( #) | Re Jilly :moa: avec le sublime Theo James |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 16:08 ( #) | JKLFDSJFKDSLFJDSLKFSDHFSQKDM dis je peux tromper Ash avec Red? *crève* signé Romy |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 16:24 ( #) | Theo James quoi. Re bienvenue |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 16:59 ( #) | |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 17:51 ( #) | Bienvenue à ton personnage |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 18:12 ( #) | Re re re re (...) Bienvenue |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 18:13 ( #) | RE BIENVENUE BB ! :moa: :moa: |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Invité, Sam 19 Avr - 18:27 ( #) | JILLLLYYYYY :moa: Rebienvenue |
| | Re: there are no winners, only survivors. (red)par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | there are no winners, only survivors. (red) | |
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