Nom: Sa mère était anglaise et son père italien, c'est donc tout naturellement qu'elle a hérité du nom de famille de ce dernier : Auditore. Un nom plus que commun en Italie. Elle fut mariée pendant quelques années à un certain Williams. Elle s’est donc appelée Giula Williams pendant un temps avant de finalement divorcer de ce dernier. Prénom: Lily-Ambre était le prénom de sa grand-mère maternelle, une irlandaise au caractère bien trempé. Giulia était le prénom de sa grand-mère paternelle, une italienne au caractère plutôt doux bien que très rancunière. Auparavant, elle aimait son premier prénom mais depuis une rupture difficile, elle préfère – et de loin – que l’on la prénomme par le deuxième. Âge et Date de Naissance: Giulia a quarante ans et est née le 19 février à Londres en Angleterre. Nature du sang: La jolie infirmière est sang-mêlée. Son père était un sang-pur et sa mère était une moldue. Cependant, la nature du sang lui importe peu. Elle ne s’est jamais considérée inférieure aux sang-purs et supérieure aux nés-moldus. Situation familiale: Giulia a perdu ses deux parents. Sa mère est décédée d’un cancer du rein généralisé et son père a mis fin à ses jours suite au décès de sa femme alors que Giula venait à peine d’atteindre la majorité. Elle a un frère de quinze ans son cadet, Matteo. Elle le considère parfois comme son fils. Elle a été mariée à un certain Ethan Williams pendant quelques années et malgré l’amitié et l’amour qui les unissait, ils ont divorcé il y a trois ans. Durant cette union, ils ont eu une fille prénommée Morrigan.  Patronus: Le patronus de Giulia prend la forme d’un renard commun. Un animal qui lui rappelle cette femme dont elle était amoureuse, adolescente. Cette femme rusée comme un renard, son grand amour. Miroir du Rised : Le plus grand désir de Giulia – depuis sa rupture lorsqu’elle avait quinze ans – a toujours été de retrouver son amour perdu. C’est donc avec elle que l’ancienne médicomage se voit. Heureuses et souriantes, comme lorsqu’elles étaient jeunes et que la vie ne les avait pas endurcies et changées. Composition de la baguette magique: bois de saule, plume de phénix, 26 cm. Epouvantard: Giula est une mère aimante et maternelle. C’est donc tout naturellement que son épouvantard prend la forme du corps de sa fille, inerte, décédée en mission (cette dernière souhaitant suivre les traces de son père et devenir auror.) Études Suivies: Giulia a eu un parcours classique. Elle a eu ses A.S.P.I.C puis a commencé des études en médecine magique. Alors qu'elle était en deuxième année et qu'elle venait de se marier, elle est tombée enceinte. Elle a continué son année jusqu'au terme de sa grossesse puis est restée quelques mois loin de Poudlard. Finalement, elle est revenue au château, recommençant sa deuxième année. Elle a terminé ses études trois ans plus tard et a commencé à travailler à Sainte Mangouste en tant que médicomage. C’est grâce à son tempérament, à sa façon d’agir, de diagnostiquer et à sa notoriété dans le milieu médical qu’elle s’est faite embauchée en tant que nouvelle infirmière du château, suite au départ à la retraite de l’ancienne. En parallèle à son métier d’infirmière, elle est aussi Chef du Service des pathologies moldues à Sainte Mangouste depuis plus de dix ans. Animal de compagnie:  Giulia a déjà bien à faire avec les élèves de Poudlard alors s’occuper d’un animal, c’est beaucoup trop lui demander.

Que dire de Giulia ? C’est une femme forte, à ne pas en douter. Elle l’a toujours été. Et au contraire de beaucoup de Serpentard, la jeune femme n’a jamais abordé un visage froid et impassible. Montrer ses émotions n’a jamais été, à son sens, une faiblesse. Bien au contraire. Si l’infirmière a étudié à Poudlard en tant que verte et argent, c’est uniquement grâce à sa ruse et son ambition qui ont su la différencier de Serdaigle. Sang-mêlée, elle n’a jamais réellement accordé d’importance à la pureté du sang. A ses yeux, la seule différence que fait la pureté est d’un point de vue purement médical. Le reste, le rang social et toutes ces choses qu’elle déteste, lui importe peu finalement. D’un naturel souriant, Giulia n’a pourtant jamais été très facile à vivre. Persuadée d’avoir toujours raison, elle a souvent dépassé les limites en tant qu’élève mais aussi en tant que médicomage, n’hésitant pas à mettre la vie d’un patient en danger pour prouver ses dires. Rancunière, sa plus longue dispute dure depuis désormais vingt-ans et elle ne semble pas décider à y mettre un terme. Sa rupture et le décès de sa mère ont su l’endurcir grâce aux cadeaux que la vie a refusé de lui faire, Giulia est devenue une femme beaucoup plus épanouie et libre. Loin d’être romantique, elle ne croit plus au grand amour depuis ses quinze ans. Sa relation avec son ex-mari n’a fait qu’empirer les choses. Têtue, la médicomage peut passer plusieurs heures à chercher le pourquoi du comment, si bien qu’elle en oublie parfois de manger. Obnubilée par la maladie qui a emporté sa mère, il n’est pas rare de la voir travailler jusque très tard dans la nuit. Un stupide cancer du rein qui s’est transformé en quelque chose de beaucoup plus destructeur. Mais la jeune femme est bien loin de savoir que ce dernier pourrait lui arracher son dernier souffle de vie, persuadée que ce n’est pas quelque chose de génétique.

C’est une femme mystérieuse qui a énormément de mal à faire confiance aux personnes qu’elle ne connait pas. Partant du principe que tout le monde ment, elle est très observatrice et n’hésite pas à tout mettre en œuvre pour connaître la vérité. Les personnes qui la connaisse vous diront que malgré ses airs supérieurs, elle n’en reste pas moins une personne dotée d’une grande bonté mais que la vie n’a pas été simple pour elle. Elle démentira, préférant être crainte et respectée qu’aimée et manipulée. Giulia fait preuve d’une grande douceur avec ses amis ainsi que ses patients. Antipathique, elle se préoccupe plus des autres que d’elle-même. A ses risques et périls. L’infirmière a un grand sens de la famille depuis le décès de ses parents. Sa fille et son frère signifient absolument tout à ses yeux. Que ce soit en amour ou en amitié, Giulia est d’une fidélité parfois agaçante.

Emploi: Lorsque Giulia a terminé ses études de médecine magique, cette dernière a été embauché à Sainte Mangouste dans le Service des pathologies moldues, réalisant ainsi son rêve d’étudier la maladie qui a emporté sa mère. Remarquée par ses supérieurs, elle est promue chef de ce service et devint une médicomage renommée à l’âge de trente ans. Cette avancée rapide dans le monde de la médecine magique lui a attiré beaucoup d’ennemis mais aussi énormément d’alliés qui croient en l’utilité de son travail. A trente-cinq ans, la jeune femme lance alors un essai clinique concernant le cancer du rein généralisé, persuadée que cette étude pourrait sauver la vie d’un bon nombre de sorciers. En parallèle à cet essai, elle effectue un travail de recherche sur la capacité des maladies moldues à atteindre les sorciers, se rendant compte qu’un cancer ou une leucémie a moins de chance d’atteindre une personne de sang-pur  qu’une personne de sang-mêlée ou une née-moldue. En septembre 1979, Albus Dumbledore, grand-ami de la médicomage, lui propose le poste d’infirmière à Poudlard. Giula l’accepte, à une condition : qu’elle puisse continue d’exercer son métier à Sainte Mangouste. Après quelques conversations mouvementées avec ses supérieurs, sa condition est acceptée. Depuis septembre, l’infirmière est donc en charge de soigner maladies magiques ou non, blessures magiques ou non des élèves et enseignants de l’école. Elle apporte aussi un soutien psychologique aux personnes atteintes de maladies plus graves qu’un rhume, telle l’anorexie ou encore la lycanthropie.
Patronus: Le sortilège du patronus n’a pas été le plus à maîtriser pour la jeune femme, ne parvenant pas vraiment à trouver un souvenir assez puissant et heureux pour faire apparaître l’animal argenté. Ce n’est qu’à vingt-et-un et après un entraînement plus qu’éprouvant que l’anglaise au nom italien réussit à parfaitement le maîtriser. Et son souvenir heureux n’était autre que son premier baiser avec celle qu’elle a toujours aimé. Giulia n’a pas vraiment d’avis prédéfini sur l’arrivée des patronus corporels. A vrai dire, ce n’est pas quelque chose qui l’intéresse ou qu’elle jalouse. Les choses qui n’ont pas d’intérêt médical l’intéressent très peu. Cependant, elle ne peut s’empêcher de s’imaginer accompagné d’un renard trottinant à ses côtés. Peut-être même l’aurait-elle appelé Lupus. L’idée que l’on partage ses pensées, que l’on puisse  commenter sa façon d’agir la gêne énormément. Voilà pourquoi elle est heureuse de pouvoir déclarer qu’en effet, elle ne possède pas de patronus corporel et que les choses lui conviennent ainsi.  

ϟ pseudo et âge: baba o' rhum ou jean-pervers. Mais sinon, mon prénom c'est amandine. :haww:et j'ai dix-sept ans.
ϟ Où as-tu trouvé le forum? sur google il y a un peu plus d'un an.
ϟ Personnage: inventé.
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