| [BLANCHE] Scientia potentia estpar Invité, Sam 17 Mai - 0:34 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Blanche Celest Birdwhistle FEAT. Jessica de Gouw 22 ans ϟ Cursus de Médecine magique, filière de Médicomagie ϟ Perroquet gris du Gabon + Nycticebus ϟ Sang-mêléNom: Birdwhistle, le son des oiseaux Prénom: Blanche Celest, à l’image de la tempête de neige qui s’est abattue sur la petite ville de York située dans le Nord de la Grande-Bretagne dont elle est originaire et qui a emporté un ange lors de sa venue au monde. Deux prénoms qui s’accordent comme un charme à sa peau laiteuse et son sourire séraphique. Notez que Blanche est tout simplement affreux à prononcer pour les anglophones qui ne manquent pas de buter sur les lettres et leur énonciation. Elle-même l'exprime toujours à la française avec un léger accent Âge et Date de Naissance: Née un premier décembre 1958, Blanche se trouve être âgée de 22 ans Nature du sang: Mêlé, son arrière-arrière-arrière-grand-mère était à moitié moldue, à moitié oui, une erreur néanmoins suffisante pour pousser la lignée à plus de rigueur, menant les descendants à se marier depuis, comme leurs aïeuls autrefois, exclusivement à des sang-purs dans l’espoir de diluer la tare. Cette décision a eu sans conteste des répercussions irréversibles sur la vie amoureuse passée comme future de l’anglaise Situation familiale: La demoiselle est la seule fille issue du mariage entre feue guérisseuse Empeiria Birdwhistle née Maccoy, réputée Médicomage et Gentian Birdwhistle, Mangemort de son état, qui a choisi de renouer une alliance après avoir perdu Empeiria, décédée en couche, attendant à peine une année avant de lier son nom à celui de Pogisa Birdwhistle anciennement White, devenue la belle-mère exécrable de la noiraude. De cette seconde union sont nés 7 fils, les demi-frères de Blanche, qu’elle se plaît à taquiner en les appelant les nains : Day, les jumeaux Cliff et Calix, la seconde paire de jumeaux Declan et Danis, Stellan et le petit dernier Axel. Patronus: Usuellement un Perroquet gris du Gabon et parfois en Nycticebus Miroir du Rised: Reprendre le poste de Médicomage en chef qu’occupait sa mère à Sainte-Mangouste Composition de la baguette magique: La baguette choisissant son maître, celle qui l’a élue parmi les autres se caractérise par 25 centimètres et demie en bois de chêne rouge à la plume de Phénix, « baguette de duel par excellence », lui avait annoncé Ollivander, tout en ajoutant que ce type de bois ne sélectionnait qu’une partenaire à l’esprit vif, rapide et en mesure d’inventer ses propres sortilèges. Ce qui est on ne plus plus vrai. Epouvantard: Voir une personne qui lui est chère mourir devant ses yeux sans qu’elle ne puisse rien faire, l’impuissance étant sa plus grande crainte Etudes Suivies: 11ème année de Médicomagie afin de suivre les traces de sa mère, choix qui ne convient évidemment aucunement à son paternel qui l’avait conditionné pour en faire une implacable duelliste Animal de compagnie: Un chat de deux ans au pelage gris et répondant au nom de Cendre, qui subit depuis son apparition en décembre 1978 les pics du patronus de la sorcière. Caractère [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Le principal adjectif pouvant qualifier Blanche reste sans conteste celui de versatile. Son père faisant partie de l’armée des Ténèbres et soucieux de la façonner à son image, a passé de nombreuses heures à entraîner sa fille à toutes sortes de scénarios possibles, la plongeant dans divers problèmes toujours plus complexes et dangereux, demandant tant du physique que de l’intellectuel, desquels elle devait triompher sous peine d’y passer la nuit à recommencer, encore, et toujours, abandonner ne lui était pas toléré. La noiraude possède depuis lors la faculté saisissante de réussir à s’adapter à de nombreuses situations sans grands efforts, ses attitudes pouvant changer selon la personne ou l’événement auquel elle fait face. Son histoire personnelle et les événements qui y ont pris place, lui ont permis, parfois à ses dépens, d’apprendre à réfléchir avant d’agir, toute action aboutissant à des conséquences sur lesquelles elle préfère se pencher avant de se lancer. Sa créativité et son ingéniosité lui ont toujours été d’un grand secours afin de trouver des solutions aux obstacles qu’elle a pu rencontrer. Elle est aussi agile, efficace que circonspecte, ayant trouvé un équilibre entre son corps et sa tête, qui n’a pu se faire qu’après un entraînement acharné sous le joug paternel, démontrant sa grande connaissance et maîtrise d’elle-même. Une chose demeure cependant la constante et le moteur de tous ses faits et paroles : sa vivacité d’esprit. Perspicace, sagace et brillante, Blanche aime voir ces qualités comme son héritage maternel. Sa mère est son idéal imaginaire, auquel elle aspire à défaut d’avoir pu la connaître. La jeune anglaise a en effet décidé de suivre le parcours professionnel de sa génitrice, l’amenant à choisir la filière de médecine magique où elle s’appuie sur sa soif de connaissance, ses capacités de réflexion et ses habilités tant pratiques que théoriques, qui la porteront, elle l’espère, à rejoindre le plus grand hôpital magique du pays qu’elle souhaite diriger à son tour. Une carrière toute tracée que rien ne semble entraver, si ce n’est la colère paternelle qui ne la prédestinait pas du tout à cette voie. Elle aurait pu, il est vrai, choisir l’offensive magique pour s’illustrer de ses aptitudes impressionnantes au duel magique, s’il n’y avait eu cette « erreur de jeunesse » comme la qualifie ironiquement son père, chamboulant toute sa vie. Son perfectionnisme est probablement son meilleur comme son pire allié. Ce qu’elle entame se fait avec brio ou ne se fait pas, détestant faire les choses à moitié et ne s’accordant pas le droit à la médiocrité. N’ayant jamais eu le droit à l’échec et aux fautes, Blanche est très exigeante avec elle-même, tandis qu’elle ne l’est que rarement avec les autres. Cette noiraude aux yeux bleus sait se maîtriser, ce qui a, en retour, la fâcheuse tendance à lui donner envie de trop se contrôler, lui faisant pour le coup perdre en spontanéité et en naturel. Birdwhistle, bien que sans conteste une élève mature et talentueuse, n’en reste pas moins consciente qu’en remettant constamment les choses en question et en décidant pour elle-même, toute attitude allant à l’encontre des idéaux pernicieux de sa famille finissait toujours par se payer au prix fort. ❝ Je me suis demandé [...] ce que le peuple entend au fond par connaissance ; que cherche-t-il lorsqu'il la demande ? Rien que ceci: ramener quelque chose d'étranger à quelque chose de connu. [...]Que mettons-nous de plus dans ce mot ? Le connu, c'est-à-dire les choses auxquelles nous sommes habitués, de telle sorte que nous ne nous en étonnons plus ; nous y mettons notre menu quotidien, une règle quelconque qui nous mène, tout ce qui nous est familier [...]. Eh quoi ? Notre besoin de connaître n'est-il pas justement notre besoin de familier ? Le désir de trouver, parmi tout ce qui nous est étranger, inhabituel, énigmatique, quelque chose qui ne nous inquiète plus ? Ne serait-ce pas l'instinct de la peur qui nous commanderait de connaître ? Le ravissement qui accompagne l'acquisition de la connaissance ne serait-il pas la volupté de la sécurité retrouvée ? ❞.
Nietzsche a little something from you. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Dust, un perroquet gris du Gabon est venu se greffer à sa vie peu après que la jeune femme ait fêté ses 20 ans, le sort raté du Ministère lui offrant ainsi un drôle de cadeau d’anniversaire en retard:« La la la la la la la la la laaaa », résonna une petite voix quasi-humaine derrière son dos, chantant une partie de l’Opéra de la Flute enchantée. « Mais… », lâcha Blanche en se retournant sur le bruit et écarquilla ses yeux, la bouche entre-ouverte de surprise, bloqué sur le début de sa phrase. Elle regarda abasourdie un bec gris carbone se plonger dans le liquide acajou. Un tête plumée se recula de la tasse laissée sur la table et pencha sa nuque en arrière afin de faire quelques gargarismes entre les vocalises. « La la la la la la la la la laaaa », continua l’oiseau, reprenant la suite de l’air composé par Mozart. Qu’est-ce que ce perroquet fait dans mon thé ?, s’étonna-t-elle, se rapprochant de lui. « Théoriquement, l’appellation de thé pour un Rooibos est abusive », répondit du tac au tac le gris, claquant plusieurs fois sa langue pour finalement poser ses iris argentés sur les yeux bleus comme le ciel qui l’observaient. Le fait que l’animal puisse parler ne l’aurait pas étonnée plus que tant - le perroquet jaco étant réputé pour ses capacités à imiter la voix humaine et ses facultés à reprendre de nombreuses phrases et des sons, une bête à l’intelligence certaine - si sa remarque n’avait pas résonné dans son esprit plutôt que dans ses oreilles. « En effet », lui accorda-t-elle en se rasseyant à la table ronde. « Je dois pourtant concéder que jus d’arbuste africain ne sonne pas aussi bien », s’amusa-t-il. Quel curieux volatile, remarqua la jeune femme, souhaitant s’expliquer le phénomène. « Je préfère : production allégorique en chair et en plumes de ton psychisme que volatile », lui avoua l’oiseau trapu et robuste qui s’éloigna de la tasse et se mit à grimper le long du bras de sa sorcière de sorte à rejoindre sa clavicule, continuant sa chanson débutée plus tôt, dans son tympan cette fois-ci. Dust, son patronus mâle était devenu depuis son dictionnaire sur pattes. Placé sur son perchoir stratégique, il finissait toujours par lui glisser des remarques congrues, faisant toujours preuve d’esprit, à l’image de Blanche. Comme le perroquet qui incarne cette partie d’elle-même, la noiraude est pourvue d’une aisance d’élocution et de facultés mnésiques qu’elle sait exploiter à bon escient. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]La seconde forme de patronus correspond, quant à elle, plus à ce qu’elle était en mesure de produire lorsqu’elle s’entrainait au sortilège, elle pensait en effet que son patronus était un singe. Elle n’était à la fois pas si loin et complètement à côté de la réalité avec sa déduction... Dust lorsqu’il ne repose pas sur son épaule, se transforme en Nycticebus, qui paraît au premier abord être une bête toute mignonne voire presque inoffensive. Néanmoins, il ne faut guère se fier à ses gros yeux et à sa petite tête à croquer, l’animal est capable de sécréter un venin efficace à l’aide de ses coudes. De la même manière, Blanche est une jeune femme que les gens tendent à sous-estimer, mais qui est cependant en mesure de se battre et de se défendre farouchement, verbalement comme physiquement. En effet, à l’aise dans toutes sortes de situations, elle ne se laisse que difficilement déstabiliser et peut compter tant sur son agilité que sur sa tête qui lui sert de guide en tout moment. La précipitation, l’impulsivité irréfléchie ne faisant pas partie de ses défauts. You're not a sad story. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Approchez-vous d’un peu plus près, chut, ne dites plus rien, un conte se mérite. Les enfants, écoutez de vos oreilles attentives, la véritable histoire de Blanche Neige, une biographie qui n’a rien à envier aux histoires de Grimm. Il était une fois, au tout début du mois de décembre, lorsque les flocons faisaient une course folle du ciel, tombant comme des plumes et du duvet, une reine, enfin plutôt un médecin en chef, qui avait eu toutes les peines de monde à avoir un enfant. Ce qui pouvait sembler presque paradoxal connaissant sa profession et son poste de direction à hôpital de Sainte-Mangouste. Conditions, qui auraient pu et dû lui venir en aide dans cette procréation. Les cordonniers sont les moins bien chaussés parait-il… Initialement celle-ci était assise et cousait devant une fenêtre à l’encadrement d’un bois sombre. Captivée par la neige au-dehors, sa majesté se piqua le doigt avec son aiguille et trois petites gouttes de sang tombèrent sur la neige, ce qui l’amena à souhaiter avoir une fille aussi blanche que cette dernière, aux lèvres vermeil comme le sang et aussi noir de cheveux que le bois de cette fenêtre. Un souhait qui se réalisa, sinon à quoi bon parler de conte ? Quoi qu’il en soit, cette brillante franco-anglaise a finalement vu son vœu le plus cher exhaussé. Un véritable cadeau de la vie qu’elle a payé de la sienne... En effet, si les croyances populaires veulent que cette reine à la chevelure ébène vienne tâcher la neige de quelques millilitres rouges, il faut toutefois souligner qu’en vrai elle s’est plutôt vidée de son sang, complètement. La mère mourut en la mettant au monde. Hémorragie de la délivrance pour être précis... Noyé de chagrin et désireux de refaire sa vie, le roi prit après quelques temps une autre femme certes magnifique, mais à la fierté et à l'orgueil sur sa beauté si développés qu'elle ne pouvait supporter qu'une autre puisse la surpasser. La réalité s'en rapprocha grandement si l'on omettait le fait que le père n'était nullement à la tête d'un château sur un cheval blanc mais partisan des ténèbres et qu'il n'avait pas tant pleuré son ex-femme outre mesure en se remariant rapidement à une personne qui se mit à jalouser maladivement la fille, issue du précédant lien. Les exigences paternelles commencèrent depuis son plus jeune âge. Il fallait qu'elle apprenne à marcher vite, qu'elle sache parler plus tôt que les autres enfants des familles alentours, qu'elle se tienne droite, sache toujours trouver une réponse adéquate. Son père lui imposa un planning d'entraînement sportif, des cours particuliers de matières qu'elle se voyait contrainte d'étudier. Puis vinrent les séances spéciales mues par la devise familiale : ❝ Toujours être prêts et préparés à tout ❞. Surtout au pire. Si les premiers temps, Gentian Birdwhistle venait réveiller sa fille à une certaine heure matinale pour des épreuves pire que militaires, il finit par jouer vers les 10 ans de la noiraude de l'incertitude, les entraînements pouvant débuter à n'importe quel moment de la journée ou de la nuit, l'amenant à être constamment sur le qui-vive de sorte à ce qu'elle en eut des insomnies répétées. Parcours d'obstacles, courses d'orientation, énigmes avant de passer à table étaient les versions les plus soft et édulcorées que pouvaient produire l'esprit imaginatif et tordu de son géniteur. Elle fût rapidement rejoint dans son calvaire par son demi-frère Day, d'un an son cadet. Leur mental et physique soumis à de rudes sollicitations ne les souda par pour autant. Ils en étaient même venus à se sentir en compétition. Sentiment, que leur père utilisa à son avantage et qu'il n'eut aucun scrupule à exploiter, bien évidemment afin de les pousser davantage dans leurs retranchements. Les jumeaux Cliff et Calix alors âgés de 7 ans furent les derniers à rejoindre l'équation. Si le premier se montra volontaire, assidu voire hargneux à surpasser ses ainés, Calix, quant à lui refusait complètement de subir les épreuves. Pour vous épargner quelques détails sadiques, dites-vous tout simplement qu'on ne lui laissa pas réellement le choix... La seconde paire de jumeaux composée de Declan et Danis, Stellan et le dernier de la famille Birdwhistle Axel n'ont par la suite pas été intégrés au programme paternel. Quatre enfances épargnées sur 8 dont 4 parmi les nains, ou comment couper la fameuse pomme empoisonnée en deux. L'onzième année de l'anglaise marqua son entrée à Poudlard. Lettre, qu'elle reçut comme un soulagement mais l'excitation laissa tôt place à de l'ennui sur les bancs des cours. Trop en avance pour son âge, Blanche se sentait sous-stimulée en classe et lorsqu'elle rentrait chez elle durant les vacances scolaires, la cadence effrénée reprit, la sur-sollicitant. Cette fois-ci, les exercices étaient focalisés exclusivement autour des sortilèges et du duel magique qu'elle apprit rapidement à maîtriser. Les années s'écoulèrent, lui coupant tantôt le souffle par l'effort ou la plongèrent dans une monotonie profonde. Ressentant un fort besoin de s'échapper de la pression, Blanche trouva alors refuge dans les ouvrages magiques qui absorbèrent son attention, lui accordant des instants de répits dans lesquels son père la laissait tranquille. Il en fût de même à chaque fois qu'elle retournait au château, ce qui provoquait chez la jeune femme l'effet d'un brusque retour à la normale. Ces rudes cassures de rythmes n'allaient pourtant être que le cadet de ses soucis. Dans cette même idée, les frères Grimm avaient tôt fait de reconnaître la relation toxique que reliait la belle-mère à sa (trop belle)-fille Blanche. Ils évoquaient ainsi que : la femme fit appel à un chasseur des alentours pour lui demander de prendre l'enfant et de l'emmener au loin dans la forêt pour la tuer. En preuve de quoi, il devait lui rapporter son foie et ses poumons en témoignage de son exécution. Le chasseur ne pût cependant se résoudre à plonger son couteau dans le cœur de la petite qu'il épargna, tuant un animal, biche, cerf ou marcassin selon les versions, qui passait par là, de sorte à en prélever les organes que l'horrible marâtre fit cuisiner pour se repaître du foie et des poumons qu'elle pensait de Blanche-Neige. Loin d'être aussi extrémiste et encore moins cannibale, la belle-mère de Blanche faisait néanmoins tout ce qui était en son pouvoir afin de lui pourrir la vie. Jusque là rien d'insupportable contrairement à ce que la noiraude aux yeux bleus vivait sous la poigne de fer paternelle. Si dans le conte original, la pauvre Blanche fût abandonnée dans la forêt avoisinante, elle y a, pour dire vrai, elle-même mis les pieds, non pour fuir la nouvelle femme de son père mais plutôt afin de trouver un peu de répit et de temps de réflexion en solitaire dans les bois lorsqu'elle se retrouvait à vivre dans la demeure familiale à York. C'est dans cette grande étendue couverte d'arbres juste à côté de chez elle, qu'à ses 16 ans, l'adolescente fit la connaissance du-dit chasseur. Pas un vieux rustre ragoutant non. Jeune, beau, au visage de poupin sur un corps d'homme. Moldu. Celui-ci n'était guère en charge de la tuer. A contrario même, de leur entrevue naquit une relation, tenue éloignée à la fois des regards en raison des convictions familiales mais aussi des pouvoirs magiques de la jeune femme, qui dura quelques temps. Jusqu'au jour où, Blanche retrouva un corps gisant, mourant sur le lieu des rendez-vous qui prenaient toujours place dans cette forêt. Elle n'avait jamais su comment, ni pourquoi mais l'anglaise porta depuis le poids de la lourde culpabilité de ne pas avoir pu le sauver et de se sentir cruellement responsable de ce qui était arrivé à ce pauvre Joshua... Cependant, après des nuits entières de réflexion à s'en rendre presque malade, elle soupçonna Day d'avoir découvert quelque chose, et pire, d'avoir mis fin à son bonheur par simple compétition et désir de prendre le dessus. Bien évidemment le sang de la victime ne jouait nullement en sa faveur dans une famille qui s'entêtait à repurifier sa lignée... Mais de là à l'en vider au beau milieu des champignons... Je vous entends déjà râler, vous savez que les apparences sont trompeuses et souhaitez savoir qui a vendu la mèche, n'est-ce pas, mes petits ? Vous allez néanmoins devoir attendre de le découvrir en même temps que Blanche. Tout ce qu'il y a à retenir de cette histoire, demeure le fait que l'anglaise souhaita à partir de là se vouer corps et âme à soigner autrui, n'ayant pu le faire avec les personnes qui lui étaient le plus cher, sa mère et Joshua. Il n'y a pas eu de baiser pouvant réveiller les morts et le prince charmant, envolé.
Quant à la suite, elle s'écrit encore aujourd’hui... Le conte étant loin d'être fini Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Pando, 24 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Topsite ϟ Personnage: De mon imagination ϟ As-tu un autre compte sur BP? Pandora Anka Jaroslav ϟ Présence: Régulière ϟ Une remarque?
Dernière édition par Blanche C. Birdwhistle le Mar 8 Juil - 1:12, édité 80 fois |
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