Les McLeod sont des sorciers de sang pur et le seront toujours. A partir de là, je pense que vous pouvez facillement vous faire une idée de l’ambiance qui peut régner au sein de cette famille ... le mot qui conviendrait le mieux pour résumer le tout est “froid”. Incroyablement, étonnamment et désespérément glacial. Pourquoi étonnamment ? Parce que depuis des générations, il n’y a pas une branche de la famille qui n’a pas mis au monde au moins quatre enfants, et dans le cas de la famille dominée par Arthur McLeod, la partie qui va nous intéresser particulièrement, il y a dix enfants. Une belle et grande famille de neuf garçons et une fille, la benjamine, allant de 29 ans à 12. Quand tous les gamins étaient jeunes, il régnait pourtant une bonne ambiance enfantine, certainement due à la jeunesse des garçons ... Et malgré le fait que l’éducation à la dur des parents, les valeurs ancestrales et arriérées qui sont à présent profondément ancrées dans l’esprit des rejetons, les gamins s’étaient toujours très bien entendus ... Le temps a passé dans cette famille qui promettaient pourtant une bonne ambiance jusqu’à la fin de ses jours. Les gens ont changé, les caractères aussi, ils ont tous vécu des choses, et la famille McLeod n’est plus que froide. Plus aucun rire n’a résonné depuis un peu moins d’un an, la faute à un fossé qui s’est créé en Août, dont nous reparlerons plus tard. Tout ce qu’il vous faut savoir, c’est que les valeurs des McLeod sont aussi douteuses que stables et indiscutables : Les moldus sont des poisons à ne pas approcher par exemple, tout comme les né-moldus. Toujours se conformer aux normes, toujours obéir aux ordres, la réussite avant tout, quitte à manipuler et corrompre pour cela. ça les aînés l’ont bien compris, ce n’est pas pour rien qu’ils sont tous (ou presque) à présent de brillants étudiants dans les matières les plus réputées et les plus compliquées. Et tous ceux qui ne se conforment pas à cette norme sont vites exclus et réprimandés... demandez à Lysander et Violett. Pour les autres branches, l'ambiance n'est pas meilleure, les exclus de la famille étant ceux ne se conformant pas à la norme physique ou psychologique. Ainsi Anna a longtemps été mise à l'écart par ses cousins, parce qu'elle avait eu le malheur de naître rousse, ou encore Exxia, un peu trop joyeuse au goût de ses parents. Lorsque tous les McLeod se retrouvent en famille, les repas sont froids, les échanges entre les parents, et les enfants ont pris l'habitude de se taire lorsqu'ils ont moins de la vingtaine. Il n'y a vraiment que Jack pour détendre l'ambiance à l'aide de son léger rire et de sa bonne humeur quasi permanente, mais là encore, il est fréquent de le voir accidentellement oublié aux diners de famille, car mis à l'écart. Cepenndant, les McLeod mettent un point d'honneur à passer les fêtes en famille. En bref, si vous cherchez une famille au sein de laquelle on se raconterait des histoires au coin du feu, vous pouvez repasser dans longtemps ce ne sera toujours pas la bonne.  

Vous pourrez remonter loin, très très loin, les McLeod ont toujours été réparti chez les serpentards. Bon ..; Il y a eu quelques exceptions, pas seulement concernant Lysander, le plus jeunes des McLeod reconnus qui a atterri chez les gryffondor. Il y a aussi la benjamine de Charles, poufousouffle et officiellement martyre et bouc émissaire de la famille, ou encore le brillant et amusant Jack, serdaigle, frère benjamin d'Arthur qui a fait de brillantes études d'enseignement magique. On ne sait pas vraiment depuis quand cette famille a émergé au sein du cercle très fermé des familles de sang pur, tout ce qu’on peut dire, c’est qu’elle a une forte influence à présent, de par les efforts des générations précédentes pour se créer une place au soleil que par l’acharnement d’Arthur, le paternel, le tout puissant, qui siège aujourd’hui à un haut poste du ministère de la magie. On sait que la famille McLeod, malgré son apparence froide et inaccessible est en réalité plutôt soudée entre ses membres et générations, et ce depuis toujours. Enfin ... faut-il quand même répondre aux critères attendus des plus vieux. Mais parlons à présent de chaque branche précisément :

[A modifier] Dans la branche dominée par Arthur McLeod et Ludvina Hemingway, il a été dévoilé que leur petite dernière, la seule et unique fille, de 13 ans était en réalité une cracmolle. Une adorable et innocente petite fille sans aucun pouvoir magique qui a été reniée par le père ainsi qu’abandonnée par la mère et les frères. Ainsi, vous pouvez ici voir toute la mentalité des McLeod, qui n’hésite pas à laisser ses membres sur le bord de la route pour pour ce genre de détail qui entravent tant leur norme si parfaite. Enfin ... Quand on dit que tous les frères lui ont tourné le dos, ce n’est pas vraiment le cas, car le plus jeune, Lysander, n’a même pas pensé un seul instant à abandonner sa soeur chérie. Cet épisode marque à tout jamais un fossé entre les deux benjamins et le reste de la famille...

Du coté de Lucy McLeod & Albert Sersey, ce sont les arts qui priment. Leur quatre filles et leur unique garçons sont doués de tous les arts, les dessin, la musique, la danse, bref, ils excellent dans tout ce qui touche assez à la discipline de l'imagination. Cependnat, ormi Anna, ils n'ont jamais vraiment brillé dans leur études, ce qui les rend assez souvent inférieur au reste de la famille, chose qu'ils vivent très mal, et ont parfois tendance à développer une certaine véhémence face à leur cousins.

Dans la branche de Hector McLeod & Rose-Marie Rey, c'est Dellilah qui a été frappée très jeune par une maladie (HJ : le joueur de Dellilah pourra la choisir, elle peut être mentale comme physique, simplement il faut qu'elle soit très sérieuse voir mortelle). Dans la branche d’Hector McLeod, on retrouve l’aîné Oscar qui bien qu’ayant mené à terme des études convenables, n’a pas su répondre aux ambitions de son père. Ce sont les jumeaux, Benton et Adonis, qui ont su rendre au Pater toute la fierté que devrait ressentir chaque père pour ses rejetons. Chacun d’eux, aussi indissociable l’un que l’autre, se promet à un avenir politique brillant, en plus de porter à leur poignet la marque des ténèbres. Leur complicité, jusqu’alors fort récemment exclusive, a su s’adapter pour intégrer au binôme formé par les deux frères leur cousin Léandre. Celui-ci a su trouver en Ben et en Ad les grands frères estimables qu’il avait toujours espéré côtoyer, surtout suite aux problèmes intrinsèques à sa branche familiale. La cadette, Dellilah, atteinte d’une grave maladie, est pour sa part aujourd’hui victime de l’instinct de surprotection de ses frères et de ses parents. A ne point en douter, cette maladie a su endurcir tout aussi bien les liens que les mentalités de cette branche familiale.


Pour finir, dans la branche de Amanda Mcleod & William Jr Harper tout est radicalement différent. Le couple a des valeurs beaucoup plus modérés, en effet ce sont sans doutes les seuls adultes de la famille à tolérer les nés-moldus et le sang mêlés, sans doute les seuls à être un tant soit peu raisonnables dans leur manière de penser. Ils ont tendance à toujours se taire à table, tendance à ne jamais étaler leur opinions. Ils connaissent la modestie et la soumission, ils savent faire profil bas et longtemps, cela leur a sauvé la mise au sein de leur famille. Néanmoins, quatre de leur enfants sur cinq ont atterri à poufsouffle, cela ne trompe pas, et comme une convention, ils on été mis à l'écart. Alors certes, enfants, les gamins jouaient entre eux sans se poser de question, mais il semblerait que, peut-être, cette époque est révolue. A présent, seule Cybille, qui aspire à être aussi bien intégrée dans la famille que ses cousins, semble être une vraie McLeod ...

[A modifier] Au sommet de la pyramide, le patriarche, Charles McLeod, mariée à la défunte Amély. Tous les deux ont eu six enfants, trois garçons et trois filles, dont malheureusement, l'une, Lillianne, est morte pendant la seconde guerre mondiale . A ce jour, il ne reste plus que le rusé Hector McLeod, marié à Emily Campbell de son prénom de naissance. Tous les deux ont eu quatre enfants. Puis, la belle Lucy McLeod, mariée à Albert Sersey, mère de quatre enfants. Son mari étant français, tous parlent couramment la langue. Suis ensuite Amanda, sans doute la plus douce et la plus naïve de la famille, mariée au charmant William Harper. Tous les deux se sont bien trouvés et sont parfois en marge de la famille. Pour finir le benjamin Jack, professeur à l'école de magie de Poudlard et célibataire dans l'âme. Etant le dernier de la fratrie, il a esquivé avec joie les fiançailles. Ses relations avec Arthur, Hector et Lucy sont tendues, mais avec Amanda, elles sont parfaites. Dans les enfants qui ont marqué la famille, on retrouve nottament Andrès, le plus âgé de la seconde génération, également professeur de légilimencie à Poudlard et père de quatre enfants. Tout ça et même pas trentenaire ? Il a réussi sa vie et est cité comme exemple pour tous ses frères, cousins et cousines. On retrouve également Lysander, seul gryffondor, seul divergent de la branche principal. Il est tout ce qu'on ne veut pas dans la famille : je m'en foutiste, rebelle, absolument pas réfléchi, bourrin, grossier, et surtout en couple avec un homme. Bref exactement ce dont on se passerait. Puis, Violett, sa petite sœur, la cracmolle, petite dernière derrière neuf grand frères. En pensionnat actuellement, elle est plus à l'écart que jamais. Dans la branche de Lucy McLeod, Aloysia, pianiste de concert qui cotoie fréquemment des moldus est assez mal vue, mais son talent est indéniable, et de ce fait, il est difficile de ne pas l'apprécier. Notons également la présence d'Anna, une rousse au sein des McLeod. Elle a souvent été mise à l'écart, étant jeune, du fait de sa chevelure assez peu aux normes. Ensuite dans la branche d'Hector, c'es Dellilah que l'ont citera, car étant malade, elle a profondément changé le destin de toute sa famille. Ensuite dans la branche d'Amanda, c'est Cybille l'enfant spécial. Pourrait-on dire qu'elle est l'équivalent de Lysander chez Arthur, c'est à dire tout ce qu'on ne veut pas ? Une *** (particularité magique) parmi des serpents, voilà bien qui semble atypique, d'autant qu'elle n'adhère pas du tout aux valeurs tolérantes de sa famille ...