BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE. | | | LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 14:39 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]ezekiel odin lestrange FEAT. aaron johnson vingt ans ϟ enseignement ϟ chouette tachetée ϟ sang-purNom: LESTRANGE » Un frisson dévale le dos, s'empare d'une peur familière une fois ce nom échappé des lèvres. On craint les Lestrange. On te craint. Tu connais le poids de tes ancêtres, de ton sang. Tu n'as pas d'hésitation concernant ton patrimoine génétique, comme si tu étais autorisé à en avoir. Ton père t'attend au tournant. On a beau dire que vous vous tapissez dans l'ombre, on a beau dire que vous ne faites pas de vagues, tu sais que tout n'est que poudre aux yeux, tout n'est qu'apparence superficielle. Au fond, tu te dois d'être fier de ce nom, tu te dois de te montrer digne mais tu n'aspires pas aux ténèbres ou à cette suprématie des sang-pur. Il n'y a rien de tout cela dans tes yeux clairs. Alors, en attendant, tu joues avec les apparences, les mots. Au final, Lestrange n'a que des allures d'étrangers auprès de toi. Prénom: EZEKIEL, ODIN » Tes prénoms sont compliqués à porter. Il y a dans ses mots une volonté de grandeur & de puissance qui te semble douloureux à assumer, à assimiler. Ezekiel provient de l'hébreu yekhezqel, autrement dit « la force de Dieu ». Il est aussi le prénom d'un prophète d'Israël qui sous ses visions annonça la fin de Jérusalem. On a donc posé sur tes épaules un espoir de force, une pensée pour une renaissance. Il te va bien ce prénom, il est toi malgré ton mal être, ta froideur. Tu as beaucoup plus de mal avec le second. Odin est après tout le père des hommes dans la mythologie nordique. Il est le dieu le plus important, il est celui qui pouvait voir dans les neuf mondes. Il est là pour te signifier que tu ne peux te défaire des espoirs que tu portes. Il te ressemble le moins. Tu n'aspires pas à la grandeur stupide dont on t'affuble. Âge et Date de Naissance: VINGT ANS, NE UN DEUX MARS » Tu n'as que faire de ton âge. Peu importe ce nombre, peu importe ta naissance. Ta mère est la seule qui de son amour envahissant accorde une trop grande importance à ce stupide deux mars. Elle te raconte toujours un peu rêveuse ta naissance, un peu nostalgique aussi comme si le fait qu'elle t'ait protégé pendant neuf mois dans son ventre avait de l'importance. Tu as vingt ans & tu n'as rien à faire du reste. Du signe poisson, on te décrit comme quelqu'un de sensible, comme quelqu'un de compréhensif & tu envoie tout balader d'un regard froid. Personne ne doit savoir. Nature du sang: SANG-PUR » Tu es de cette famille cent fois pur par le sang. Tu es de cette famille qui se dit digne de la magie, dont le sang n'a jamais été souillé. Cette famille qui te déchire entre amour et mépris, cette famille qui est tout ou rien. Tu devrais croire au sang qui coule dans tes veines. Tu devrais te sentir investi d'une mission grave & importante, il n'en est rien. Situation familiale: FILS CHERI, FRERE BLASE » Tu as toujours bénéficié de la tendresse de ta mère. Elle t'a érigé au rang de véritable dieu vivant, elle t'a dressé comme le fils parfait qu'elle désirait. Mais la vérité c'est qu'elle tremble d'une peur effroyable pour toi. Elle a peur de la folie qui pourrait te consumer alors elle te protège, elle te chérit de son amour étouffant, suffoquant, se dressant contre ton père dans la recherche d'une fiancée. Tu es trop jeune, trop fou. Et elle t'étouffe, elle te bousille. Tu pourrais l'aimer au fond, mais tu as trop appris à lui cacher le fond de toi. Ton père, dans un sens, t'a toujours estimé mais il ignore ce qui se tait au fond de toi. Quand à ton frère ? Un sourire s'étire sur tes lèvres. Thaddeus et toi, il s'agira sans aucun doute toujours d'une histoire de haine & de jalousie. Il n'y a rien d'autre entre vous qu'une politesse de givre. Tu as, en revanche, en adoration ta cousine, Basile & une profonde estime pour Ash. Patronus: UNE CHOUETTE TACHETEE » Son plumage est divin, son regard tranche, elle se nomme Freya. Elle n'est que froideur, prédateur & sagesse. Elle n'est que toi. Miroir du Rised: TOI, PARCOURANT LE MONDE » Tu ne l'as jamais dit à haute voix, mais ton rêve c'est la liberté. C'est celle dont tu t'empare pour voyager, pour vivre, pour exister seulement accompagner de ta baguette, à la recherche de secrets oubliés, anéantis. Tu rêves de conquérir un savoir immense, tu rêves d'être enfin toi. Composition de la baguette magique: BOIS D'ACACIA, PLUME DE PHENIX, VINGT-TROIS CENTIMÈTRES » Le bois d'acacia est un bois qui n'est fidèle qu'à son maître, ta baguette a cette loyauté qui empêche Thaddeus de te l'emprunter ou de la faire fonctionner autrement qu'entre tes doigts. La plume apporte à ta baguette une dextérité concernant les sorts de métamorphoses, aux sorts liés à la vie, au feu. Comme si ta baguette demeurait aussi changeante que tes émotions. Ton père a choisi d'y faire graver tes initiales, comme pour marquer définitivement ta propriété. Sauf que tu sais toi que c'est elle qui t'a choisi. Epouvantard: TON PERE BRISANT TA BAGUETTE EN DEUX » Il est là, drapé dans son mépris, un rictus de dégoût accroché au visage et il te contemple. On peut lire sa déception, on peut voir sa fierté balayée. Tu en es le responsable. Et d'un mouvement sec, il brise ta baguette. Tu n'es pas digne de lui. Tu n'es pas digne de votre famille. Il te crache toute sa haine à la gueule & toi, tu ne bouges pas, choqué, brisé. C'est ça ta peur, c'est le rejet, c'est de n'être pas un sorcier. Etudes Suivies: ENSEIGNEMENT MAGIQUE SOUS CURSUS RECHERCHE » Ce fut une évidence pour tous sauf pour toi. Tu ne jurais que par la médicomagie, te promettant un avenir de médicomage. Aujourd'hui tu peux le dire, cela aurait été un désastre. Alors tu as épousé le cursus d'enseignement magique avec pour sous-cursus la recherche, en prenant comme option la divination & la botanique. Tu sais que tu as pris la bonne décision. Animal de compagnie: AUCUN » Tu as beau adorer les animaux, tu sais peu t'occuper d'eux si bien que ton chat en première année a simplement disparu, ta chouette idiote a foncé dans le saule cogneur en cinquième année. Les animaux & toi, ce n'est vraiment pas ça. Caractère « seul on rêve à des jours et nuits meilleurs. mais seul, on le devient, on le demeure dans son cœur. » Tu as dans le sang une pureté que des centaines voient, peuvent sentir. D'une lignée ancestrale, tu as tiré des masques de froideur. La glace te dévore le cœur, attrape ton être afin de le drapé dans un mépris capitale, dans un regard ennuyé sur le monde qui s'agite sous tes pieds. On t'a appris à être fier de ce que tu es. On t'a appris à ne pas trembler, à ne rien laisser paraître. Alors, pour rendre un peu d'honneur aux tiens, pour survivre, tu as épousé la glace, tu l'as embrassé à pleine bouche puisque c'est là ton seul espoir, c'est là ta seule fin. On a tué, au fond de tes prunelles clairs, le gamin doux, sensible, dont on traçait l'esquisse d'une folie latente. Il ne reste de toi qu'un hiver de glace, une difficulté à parler de tes sentiments, de toi, un goût brutale pour le silence. Et si tu cachais l'évidence ? Si au-delà de l'apparente froideur, du mépris & la fierté, il se cachait une vérité. La vérité nue & volante qui s'agrippe à toi, qui fait de toi cet être doux & sensible. Sensible comme un gosse. Sensible comme un imbécile. Tu as l'âme à fleur de peau, à fleur de tout. Ton cœur se crevasse, ton cœur succombe à la moindre blessure, à la moindre variation d'émotion. Tu es trop susceptible, sensible à tes pairs, surtout ceux qui te touchent, qui ont une place importante en toi. Tu sais bien que ce n'est pas de leur faute & qu'ils ne décèlent jamais la profondeur de tes plaies parce que tu n'exprimes rien. Tu ne sais pas parler. Tu ne sais pas dire si tu as mal, si tu as peur, si tu ne sais pas. Tes émotions, les discussions sensibles se bloquent dans ta gorge, arrachent tes cordes vocales. Alors tu laisses le silence te porter. Tu laisses les autres parler pour toi, dire que tu n'es rien d'autre qu'un autre de ses sang-pur qui les prend de haut. Tu laisses le silence creuser ta solitude. Dans le fond, cela ne fait que renforcer ta timidité envers les autres, cela ne fait que creuser un fossé en plus. Ce n'est pas de ta faute, c'est juste à cause de cette mère étouffante qui ne cesse de vouloir te protéger. Ta timidité est responsable de cette gêne que tu as en toute circonstance, à cette difficulté de s'exprimer, à cette difficulté de laisser les autres aller vers toi. Tu refuses d'ailleurs tout contact physique, tu refuses que les autres te touchent parce que tu ne veux pas qu'on voit qui tu es vraiment. Seul quelques rares membres de ta famille peuvent se permettre de toucher ta peau & c'est toujours avec une pointe d'angoisse que tu les laisses faire. Alors tu te contentes d'observer les autres, de comprendre leurs personnalités, leurs histoires, de garder en silence certains de leurs secrets. Discret, mystérieux, tu ne te laisses pas approcher mais tu sais approcher pour entendre. Tu es de ces animaux qu'on ne remarque pas mais qui remarque tout, qui mémorise chaque détails, qui sait prendre une décision rapidement. D'une intelligence vive & rare, tu es de ces êtres qui pensent par eux-même, qui refusent au fond d'eux de se faire dicter une morale, une vie. Tu ne diras jamais tes opinions à hautes & vive voix mais tu n'en penses pas moins. De plus, tu te passionnes pour tes recherches sur la divination, tu penses qu'il y a là le secret à ta malédiction, à tes angoisses les plus voraces, les plus secrètes. Là, il n'y a plus de barrière de langue, de pensées, il n'y a plus de gêne, il y a juste toi qui sait, toi qui peut. Simplement toi. Il faut avouer que tu ne te sens à l'aise que dans la bibliothèque, blotti entre les livres, tes yeux se posant sur les lignes soigneusement manuscrites. Tu n'as ta place qu'ici, là où il n'y a pratiquement personne, là où tu es en paix. L'évidence c'est que les livres ne te demande aucuns sentiments, aucune impulsivité. Toi, tu aimes le calme, la sagesse, le silence. Tu détestes être troublé. Tu déteste devoir modifier tes plans. Et tu n'as en estime que les connaissances, l'intelligence, la sagesse & la mesure. Tu as en horreur les prises de décisions sur un coup de tête, sur une impulsion. Tu ne supportes pas le manque de logique, ce qui est accompli avec des sentiments. Tu détaches tout, tu décortiques tout, tu essayes de comprendre. On te traite d'insensible, mais tu es quelqu'un de sensible, tu es quelqu'un qui a le cœur sur la main. Une fois qu'on a dépassé toutes tes barrières, une fois qu'on a outrepassé toutes tes résistances, tous tes malaises, on est capable de te faire très mal mais aussi de deviner toute ta bonté. Une bonté qui peut paraître lâche, étrange. Il y a pourtant une part de toi qui veut donner, qui veut offrir, qui ne souhaite pas de malaise. Une bonté qui peut se retourner contre toi puisqu'on peut te contrôler par elle. Mais qui peut se vanter de pouvoir s'approcher de toi pour essayer ? Tu aimes le contrôle. Plus que tout au monde. Avec une affreuse tendance à n'avoir que ce mot à l'esprit. Car ton don t'obsède. Tu sais que si tu ne gardes pas ce contrôle, tu pourrais glisser dans une folie amère, meurtrière. Tu sais que tu décevrais. Alors sans aucun compromis, tu t'imposes le contrôle & tu recherches une solution pour cette malédiction. Tu as peur de finir comme ta tante, fragile, anéanti, détruit par les visions, confondant ce qui a été, ce qui est & ce qui sera. Tu trembles & tu angoisses de n'être qu'un fou, qu'un laissé pour compte, d'être la risée des tiens, de voir cette lueur de fierté dans le regard de ton aîné. Au final, tu n'es qu'un être fragile, un être abimé par les mots, les autres, la vie, tes visions. Et tu survis à travers les apparences. Tu imposes la peur par ton nom mais tu n'es pas cette peur, tu n'incarnes rien de grand. Tu as juste peur & te voilà entravé par ton don, les choses que tu veux exprimer & qui restent suspendus au bord de tes lèvres. Ton cœur est lâche dans les sentiments. Ton cœur est loyal uniquement envers ta famille. Ton cœur est une chose futile qu'on pourrait écraser. Alors, il ne te reste plus qu'à avancer, il ne te reste plus qu'à espérer dans ta maladresse, dans ce sourire triste qui effleure ton visage. a little something from you. « l'ignorant a des ailes d'aigle et des yeux de chouette. » Elle te contemple de son regard critique. Freya a toujours eu ce sale caractère que tu lui connais atrocement bien. Elle a bien n'être que fils d'argents & chimère, elle est incisive, méchante & elle sait parfaitement ce qu'elle veut. Bonne ou mauvaise conscience, elle n'a de cesse de commenter tes actes, elle n'a de cesse de t'observer. Elle est une part de toi. Oui, mais elle est surtout celle qui te juge, celle qui te souffle tes véritables envies, celle qui te pousse à t'extirper de cette horrible timidité. Freya n'est pas seulement une chouette tachetée destinée à t'épuiser & à te critiquer, elle est là pour te pousser, elle est là pour faire de toi ce que tu veux vraiment être. Si elle est apparue en plein durant un séjour à la bibliothèque, elle ne t'a jamais quitté, venant flotter autour de toi, scrutant tout ceux qui pourrait s'en prendre à toi, tout ceux qui oserait te percuter. Véritable guerrière à plume, Freya n'est pas qu'un volatile, Freya est ta seule amie. Est-ce que cela te suffit ? Sans aucun doute, tu ne la grondes pas, tu ne souhaites pas le faire. C'est Freya & elle perce ta vie de ses ailes brutalement, sans considération pour tes sentiments. Au final, tu sais qu'elle est la seule à percevoir la vérité au fond de toi, elle est la seule à entendre quand tu vas mal. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: lionheart, lucie , dix-neuf ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? top site ϟ Personnage: inventé. ϟ As-tu un autre compte sur BP? nope. ϟ Présence: autant que possible. ϟ Une remarque? adoptez moi ?
Dernière édition par Ezekiel O. Lestrange le Mar 19 Aoû - 0:20, édité 9 fois |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 14:39 ( #) | You're not a sad story. « toutes les histoires commencent pareilles. » MARS 1966. DOMAINE DES LESTRANGE, ANGLETERRE.« Joyeux anniversaire, Ezekiel. », ta mère passe ses doigts dans tes boucles brunes avec douceur & délicatesse. Tu rougis de plaisir & de timidité, n'osant pas souffler un seul mot à cette mère qui est tout ton monde à six ans. Ton pouce s'enfonce dans ta bouche & d'un regard doux, tu remercies cette mère qui t'aime, qui t'a en affection. Elle connaît ton silence, elle sait que tu parles peu, préférant te taire plutôt que de dire des bêtises devant ton père. Ce dernier a toujours pris ça pour du respect & de la considération, si seulement. « Tu as envie de gâteau, mon ange ? », tes pupilles explosent de bonheur, créant des étincelles dans ton regard clair. Elle sait tes faiblesses & ton amour. « Mais avant, il faut voir du monde. », tu fronces les sourcils, sentant un rebond d'anxiété agiter ton cœur blessé. Tu n'aimes pas les gens. Tu n'aimes pas côtoyer les autres enfants de ton âge, tu as horreur de leur piaillement, comme tu as horreur de ceux de ton frère. « Non ! », un non colérique, sans appel qui s'échappe brutalement de tes lèvres. Tu ne veux pas & ta mère reste stupéfaite, sans voix devant ton regard froid, brutal. « Mais Zek. », souffle-t-elle. « Non, non & non. », craches-tu, peu habitué aux actes de rébellions, peu habitué à dire non aussi franchement à ta mère. « Il y aura ta cousine. », minaude-t-elle, tentant le tout pour le tout. « Bazile ? », tes grands yeux se posent sur elle, elle sait qu'elle a gagné & elle hoche vivement la tête. Elle sait qu'elle t'a, elle sait qu'il n'en suffit pas plus. Si tu n'as aucune tendresse pour ton frère, tu en as énormément pour ta cousine, pour ses cheveux blonds & ses grands yeux clairs. « Oui, mon cœur & après tu auras du gâteau. », elle t'enfonce le coup de grâce alors tu veux bien descendre, tu veux bien voir cette mer d'enfants venus fêter ton anniversaire. Tu n'aimes pas spécialement ça mais tes yeux ne quittent pas la Lestrange allant jusqu'à la tirer hors de la foule sur la terrasse, tes doigts frôlant dans ta poche un joli galet blanc ramené de France, il y a à peine une semaine. Dans un silence doux, tu t'installes sur les marches menant au jardin avec elle, triturant ta poche. Ta gêne te bloque un instant, faisant quelqu'un de toi de faussement lent, te rendant muet. Les mots sont des pièges qui t’obsèdent dont tu n'arrives pas à t'extirper. « Z'ai un cadeau pour toi. », tu baisses un peu les yeux, déposant dans le creux de sa main le galet blanc pâle comme une perle & lisse. Un sourire & elle te fait vaciller. « Merci. ». C'est toi qui devrait la remercier. Toi, tu devrais être reconnaissant. Au fond, elle & toi vous êtes les même, semblables dans la douleur, dans l'incompréhension des vôtres. Trop sensible, trop doux, vous n'êtes pas eux. Brebis galeuses, vilains petits canards, tu n'en as que faire. C'est ta cousine & tu l'aimes, horriblement, purement & simplement. Et ça te suffit. Toute te suffit tant qu'elle est là, tant qu'elle serre le petit galet entre ses doigts. « la tête dans les mains, le regard au loin, on a fait le tour du monde sans être sure de rien. on regarde nos doutes, encore longue est la route. » JUIN 1970. DOMAINE DES LESTRANGE, ANGLETERRE.Tes mains se crispent sur le livre, tes ongles éraflant brutalement la couverture de l'ouvrage ancien. Tes yeux se glacent, tes yeux ne sont qu'un vide immense tournés vers un avenir palpable, à deux pas de toi. « Ezekiel ? », la voix de ta mère grimpe dans les aiguës, elle n'est qu'un souvenir lointain, gelé. Elle n'est qu'une brise familière qui t'effleure, qui t’agrippe au visage. Et le livre tombe, s'écrasant à tes pieds alors que tu portes tes doigts à ta gorge, que tu sens l'air se tarifier. Ce monde n'est plus le tien, tu as perdu pied, tu n'es plus le même. De tes yeux clairs, tu contemples l'homme qui se découpe comme une ombre, qui n'a pas de visage, auquel rien ne ressemble. Véritable monstre, il entoure de sa poigne féroce ton cou de sa main tremblante. Son regard flamboie d'une flamme invincible, d'un incendie mortel qui veut ta fin alors tu te sens couler, clouer au sol, bousculer par une sensation amère. Ça te bousille de l'intérieur, ce n'est pas toi, ça ne l'est jamais mais ils t’oppressent tous dans leur fin horrible, dans cet avenir morbide qu'ils agitent sous tes pupilles. Tu n'as jamais voulu ça. Tu te sens partir brusquement, ton dos s’enfonçant contre le sol dans un bruit douloureux. « Crève sang-de-bourbe », la voix familière n'est qu'un bourdonnement, elle te retourne le cœur & le corps, elle te souille un peu plus. Ta poitrine se soulève, agitée, brutale. Tu suffoques, tu étouffes, tu meurs. Simple marionnette, tu te laisses faire, tu as beau te débattre, tu as beau tenter de le repousser, il te prend & il te jette. Comme tant d'autres. Comme des centaines d'autres. Comme toute ta famille. Est-ce déjà la fin? Si seulement. Tu sais bien, toi, que c'est ton héritage. Tu sais bien que tu vas échouer, tanguer & te détruire dans un souffle, dans un dernier râle suppliant. Tu sais bien que malgré la panique qui se brise dans une vague mortel contre toi, il n'y a pas de réalité, il ne doit pas y en avoir. Tu es homme, tu es Lestrange, tu ne dois pas t'effondrer. Tu ne trembles pas, tu ne le dois pas & pourtant, en fermant les yeux, en sentant la mort t'assaillir, tu craques. La larme roule, perle de sel, perle d'orgueil, symbole de ta fuite, de ton errance. Et le corps chaud de ta mère s'abat contre toi, dans toute sa protection, dans tout son amour. Tu es son dernier fils, tu es l'enfant prodige, le porteur du don des siens. « Ezekiel, je suis là, calme-toi, tout va bien. », elle est douce dans ses gestes, elle est douce dans ses paroles. Enfant fragile, tu t'effrayes de ce spectacle cauchemardesque qui te pilonne, qui t’assomme. Tu n'as rien demandé. Elle t'apprivoise comme un animal blessé, comme une chose fragile, stupide mille fois vaincu. « Raconte-moi. », une invitation aux confidences dans le creux de ses bras, dans le creux de son amour. Elle connaît bien la folie qui pourrait te consumer. Elle sait décrire les yeux clos la peur qui te souille, qui te noie. Elle ne veut pas te perdre. A fleur de peau, les yeux dans le vide, les cernes creusent ton visage, tu murmures, « Quelqu'un va mourir. ». Aussi simplement que ça, aussi stupidement que ça, quelqu'un meurt toujours. Et tu es celui qui subit cette mort, tu es celui qui se fait crucifier. Il paraît qu'il faut toujours sacrifier un enfant pour qu'il embrasse un destin fait de grandeur & de puissance. Toi, tu n'en as que faire. Toi, tu n'as jamais voulu ça. « Quelqu'un va mourir. », ta voix se meurt, subissant la variation d'une émotion vive, électrique. Ta faiblesse te perd & tu te roules en boule dans les bras de cette mère, faisant de son corps ta prison, faisant d'elle ton havre de paix. Elle te protège, elle est ta maison. Elle s'érige en cage dorée, en cage aimante. Elle ne peut te laisser partir, elle ne peut te laisser seul. Tu es faible, tu le sais. Tu contemples ses doutes, toi, tu as la frayeur à l'âme. Mais la vérité se loge en toi. La vérité te crevasse, creusant des précipices, des chutes ininterrompues, des malheurs coupables. La vérité, vous la voulez ? La vérité c'est qu't'es moche avec ta gueule d'ange, tes yeux trop clairs, ta peur mastiquée & mâchée dans ton ventre. La vérité c'est qu'tu vas devenir cinglé & tu seras seul. T'es toujours seul. Tu es l'instrument de tes visions, de ta solitude, de ta destruction. Tu es qu'un jouet. De ta mère. De ton frère. De ton héritage. Mais surtout, de toi. « nul ami comme un frère, nul ennemi tel qu'un frère. » JANVIER 1975. POUDLARD, ECOSSE.« Je ne t'ai jamais porté dans mon cœur, mon frère. Je fais pourtant des efforts. Pour Maman. Pour Papa. Pour toi. J'essaye de ne pas t'en vouloir d'être un tel idiot, de toucher à Basile. Ma Basile. Tu as cru sérieusement que je n'avais rien vu ? Tu as cru sérieusement que j'allais encore me laisser manipuler par un imbécile dans ton genre ? Le sang ne fait pas de toi quelqu'un. Le sang ne te donne pas tous les droits. Tu te crois roi du monde. Tu te penses tout permis, mais tu n'es rien, absolument rien. Le cri de ta naissance ne valait pas mieux que celui d'un autre. Tu n'es pas exceptionnel, tu n'as rien d'un dieu. Et je suis lasse de tes jeux imbéciles. Je suis lasse de ta lâcheté. Je suis lasse de ta haine. Tu veux mon don, mon héritage ? Il n'y a pas de soucis, prends tout, prends tout & cesse de me pourrir l'existence. J'en ai assez de tes petites imbécillités qui ne riment à rien. J'en ai assez que moi ou d'autres soient ton souffle-douleur, alors Thaddeus, c'est fini. En dehors de la politesse que je te dois en société, en dehors du regard de notre mère, tu ne seras plus qu'un étranger à mes yeux. J'ai beau essayé de t'aimer, je n'y parviens pas. Il y a sûrement certains êtres qui ne sont pas faits pour être ensemble, même en étant frères. Alors, soit, pour toi, à Poudlard, je ne suis que cet idiot lent & qui conserve le silence, qui a aussi le même sang que toi. Je ne suis pas digne de recevoir autre chose que tes moqueries, que ta médisance, je ne suis pas digne d'être ton frère. Mais c'est mon être que je te confisque, c'est une porte vers moi que je te ferme. C'est fini, Thaddeus. Adieu mon frère. » LETTRE D'EZEKIEL A THADDEUS, JAMAIS ENVOYÉ. « il y a une difference énorme entre celui qui cherche à se dépasser et celui qui veut être le meilleur. Le premier travaille sur lui le second par rapport aux autres. » JANVIER 1977. POUDLARD, ECOSSE. « Tiens Lestrange. », un rire longe tes oreilles, tu te glaces. Ne pas presser le pas, rester digne, tu es un Lestrange. Le savoir, la tolérance & le calme dansent dans tes veines. Tu es prince de sang. Tu n'as rien à regretter. Tu as appris, après tout, avec le temps, les années, à être ce que tu n'es pas, à enterrer ta sensibilité de cœur, à terrasser cet océan de douleur. Tu n'es plus un enfant, un gamin. Fort de tes années de vie, de ces jeux de mascarade que t'impose ta famille, tu passe au-delà de toutes moqueries, de ceux qui veulent te voir tomber. « Tu chiales plus, gamin ? », il te bouscule un peu, cherche à provoquer ta colère. Ta rancœur est une mer d'indifférence, cachant un volcan sous-marin, prêt à cracher sa rage. Animal blessé, traqué, on cherche à rouvrir tes plaies pour te tuer, on cherche à te faire tomber de ton piédestal bancal. Tu es fils de sang-pur, d'une dynastie mille fois crainte. Sage, avisé, averti, tu t'es taillé dans un calme exquis qui cache pourtant bien des tempêtes & bien des combats. Tu te contente d'un faible sourire. Il y a longtemps que les larmes n'existent plus. Il y a longtemps que tu ne pleures pour rien, ni personne. « Ton frère t'a pas tabassé aujourd'hui ? », souffle le chef de la bande, fier de son coup, fier de te voir te stopper. Tu es debout, dans ton silence, dans tes promesses. Tu parles peu, tu n'aimes guère les idiots. Tu méprise ta sensibilité. Pourtant, là, au fond du cœur, t'es qu'un gosse. « … Je vous prie de me laisser en paix. », une politesse de neige qui noie ta timidité. Tu éloignes les gens de quelques mots, tu les attires par ton apparence chétive, tu es pourtant bien plus redoutable. Tes yeux clairs leur soufflent de ne pas trop s'approcher, tu sais que tu vas leur brûler les ailes. Ton enfance trop protégé, les mots tendres sont murés en ton fort intérieur. « Je vous prie de me laisser tranquille », minaude le plus débile de la bande, tentant de t'imiter maladroitement. Ils explosent tous de rire. Tu lèves les yeux au ciel & tu poursuis ton chemin. « Hé Lestrange, on est pressés ! On t'a pas appris que ce n'était pas poli de ne pas regarder les gens en face. ». « On te cause ! Mais p'têt que ton frangin t'a éclaté trop fort contre le mur cette fois. », rit l'autre & il te pousse un peu trop fort. Tu fais tomber le livre de magie noire. L'ouvrage précieux s'éclate dans un bruit brutale sur le sol de l'école de sorcellerie. Il se brise sous le poids de son âge & tu contemple, horrifié, le sacrilège, tandis que tu tombe sur tes genoux. « Tu veux nous lécher les pieds, Lestrange ? Suffit de demander. ». Il tend ses jambes goguenard, tu n'en peux plus. Assez c'est assez. « Fermez là sombres cons. », siffle-tu de ta langue hivernale. Ils explosent de rire, te sous-estiment comme tout le monde. Tu préfères les ombres mais tu n'as jamais été faible. Tu préfères ton silence mais jamais tu n'as été homme à être maltraité. Plus depuis longtemps. Tu as refusé, réfuté les mauvais traitement, balayé ta famille face au savoir, à la connaissance. « Petit Lestrange va pleu ... ». « Incarcerem. », ta voix est forte, maîtrisé. Les cordes viennent les ligoter tous les trois sévèrement, les empêchant de bouger. Choqué, ils t'observent. Serais-tu donc capable de te défendre ? Une rage sourde te prend aux tripes & brusquement tu les clous au plafond, la tête en bas. Cela devrait être puni de mort de détruire un aussi vieux livre. « Lestrange ... ». Tes billes nuits les contemplent, sans un mot. « Je vous prierais de traiter les livres avec soin la prochaine fois & de leur baiser la couverture. ». Serais-tu devenu un prince des glaces ou caches-tu l'enfant en toi ? « Lorsque l'ombre t'est refusée, choisis la lumière puisque être visible est souvent le meilleur moyen de ne pas être vu. » JANVIER 1978. POUDLARD, ECOSSE.« Ash, Je sais ce que tu as fait pour moi & j'aimerais te rendre le quart de ce que tu m'as offert. Je sais que tu as toujours été là pour moi. Tu es une ombre bienveillante & je sais que tu aurais pu me juger de la même manière que mon frère. Cependant, tu ne l'as pas fait, tu m'as aidé, tu m'as relevé. Tu as choisi la bienveillance pour moi. Tu as choisi de me guider vers cette voie. Je ne suis pas doué pour les remerciements. Je ne suis pas doué pour exprimer ce que j'ai sur le cœur. Pourtant, je voulais juste te dire merci. Merci. Sincèrement. Pour tout. Pour rien. Ash, je te suis reconnaissant pour m'avoir aidé à choisir mon cursus, pour avoir su me cerner. Je serais sûrement malheureux en médicomagie sans toi. Tu m'as donné envie de poursuivre un rêve, de cerner les plus grands mystères de la divination. Tu m'as donné un espoir. Alors pour tout ça, merci. E. O. L. » LETTRE D'EZEKIEL A ASH. « Les mots sont des armes, les mots sont des dons, les mots ne se gaspillent pas. » JUILLET 1980. DOMAINE DES LESTRANGE, ANGLETERRE.« Notre fils n'aura pas de fiancée. », sa voix grimpe dans les aiguës, déchire ton silence dans un craquement brutale. Ils se disputent encore à qui ira ton avenir, avec quelle femme tu devras prétendre être heureux, être bien, caché vraiment qui tu es. Tu es habitué, tu sais quel est ton rôle. Tu sais que tout sang-pur de ton âge se doit de respecter ses engagements, d'avoir une promesse de mariage. Tu sais que sa mère ne chercher qu'à te défaire de ses liens. Elle pense que tu n'es pas prêt, elle pense que l'amour d'une autre qu'elle te tuera. « Mais, il a déjà vingt ans ... », argumente ton paternel, lasse de ces guerres, lasse de se battre avec cette femme qu'il aime, qu'il adore sur ton cas. « Et alors ? Il y a cette histoire de patronus encore & … &, par Merlin, regarde comme il a déjà du mal à survivre à Poudlard. Tu penses sincèrement qu'une femme lui accordera du temps pour se contrôler, pour qu'il accepte de la toucher ? », elle marque un point & un sourire accueille les paroles de ta génitrice. Elle a raison, tu ne laisses personne te toucher, tu ne laisses personne voir suffisamment loin en toi. Tu ne peux pas en risquant de sombrer dans la folie à tout instants, alors tu tournes la page de l'épais volume de magie noire. « Tout de même, nous ne pouvons pas laisser notre nom sombrer dans l'oubli, il est de notre devoir de préserver notre sang. », un discours qu'il tient de son père lui-même, que vous vous transmettez de génération en génération. « Il n'a que vingt ans. Quand il sera prêt, je te promets que nous le ferons. », cède-t-elle d'une voix douce, lui laissant une lueur d'espoir salvatrice. Ta mère est intelligente, redoutable. Elle sait jouer avec les sentiments des autres, elle sait les cerner. Elle sait te protéger & tu plains celle qui devra passer par elle avant d'arriver à toi. Tu sais qu'elle sera impitoyable, inflexible. Au fond quand il s'agit de toi, elle gagne toutes les batailles. Elle serait capable de tuer celui qui te fait souffrir, elle serait brutale & violence face à ceux qui t'érafle. Et dans une caresse, d'un baiser, elle trouve un compromis, elle trouve un passage. En silence, tu la remercies mais tu dois avouer que tu la hais aussi. Tu dois avouer qu'elle t'étouffe lâchement, monstrueusement, qu'elle est la maîtresse de tes chaînes. Sur ta peau, elle semble avoir gravé son nom, elle semble avoir laissé toutes ses promesses. Tu fermes ton livre, il faut apprendre à vivre seul, il faut délaisser cette mère étouffante. Et d'un œil critique, ton patronus t'observe. Il est mal d'écouter aux portes mais il est encore plus mal de ne rien connaître. « Tu dois arrêter de me juger, Freya. », la chouette roule des yeux & te fixe intensément. « Quand tu diras à ta stupide mère que tu n'es pas un objet dont elle peut disposer. », un rire t'échappe. Toi ? Un objet ? Voyons, c'est si mal te connaitre.
Dernière édition par Ezekiel O. Lestrange le Lun 18 Aoû - 23:26, édité 3 fois |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Guest, Sam 16 Aoû - 14:44 ( #) | On t'adopte sans hésiter Bienvenue parmi nous Jeune Lestrange. Si tu as des questions n'hésite surtout pas ! |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 14:58 ( #) | bienvenue! ton avatar est vachement cool! |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 15:05 ( #) | le bel Aaron bienvenuue |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 15:12 ( #) | Lestrange et puis Aaron Bienvenue sur BP et bonne chance pour ta fiche ! |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 15:48 ( #) | Oh un Lestrange! Bienvenuuuue |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 16:10 ( #) | La mécanique du coeur <3 Bienvenue parmi nous |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Guest, Sam 16 Aoû - 17:48 ( #) | Bienvenuuue N'oublie pas d'indiquer ton avatar en sous-titre de ta fiche Et bonne chance pour celle-ci |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 17:50 ( #) | Bienvenue bon choix de famille et d'avatar |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 17:53 ( #) | |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 18:40 ( #) | Le beau Aaron Bienvenue |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 21:36 ( #) | Ton titre Bienvenue ! |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 22:49 ( #) | |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Invité, Sam 16 Aoû - 23:18 ( #) | |
| | Re: LA MÉCANIQUE DU CŒUR ⊱ LESTRANGE.par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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