19 ans ϟ Communication Magique ϟ Chouette Harfang des Neiges - Louveteaux blanc ϟ Sang-mêlée.
Nom: Wayne-Imithéos. C'est dans la mythologie Grecque, que mon nom prend tout son sens. Je serai si l'on en croit la légende une des descendantes du dieu tout puissant. Le sang de Zeus lui-même coulerait dans mes veines, du sang divin. Cependant, pour le commun de mortel et des sorciers présent en Ecosse, je ne suis qu'une sang-mêlée. Fille de Bruce Wayne, héritier milliardaire ayant préféré faire fortune seul plutôt que de se reposer sur la fortune parentale et de Hestia Imithéos, langue de plomb au département des mystère. Prénom: Maïa, en hébreu Maïa signifie "aimée", un prénom aux consonances douces et insouciantes. Octavia, nom latin, d'origine inconnu, j'ignore pourquoi mais il sonne comme une douce mélodie à mon oreille, j'aime se prénom. Âge et Date de Naissance: 19 ans, je suis née à Londres. Nature du sang: Sang-mêlée. Situation familiale: Je suis célibataire, l'attrait pour la gente masculine étant pour le moment une occupation secondaire voir tertiaire à mon esprit. Je me sens particulièrement proche de Nyx, ma cousine qui me ressemble dans bien des sens et sur laquelle je m'appuie souvent comme d'un pilier. Patronus: Leïa (Mélange du prénom Lexis et Maïa).Une chouette harfang des neiges qui prends la forme d'un Louveteaux tout aussi blanc. Lui et Maïa s'entendent à merveille et sont parfaitement en symbiose. Miroir du Rised: Lexis démontrant des capacité magique et recevant sa lettre pour Poudlard.Composition de la baguette magique: Bois de cerisier et cheveux de vélane 24 cm, très souple. Epouvantard: Des sorciers martyrisant son petit frère.Etudes Suivies: Neuvième année en communication - Option communication.Animal de compagnie: Une chouette nommée Bree qui attise la jalousie de Leïa.
Caractère
Ici, c'est la partie où vous présentez votre personnage. Décrivez son caractère, c'est le plus important, donc n'hésitez pas à développer.
Je n’ai rien d’exceptionnelle. Je suis une petite brune d’un mètre soixante, une petite brune aux airs naïfs et à l’allure maladroite. Je suis maladroite, ou plutôt, dans mon insouciance j’aspire à trop hésiter lorsqu’un choix s’offre à moi, ou lorsque je dois prendre une quelconque décision pourvue qu’elle soit personnelle. Je ne fais jamais le bon choix, je ne parviens jamais à être la parfaite petite fille que l’on s’attend à voir lorsque l’on pose ses yeux sur moi. Je n’ai jamais eu confiance en moi, dénigrant chacun de mes actes ou de mes travaux, je ne suis jamais satisfaite de moi ou de ce que je peux produire. Je suis intelligente, ça ne fais aucun doute aux yeux de mes professeurs. J’aime les chiffres en arithmancie, j’aime les runes et leur danse folle sur les livres que je dévore avec une férocité hors norme. Je suis un petit rat de bibliothèque, vous pouvez me chercher dans chaque recoin du château, je ne me sens à un meilleur endroit que lorsque je passe les portes ébènes d’une immense pièce remplie d’étagère pleine de livres poussiéreux et décourageant pour toutes âmes humaine adolescente normalement constitué. De nature discrète et calme, il n’est sans aucun doute pas impossible que la moitié du château ignore même jusqu’à mon existence. Je ne m’en plains pas, j’ai mon petit cercle d’amis, j’évite les problèmes même s’il m’arrive dans un moment de faiblesse de me laisser porter par une idée farfelue de Leïa. Chose que je regrette immédiatement. Une pâte à modeler, influençable et vulnérable voilà ce que je suis. C’est pourquoi mère décida de me faire devenir Occlumens, d’apprendre à sauvegarder mon esprit, à ne pas me laisser aller, à ne pas me trahir.
Je suis très secrète, extrêmement peu de gens connaissent l’existence de Lexis mon petit frère et encore moins savent que celui-ci est un cracmol. Je n’ai jamais réussi à dire que je n’avais pas de frère, ou pire que celui-ci était mort comme mère me l’a souvent demandé. En général j’élude la question ou je m’en vais simplement. Je passe pour une folle, mais peut-importe le regard des autres importe peu.
Lexis me dis souvent que je suis belle et que je dois sans aucun doute faire chavirer plus d’un cœur à Poudlard. J’ai connu quelques histoires, rien de bien sérieux. On dit souvent que je suis de ses femmes à la sensualité dominante, à la séduction allusive. Je ne connais rien des prémisses de l'amour, ni de la fascinante période de charme, je n'envoûte que malgré moi et je captive sans m'en rendre compte. Je suis comme un oiseau minuscule aux couleurs chamarrés qui volte allègrement au dessus des mâles mais qui ne les voient pas alors qu'eux ne peuvent que subjuguer par sa beauté venir faire la cour à mon aveugle insouciance. Lourd fardeau, signaux envoyé sans qu'ils n'est de sens pour moi, quiproquo ou autre allusion malgré-moi mais l’amour n’a pas sa place pour le moment dans mon esprit, il n'a pas trouvé de sens réel. Je me concentre sur mon amour pour Lexis lui qui n’a rien et moi qui est tout. J’ai toujours ressenti ce profond regret, ce poids n’ayant pas lieu d’être pourtant. D’être responsable de l’absence de magie chez mon frère. Je m’en veux d’être différente, d’avoir des pouvoirs et de le laisser seul à la maison chaque rentré scolaire.
a little something from you.
Argentée et brumeuse, elle était là devant moi, prenant doucement forme. Mouvement gracieux et latent, je ne parvenais pas à comprendre ce qui venait de sortir de moi. Les yeux de Lexis croisèrent les miens l’espace d’une minute, comme-moi il était partagé entre la peur et la curiosité. J’aurai voulu crier, appeler mère mais je ne me sentais étrangement pas en danger. Curieusement calme, je ne lâchai pas des yeux la brume argenté qui fini par se transformer en une magnifique et majestueuse chouette Harfang des neiges. J’en avais vu des pareils sur le chemin de traverse mais celle qui se trouvait devant moi n’était autre qu’un « Patronus ? » La voix de ma mère retentit derrière moi et je fus prise d’un sursaut aussi vif et bref que celui de mon petit frère. Nos yeux passèrent de ma mère au Patronus qui gardait ses yeux bleus perçant sur la petite chouette mouvante face à nous. *On peut dire que ta mère sait mettre mal à l’aise.* Un petit son aigu passa la barrière de mes lèvres alors que je posai une main sur ma bouche pour retenir ce petit cri ridicule de surprise. Mère et Lexis me regardèrent une minute, leurs têtes penchées sur le côté comme s’ils n’avaient pas entendu la chouette parler. « Vous … vous ne l’avez pas entendu ? » Ils ouvrirent des yeux surpris comme si je venais de sortir la pire ineptie du monde. *Bien sur qu’ils ne peuvent pas m’entendre idiote, je suis ton patronus, c’est comme-ci ton esprit te parlait si tu préfère. * La chouette avait ce petit côté sarcastique qui m’exaspéra tout de suite, je ne savais pas encore que ce côté acerbe allait devenir indispensable à mon existence. Mère qui avait repris de la lucidité et s’étant sans aucun doute convaincu qu’en plus d’un cracmol, elle n’avait pas engendré une Jeanne D’arc des temps modernes appela mon père à la rescousse. Celui-ci arriva en trombe dans la chambre un parchemin à l’intention de ma mère à la main. Il regarda le patronus avec la même intensité d’incompréhension et de méfiance que tout le reste de la famille. Excepté Lexis qui sans que l’on s’en rende compte s’approcha doucement de la forme argenté. « Non ! » Ma mère attrapa Lexis et le recula alors que celui-ci tendait la main vers « Leïa, je veux toucher Leïa ! » Mon frère se débattait pour se rapprocher de mon patronus. « Tu ne peux pas le toucher, personne mis à part Maïa ne peut le toucher, la lettre viens du ministère, ceci est un sortilège qui à mal tourné, ils nous en diront plus bientôt, mais il est important que personne ne touche son patronus et qu’on ne tente sous aucun prétexte de le séparer de Maïa. » Je regardai mon patronus, puis mon frère boudeur dans le coin de la pièce. « Leïa... »
Maintenant quelques années que Leïa est dans ma vie. Inséparable, la chouette prend la forme d’un louveteau lorsque je me sens vulnérable. Leïa est sarcastique, direct et incroyablement tête brûlé. Si je l’écoutais, je serais sans arrêt dans le pétrin. Elle est cette partie de moi enfouie derrière ma discrétion et mon insouciance. On se complète parfaitement, une parfaite symbiose.
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Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Marie, 22 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Google ♥ ϟ Personnage: Poste vacant. ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope ϟ Présence: Le plus souvent possible, une fois par jour au moins. ϟ Une remarque? Nyaaaaaaa j'aime déjà ce forum ♥
Dernière édition par Maïa O. Wayne-Imithéos le Mar 26 Aoû - 13:18, édité 10 fois
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Re: Maïa ♠ L'innocence d'une enfant, le corps d'une femme.
Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.
Tourne les lumières au-dessus de ma tête, lumière trop froide, trop forte. Elles me donnent chauds, maman crie, elle souffre mais je ne peux que déceler cette étincelle de bonheur dans ses yeux. Papa lui tiens la main et je me demande ce que je fais là. Tout est arrivé si vite, j’étais simplement là et personne n’a remarqué que j’étais toujours là. Et tout d’un coup ils sont là, ils s’ouvrent sur un monde inconnu, trop grands pour un si petit visage, des yeux d’un bleu océan si semblable aux miens. Je vois son attention se porter sur moi et ses cris retentir dans la maternité. Cette même maternité où je suis née 13 années plus tôt. Les médecins de Sainte-Mangouste l’emmènent tout de suite, prématuré, si petit, si fragile, si vulnérable petite chose. Et puis il est mis dans une petite boite en verre, une boite pour le protéger de tout ce danger invisible qui pourrait l’atteindre. Et je passe des heures entières devant cette petite boite, observant ses petits pieds, minuscules doigts, ridicules petites mains. Il est mon petit frère, j’ai rêvé de cette enfant et il est là devant moi, un petit frère. « Il sortira bientôt papa ? » Mes yeux se décrochent quelques minutes de ma contemplation pour me tourner vers un homme aux yeux aussi bleu que les miens, aux cheveux grisonnant et à l’air las, fatigué duquel une pointe de bonheur n’échappe pourtant pas à un œil connaisseur. Il pose un regard bienveillant sur moi et pose sa grosse main rugueuse sur ma tête pour me caresser les cheveux. Je sais qu’ils ont peur, je le vois dans son regard, je sais que maman à beaucoup pleurer. Je sais que même dans le monde de la magie parfois l’impuissance reste frustrante. Mais je crois en lui, je crois en toi Lexis. Je ferme les yeux et pour la première fois de toute ma vie, je prie. Je supplie, j’implore le ciel d’écouter mes suppliques, la plainte douloureuse d’une petite fille qui n’a toujours rêver que d’avoir quelqu’un qu’elle pourrait aimer infiniment plus que tout. Un compagnon de jeu, un frère, une sœur. Je prie si fort, mes sourcils se froncent, j’ai mal à la tête à force de prier avec autant d’ardeur. J’ai supplié ainsi durant une semaine. Je ne saurais sans aucun doute jamais si cela à été bénéfique au rétablissement de mon frère, ou si dès la naissance il était déjà un battant. Lexis à survécut, Lexis est vivant, Lexis est différent. Lexis n’est pas un sorcier. Lexis est un cracmol, il n’aura jamais de pouvoir, il n’entrera jamais à Poudlard mais je l’aime bien plus que n’importe qui sur cette terre.
On a affaire à une rêveuse totalement déconnectée de la réalité, en sautant elle a du penser qu’elle s’envolerait.
Mes yeux se referment aussi rapidement qu’ils s’étaient ouvert, éblouis par les rayons du soleil filtrant à travers les volets mal fermés de mon dortoir. Je pousse un soupire de rage, et le louveteau argenté lové près de moi couine de mécontentement. Mes mains se posent sur les lunettes de soleil posé sur la table de nuit près de moi. Dieu que je haï la génétique de m’avoir fait des yeux bleus si fragile. Je me redresse enfin dans mon lit et le livre ouvert avec lequel je me suis endormi la veille tombe sur le sol dans un bruit lourd. Faisant sortir de sa torpeur ensommeillé Leïa qui se transforme en chouette et va se poser sur les baldaquins refermant ses yeux. « Une marmotte, voilà en quoi tu devrais te transformer ! » La chouette siffle et je lui tire la langue. Assise dans mon lit j’essai de faire le point sur ce qui se passe autour de moi. Le dortoir est vide et mis à part la respiration imperceptible de Leïa, rien ici ne bouge ou ne donne signe de vie. Je ramasse mon livre, la reliure doré n’a pas de marque du à sa chute et je suis intérieurement rassuré. Je ne me souviens pourtant pas d’avoir lu hier. Un bout de parchemin s’en échappe. * Soirée – Salle sur demande – 20 heure 30 * Et je rends enfin compte que j’ai mal à la tête, une douleur latente qui n’attendait que ce moment ou je prends conscience des choses pour apparaitre. J’attrape un petit oreiller et le lance sans ménagement sur Leïa. « Tu ne m’a quand même pas laissé boire ! » La chouette s’envole dérangé et va se poser à bonne distance avant de me jeter un regard noir. « Oh ! Je ne suis pas ta mère, ton chaperon ou ta conscience, tu as trop bu, moi je n’ai rien fait et après tout on peut bien s’amuser de temps en temps. La bibliothèque j’en ai ma claque et si ça peut te rassurer c’était nul un simple baisé volé et non tu n’as parlé de Lexis à personne ! » Je soupire dépité et soulagé à la fois prenant ma tête entre mes mains. Boire n’a jamais été mon fort, trop vulnérable, trop fragile, un verre de whisky pur feu et je suis totalement inhibé, deux verres je ne réponds plus de moi, trois verre je me réveille pratiquement amnésique et j’ai une gueule de bois monstrueuse. Quand on ne tiens pas l’alcool, on ne tiens pas l’alcool. Dieu merci, j’ai assez de raison et de bon sens pour ne pas boire à la première occasion. Mais dans un moment de faiblesse, il m’arrive de ne pas pouvoir refuser une soirée, surtout quand j’ai un patronus qui adore s’amuser. C’est après une de ses soirées ou j’avais fini dans le bureau de mon directeur de maison pour la première et dernière fois de toute ma vie. Que mère avait décidé de me faire enseigner l’occlumencie par un professionnel afin que je sois moins touchable, moins vulnérable et moins modelable. Et surtout que je ne parle de la situation de mon frère à personne. Je me lève difficilement, attrape un verre d’eau et m’habille rapidement après un bain de toilette. « Allez sale chouette, direction la bibliothèque histoire que je récupère les connexions neuronales que j’ai perdu hier soir. » Je sais que Leïa voudrais me donner un bon coup de bec derrière l’oreille, je souris satisfaite et nous descendons dans mon havre de paix. Cet endroit ou rien n’y personne ne pourrais me déconcentrer. Mais il ne faut jamais dire jamais non ?
Green-Wild.
Dernière édition par Maïa O. Wayne-Imithéos le Sam 23 Aoû - 21:38, édité 5 fois
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Re: Maïa ♠ L'innocence d'une enfant, le corps d'une femme.