| On ne TOUCHE PAS à mes cheveux. - DOĞANpar Invité, Sam 27 Déc - 19:48 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Doğan Twan Carmichael FEAT. Willy Cartier 18 ANS ϟ JUSTICE MAGIQUE ϟ FAUCON ϟ SANG MÊLÉ Nom: Carmichael Prénom: Doğan-Erol, Twan Âge et Date de Naissance: 3 Janvier 1962 Nature du sang: Sang-Mêlé,et en a honte. Situation familiale: Mon père, Edward Carmichael III fait partie du clan de sorciers Carmichael. Un ancien clan écossais dont plusieurs membres sont moldus ou nés moldus. Ma mère, Yasemin Karadeniz, fait partie d'une famille de sang pur turque et très conservatrice. C'est chez mes grand-parents maternels que j'ai grandi, et le reste de la famille Karadeniz m'a toujours fait comprendre qu'en tant que Sang-mêlé, je n'étais pas un membre à part entière de leur lignée. Patronus: Il est apparu sous la forme d’un Faucon dès la première fois. Miroir du Rised: Être reconnu à ma juste valeur, sans être jugé sur mon statut de sang-mêlé. Composition de la baguette magique: 31,2 cm,Ventricule de Dragon, Bois de chêne rouge Epouvantard: Ma mère, qui me répète que je suis une déception pour elle et toute sa famille, et qu’elle aurait préferé que je ne sois jamais venu au monde. Etudes Suivies: Justice Magique ; Animal de compagnie: Aucun. Je déteste les animaux. Caractère La première chose qu’on puisse dire de Doğan est qu’il est extrêmement fier. Et extrêmement secret. Renfermé et sociable, Capricieux et Conciliant, Doğan est tout, et rien à la fois. Tout cela vient du fait qu’il souffre de troubles bipolaires frôlant les troubles de la personnalité depuis l’enfance. Il alterne très souvent entre des périodes calmes assez longues et des phases très animées. Pendant ses périodes dites calmes, c’est un Doğan discret, peu bavard, qui préférera se plonger dans un bouquin plutôt que de rencontrer ses amis, et qui se trouve au bord de la dépression. Elles sont souvent déclenchées par un souvenir qui lui revient de ses vacances chez ses grands-parents maternels, une question trop personnelle qu’on lui a posé, ou simplement par une sensation d’abandon. Ses phases animées sont beaucoup plus fréquentes. On l’y trouve presqu’hyperactif, susceptible, et colérique. Il y est plus extraverti, voire carrément extravagant. Il aime par-dessus tout être entouré. Ses crises de colère y sont beaucoup plus fréquentes et son besoin constant d’attention trahit sa crainte phobique de l’abandon. Et quand il se sent délaissé, il explose. Ce qui se résume très souvent par des sorts lancés dans le vide dans une classe vide, dans le parc, ou dans sa chambre quand il n’est pas à Poudlard. Le chaos, dans ce genre de situation, est la seule chose qui arrive à le calmer. Certaines choses ne changent pas chez Doğan, et ce, peu importe son état d’esprit . Il est très studieux ; si par le passé, ne pas avoir les meilleures notes symbolisait l’échec scolaire, il assimile ça à un échec social aujourd’hui. Il n’a pour but que de s’élever socialement, et pour y arriver, il sait que ses performances scolaires doivent être excellentes pour arriver à ses fins. Il a d’ailleurs horreur de l’échec. Que ce soit lors d’un examen, au Quidditch, qu’il pratique très peu, pendant un duel, un échec de sa part entraînera inévitablement une crise de panique. Il fait très attention à son apparence et à ce qu’on pense de lui, adore rencontrer des personnes qu’il qualifierait d’intéressantes, et Il déteste les animaux, qu’on lui touche les cheveux, se sentir ignoré, les cours de soins aux créatures magique. a little something from you. Ca fait deux ans que je me trimbale ce piaf. Je l’aime et je la déteste à la fois. Je sais maintenant que c’est une femelle, je ne sais pas exactement à quelle espèce de Faucon elle appartient exactement, et je m’en contrefiche. Elle a le plumage gris et châtain, des yeux verts et perçants. Elle est tantôt silencieuse et observatrice, tantôt piaillarde et agitée. Je me rappelle l’avoir déteste au début. Je n’ai jamais eu de meilleur ami, ou même d’mai vraiment proche, et là je me vois assigné ce volatile qui me suit partout. Et qui a même l’air d’être le miroir de mes émotions. C’est peu pratique quand c’est le grand huit dans ma tête, et qu’au lieu de me calmer, elle piaille partout et essaie de me piquer le visage, de son bec. Je me suis habitué, j’ai pas trop le choix de toute façons. C’est une extension de moi-même, et quand j’essaie de l’ignorer, elle réussit toujours à retrouver mon attention, comme un enfant. Elle est chiante et adorable à la fois, et elle s’appelle Nénuphar.
You're not a sad story. « Que tu es mignon, que tu as de beaux cheveux.. Comment tu t’appelles ?» « Doğan. Vous êtes qui, vous ? » « Comme c’est joli ! Je suis la grande cousine de ton père Doğan, je m’appelle Evelyn! » « Pourquoi vous n’aidez pas les autres avec les sortilèges de protection ? » « Je ne peux pas Doğan, je n’ai pas de baguette ni de pouvoirs magiques ! » Je me rappelle avoir ressenti un profond dégoût à ce moment là. Cette femme, avec qui mon père riait aux éclats un peu plus tôt dans la journée, était une moldue ? Et un membre de sa famille ? Sans demander mon reste je suis allé rejoindre ma mère qui vidait tasse de thé sur tasse de thé, qu'elle se servait d'un coup de baguette, comme si le breuvage pouvait la faire s’envoler loin de cette fête, vers Istanbul. C’était en 1969, j’avais 7 ans ; Mes parents et moi nous étions rendus au siège du clan Carmichael en Ecosse. C’était la première fois que j’avais un contact direct avec une moldue, et ça m’avait rendu mal à l’aise. « Maman, la dame, là-bas bah elle a pas de baguette ! » Ma mère s’était contentée de pincer les lèvres en fixant la dénommée Evelyn. C’est qu’elle est très fière ma maman. Elle me répète tout le temps que sa famille est l’une des rares familles de sang-pur du Moyen Orient. J’en ai appris l’arbre généalogique sur 12 générations à 9 ans, et j’en avais rencontré tous les membres à 15, ou presque. Elle avait grandi à Istanbul, mais au lieu d’étudier à l’Institut des Lumières de Baghdad, ses parents avaient préféré l’envoyer faire ses études à Poudlard. C’est d’ailleurs là qu’elle y a rencontré mon père. Il était jeune, beau, riche, intelligent, et héritier d’un clan écossais vieux de près de 1000 ans.. Elle l’avait séduit et il l’avait demandé en mariage. Le gendre idéal. Elle avait choisi le fiancé parfait à présenter aux parents. « Il faut que je te prévienne, mes parents son assez à cheval sur la famille, nos éventuels enfants, sur la pureté du sang… » « La pureté du sang ? Ça les gênerais que je sois un sang-mêlé ? » « … Tu es un sang-mêlé ? » « Comment était-ce possible, que vous ne le sachiez pas, pour Papa ? » « À l’époque, la question ne se posait pas, Doğan. Et ton père et mois etions jeunes, et amoureux, ça n’avait pas l’air de compter. » « Et ça compte aujourd’hui ? » Elle me regarde d’un air froid et pincé qui n’appartient qu’à elle. « Ne poses pas de questions idiotes, ça a toujours compté. Je n’y ai pas fait assez attention à cette époque là, mais il est hors de question que je te croise avec une sang-de-bourbe, tu m’entends ? »Mes grands-parent maternels ne l’ont jamais accepté, et ils n’ont adressé la parole à ma mère que peu de temps avant ma naissance. Je devais être leur premier petit-fils, et ils se devaient de décider de choses importantes telles que mon prénom, mon surnom, quel arbre planter à ma naissance, et à quel endroit… Le reste dépendrait de mon thème astral qu’un astrologue de leur choix annoncerait. «Ils sont arrivés un ou deux jours avant ta naissance. Ils n’avaient pas arrêté de dire à quel point le manoir était petit… Trop d’étages à leur convenance, ça les changeait du petit palais familial, étendu sur deux hectares et ne dépassant pas les deux étages… Et quand tu es né ils se sont précipités avec l’astrologue familial pour..» La suite, je la connais. Doğan-Erol, « Le courageux Faucon » Couleurs auspicieuses; Bleu, Gris, Noir. Pierres auspicieuses: L’Amethyste, L’Onyx Métal : Argent Heures : 1 à 3 Heures du matin Nombres porte-bonheurs : 1, 4, 8, 10 Jours auspicieux : Mercredi, Vendredi, Samedi Planète : Saturne Incarnation : Le conquérant Partenaires/Épouse : De préférence née en Avril, Mars, Septembre. Ou Novembre.Mon père n’avait pas eu son mot à dire. Ce n’est qu’après leur départ qu’il insista pour me donner en deuxième nom ‘Twan’, celui de son grand-père. En tant que représentant du Ministère de la Magie dans plusieurs pays scandinaves, il n’a pas cessé de voyager pendant mon enfance, et c’est avec ma mère et mes grands-parents paternels, en Turquie, que j’ai grandi. Ceux-ci vivent dans une ville uniquement habitée par des sorciers, incartable, et invisible aux yeux des moldus. Grandir au milieu de cousins dont les parents avaient eu leur mariages arrangés entre différentes familles de sang-purs, et qui se vantaient constamment de leur sang pur… Ça me donnait officieusement le statut de vilain petit canard. Ce qui m’a très vite amené à avoir de violents accès de colère, de crise de panique et d’angoisse à partir de mes 8 ans. Chaque réflexion, chaque insulte entraînait une bagarre, des pleurs, des périodes de dépressions.
À 11 ans, je reçus ma baguette, à la grande-joie de mes grand-parents, qui savaient que ma baguette me permettrait de canaliser ma magie et mes crises. Ils m’inscrivèrent à Poudlard, où je fis parti des meilleurs élèves dès les premières années. Ce n’était pas bien difficile à comprendre ; j’étais loin de chez moi, je ne connaissais de l’écosse que le manoir familial de mes grands-parents paternels que je ne voyais que très rarement… La seule chose qui m’intéressait, c’était un tout nouveau monde que je découvrais à travers l’Histoire de la magie, Les Potions, et l’Astronomie, que je connaissais déjà assez bien. Et j’ai aussi découvert que mes performances scolaires m’attiraient les faveurs des profs, la jalousie de certains quelques camarades, mais surtout, l’admiration. Et j’ai commencé à dépendre de cette admiration. Je ne travaillais plus pour avoir l’ « Optimal » tant désiré, mais pour montrer aux autres que j’étais le meilleur, Ce n’est qu’à ce moment là que j’ai réussi à m’aimer pour de bon, à reconnaître que je valais quelque chose. Et plus j’étais entouré, plus je devenais capricieux. « Troubles bipolaires », « Troubles passifs-agressifs » ; c’est trop facile de me coller ces étiquettes, certes j’admets être colérique. Mais j’ai de bonnes périodes aussi. Maman avait raison, ces histoires de pureté du sang comptent ici plus qu’autre part. Je ne parlais pas du mien, ou très rarement, peu de gens connaissent le clan Carmichael ici, et on ne me posait pas trop de questions, non plus. Je n’osais pas parler de cette tare, et tant que je brillais par mes performances scolaires… Puis le ministère décida de lancer ce sort. Je ne m’intéressais pas tellement aux récents événements qui liaient le Seigneur des ténèbres, Celui-dont-on-ne doit-pas-prononcer-le-surnom ou quelque chose du type… Qu’est-ce que je m’en fichais. J’étais trop pris dans ma bulle pour me soucier des autres. Mais voilà que tout ça finissait par m’atteindre. Je déteste les animaux, et en voir autant d’un coup, ça me débecte. Je n’avais lancé de patronus qu’une ou deux fois et il avait pris la forme étrange d’un gros machin qui vole. Pourtant, ce jour là, c’est une espèce de Faucon qui apparaît et se tient devant moi. Un Faucon. Quelle ironie. Je me trouvais chez mes grands-parents en ce moment. Apparemment je devais être le seul à en être choqué. En même temps, tout le monde s’imaginait que le phénomène serait de courte durée.Peut-être que le coup de l’astrologue ça marche vraiment. Ça ne me change pas plus que ça, sauf que pendant certaines crises de colère, la sale bête essaie de me tuer.
« Elle comprend que tu explose dans ces moments là, et c’est sa manière de te mettre face à ce que tu traverses. » « …C’est une femelle, tu crois ? »
Le reste du temps, elle se tient juste là, perchée sur mon épaule.
Après les B.U.S.E.s, vinrent les A.S.P.I.C.s. Une vraie ménagerie avec tout ces patronus dans la Grande Salle, je m’en souviens. Mais je les ai eu malgré tout.
28 Mai 1980
Chère Maman,
Comme vous pouviez vous y attendre, j’ai eu une majorité d’Optimals aux A.S.P.I.C.S. Même en Soins aux créatures Magiques. (Le professeur a fini par reconnaître que la mort du botruc n’altérait en rien le résultat de l’examen. J’ai horreur de ces bêtes là. Vous savez bien que j’ai horreur des animaux.). Comment vont grand-mère et grand-père ? Je n’ai pas eu de nouvelles de Papa depuis un moment, j’ignore même s’il compte revenir pour les vacances. Peu importe. Avez-vous entendu parler de ce Lord Voldemort ? Je ne sais si vous l’avez croisé quand vous étiez à Poudlard, mais il terrorise tout le monde ici depuis des années. Dès que j’entends que des moldus se font assassiner.. Ça ne me fait rien du tout. Suis-je devenu insensible ? Ou est-ce que c’est parce qu’il s’agit de moldus ? Je ne sais pas. J’essaie de ne pas y prêter attention, si je le fais, je finis par m’attarder sur les détails les plus morbides de ce genre d’actes. La magie noire a quelque chose de fascinant et de malsain à la fois, et mes recherches dans ce domaine n’aboutissent jamais, la bibliothèque de l’école ne contient que de très peu de livres sur là-dessus. Celle de Grand-père est rempli d’ouvrages sur le sujet, j’en ferais mes lectures de vacances. J’ai décidé à la rentrée de poursuivre mes études à Poudlard dans la Justice Magique, plus précisément dans les Connaissances Approfondies du Monde Magique. Je vous en parlerai cet été. J’en ai presqu’oublié le but de cette lettre ; je vous rejoindrai à King’s Cross,cette année, afin de retourner en Turquie pour les vacances. Je n’irai pas au fort Carmichael, je ne supporte plus de les voir, chaque été. Je vous embrasse et vous dis à Bientôt.
Doğan-Erol.
Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Elia, 20 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? Je m'y étais inscrite il y a deux ans, je crois? Et.. Bah me revoilà ϟ Personnage: Inventé ! Scenario ? PV ?ϟ As-tu un autre compte sur BP? Nope! ϟ Présence: Tous les jours, ou un jour sur deux. ϟ Une remarque?
Dernière édition par Doğan T. Carmichael le Sam 3 Jan - 22:02, édité 8 fois |
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