Nom: Russell. Si ce nom ce veut presque inconnu dans le monde des sorciers, il en est tout autre dans l’univers moldu. Leigh Russell, propriétaire d’une multinationale dans l’industrie pétrolière qui portait autrefois le nom de Matthews, Russell & Corp. s’est vu être changer il y a de cela une petite dizaine d’année pour désormais arborer celui de Russel Petrol, est une homme d'affaire réputer et reconnu pour avoir fait de cette entreprise peu florissante en une véritable mine d'or. De quoi rendre fier la petite famille et leur assurée une vie somme toute plus qu’aisée.  Prénom: Anabeth. Un prénom qui rappelle ses racines bulgares tout en ayant la consonance anglaise qui était non-négociable pour l’anglais fier de sa patrie qu’est monsieur Russell. Âge et Date de Naissance: C’est par un jour pluvieux d’été qu’a vu le jour Anabeth K. Russell. Le dix-sept juillet mille-neuf cent quatre-vingt-quinze. Ce qui lui fait donc dix-neuf belles années au compteur et encore bien d’autres à venir. (17/07/1995) Nature du sang: Alors là, il faut avouer que la nature du sang d’Anabeth est quelque peu complexe. De son côté paternel, elle est parfaitement moldue. Effectivement, son père, jusqu’à rencontrer la mirifique créature qu’était (et est toujours) Ioana Petrova, n’avait jamais eu vent du monde des sorciers. Ce qui implique donc qu’il s’agit d’une toute autre histoire de son côté maternelle. Si son grand-père maternel, Elfric Petrova, est un des descendants d’une puissante lignée de sang-pure bulgare et un ancien joueur vedette de l’équipe nationale de Quidditch de Bulgarie, sa grand-mère maternelle, elle, est la fille d’une vélane à la beauté aussi enivrante que surnaturelle, cette dernière étant tombée amoureuse d’un moldu et ce dernier n’ayant sut résister au charme vélane de la douce demoiselle. Voilà donc un mélange de sang entre moldus, sang-purs et vélane, ce qui donne toutefois à la demoiselle une beauté exquise qu’elle tient de son côté maternelle et une connaissance des deux mondes qui e côtoient sans que le premier en ait conscience et sans que le second lui en porte grande attention. Situation familiale: Elle est fille unique et, vu son caractère parfois difficile et totalement indomptable, c’est sûrement mieux ainsi pour la santé mentale de ses parents. Elle entretient une très proche relation avec sa mère, qui est sa plus grande confidente et qui se retrouve souvent à essuyer les échecs amoureux d’Anabeth. Elle est aussi relativement proche de son père, bien que ce dernier soit souvent absent dut à son travail prenant. Patronus: Son patronus possède l’élégant nom de Betty, qui provident bien évidemment d’un dérivé de son propre nom, Anabeth. La première forme qu’a arborée la petite créature fut celle d’une hermine au pelage blanc comme la neige et aux yeux d’un noir profond. Discrète, fragile, douce, distinguée mais au caractère indomptable et un brin difficile d’approche, voilà sans aucun doute une représentation presque parfaite des traits de personnalité les plus présents de la jolie blonde. Or, cette petite hermine aux couleurs variant selon les saisons s’est retrouvé à pouvoir aussi se présenter sous la forme d’une chouette à joues blanches. Un animal fier et un tantinet romantique, charmant et facile à charmer avec les bons battements d’ailes, il représente le côté très cœur d’artichaut de la demoiselle, plus doux que l’hermine et certainement plus romantique, bien que gardant cet air presque dédaigneux de la demoiselle trop fière et très certainement un brin trop narcissique.  Miroir du Rised: S’il y a une chose assez évidente chez la jolie demoiselle, c’est sûrement son désespoir quant à trouver l’amour. Aussi indépendante souhaite-t-elle s’affirmer, elle tombe amoureuse comme elle change de sous-vêtements et ses relations sont toutes plus désastreuses les unes que les autres. Or, son plus grand désir est très certainement d’avoir un homme à ses côtés, lui serrant la main alors qu’elle porterait une alliance à son annulaire gauche. Peut-être des enfants, des animaux de compagnie, qui sait. Mais le tout montrant une vie amoureuse et de famille épanouie. Composition de la baguette magique: Alors là, c’est une question assez aisée si l’on connait bien la demoiselle. Passionnée, presque même obsédée, difficile et flamboyante, rien de mieux qu’une baguette de charme avec un cœur de ventricule de dragon, le tout faisant 29,3 centimètres de long et d’une rigidité égale à celle de son esprit buté, voilà la baguette qui sied la jeune descendante vélane. Epouvantard: Il faut savoir que sa beauté est sûrement ce qui importe le plus à Anabeth. Descendante vélane, elle possède cette beauté enivrante et ce charme évident que possèdent sa famille du côté maternelle. Ce qu’elle craint donc le plus est de voir sa beauté se volatiliser, disparaître, laissant de son reflet que l’ombre de celle qu’elle était, d’une laideur à faire peur et aux traits méconnaissables. Etudes Suivies: Aussi surprenant que cela puisse être d’une demoiselle au cœur d’artichaut et aussi superficielle qu’Anabeth, elle s’est lancée en justice magique. Si elle n’est pas une passionnée du domaine, elle trouve toutefois cela fort intéressant et il s’agit d’une formation non négligeable quant aux lois, qu’elles soient sorcières ou moldues, si elle envisage un jour prendre la relève de Russell Petrol.  Animal de compagnie: Aucun. Son patronus possédant le même caractère qu’elle avec cette touche de possessivité et de jalousie qui la définie bien, elle préfère éviter de se retrouver confronter entre une bagarre entre cet animal et son patronus qui est nul autre qu’une partie d’elle-même, le reflet de son âme.

Ici, c'est la partie où vous présentez votre personnage. Décrivez son caractère, c'est le plus important, donc n'hésitez pas à développer. Il vous est demandé, si jamais votre personnage est atteint d'une particularité moldue (La liste des Particularités actuellement présentes sur le forum se trouve [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) d'en parler explicitement dans votre fiche. Minimum de 10 lignes.

Elle se souvient encore de ce jour comme si c’était hier. Quoique, à vrai dire, c’était un souvenir qui n’était tout de même pas si vieux que cela. Un peu plus de deux ans plus tôt, pendant les vacances de Noël alors qu’elle était rentrée chez elle pour passer un peu de temps avec sa famille, elle était installée dans sa chambre, assise sur son lit, avec un jeune homme dont, bien malheureusement, à ce jour, elle ne se souvenait plus de son nom. À quoi bon porter une attention quelconque à cet homme qu’elle avait aimé profondément et de tout son cœur (et ce, seulement pour trois petites semaines) et qui l’avait largué comme un lâche lors d’un évènement qu’elle-même ne pouvait s’expliquer. Bon, il est certain que, pour un moldu dont la chose la plus surréaliste qui lui soit arrivé dans sa vie fut qu’une demoiselle aussi jolie qu’Anabeth s’intéresse à lui, voir une brume argentée s’étendre autour de la silhouette de la vélane avait quelque chose de terrifiant et d’un inconnu qui ne pouvait nécessairement pas lui plaire. L’homme avait paniqué, s’était levé et avait fui, aussi simplement. Et plus jamais Ana n’eut de ses nouvelles après cet incident.

Rapidement, sa mère était montée à sa chambre, plus qu’étonné de voir un jeune adolescent fuir aussi rapidement sans prendre la peine d’adresser un au revoir aux parents de celle qui était son (désormais ex) copine.  La brume argentée s’étendait devant la jeune demoiselle, prenant une forme de plus en plus distincte sur son lit. « Chérie, qu’as-tu fait ? » lui demanda sa mère, cherchant à comprendre pourquoi sa fille avait tenté de lancer un patronus. Car, effectivement, à la vue de la forme et de la couleur, il n’y avait qu’un seul sort dans tout son répertoire de connaissance magique qui pouvait avoir cette allure. « Que s’est-il passé ? » s’enquit-elle. « Tu n’as tout de même pas cherché à l’impressionner avec un petit tour, dit-moi ? » « NON ! » Et la mère n’eut d’autres choix que de croire la demoiselle, principalement de par son ton qui se voulait aussi paniqué qu’incompréhensif alors que la brume prenait la force d’un petit rongeur et que, ce dernier, sous le regard désormais tout aussi incompréhensif de Katerina prenant lentement mais sûrement les couleurs immaculés d’une hermine, sa petite tête fixant d’un air pensif l’adolescente.

Une seconde. Elle fixait l’animal qui s’était matérialisée face à elle d’un air incertain alors qu’un silence de plomb planait dans la salle, entre une adolescente un peu perdue, un animal dont elle n’avait aucune idée ce qu’il venait faire là et d’une mère cherchant à comprendre le phénomène qui venait de se dérouler. Deux secondes. Toujours autant d’incompréhension, un peu comme si l’information n’était pas montée au cerveau de la blonde dont les fins sourcils se sont froncés. Trois secondes. La panique. L’incompréhension. Le vide total. La blonde se jette hors de son lit, comme si la mort était à ses trousses. Quatre secondes. Elle jauge du regard la bestiole, la défie, comme si elle cherchait à comprendre pourquoi est-ce qu’elle était là. Cinq secondes. S’en est trop. Elle bouscule légèrement sa mère pour fuir sa chambre, espérant que quand elle y retournera, cette bestiole aura disparu. Ce n’est qu’après quelques pas hors de sa chambre qu’elle s’écroule au sol, un gémissement de douleur aux lèvres. Elle ne comprend pas mais elle a mal d’une douleur qu’elle n’a jamais connu jusqu’à ce jour. Il ne s’agissait-là même pas d’une douleur physique mais bien plus profonde, comme si son âme lui était arrachée, comme si une partie d’elle cherchait à s’échapper. Suite à cet incident, sa mère s’était précipitée vers elle, cherchant à comprendre la situation alors que tout lui échappait. Et, au même moment, l’hermine (l’animal en question au poil aussi clair que la neige qui tombait à l’horizon) s’approcha d’Anabeth, calmant cette douleur qui lui serrait la poitrine jusqu’à disparaître aussi rapidement qu’elle était apparu. Son regard se posa de nouveau sur l’hermine alors qu’elle se redressait en position assise. « Tu vas faire l’idiote encore longtemps ? » fut les premières paroles qui lui adressa son patronus.

Les jours qui suivirent furent consacrés à apprivoiser cette bestiole au mauvais caractère. Car, sans aucun doute, l’hermine, aussi douce et posée pouvait-elle être, était dotée d’une susceptibilité terrible et d’une personnalité très flamboyante (voir ici qu’elle n’hésitait pas à exprimer son mécontentement). Anabeth, au cours des premiers temps, en est souvent venue à souhaiter avoir meilleur caractère. Ne serait-ce que parce que, a priori, cet animal se trouvait à être son patronus ayant pris forme physique lors d’un sort raté du ministère de la Magie, ce dernier représentant donc toutes les facettes les plus sombres et habilement camouflées sous de jolis sourires enjôleurs. « On sort. » L’hermine leva la tête, un air presque blasé sur le visage. « Je n’ai pas envie. » L’adolescente leva les yeux au ciel avant de poser ses mains sur ses hanches. « Peut-être bien, mais moi je veux aller au marché. » Et, sans s’en soucier en outre mesure, voilà que la demoiselle quittait sa chambre d’un pas convaincu. Jusqu’à se retrouver agenouiller au sol, une douleur horrible au creux des reins, comme à chaque fois qu’elle s’éloignait de l’animal. « Petite sotte » grommela ce dernier alors qu’il passait à ses côtés, soulageant la jeune demoiselle.

D’un quotidien désormais donc particulièrement animé, sa relation avec ce qui n’était rien d’autre qu’une partie d’elle-même, une partie de son âme, était ponctuée de querelles en tout genre alors que l’hermine était dotée d’un caractère aussi buté que la blonde et d’un côté un peu trop princesse. « Il te faudrait un nom » commença la blonde, son regard clair posé sur l’animal. « Uh » fut la seule réponse dudit animal. « Je retourne à Hogwart sous peu, il serait donc bien que j’arrête de t’appeler la chose. » L’hermine portait déjà que très peu d’attention à la demoiselle. « Que penses-tu de Betty ? » « Tu pouvais pas trouver plus original ? » La blonde soupira alors qu’un sourire amusé vint étirer ses lèvres. « Non. Ce sera donc Betty. » L’hermine eut ce qu’on pourrait qualifier d’un soupire las alors qu’elle n’eut que d’autres choix que d’accepter son nom.

De retour à Hogwart, avec cet animal qui ne la quittait plus (après tout, elle avait essayé à plusieurs reprises de se soustraire des commentaires sarcastiques de cette hermine qui se croyait supérieur à tous et les résultats furent que très peu concluants), elle apprenait bon gré mal gré à vivre avec cette bestiole qui, bien heureusement pour elle et pour la population d’Hogwart, ne pouvait être comprise que par elle-même. Il n’était pas rare qu’elle entende dans sa tête cet animal passer quelques commentaires désobligeants sur la population du château, chose qui décourageait aussi bien qu’amusait la jeune demoiselle. C'est toutefois lors d’une froide soirée d’hiver, alors qu’elle montait à la volière pour envoyer une lettre à ses parents, que son patronus reprit pour la première fois depuis son apparition une forme brumeuse. Après tout, aussi chiante Betty pouvait-elle être, elle avait rapidement compris que le monde moldu se voulait que très (trop) peu ouvert sur les différences. Elle avait donc évité de mettre dans l’embarras Anabeth. Ce fut donc sous le regard sceptique de la blonde que la forme brumeuse repris consistance, désormais sous les traits d’une chouette qui vint s’installer sur son épaule, ses serres arrachant un léger gémissement de douleur à la blonde. « Uh ? » « C’est plus pratique. C’est épuisant, monter jusqu’ici. » Un sourire amusé vint prendre place sur les lèvres de la blonde. Si la chouette se voulait plus agréable, prenant les côtés plus doux de la jeune demoiselle, elle ne pouvait tout de même pas espérer de Betty qu’elle cesse avec ses commentaires sarcastiques qui, de son point de vue, se voulait être l’évidence même.

Au final, elle n’aurait pu espérer amie plus fidèle que Betty qui, malgré son mauvais caractère et son côté un peu trop susceptible, se voulait être sûrement la personne la plus présente pour la jeune Russel. Pas difficile, en même temps, alors qu’ils ne pouvaient se séparer de plus que quelques mètres. « Betty ? » « Uh ? » « Je pense que je suis amoureuse. » Et c’est avec un air consterné, déplorant cette facette beaucoup trop romantique de la jeune demoiselle que l’hermine vint se rouler en boule sur les genoux d’Anabeth, prête à entendre parler pendant des jours et des jours de sa nouvelle obsession du moment, se préparant toutefois à devoir essuyer une peine d’amour qui sera aussi terrible que brève. Comme toutes les précédentes.

ϟ pseudo et âge: Lizzy, 18 ans
ϟ Où as-tu trouvé le forum? Sur le topsite bazzar je pense
ϟ Personnage: Inventé
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Aucun
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ϟ Une remarque? Je suis finalement heureuse d'avoir trouver un forum HP qui n'inclue pas les personnages des bouquins et qui est actif