Nom: Deverre Prénom: Angélique Âge et Date de Naissance: 20 mai 1964 (16ans) Nature du sang: Né moldu Situation familiale: A une petite sœur – Mère decedée, son père s’est remariée et elle ne s’entend pas du tout avec sa belle mère.  Patronus: Tortue de Mer x Grizzli Miroir du Rised: Se voir mariée et célèbre Composition de la baguette magique: Bois de Cèdre et cœur en plume de Phénix Epouvantard: Un de ses parents en colère Etudes Suivies: Etudes primaires option soin aux animaux magique, arts magiques et DivinationAnimal Domestique Chat

Ici, c'est la partie où vous présentez votre personnage. Décrivez son caractère, c'est le plus important, donc n'hésitez pas à développer. Il vous est demandé, si jamais votre personnage est atteint d'une particularité moldue (La liste des Particularités actuellement présentes sur le forum se trouve [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) d'en parler explicitement dans votre fiche. Minimum de 10 lignes.
Jeune fille vive et radieuse. Elle est toujours agitée, hyperactive jusqu’au moment où elle tombe d’un coup de fatigue, s’affale dans un canapé et là vous pouvez toujours espérer la faire se relever. Plutôt intelligente elle adore comprendre le fonctionnement de toute chose et vous pressera de questions sur tout ce qui la dépasse.


Venant d’une famille très aisée elle est habituée à se faire servir et être le centre de l’attention de ses domestiques. Bien sûr, elle n’est pas qu’insupportable, elle aime choisir ce qu’elle fait mais quand elle a choisi, elle le fait avec beaucoup de bonne volonté. Elle aime s’occuper des autres, et même d’aider sa suivante à faire les chambres et le service lorsqu’il y a des invités de marque chez elle. Déjà, parce qu’elle est mise en valeur quand c’est finit et de plus c’est très instructif. Effectivement, soit ils râlent tout du long et de ce fait, elle s’entraine à inventer des répliques cinglantes, soit ils lui racontent une petite anecdote ou un dossier sur ses parents… et Angélique aime par-dessus tous les histoires. C’est ce qui la perd d’ailleurs, car si on lui en promet une elle est capable de faire n’importe quoi même de se tenir tranquille (un cours moment seulement mais c’est déjà quelque-chose).
Mais, même en se tenant tranquille, la jeune fille ne peut refreiner un de ses pires travers qui est de ricaner tout le temps. En effet, si elle ne fait pas de bêtise elle surenchérit au moins celle des autres. Heureusement, peu de monde lui en tient rigueur car au premier regard noir, elle dit tout de suite « oh je suis désolée » d’un air mi-angélique mi-rusé. Un peu garce sur les bords, il lui arrive régulièrement de parler dans le dos de ses camarades. Mais c’est rarement foncièrement méchant. D’ailleurs bien qu’elle rit dans leur dos, il est fort probable qu’elles les défendent farouchement dans d’autres circonstance, en cas d’ennemi commun par exemple (les profs par exemples ou d’élèves d’autre maison).

Comme la plupart des gens un peu nerveux, en plus d’être plutôt capricieuse et très susceptible elle a le sang chaud et démarre au quart de tour. D’ailleurs n’est pas du sang qu’elle a dans les veines mais de la nitroglycérine. Tête brulée elle relèvra tous les défis même les plus stupides. Très provocatrice, elle n’hésitera pas à se dénoncer dès qu’on cherchera le coupable d’une bêtise même s’il est évident qu’elle ne peut pas l’avoir commise. Rebelle de nature, elle se précipitera pour faire tout ce qu’elle n’a pas le droit de faire ou qui est réputé impossible de faire. Biensûr si c’est vraiment dangereux elle pourra passer son chemin le temps de trouver le moyen de le faire quand même avec un risque minimum, de changer les règles à son avantage, voire carrément envoyer quelqu’un d’autre le faire s’il a statistiquement plus de chance de réussir qu’elle. A moins bien sûr, qu’elle soit totalement furieuse à ce moment et où elle foncera tête baissée dans l’obstacle à franchir.
Elle est très fière de sa maison et n’aime pas trop les autres maisons. Mais cela se témoignera plutôt par des piques systématiques et des propositions de challenge dans le genre « T’es même pas cap ! » finissant régulièrement en bonne crises de rire.

Dans cette partie,  vous pourrez parler du patronus de votre personnage, du lien qu'il a avec celui-ci, s'il s'adapte bien à la situation actuelle et des formes qu'il peut prendre. Minimum de 10 lignes. ATTENTION: Les patronus sont apparus durant les vacances de Noël 1978 (nous sommes en 1981 dans le jeu), ni avant ni après.Elle était montée au second grenier, celui qu’elle n’a le droit d’explorer que depuis un an. Cela plus d’une heure déjà. Elle devait trouver les boules pour décorer le sapin que de toute manière, sa petite sœur allait massacrer a coup de guirlandes atroces, rouge et dorées et énormes comme des gros boa sur leur 31. Mais elle était couchée sur le flan, se tenant les côtés en haletant faiblement. Angélique était « malade » depuis le début des vacances mais ça n’avait jamais été pire que maintenat, elle avait l’impression qu’une présence vivait en elle, comme dans le film avec Riddley Scott. Là où les bébés aliens vous éviscèrent à leur naissance. Une lumière argentée émana d’elle comme. Un patronus ! Ce n’ »était pas possible ? Elle n’avait rien fait, elle n’avait pas sa baguette sur elle, comment en avait-elle fait apparaître son patronus ? Lentement, se forma un grizzli argenté qui devint de moins en moins argenté et de plus en plus … rempli ?
«Angélique mais tu fais quoi ! Hurla sa sœur qui arrivait en trombes dans les escaliers
Groa ! fit le patronus aussi choqué que son propriétaire
- Haa ! Chut! S’écria Angélique en lui fermant la gueule à deux mains. Une gueule dure, chaude et puissante avec une fourrure douce… d’ours ? de vrai ours ?! « C’est privé ! » fulmina la jeune fille à l’arrivée de l’enfant.
- Grmppff , tenta le bailloné
- Ahh !C’est là que papa cache les cadeaux! C’est pour ça que j’ai pas le droit d’y aller ! Tu aurais pu me le dire. S’indigna la fillette avant de se précipiter pour caresser l’ours « c’est  la peluche géante qu’il y a devant le magasin ! Il est encore mieux qu’en vrai ! Pousse toi c’est pour moi c’est sûr, tu es trop grande pour avoir des peluches à Noël. »
- Aie !! Ne le touche pas !AIEE NE LE TOUCHE PAS !! cria Angélique, entre la douleur et l’énervement.
- Mais qu’est ce que c’est que ce bordel. Tonna une voix dans les escaliers
- Cache-moi !! s’exclama Louison, effrayée, en s’agenouillant derrière l’ours
- Cachez-vous !! » gueula Angélique en trainant la première malle qui lui tombait sous la main mais qui ne dissimula qu’une moitié d’ours.
- Angélique mais qu’est-ce que vous fabriquez donc?! Cria la domestique de la maison.
- Mais rien du tout, c’est juste que c’est terriblement encombré et poussiéreux que j’avais du mal à retrouver la caisse des boules.
Se défendit la jeune fille en jetant un regard désespéré vers la malle derrière la quelle elle avait tenté de cacher sa sœur et la chose… Qui avait tous les deux disparus ! Furieuse d’avoir été dérangée pour rien, la servante redescendit aussitôt et Angélique entendit un gloussement derrière la malle. Sa sœur était allongée, morte de rire, allongée près… d’une tortue de mer ? Ebahie la jeune fille s’approcha d’eux, la tortue s’agitait bizarrement, elle aussi était n’en pouvait plus d’amusement.
C’est ainsi qu’apparut le patronus qui n’allait désormais plus la lâcher. Il s’agit de « Privé », (car c’était son nom, enfin c’est ce qu’il avait comprit lorsqu’elle l’avait bailloné en gueulant « c’est privé » et ne voulait répondre à aucun autre nom.) grizzli de son état mais qui arborait toujours une forme de tortue marine verte car il trouve cela plus classieux. Grognon, snob et jaloux, il s’arrange pour être toujours sur les épaules ou dans le sac de sa propriétaire (il peut diminuer un peu de taille, mais seulement lorsqu’il est tortue de mer) et ne laisse personne s’approcher d’elle.

« Je crois que j’ai un gros probleme.
- Nous sommes ici pour en parler tranquillement, vous avez des problèmes de quoi ? Questionna Thomas Lescure, psychiatre de son état, avec un sourire ; cette phrase, c’était sa question d’entretien préférée, elle était assez tendancieuse et sincère pour le faire rigoler tout seul à chaque fois.
Angélique lui rendit son sourire en rougissant, troublée par le charme ténébreux et les grands yeux bleus du jeune psy.
« C’est, c’est mon patronus. Il ne va pas bien du tout. Je crois qu’il est malade, j’ai essayé de l’emmener chez le vétérinaire, mais il n’a rien pu faire. Par contre il a dit que comme on était liés psychiquement c’était sans doute dans ma tête que j’avais des problèmes et du coup que mon patronus en souffrait.
- Ah oui d’accord je comprends. Vous n’avez qu’a me raconter votre vie je trouverai bien ce qui va pas. Fit le psy, déçu, les patients malheureux sans savoirs pourquoi étaient les moins interessant.
- J’ai seize ans, je suis née ici, à Paris. Mon père est chef d’entreprise. Ma mère est morte quand j’avais quatre ans d’une maladie qui, normalement n’existe plus ici : La tuberculose.
- Qu’est ce que vous en pensez ?
- Je n’en pense rien, je ne m’en souviens plus. Si je pense qu’elle me manque, que ma belle mère est une abominable garce qui attend l’héritage de mon père. Ça m’embete, mon père est quelqu’un de bien il mérite quelqu’un qui l’aime. Enfin, du coup il ne s’occupe plus que d’elle et un peu de ma petite sœur, qui a toujours été sa préférée.
- Vous êtes jalouse de votre sœur !
- EVIDEMENT ! Il passe sa vie à me crier dessus et à lui dire que c’est un ange et qu’elle est parfaite.
- Et comment vivez vous le fait que votre belle-mère vive avec vous ? Continua Thomas, désespéré de trouver un petit secret excitant à se mettre sous la dent.
- Sa présence m’est indifférente tant qu’elle ne s’occupe pas de vie. Mais malheureusement, elle veut se débarrasser de moi pour avoir tout l’héritage de mon père. Elle veut me mettre au couvent ! A notre époque ! Je m’en fiche de l’argent, mais j’ai tout de même envie de vivre heureuse toute ma vie.
- Cette situation vous stresse-t-elle beaucoup ?
- Non pas vraiment, je ne crois pas pour le moment. Je suis plutôt stressée par mon père qui se croit tout le temps malade. Ça me rend folle de voir des médecins toute la journée quand je suis a la maison, j’ai l’impression de vivre dans un asile. Au moins j’apprends beaucoup sur la médecine.
- Des médecins partout, mais pourquoi faire ?
- Ben pour se soigner voyons !
- Mais ! Ah ! votre père n’est pas un sorcier ?
- Non.
- Ni personne dans votre maison ?
- Non.
- Et votre mère ?
- OUI ! JE SUIS UNE SANG DE BOURBE ! Et alors ? éclata la jeune fille furieuse. Vous ne voulez pas de moi dans votre cabinet c’est ça ?! Vous ne soignez pas « ces gens là ? » feula-t-elle. Les yeux rougis par la tension ressortait turquoises, tout son sang lui montait aux joues. Le psy poussa un drôle e grognement guttural, pas gêné le moins du monde de son impair.
- Mais pas du tout voyons ! Le sang né moldu est de loin le meilleur des sangs ! Fit-il avec un sourire, mais il referma vite la bouche, les dents serrées et l’air contrit !
- Ah ! Vous aussi vous êtes né moldu ? questionna Angélique avec excitation.
- Hmmmmm hopfff bon et alors comment vous êtes vous rendue compte de vos pouvoir et comment l’a pris votre famille ? ça ça peut etre une bonne cause de dépression s’ils ne vous acceptent pas.
- Hé bien... en fait… mon père se voile complètement la face et se dit que je suis dans un très bon pensionnat pour jeune fille où j’apprends l’anglais et puis la littérature et les mathématiques.
- Ah ah je vois ! Mais alors comment vous êtes vous retrouvée a Poudlard ?
- J'ai reçu l'année de mes onze ans une lettre de Poudlard, comme tout le monde! Mon père avait été muté à Londres et j'ai donc pu m'inscrire dans cet établissement. Il est d'ailleurs revenu en France assez peu de temps après. J'ai eu beaucoup de chance que les trois ans où nous avons habité à Londres fussent exactement pendant la période où je devais rentrer dans une école de magie. J'aurai détesté Beauxbatons je pense!
- Ah... mais c'est nul! J'esperai un petit drame!
- Je me suis crue anormale toute mon enfance ! C’est pas un petit drame ça ?
- …de se croire normal et exactement comme tous les autres, c’est ça le drame à mon avis. Répliqua le psy. Bon la séance arrive à sa fin. Je vais vous souhaiter une bonne journée. Dit-il en lui tendant la main.
- Mais… vous ne m’avez pas aidée du tout !
- C’est que je n’ai pour l’instant rien trouvé d’anormal chez vous. Répondit-il en serrant la main qu’elle venait de lui donner. Revenez la semaine prochaine.
- C'est ça, c'est ça, arnaqueur!" répondit Angélique cherchant déjà un moyen de récupérer son argent. Agacée, elle quitta son psy et fila dans la rue.

ϟ pseudo et âge: Féfé 20ans ϟ Où as-tu trouvé le forum?  sur l’annuaire des forums
ϟ Personnage: Tiré d’un livre et détails inventés
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non
ϟ Présence: 4/7
ϟ Une remarque?

Je créer ce perso pour en fait travailler en profondeur le personnage d’Angélique dans « le malade imaginaire » de Molière. Personnage que je suis sensée jouer cet été ^.^. Si vous avez déjà vu, lu voir même joué cette pièce hésitez pas à me mp si vous avez des conseils <3 .