18 ansϟ Justice Magique ϟ Cerf noir et Inséparable ϟ Sang mélé
Jeune homme au cœur pur, enfant de la destinée, reflet d'un miroir étincelant, pensé tu un jour seulement que cela se briserai, que la destinée de toi, ses yeux détournerais, que la pureté laisserait pas à la douce langue du vice et des ténèbres ? Non je ne pense pas. Toi qui était pourtant si gentil et si doux dans ton enfance, que t'est il arrivé pour devenir aussi froid et distant du monde. Je le sais bien oui, mais cela en valait il la peine ? Oui, je sais, enfant solitaire tu as était et homme solitaire tu es devenue. La compagnie des humains ne t'as jamais manqué car tu t'avais toi. Et même si parfois, le cœur serré, le souffle court tu sentais le poids d'une larme couler le long de ta joue, une main fraternelle venait l'essuyer, t'emmenant jouer des jeux bien plus amusant que tout ceux auxquels ces inconnus pouvaient se prêter. D'un naturel distant et solitaire, tu as développé avec les années le sarcasme et le vice, la cruauté et le dédain. Oui, d'enfant joyeux tu es devenu adolescent des plus odieux ou plutôt des plus difficile à cerner et à approcher. Alors que tu rester loin du monde, le monde te voulais et tu te faisais plaisir de te faire désirer. Pourtant les conquêtes ne cessaient de pleuvoir en ton et bien plus souvent tu les partageais avec ta moitié, allant jusqu'à ne jouir que de son corps, de ton corps en ces moindre détail...inceste...narcissisme...non, amour. Pourtant malgré cela tu était intelligent et sérieux en cours. Du bout de ta baguette de chêne ou logeait le crin d'une licorne tu enchaîne les sorts les plus pointu sans grande difficulté, riant de tes exploits et de ceux qui n'y parvenaient pas. Et puis le drame est advenu. Et de garçon souriant et railleur tu es devenu homme ténébreux au regard de braise. Ton sourire était luxe qu'on ne pouvait se payer, tes paroles lames ardentes lancé sur le monde n'étaient là que dans les moments les plus importants. Te souviens tu du jour à ce professeur t'as mis face à l'épouvantard qui ne trouva mieux que t'offrir le spectacle de ce corps pendu...je me souviens moi des heures de colle et des semaines de renvoie alors que tu avait attaqué l'homme d'un sort des plus douloureux et pourtant non interdit. Mais après tout, il devait bien ce doutais que le corps sans vie de ton frère était ce qui t'effrayait le plus...mais était ce corps, ou par lui l'instrumentalisation de la mort, de ta mort. Puis le temps passa...et ta coquille non sans se brisé laissa approcher quelques personnes que tu prenais, que tu jeter...pense tu parfois à ce pauvre garçon aux cheveux long, dont tu as pris la virginité, que pour mieux le rejeter par après ? Était ce lui qui te révulsé ou le simple fait de comprendre que chaque baiser brûlant touchant ta peau serait aussi glacé que la mort, que les corps te caressant ne serait que chair vide de sens, que l'amour qu'on te porterait ne serait qu’écho lointain dans un monde enténébré.... Tu ne peux plus...tu ne sais plus aimer...seul a jamais tu es...
a little something from you.
Cernunnos est apparu peu de temps avant Noël tel un présent ayant un peu d'avance, bouée de sauvetage dans ce monde qui chaque jour plongé un peu plus dans les ténèbres. Tout commença au matin du vingt et un décembre. Je m'étais éveillé à l'aube pour une raison qui en valait une autre...un cauchemar. Les cauchemar ne cessaient de m'assaillir depuis de ma...sa mort. Le teint livide, la peau couverte d'une pellicule de sueur, je m'en allais observer mon reflet dans le miroir, n'y voyant qu'une jeune homme de bien triste allure, les cheveux défait, la peau pale et marqué par les draps...une aura argenté flottant à...écarquillant les yeux d'un air surpris il observa le nuage d'argent qui flottais à ses cotés, sautant de coté comme pour l'éviter alors qu'il l'observer d'un air intéresse. Qu’était ce donc ? Un fantôme, une hallucination ? Je me souviens avoir enfilé un pantalon, cachant ma nudité apparente aux yeux du monde pour dévaler les escalier jusqu'à la cuisine ou je trouvais la famille au complet plongé dans une grande perplexité. Je n'étais pas le seul à avoir cette aura à mes cotés. Ma sœur avait la même chose... D'un vif intérêt, j'en passais à une vive irritation. La princesse était encore le centre d’intérêt, le nombril du monde avec son nuage argenté inquiétant. Mais quel intérêt que de voir que l’aîné des enfant avait la même chose, quel danger courrait il lui ? Rien bien sur, il n'y avait que mademoiselle qui comptait... Grognant de rage et d'exaspération, j'étais remonté dans ma chambre, montant les marches quatre à quatre, cherchant explication dans cette brume qui me suivait je tentais de la toucher, mais ma main la traverser tel un nuage de vapeur, me laissant ressentir frissons et picotements dans tout mon corps. Je passais deux jours dans ma chambre, n'en sortant que pour les repas et les commodités, feuilletant mes livres encore et encore pour trouver explication, jusqu'à discerner un changement dans mon nouveau compagnon... une forme se dessinait. Je n'était pas stupide ! Sautant par dessus mon lit, j'attrapais un bouquin de défense contre les force du mal de ma cinquième ou sixième année et le feuilletait jusqu'à tomber sur la page des patronus...cette forme était mon patronus...mais pourquoi était il ici ? Je n'avais pas lancé le sort qui permettait de l'invoquer, et puis il ne devrait pas rester ainsi jour et nuit prêt de moi... Allant narrer ma découverte à ma mère, j'appris que le ministère était arrivé à la même déduction et que l'explication se trouvais dans le journal. M'empourprant d'être une nouvelle fois pris de court, j'arrachais le journal des mains de ma génitrice et me mis à lire l'article, parlant du sort de défense et des patronus qui vivraient à jamais aux cotes de leur propriétaire, devenant confident, ami et surtout protecteur. Il fallut quelques heures de plus pour que Cernunnos prenne forme tangible et palpable. Ce fut dans un hoquet de surprise de ma mère que je compris sa réalité et surtout la surprise de l'animal qui me représenté. Je ne lui avait jamais dit la forme de mon patronus pourtant elle le connaissait bien... Michael avait le même...Michael l'avait, dans un élan de fierté montrer à notre mère. Il se tenait là, m'observant de ses grand yeux ambré. La tête fine et fièrement dressé, les oreilles haute, le pelage aussi noir que le jais et semblant aussi doux que la soie, ses cornes s'élevant vers le plafond. D'un geste il inclina la tête et pour la première fois j'entendais cette voix chaude et masculine qui ferait à jamais parti de moi
« Bonjour Blake. Heureux de faire ta connaissance. »
Je l'appelais Cernunnos, hommage au dieu nordique des animaux et de la masculinité qui possédait des bois de cerf. Ma sœur elle eu la chance d'avoir un sanglier...oh qu'elle pesta, hurlant à plein poumon qu'elle voulait un autre patronus, et même pourquoi pas, MON patronus. Bien sur ils n'étaient pas interchangeable et je fut des plus fier d'avoir un magnifique animal alors qu'elle avait un...porc. Notre relation s'en est vite trouvé amical voir fraternel. Cernunnos était animal me ressemblant caractériellement. Il aimais rire et s'amusais, parfois aux dépend des autres. Assez sérieux, il cherchais souvent le moyen de s'affirmait ou de se faire admirer par sa belle robe. L'espace d'un instant, je me retrouvais en compagnie de mon double, comme si il était la réincarnation de mon reflet. Mais ce n'était qu'une part de moi même... et ma souffrance s'accrue le jour ou, allant poser bouquet de fleurs sur la tombe de mon frère, je vis le grand cerf devenir boule d'argent, changeant de forme pour venir se poser sur mon épaule...un inséparable...petit oiseau coloré au plumage vert et orange...l'on dit souvent que les inséparables doivent vivre à deux sous peine de mort....que la forme était bien choisi...
This one moment when you know you're not a sad story.
Te souviens tu, il y a de cela dix huits années, de la naissance des jumeaux Selwin... ?
Te rappelle tu de l'emerveillement de leur parents face à leur poupon visage rosé... ?
Te rappelle tu leur larmes lorsque du jour au lendemain...il n'eurent plus qu'un unique enfant... ?
Non, bien sur que non. Qui se souci des Selwin. Qui pense encore cette sorcière amoureuse d'un moldu qui pour cet homme à tout quitter du monde des sorciers si ce n'est son emploi au ministère. Remontons de par le passé et remémorons nous ce qui est alors advenu....
Il faisait froid cette nuit là dans melford street. La neige tombait drue depuis non loin d'une semaine recouvrant le monde d'un épais manteau blanc, chaque instant renforcé par ce petit monde de glace étoilé qui venait s'y ajouté en un amas compact. Là bas derrière la fenêtre éclairé, dans le salon ou crépité inlassablement le feu d'une cheminée, une femme au ventre rond chantonné des chansons de son enfance. Sa main caressant l'épais mur de chair la séparant d'un monde qu'elle avait depuis longtemps oublié, elle laissais voleté milliers de vœux de santé et de prospérité pour les enfants qui bientôt viendrait à naître. Madame Selwin était une belle femme. Ses grand yeux bleu à l'allure fatigué, trahissaient les nuits passaient à s’inquiéter de la santé des enfants qu'elle porté. Ses long cheveux ondulé formaient un rideau soyeux qui se reflétait dans une douce teinte doré face à la cheminée. Un mouvement se fait sentir. Une main se pose alors qu'un sourire viens à étirer ses lèvres, dévoilant une rangée de perles blanche à l'homme au cheveux auburn qui lui renvoyait ce sourire plein de douceur et d'assurance, sentant vivre dans les entrailles de sa compagne la vie qu'il y avait insérer. Se doutait il à cet instant que sa vie entière serait bouleversée, que sa famille si douce et normale se verrai transformée à jamais par un secret que jamais il n'aurai pu imaginé ? Qui sais....
...deux semaines que la neige tombe sans discontinuer, le monde semble s'être arreté autour de la maisonnée alors que des cris viennent à retentir. Dans la chambre parentale, sur un lit à l’édredon replié, la femme crie telle un animal blessé, emprunt de douleur et de courage, elle hurle à en perdre la voix, poussant comme si sa vie en dépendait alors que son mari, désœuvrée, ne savait comment l'aider, ni la soulager. Il fallu un bruit sec dans la cheminée pour qu'une inespérée vienne à se présenter sous les trait d'une petite femme replète, au doigt boudinés, coiffé d'une toque d'un blanc immaculée.
« Je suis l'infirmière Plumswan, je viens de sainte mangouste ! »
Sans réellement comprendre comment la femme était parvenu en ce lieu, ni comment elle avait appris le besoin d'une infirmière dans cette maisonnée, il la laissa prendre les choses en charge, ne comprenant comment elle arrivait à faire tant de choses en si peu de temps, il se contenta d'apporter de l'eau bouillante et du linge propre, mais cela n'était que distraction pour l’éloigné, alors que la femme venait à faire accoucher l’épouse d'un enfant dont les cris vinrent à tinter aux oreilles de son géniteur, suivi de peu par d'autres cris semblant y faire écho. Ses fils étaient né. Deux magnifique enfant à la chevelure couleur des châtaigniers. Ils se nommeraient Blake et Michael.
Les événements de cette nuit neigeuses disparurent bien vite de la mémoire de monsieur Selwin, les remplaçant par d'autres. Aussi avait il cru qu'il avait appelé les pompiers qui étaient venu bon gré, mal gré accouché sa femme de merveilleux jumeaux. Et la vie repris son cours durant les mois suivant, alors que la neige fondé et que les enfants, éveillé et curieux du monde grandissaient avec douceur et amour. Puis les mois laissèrent place aux années, agrémentant les murs de photos au regard fixe, perdu vers un décor qu'eux seuls peuvent voir. De bambins joufflues, ils devinrent enfant à la chevelure blonde se tenant cote à cote, jouant ensemble, ne se lâchant la main que lorsqu'ils y étaient obligés. Les frères Selwin grandirent donc dans une certaine solitude. Non pas qu'ils cherchaient réellement cette solitude non, mais comment voulais vous jouer ou ne serait ce qu'obtenir la confiance et l'amitié d'un enfant qui n'est pas même apte à vous différencier de votre double en ce monde ? Aussi se replièrent ils dans leur monde, vivant ensemble des contes et des aventures qu'eux seul pouvaient apercevoir, parlant ce langage que s'invente les jumeaux entre eux pour communiquer, faisant parfois se mouvoir des objets par le simple de l'avoir pensé, mais cela ne pouvait tout simplement pas être possible...si ? Peu importer en fait, ils étaient unique et c'était tout ce qui compter. Pourtant dans leur unicité il y avait un gouffre de souffrance qui ne cessait de grandir. Leur parents eux même ne parvenaient pas à les différencier au point qu'ils tentaient de mettre en place un code de couleur que les jumeaux s'amusaient à intervertir plusieurs fois par jours. Et puis vint ce jour ou leur grand mère vint leur rendre visite. La femme était de nature belliqueuse et mauvaise. Rien en ce monde l'amusait plus que de jouer des tour et créer la discorde. Au point qu'elle tenta de préparer plan pour faire se disputer sa fille et son gendre. Une jeune femme de bonne famille qui aurait du épouser un sang pur et non ce moldu ! Malheureusement pour elle, les jumeaux là prirent en flagrant délit et ce fut le lancement de ce jeu qui n'en finirai que le jour ou un ne serait plus qu'un demi. La femme se vu alors dans le choix de différencier ses petits enfants ou de se voir dénoncée à sa fille. Cela lui prit des heures entière pour parvenir à un résultat...résultat qui ne fut autre que jeter un sort à son gendre pour qu'il devienne mauvais. L'imperio semble t il. L'homme devint alors odieux avec sa famille, mais quelle chose aurait pu faire de cet homme bon un monstre de rage et de violence ? Pour les enfants ce ne pouvait être leur grand mère, eux qui vivaient tout comme leur père dans l'ignorance totale de leur appartenance au monde de la sorcellerie. Le monde changea radicalement. La vie devint douloureuse et violente. Leur père criait pour chaque chose, tenta de battre leur mère, buvait...leur mère n’eus d'autre choix que celui de quitter l'homme qui lui avait souri si gentiment et avec tant d'amour tout au long de ces années...il mourut dans le lit d'une rivière alors qu'il était ivre deux semaines plus tard...comme cela était arrangeant.. Nous voici maintenant à l'age ou dans l’incompréhension la plus totale, deux enfants que la mort de leur père à rapproché plus que tout, vinrent à rencontrer un homme au regard froid et distant, les main serrés sur une canne longue et noir. Il était leur nouveau beau père et le monde de la magie n'aurait plus aucun secret pour eux qui avaient si longtemps vécue dans le mensonge... ils découvrir le chemin de traverse et les balais, les sortilèges et les baguettes magiques, la distance et le rejet... Il étaient de sang mêlé...des paria pour leur beau père. Plus respectable qu'un né moldu mais tout de même...des rebuts. Puis vint la délivrance en la lettre de Poudlard, école de sorcellerie qui les invitaient à se joindre à eux pour la prochaine rentrée. Que d'excitation et d'impatience, que de jour barré d'une croix rouge sur le calendrier avant le moment fatidique ou d'un baiser leur mère les laissa partir vers leur avenir alors que l'homme aux cheveux de jais souriait, heureux de ne plus les avoir dans les pattes pour une longue période. De cet instant, tout parti en vrille pour les jumeaux. Ils furent mis dans la même maison et ne se firent pas d'ami. Ils ne parlaient à personne aux alentours, ne voulaient avoir affaire à aucun de ces sorciers. Et lors qu’au détour d'un couloir, une jeune fille venait quémander galante rencontre avec l'un, il se faisait passer pour l'autre, alors que la jeune donzelle tombé dans le panneau et disait ne préfère ni l'un ni l'autre le second sortait de sa cachette et se mettait à descendre en flèche la demoiselle qui finissait souvent par fuir, un torrent de larme sur le visage. Ainsi se passèrent les trois premières de leur vie à l'école des sorciers. Alors que le tumulte de la vie estudiantine battait son plein, eux restaient à l'écart. Et tandis que leur mère enfanter de nouveau, il se préparer à être de nouveau abandonné...mais jamais ils n'auraient pensés l’être de la sorte... Les événements se passèrent durant l'été qui devaient les mener en quatrième année. Leur beau père, trop fier de sa si parfaite fille au sang pur, les avaient relégués au rang de sous fifre ou de fantôme dans la vie de la famille. Chaque jour des railleries et des commentaires sur leur père, chaque jour de l'ignorance et de la haine, que leur mère tentait d'apaiser mais sans jamais réussir...malheureusement, un physique identique ne signifie pas un moral identique. Et ce fut par un matin ensoleillé qu'on trouvais Michael, pendu avec sa ceinture à l'une des poutres. Depuis rien ne va plus, mais les jeux ne sont pas fait. Blake survis tant bien que mal. Sa haine pour sa famille n'a cessait de grandir au point qu'il est parti vivre dans sa famille moldu au coté de sa grand mère paternelle. Il refuse tout contact avec sa mère, son beau père ou cette si parfaite demi sœur. Non, il fait sa vie dans l'ombre d'un reflet qui semble avoir disparu. Ô il est toujours aussi attirant et à depuis enchaîné les conquêtes masculine et féminine...mais jamais il ne s'est attaché. La solitude lui conviens mieux...apres tout, pourquoi s'attacher quand on sais que l'on sera abandonné ?
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ϟ pseudo et âge: Leo 24 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? nouveau compte ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP?non ϟ Présence: autant que possible ϟ Une remarque? non
Dernière édition par Blake J. Selwin le Ven 5 Avr - 20:52, édité 10 fois
N’oublie pas d’aller faire recenser ton patronus [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Petit rappel, ton personnage n’est pas adulte donc son patronus a deux formes. Si ton personnage est préfet ou préfet en chef, fais en la demande [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. De même, s’il fait partie de l’équipe de quidditch de sa maison, c’est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Maintenant que ta fiche est validée, tu peux aller créer ta [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] si tu le souhaite. Si jamais tu rencontres des problèmes dans la rédaction de tes rps, sache qu’un [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] est mis à disposition. Il est aussi important de savoir que ton personnage peut faire gagner des points à sa maison pour la [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], pense donc bien à lire le sujet. Autre chose, vérifie qu'on t'as bien attribué ton rang, sinon c'est [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qu'il faut aller. Enfin, pour mieux t’intégrer, nous t’invitons à poster dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et dans les [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dès maintenant. Et au passage, si tu veux bien voter toutes les deux heures pour soutenir le forum, il suffit de cliquer sur le petit vif d'or