Nom: Adyel Prénom: Khira Âge et Date de Naissance: 18 ans, née le 28 juillet 1963 Nature du sang: sang mêlée Situation familiale: Fille unique, ce qu’elle dit, ce qu’elle clame, ce qu’elle pleure surtout. Un mensonge pour son père, un mensonge pour sa mère  qui continuent de porter le deuil de deux enfants, deux frères entretués.  Et peut-être se souvient-on du plus âgé lorsque Khira fait tout pour l’oublier…Patronus: Un carolina dog efflanqué, entre le chiot et l'adulte, capable de devenir faucon pélerin un peu pataud Miroir du Rised: Quelqu’un lui tourne le dos, elle ne sait qui. Il tient une guitare, il joue mais elle ne peut entendre. La chanson est pour elle, la musique, et que peut-il y avoir de plus beau car c’est là les quelques notes qu’elle rêve d’écouter, celles capables de lui dire « Ferme les yeux, et imagine ». Oublier le réel pour un homme, la musique qu’il saura créer pour elle.  Epouvantard: Son frère-jumeau, on dit qu’il lui ressemble un peu, on dit qu’il lui ressemble beaucoup, alors que c’est peut-être aussi un peu d’elle-même que la jeune fille voit ?. XTT>Composition de la baguette magique: bois de vigne et ventricule de dragonEtudes Suivies: Offensive Magique - cursus offensive. Options Métamorphose et Legilimancie  Animal de compagnie: un hibou assez revêche appelé Laposte. Une blague de son père à propos de la France...

Elle a le regard vague, toujours, et des histoires au bord des lèvres. Sauf que ses contes et ses mirages, Khira ne les partage plus qu’avec elle-même. Femme-enfant aux yeux redoutables, on devine une tristesse étrangère, contre-nature presque. Elle qui avait toujours des mots pour tout, elle n’en a plus. Plus pour ça. Studieuse depuis sa cinquième année au point d’en devenir brillante, brillante mais seule, elle est devenue un secret pour les élèves comme pour les professeurs.
Un secret dont on se soucie peu : Khira respecte le règlement, sait obtenir quelques compliments quant à son travail et ne cherche pas à sonder les ténèbres des cœurs ou la lumière des regards.  Elle s’écarte, on l’oublie. Ses sourires semblent toujours à double-sens, pour des  vérités qu’elle partage peu. C’est dur de la comprendre, c’est dur de lui parler alors souvent on préfère se moquer. Qu’importe, car elle est reine de ses propres visions là où personne ne l’oblige à pleurer les morts. Dure, froide envers elle-même, froide envers les autres, elle sait s’animer pour parler des sentiments fictifs des personnages de ses histoires, elle qui écrit parfois, elle qui ne raconte qu’à demi-mots lorsque la solitude est trop forte. Parce que vivre à l’écart constamment, personne ne le peut…
Il pourrait y avoir quelque chose d’autodestructeur en elle, canalisé en une soif de connaissances profonde, presque inépuisable. Le mal existe chez les sorciers, le mal existe chez les moldus, elle rêve de quêtes insensées pour le combattre, elle rêve d’héroïsme et de destiné. Toute la poésie du monde pour oublier, oublier la mort et le deuil, oublier son cœur aride et les lendemains sans soleil.

Cynique, désabusée peut-être, elle sait se faire poison, elle trop fragile aussi. Parce qu'il y a quelque chose, une faute, un défi. Peut-on la rendre plus triste encore? Et certains essayent, elle qui ne sait comment aller mieux, parfois il y a des coups, parfois il y a des insultes, elle se défend parfois, elle fuit souvent. Khira rêve de puissance, Khira rêve de vengeance, la belle, la grande, celle des romans, parce que sinon ça fait trop mal vous comprenez? Elle est au bord de l'abîme, au bord du gouffre, prête à sombrer entre la pure folie et la trop grande méchanceté. On ne la voit pas, on la voit peu. Elle se cache derrière de faux sourires, des silences ou des histoires. Jouer la comédie parce que c'est comme ça qu'on survit. Des ennemis, elle sait s'en faire, des amis elle en a parfois, mais trop souvent s'échappe pour les garder ainsi que le font les véritables êtres humains. Khira, l'ombre de sorcière...

Des protégés Ils sont d’années inférieures, à Sedaigle souvent mais d’autres maisons aussi. Les plus jeunes aiment bien lui demander des histoires, il se peut qu’elle en raconte alors, un peu tendre, un peu amère. Elle aide avec les cours et les devoirs aussi, du moins quand elle ne se distrait pas au beau milieu d’une explication. Certains l’apprécient pour cela, d’autres en profitent pour se moquer… et alors ?
des  ennemis: Une mère moldue d’un côté, une langue acérée un peu vipérine de l’autre, Khira sait comment se faire détester. Elle insulte mais ne se défend pas, alors c’est facile de l’attaquer, et certains comprennent aussi. Comprennent qu’elle veut être punie, alors qu’importe tant qu’on peut faire mal. Une cruauté innocente ou non peu importe, dans la vie  parfois on ne sait juste plus se faire aimer.
Et tout ce qui est recherché: Pour le moment j’ai pas d’idées précises mais si comme moi vous êtes adeptes de liens glauques et complexes alors n’hésitez pas :P