BELLUM PATRONUM
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| The luck runs fast (Howard) | | | The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 2:03 ( #) | Howard Thelonius Croupton ft. Simon Baker Sang Pur 42 ans Veuf Hétérosexuel jurerait-il Professeur d'étude des patronus Pie bavarde tendances pro ordre tumblr | | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Croupton, on ne choisit pas toujours sa famille, et sans doute que si par contre la famille choisissait ses membres, il n'en aurait jamais fait partie. Prénom: Howard, Thelonius, prénom de son père. Âge et Date de Naissance: Quarante deux ans, né le 12 septembre 1939 à Londres. Nature du sang: La pureté du sang est d'une importance affligeante. Le sien est pur, mais qu'importe. Situation familiale: Veuf, il est toujours presque marié à cette femme qu'il a aimé presque toute sa vie. Son paternel est à azkaban et sa mère est encore la seule à qui il daigne adresser la parole. De l'autre côté, il a cette nièce qu'il aime un peu plus que le reste de sa famille. Patronus: Une pie bavarde qui n'apparait que sous le sort du patronus. Miroir du Rised: Lui, sa femme et un enfant. Son esprit torturé ne rêve que de cette vie qu'il n'a jamais voulu avoir tant qu'il le pouvait. Epouvantard: Son paternel. Thelonious est sa plus grande peur. Composition de la baguette magique: Bois de Houx avec un coeur en ventricule de dragon, 35 cm. Emploi: Professeur d'étude des patronus, depuis deux ans maintenant. Autrefois directeur du service des usages abusifs de la magie, déchu par lui même de ses fonctions par honte de cette affiliation avec un ministère qui abuse lui-même de sa magie. Animal de compagnie: Aucun. Son chien d'autrefois étant décédé, il ne veut plus d'animaux. | Caractère La première apparence n'est-elle pas celle qui marque à jamais l'image qu'une personne a de vous ? Howard est une apparence, il est mensonge et honnêteté, et seul celui qui voudra bien déceler ce premier apperçu, pourra prétendre le connaître. A première vue, il semble être un homme gentil, doux et parfois survolté, et oui, c'est un peu le cas, ce sont là les traits dont il n'a pas honte et qui le caractérisent vraiment. Les élèves vous diront qu'il s'agit d'un professeur hors normes, qu'il a une façon spéciale d'enseigner, surement un peu trop dispersé dans ses propos, mais qu'il est un très bon pédagogue. Sa femme lui disait qu'il était fait pour cela, et non pour ces bêtises qui le mettaient souvent sur les nerfs lorsqu'il travaillait au minisètre. Howard adore ses élèves, il se sent un peu comme un élément important de leur avenir, un parmi d'autre, et fait tout son possible pour qu'aucun ne soit laissé de coté dans ses cours. Les jeunes sorciers sont le futur de ce monde, toute sa pensée est là. Ses collègues parleront de lui comme d'un très bon professeur, droit et vertueux, qui malgré ses raisonnements farfelus est respectueux. Il paraît pour eux, un peu trop méfiant même quand il n'y a aucune raison. Mais que faut-il ? Le monde n'est plus sur, et lorsque l'on connait son histoire, il n'est pas difficile de le comprendre. Certains voient en lui un soupçon de charisme. Les femmes le trouvent courtois et charmant, un peu trop désintéressé. Il a l'air de cacher tellement de secrets qu'elles n'ont pas vraiment l'impression de pouvoir lui faire confiance. Toujours est-il il qu'il est apprécié des femmes, tout comme des hommes. De son côté, Howard ne cherche pas à séduire la gente féminine - ni la gente masculine - ou à de rares occasions , car il est encore trop attaché à son passé. La preuve est qu'il porte encore son alliance, il n'a jamais eu le cœur à l'enlever, il aime toujours sa femme, et n'a pas réussi à tourner la page. Quand il est amoureux, il est capable de tout sacrifier pour celle qu'il aime, il est attentif et surtout romantique. Ses amis, eux, le connaissent un peu mieux, malgré le fait qu'ils ne sachent pas tout. Ils le décriront comme un homme amusant et quelque peu trop sérieux à certains moments, ayant un regard triste si l'on y fait bien attention. Ils vous diront qu'il a parfois l'air un peu perdu comme un animal qui ne retrouve plus sa route.
Mais ce que personne ne sait, c'est que lorsque Howard fait le pitre, lorsqu'il joue des sourires à tout va, c'est qu'au fond de lui, la douleur le ronge. Il est du genre à remuer un peu trop le passé, à y fouiller jusqu'à ce que ça fasse bien mal. Il a parfois du mal à supporter ses origines de sang pur ainsi que son nom de Croupton, bien qu'un élément de sa vie l'ait aidé à surmonter cela. Ce qui ne veut pas dire qu'il ne s'amuse pas, il a su avancer en dehors du domaine amoureux, il lui a fallu du temps, et il profite de la vie comme il peut. Qu'il est dangereux de jouer avec les souvenirs, le mal vous change et c'est ce qu'il a fait avec le sorcier. Un tantinet dangereux, pas volontairement, loin de là, il se laisse emporter et la violence puisée de sa colère, le guide, que ce soit envers les adultes ou les élèves. Il est capable de faire du mal, sur un coup de tête, et se confondra en milliers d'excuses, car après coup, il regrette immédiatement ses mauvais agissements.
Howard déteste la pitié, ça le met même en colère parce que ça lui renvoie une image faible de lui même. D'ailleurs, même s'il lui arrive de broyer du noir de temps à autre, il n'est pas du genre à vouloir faire pleurer et cache tant que possible sa tristesse. | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Patronus Pas de nom, pas d'affection. Le patronus d'Howard n'est qu'un sortilège de plus qui sort de sa baguette. Ni plus, ni moins. C'est donc une pie bavarde, ces oiseaux voleurs au cri désagréable. Elle est immatériel, mais protectrice, c'est bien la son but : protéger. Howard n'en eut pas souvent besoin dans sa vie, mais l'ayant apprit avec beaucoup de mal, aujourd'hui, il n'a pas beaucoup besoin de forcer pour qu'il apparaisse. Ce qu'il pense des patronus corporels ? Il pense que c'est une énorme erreur, que c'est quelque chose qui n'aurait jamais du arriver et qui n'apportera que des problèmes, à tous les enfants de cette génération. Il n'accepte pas cette erreur d'ailleurs, qui lui a fait quitter le ministère parce qu'il estime que oui, c'est un abus de magie de grande échelle. | Pseudo et âge: Florissone ou Séverine 24 ans Où as-tu trouvé le forum ? J'ai oublié Personnage: Inventé - Famille de la saga As-tu un autre compte sur BP ? Charline, mais pour certain ça a été du de le comprendre Présence: Souvent, mais je sais pas combien de temps Une remarque ? Je vous aime presque tous Love sur vous |
Dernière édition par Howard T. Croupton le Lun 3 Oct - 22:00, édité 10 fois |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 2:04 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Le temps est une symbolique facheuse. Le temps m'a prit tout ce que j'avais, ou peut-être m'a t-il rendu justice. Pourquoi dit-on que c'est le temps, alors que ce sont les gens qui nous entourent les coupables ? Coupables de nous faire connaître un bonheur qu'on ne ressentira plus jamais, coupables de nous le reprendre, ou même de nous faire comprendre que le temps, c'est une chose fatale qui finit toujours par nous rattraper.
Brasser des souvenirs qui n'ont pas besoin de l'être... Tout d'abord mon enfance. Une enfance banale j'imagine ? La question serait : qu'est-ce qu'une enfance banale à proprement parler ? Pour moi, ce que je vivais était plus jeune, était tout à fait normal. Mon paternel vivait sur la culture de la haine envers les moldus, envers les impurs quels qu'ils soient, comprenant aussi les tolérents de notre rang. Il appelait ça, l'éducation, pour ma part, je parlerais plutôt d'embrigadement. Thelonious Croupton, il était mon modèle, même s'il faisait toujours preuve de sévérité, il était grand, il était beau, et l'on aurait cru que n'importe qui pouvait lui manger dans la main, et au fond, j'avais ce sentiment qui titillait ma conscience en me chuchottant « c'est mal ». Alors je l'écoutais, j'obéissais gentiment, lorsque la morale qui m'habitait me le permettait. Je connaissais déjà bon nombre de sors alors que certains autres enfants n'avaient pas encore tenu leur baguette entre leurs doigts. Je me sentais puissant. Je suis fils unique, je devais par conséquent porter le lourd fardeau de rendre fière ma mère, aussi aimante était-elle, ainsi que mon père, et celui-ci était le plus difficile à satisfaire. Depuis tout petit donc, j'ai a subi les bourrages de crâne d'un père mangemort qui détestait tout ce qui se rapprochait de l'univers moldu. Thelonius prenait soin de moi, mais seulement lorsqu'il avait l'intention de "m'instruire intelligemment", et ce, au travers des histoires qu'il me racontait, ou de ses propres aventures qui mettaient en scène des moldus méprisants et lamentables face à la suprématie des sangs purs. Tout était bon pour mon père afin de faire de moi, un digne représentant de la famille, et de par sa propre ambition, un futur mangemort. « Il n'y a pas de place dans ce monde, pour les faibles et les perdants » me disait-il pour me motiver. Je ne sais plus très bien si ça marchait, en tout cas... j'en ai pris des coups. Il voyait en cette diction, que les perdants et les faibles étaient ceux qui s'alliaient avec les moldus. J'étais de nature curieuse et je n'avais pas vraiment compris ce qui engendrait un tel dégout pour ceux qui n'étaient pas de sang pur. Je ne le sais toujours pas et ne le saurais sans doute jamais. L'enfance, personne n'a besoin d'en connaître les détails tant qu'ils n'empiètent pas sur notre présent.
Pourtant... Poudlard. C'est là que je fis mon entrée, c'était le bon moment pour faire mes preuves. Pourtant, c'était mal commencer que d'aller chez les gryffondors, alors que je connais cette ambition pour mon père, que j'aille à Serpentard. Le choixpeau s'était trompé, pour moi, c'était forcément ça. Les années Poudlard me desservent parfois. J'en ai fais circuler des rumeurs à mon propos, j'en ai reçu des critiques et des règlements de compte. Bien mérités je dois l'avouer. Je suivais l'enseignement de mon père, à travers la violence et les moqueries, sans jamais me faire prendre, mais surtout, sans jamais me faire comprendre. Puis les années passant, mes connaissances et amitiés évoluant, je fis réflexion sur moi-même. N'était-il pas temps que je fasse face à mes démons, et que j'arrête d'en faire pâtir tout ceux qui n'y étaient pour rien ? Il y a des femmes qui vous font changer tout point de vue, qui en un claquement de doigts, vous montrent que vous n'êtes pas réellement celui que vous paraissez... Astrid fut celle-ci, m'ouvrant les yeux sur le fait que je détestais plus mon père que tout moldu dans ce monde, que je ne faisais que reporter ma haine sur ces derniers, m'obligeant malgré elle, à l'aimer, à lui porter cet amour qui était impossible en son sens. Elle était fiancé. Alors l'intimité fut unique. Une fois et une seule avant qu'elle ne soit de nouveau à son fiancé. Elle m'aura tout de même fait changer, en mieux, et le façonnage que mon père avait mit en œuvre, prit fin, en même temps que la longue liste de conquêtes qui s'inscrivaient à mon ancien tableau de chasse. Ce serait déplacé de dire que c'était une belle époque tout de même ! Donc je fus amoureux, pour la première fois, peut-être un amour en survolant un autre, je me rendis compte que des sentiments naissaient aussi pour une autre sorcière. De la mauvaise branche, j'en avais peur, mais j'étais le rebelle face à son paternel, défiant l'autorité d'un mangemort frustré par l'autorité qu'il avait perdue. J'avais perdu assez, et si en public nous étions de très bons comédiens, pour les autres sang pur aussi bien que pour le reste de la famille, en privé il n'y avait que haine réciproque. A vingt et un ans je l'avais quitté. Ma valise était prête et je pouvais me sauver de cette maison gouvernée par un fou en emportant mon chien, vieux compagnon qui avait du en supporter de bien mauvaises pour le compte de mon père.
Puis plus tard, le monde adulte. Je sortais de Poudlard, heureux diplômé, prêt à intégrer le ministère, et prêt à commencer une nouvelle vie. Parfois, je préfère ne pas penser à ces moments là, trop heureux, pleins de promesses d'avenir sans que je ne sache que tout pouvait partir en poussière en un rien de temps. Une année plus tard, je la demandai un mariage. Pour le meilleur, et pour le pire. J'ai encore les photos de ce jour. Elle était si belle, si heureuse, je crois que j'aurais donné beaucoup pour la voir éternellement comme ça. Malheureusement, les sourires s'effacent trop vite. J'imagine que je devais être un mauvais mari. Soit trop plongé dans le travail, occupé à franchir les nouveaux succès jusqu'à ce que je ne devienne enfin le directeur du service des usages abusifs de la magie, soit trop occupé à vouloir la protéger de mon père. Malgré tout, je l'aimais de toute mes forces, même lorsqu'il m'arrivait de ne pas la voir, je l'aimais. Comme si tout n'était pas assez compliqué, Robin voulait un enfant. Je ne voulais pas être père, rien que l'idée me terrifiait, rien que le fait de penser que je devrais être responsable d'un petit être inofensif face à la haine du monde. Non merci, c'était un non qui détruisait notre couple, et si au fond de moi j'en crevais, je refusais que l'on fasse subir à mon enfant quoi que ce soit en rapport avec son sang, ou sa famille. Un mariage, ce n'est pas de tout repos, et lorsque ça se termine ainsi, on oublie les mauvais moments pour ne garder que les meilleurs.
Fin 1978. Le ministère joue de son grand pouvoir et offre un cadeau de noel à la nouvelle génération de sorcier. Quand on ne sait pas on ne fait pas. Cette erreur me mit très mal à l'aise, et très vite je ne me sentis plus vraiment à ma place. Nous punissions tous les jours des sorciers qui abusaient de magie, et aujourd'hui que le coupable était le ministère lui-même, nous ne faisions rien. Je faillis déposer ma démission l'année qui suivit, préférant me porter sur le problème, suite déjà aux informations que j'avais pu récolter les mois suivants le sort, mais je ne le fis pas, je n'avais pas le moyen de le faire. Travailler sur l'erreur du ministère, chercher à comprendre le pourquoi du comment, c'est ce qui me trottait finalement dans la tête. Puis je fus engagé à Poudlard. Ma femme m'avait convaincu de postuler à ce nouveau poste de professeur, alors j'envoyais ma candidature, avec une partie de mon étude sur les patronus. Septembre 1980, je fais ma première rentrée à Poudlard, en tant que professeur, au côtés de Robin. Pour elle c'était une vocation, pour moi, c'était une seconde vie après le ministère. Descendre de son grade parce qu'on a l'impression de ne plus être à sa place, de tourner en rond sur quelque chose qui n'est plus. Poudlard était parfait pour moi maintenant que j'y pensais, je m'entendais avec les élèves, je crois même que le contact avec la jeunesse me donnait presque envie de dire oui à ma femme pour avoir un enfant. J'aurais pu être père en fin de compte. Et la rentrée suivante... Je me demande toujours pourquoi ce n'était pas moi qui était dans le mauvais wagon, pourquoi elle avait disparu et pas moi. Mon cœur trouva la mort ce jour là, en même temps qu'elle. On m'accorda un temps pour me remettre sur pieds, mais jamais plus je ne serais le même, je le savais. Toute les condoléances me passaient par dessus, qu'est ce que j'en avais à foutre qu'on partage ma peine alors qu'ils ne savaient pas le quart de ce que je pouvais ressentir !
Mais les conséquences des erreurs du ministère prirent de l'ampleur au fil de l'année, me donnant de quoi faire pour penser à bien plus que je n'avais perdu. La jeune génération de sorciers allaient peut-être perdre beaucoup aussi. Alors aujourd'hui, je vis, je supporte, je m'emporte, je continue et je dévie. J'ai dénoncé en anonyme, mon père mangemort à la mort de ma femme, et ce n'est qu'un poids de plus qui me pèse sur la conscience. Je me remets de tout ça, et parfois je replonge, plus profondément, plus sombrement, et je sais qu'à tout instant, tout ce qu'il me reste peut encore disparaître, alors je joue. Je me joue du temps qui passe, et je joue de l'optimisme. Des jours avec, des jours sans, des jours de détresse où je ne pense qu'à elle, jusqu'à ce qu'Astrid ne vienne encore plus perturber mon être. Les jours deviennent moins sombres pour me laisser tomber d'encore plus haut. Perdu je suis..
Dernière édition par Howard T. Croupton le Lun 16 Mai - 21:08, édité 1 fois |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 2:09 ( #) | Rebienvenuuuue Simoooon ** Vraiment bon choix d'avatar et de famille du coup Courage pour ta fiche |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 2:21 ( #) | Je peux prédire qu'une rousse sur balai va te sauter dessus on dirait que ce perso a été créé pour elle En tous cas (re)bienvenue parmi nous et j'approuve la famille Bonne chance pour ta fiche
Dernière édition par O. Knight Lupin le Dim 1 Mai - 18:45, édité 1 fois |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 2:22 ( #) | bienvenue |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 2:25 ( #) | Bienvenue ! (Ou re bienvenue, apparemment ? ) Je tiens à dire que j'adore le prénom que tu as choisi. |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 3:35 ( #) | c'te prénom et cette famille (re?)bienvenue |
| Euphrasie Malefoy admin - i don't want just a memory Répartition : 11/08/2015 Hiboux Envoyés : 1420
| Re: The luck runs fast (Howard)par Euphrasie Malefoy, Dim 1 Mai - 9:38 ( #) | Heobzgzoekvepdnrgozjevie /me saute dessus et kidnappe pour la vie Rebienvenue Je suis tellement contente de te voir arriver sur ce petit compte ! Cela me fait bizarre de te voir blondinet mais je suis certaine qu'ils colleront à merveille ! J'ai hâte de pouvoir rp avec toi et d'écrire de nouveau l'une de ces histoires... impatience, impatience ! |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Guest, Dim 1 Mai - 10:17 ( #) | Bienvenuue ! La personnalité de ton personnage est intrigante. Hâte d'en lire davantage Bonne continuation, et puis excellent choix d'avatar (trop chou cet homme ) |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 11:00 ( #) | rebienvenue et bon courage pour ta fiche Je kiff le prénom |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 11:04 ( #) | J'approuve mon arrière-VDD, j'aime beaucoup sa personnalité. Re-bienvenue |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 14:38 ( #) | Simon + le début de ta fiche + Croupton DO YOU WANT US DEAD ? Bienvenue parmi nous jvais certainement stalker mais je suis gentille je préviens |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 15:59 ( #) | re bienvenue |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 16:36 ( #) | rebienvenue apparemment simon et croupton |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Invité, Dim 1 Mai - 16:58 ( #) | Re bienvenuuue |
| | Re: The luck runs fast (Howard)par Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | The luck runs fast (Howard) | |
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