Nom: Skywhite Prénom: Maïa Âge et Date de Naissance: 27 ans depuis le 13 février Nature du sang: sang-mêlée Situation familiale: Maïa est fille unique. Elle est très proche de sa mère qui est une moldue mais ne connait pas son père qui serait un sorcier. Patronus: une petite nyctale Miroir du Rised: Elle se voit avec trois magnifiques petites têtes blondes. Epouvantard: Un Strangulot Composition de la baguette magique : 20,5 cm bois de vigne avec un crin de licorne et est rigide.
Emploi : 1ère année comme bibliothécaire à Poudlard Animal de compagnie : aucun pour l’instant mais elle rêve d’avoir un chat noir

curieuse - stratège - optimiste - loyale - studieuse - passionnée - bienveillante - manipulatrice

J’ai toujours aimé les jeux de stratégie : résoudre des énigmes, manipuler mes enseignants pour obtenir les meilleurs résultats possibles, observer les points faibles de mes adversaires et bien sûr, réussir à résoudre de grands mystères.

Il m’aurait fallu davantage de travail et de la persévérance pour arriver au terme de mes études de médicomagie. Bien que je sois dotée d’une excellente mémoire et d’une bonne capacité de déduction, mes études me demandèrent beaucoup d’introspection et de remise en question. Durant mes études à Poudlard, je passais beaucoup de temps à la bibliothèque et dans le parc. Je ne faisais pas partie des élèves les plus populaires mais j’étais apprécier par mes camarades et par mes enseignants.

Ma mère m’avait toujours dit que j’étais trop ambitieuse et que je devais revoir le sens de mes priorités. Enfin, elle changea d’avis durant l’hiver 1978. Comme tout le monde le sait, c’est à partir de là que notre univers est retombé dans les ténèbres. Je devais terminer mes études et le monde allait s’ouvrir à moi. J’ai alors réfléchi à mon avenir. Qui voulais-je devenir ? Très vite, je me suis rendue compte que ce qui comptait le plus pour moi n’était plus mon égaux mais protéger les plus fragile. Mon choix de retourner à Poudlard fut simple. Je décidai donc de ne pas passer mon examen final de médicomage car je préférais utiliser mes capacités à regarder au-delà des apparences pour pouvoir aider les jeunes à suivre le bon chemin et à résoudre leur difficulté. Il faut dire que mon intuition à toujours vu juste sur les intentions d’autrui. Durant mon parcours de vie, j’ai démontré une capacité à voir ce que les autres ne voient pas et à faire sortir le meilleur chez l’autre.

D’un point de vue émotionnel, mes amis ont une place importante dans ma vie et je leur resterai toujours loyal. Bien entendu, je n’en compte pas beaucoup car je préfère la qualité à la quantité. Entre mon emploi qui me passionne et mon entourage, je n’ai pas le temps de chercher l’amour. Pourtant, j’avoue rêver de trouver l’homme qui me permettra de fonder la vie de famille dont je rêve depuis mes quinze ans. Et oui, je suis une optimiste. Malgré les malheurs qui inonde notre monde, je reste persuadée que le bonheur à toujours sa place dans nos vies.

Caractère physique
Plutôt petite en taille, j’ai toujours été assez fine. En ce début d’année, j’ai décidé de couper mes cheveux blonds à la hauteur de mes épaules. Je trouvais que cela me donnait un petit grain de folie et cela leur permet de mieux onduler. Je suis complètement dingue de coiffure. J’adore mettre des accessoires dans mes cheveux, allant de chapeau à des bandeaux et passant par des couronnes de fleurs.
En parlant de grain de folie, j’adore la mode vestimentaire moldu et beaucoup me prennent pour une originale.

J’avais dix-neuve ans la première fois que j’ai réussi à lancer un sortilège patronus physique. C’était une telle fierté de voir une vraie forme et pas uniquement un nuage de fumé argenté. Cependant, je ne fus pas surprise de voir apparaître une chouette nyctale. Il faut dire que la chouette est un animal associé à la sagesse, à l’intuition et à la magie de la vie. Jamais, je n’aurais pu, à ce moment-là, me rendre compte de l’importance du patronus ni de l’importance de sa forme physique.

Les patronus ont pris une place importante dans nos vies, depuis les vacances de Noël 1978. Il faut avouer que cette épidémie a risqué de nous plonger dans le chaos. Chacun était pris de peur. Les médicomages ont été réunis pour y trouver un remède. Mais rien. Nous n’avons rien pu faire et ce que nous nommions le fléau s’est étendu auprès de tous les mineurs. Je ne saurais dire si j’envies nos enfants ou si je les plains. Je me questionne toujours sur les causes de cette épidémie et si un jour nous trouverons un remède. Si telle devait être le cas, est-ce que les « malades » souhaiteront se faire être dissocié de leur patronus ?