| (M) Alex Pettyfer - Je n'ai pas de grand fère, tu n'as pas de petite soeurpar Invité, Lun 18 Juil - 20:40 ( #) | Angus Goodchild ft. Alex Pettyfer sang-mêlé, qu'on croirai pur s'il n'avait pas été renié, cracmol, surtout. 29 statut marital au choix orientation sexuelle au choix au choix aucun tendances (pro-ordre, pro-mangemort, neutre) crédit images | |
Et plus Je ne sais pas qui je suis. Je ne suis personne. Je pourrais être n'importe qui. Je veux être tout le monde
J'ai toujours voulu être un sorcier. Ici on dit magicien. Comme le mot est banal. À 14 ans, déjà, j'étais le meilleur de la région, un prestidigitateur à couper le souffle. Les mains les plus rapides qui soient, le regard le plus envoûtant jamais rencontré. À 16, je maîtrisais l'art de la métamorphose. Quelques coups de pinceaux et je devenais vieillard. Je passais mes temps libres à fabriquer des masques, des perruques, des costumes. À 18, je m'attaquais à la voix. J'avais tous les visages, je voulais toutes les voix, des plus graves aux plus aigues.Je voulais plaire. Impressionner. Être unique. Illusionniste, artiste, imitateur, j'étais l'enfant prodigue du village, la prochaine vedette de cinéma, et on disait partout que pour une fois, j'aurais dû traîner sur les plateaux de tournage plutôt que d'étudier ma chimie. Mais ce n'était que pour passer le temps. Je voulais aller à Londres. Et pas que pour faire du cinéma.
Je savais que mes parents n'étaient pas mes vrais parents, même si je les aimais bien davantage que ceux qui n'avaient pas voulu de moi. Je croyais me souvenir que mes vrais parents étaient probablement riches, probablement importants. C'est ce que j'ai cru comprendre à force de chasser les quelques souvenirs s'effacant lentement de ma mémoire au fil des années. Je disais que mes parents étaient des sorciers. Que j'en étais un aussi. On m'avait dit qu'on disait magicien. Que les sorciers n'existaient pas. Que c'était dû à mon imagination d'enfants, ou que ce que je prenais pour de la magie n'étaient en réalité que des trucs élaborés. Soit j'avais tout inventé. Soit je n'avais rien compris. Perspectives peu glorieuses.
J'étais trop curieux. Je voulais voir par moi-même. J'ai fini par aller à Londres. J'ai fini par trouver ce que je recherchais. Un monde auquel je n'appartenais pas, mais qui existait, bel et bien. J'aurais peut-être mieux fait de ne jamais le trouver. Je ne l'ai dit à personne. J'ai peur qu'on ne me croye pas, qu'on me traite de fou, qu'on cherche à cacher la vérité, une fois de plus. Je suis encore en quête. Je me rappelle deux enfants aussi brillants que le soleil de midi. Je me rappelle avec quelle force ils existaient, avec quelle force on en venait à graviter autour d'eux, avec quelle force ils entraient en collision, avec quelle force ils étaient inséparables. Je me rappelle de ses airs graves, à lui, de son silence. Je me rappelle de ses éclats de rire, à elle, de ses yeux pleins de malice. J'ai un frère et une sœur. Je n'ai rien inventé. J'ai tout compris. Enfin... je comprends peu à peu.
Si c'était pas clair: Angus Goodchild, né Black, a été renié lors de ses onze ans, âge où un sorcier entre normalement à Poudlard. Il était devenu évident, alors, que l'enfant aîné de Lysandra Yaxley et d'Orion Black était cracmol. Il fut convenu qu'il était préférable pour tout le monde que le jeune cracmol grandisse parmi les moldus, très loin de Londres. es parents biologiques d'Angus ne l'ont pas renié de gaieté de cœur. Lysandra et Orion ont toujours été des parents aimants et doux, bien qu'ayant des idéaux familiaux au-dessus des sentiments et des intérêts personnels des membres de la dite famille. Ils se sont toujours assurés en cachette que l'enfant n'allait manquer de rien. Il a donc dû avoir une famille d'adoption financièrement à l'aise qui a aimé le gamin comme un des leurs, mais une famille de moldus qui ignore tout du monde sorcier. Il a finit par retrouver ce monde sorcier, à toi de voir comme il y vit, ouvertement cracmol ou en mentant, à toi de voir ce qu'il y découvre (côté histoire et fonctionnement et comment)
Il a développé un goût pour la magie moldue. Il est devenu un excellent prestidigitateur, un envoûtant illusionniste, maîtrisant l'art du déguisement.
Comment je l'imagine : Mythomane, aime (trop?) le jeu, envoûtant, charmeur, curieux, ne se mêle pas de ses affaires, jamais entièrement satisfait.
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Niamh Krystal Black | ft. Emily Kinney Ils lui ont dit : tu n'as qu'un seul frère. Elle a hoché la tête. Elle a compris très tôt les lourdes responsabilités qui accompagnent la gloire et la liberté d'être née Black. Elle a oublié Angus. Il n'existe plus.
Aujourd'hui en médecine magique, Niamh s'intéresse de très près aux questions touchant l'apparition de la magie chez les enfants, moldus, sang-mêlé et surtout, sang pur. Et si elle a développé une phobie physique des impurs, c'est peut-être aussi un peu parce qu'il subsiste encore dans son esprit les vieux échos de ses histoires d'enfants qui croyaient que si son grand frère n'avait pas de pouvoirs magiques, cela devait être parce qu'on les lui avait volés.
Leur lien est à développer. Ils n'ont pas été en contact depuis que Angus a quitté le manoir des Black. |
Dernière édition par Niamh K. Black le Lun 18 Juil - 20:43, édité 1 fois |
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| Re: (M) Alex Pettyfer - Je n'ai pas de grand fère, tu n'as pas de petite soeurpar Invité, Lun 18 Juil - 20:40 ( #) | Titre happiness can be found even in the darkest of times Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae. sous titre blabla sous-titre 2 Ut enim quisque sibi plurimum confidit et ut quisque maxime virtute et sapientia sic munitus est, ut nullo egeat suaque omnia in se ipso posita iudicet, ita in amicitiis expetendis colendisque maxime excellit. Grand sous-titre Quid enim? Africanus indigens mei? Minime hercule! ac ne ego quidem illius; sed ego admiratione quadam virtutis eius, ille vicissim opinione fortasse non nulla, quam de meis moribus habebat, me dilexit; auxit benevolentiam consuetudo. Sed quamquam utilitates multae et magnae consecutae sunt, non sunt tamen ab earum spe causae diligendi profectae. |
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