BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| - pull out your heart to make the being alone easy, easy - | | | - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Jeu 14 Juil - 23:27 ( #) | Simon Donatello Anton Greenwood ft.Adrien Sahores né-moldu 20 ans nouvellement célibataire hétérosexuel justice magique Loutre Neutre CryingToYourHeart & Tumblr | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom:Greenwood, les lettres gravés dans le bois des armoiries moldues du paternel. Prénom: Simon, la France de l'enfance. Donatello, l'Italie d'une maman aux yeux terre et Anton, de l'inconnu dont ton père était amoureux. Âge et Date de Naissance: 31 Octobre 1961,le meilleur jour pour être né, meme si l'eau est polaire, les couleurs sont envoûtantes, les filles en pull aussi, et, à chaque anniversaire, tu pouvais être qui tu voulais ; Marlon Brandon, un vampire ou Elvis Presley. Nature du sang: Moldu comme c'est pas possible, tu te surprend encore à découvrir des trucs du monde magique dont t'avais jamais entendu parlé. Situation familiale: Famille nucléaire qui a déjà explosée, mais qui se tient encore. Tes parents, ensemble plus par convenance que par amour, après les adultères de ton père. Toi, tu croyais te retrouvé fiancé, la demande au bord des lèvres, mais la quarantaine t'as rendu célibataire. Tu t'en remets toujours pas. Patronus: Mateo, la loutre la plus princesse du monde, renée en psycho bitch. Miroir du Rised: Toi et elle, en costume et en robe, sa robe blanche, le passé derrière vous, son infidélité, les bagues à vos doigts, des enfants derrières, vos enfants. Epouvantard: Si l'eau est ton élément, son contraire est ta plus grande peur. Ton épouvantard, c'est un mur qui brûle et qui s'effondre sur toi. Ton enfer dans la flammes. Composition de la baguette magique: 31,70 centimètre, plume de phénix et bois de roseau. Etudes Suivies: Justice magique, beau parleur de surcroît, faible bosseur. Animal de compagnie: À défaut d'avoir une sirène rien que pour toi, tu possèdes un bébé hippocampe. Lui, au moins, il ne laisse pas des poils partout. | Caractère Le sourire comme chant d'homme sirène toujours accroché à ses belles lèvres, le regard brillant de cette lueur taquine, adorable. Tu aimes charmer les dames, tester tes charmes, voir leurs réactions. Tester les gens en général, voir qui réagit, comment, qui se contrôle. Tu aimes manipuler les gens. Pas nécessairement par arrivisme, mais pour le plaisir du jeu. Comme tu peux baratiner les gens aussi, voir jusqu'où tu peux les convaincre, jusqu'où ton jeu d'acteur pourra te servir en cours. La vie, les humains, ton terrain de jeu. Parce que tu aimes jouer, et surtout gagner. Le sport, c'est pour le plaisir, mais le plaisir de gagner, c'est encore meilleur. Ton orgueil est assez grand et t'avales mal la défaite, tu ravales ta rage, mais si on te cherche, si on te nargues, tu ne tiendras pas longtemps. Tu es du genre à t'emporter facilement quand on te cherche des sangsues ou qu'on te manque de respect. Tu montes le ton, tu insultes, tu fais des grands gestes vulgaires, mais t'es pas le premier qui tape, tu provoques. T'aimes provoquer les gens, le obliger à avoir des réactions, affronter ce qu'il ressente, jouer, même si parfois c'est violent, même quand tu t'en prends plein la gueule. Le jeu en vaut les coups sur la gueule, non ? Bon, faut dire que c'est pas fréquent, non plus, pas autant que tu le laisses croire. Toi et cette confiance en toi, traînée dans la boue pendant ta rupture, mais que tu brandis encore, fièrement. Malgré tes jeux, lorsque t'aimes pas quelqu'un, que tu ne crois pas quelqu'un, sincèrement, ça se voit très vite, sur ton visage, dans tes yeux. Et malgré cette façade, tu es quelqu'un d'assez empathique, tu ressens et comprend les autres rapidement, facilement, t'as appris à les étudier aussi bien que les manipuler. | Patronus Mateo, magnifique loutre argentée, attirant ta curiosité dès son arrivée dans ta vie. Attirant tes doigts qui voulaient courir sur elle, dans ses poils courts, avant qu'elle ne te lance son premier : « Arrêtes, tu vas me décoiffer. » Et tu rigoles, mais elle est sérieuse. Elle parler et personne d'autre que toi ne l'entend, mais elle est sérieuse. Et c'est officiel, t'as une nouvelle petite amie, une loutre mâle qui te traite d'abrutis et qui râle que l'eau est trop froide, même si elle te suis toujours. Dans toutes ses râleries et ses critiques, tu la trouvais mignonne, ta princesse, ta grande folle de patronus. À toujours critiquer tes pensées perverses, à dire que t'es obsédé. Ça te faisait marrer même. tu t'amusais à la provoquer, sauf que là, elle a changé. Elle passe de princesse à petite démone, elle te pousse à t'énerver, à te venger, à paranoïer. Tu luttes contre elle, tu la veux comment avant, la princesse chiante que t'aimais détester, que t'adores énerver. On dit pourtant que ses bêtes là sont les reflets de vos âmes, et ça te fait peur. Parce que oui, elle te ressemble, elle est mauvaise perdante, elle a le sang chaud maintenant, mais il te pousse à être pire qu'avant. Et t'as déjà assez lutté contre toi-même, c'est pas fini toutes ses conneries ? T'arrives encore à tenir, à cacher, à pas montrer que tu cherches encore l'air et la lumière.
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Pseudo et âge: Parnassus & 21 ans Où as-tu trouvé le forum ? Bazzart Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? Non Présence: En semaine, tous les jours, en général. Une remarque ? Ce gif résume ma vie : |
Dernière édition par Simon D. Greenwood le Lun 25 Juil - 2:35, édité 9 fois |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Jeu 14 Juil - 23:27 ( #) | Burn all your things to make the fight to forget easy, oh, easy. And she drank me, drowned me like the tsunami she was. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Cinq ans et le bonheur au bout des doigts, le mariage au bout de la langue, l'amour au plus profond de ton coeur de sucre, avant qu'elle se décide à te jeter par dessus bord. Amoureux d'elle depuis ta première année, là où les autres garçons ne voulaient même pas regarder les filles. À l'époque où tu croyais que les seins des filles poussaient parce qu'un certain âge, un trou se formait et qu'on pouvait ainsi les gonfler avec une pompe. La surprise quand t'as découvert que c'était pas vrai. Ce n'est qu'à la fin de ta quatrième année que les tirages de couettes se concrétisaient en déclaration d'amour, se concluant en couple. En petit nuage sur lequel vous voliez, pendant l'été, pendant cinq ans. C'était la femme de ta vie. On fait quoi, quand la femme de notre vie quittes notre vie ? Quittes notre navire et laisse la bateau dans la tempête, sans capitaine, sans aviron, sans rien ?
Malade, Fatigué, puis épuisé. Ils disaient que c'était les examens, mais tu le sentais, tu sentais que quelque chose n'allait pas, n'allait pas du tout. C'était le début de la fin. Et si Mateo changeait, il en allait de même pour Molly. C'était peut-être ta faute, tu étais impatient, angoissé et tu annulais vos soirées romantiques pour dormir. Mais rien, rien n'y faisait. Et ça s'empirait en fièvre, en grippe violente, en plein été. Molly ne voulait même plus t'embrasser, de peur de l'attraper et la paranoïa prenait le dessus. Elle ne voulait plus de toi, elle en avait marre, cinq ans et pas une seconde de plus. Tes délires étaient emplis de cauchemars, de badtrips. Tu la cherchais sans la trouver, elle te filait entre les doigts, elle était un fantôme. Elle était avec un autre et tu les tuais, tu les tuaient tous les deux et t'arrivaient pas à te débarrasser de leurs corps, et tu pleurais, et tu te noyais dans tes larmes. Et tu t'engueulais avec elle dans tes délires, sur des conneries, sur des mec qui n'existaient même pas. Puis les nausées, plus capable de tenir quoi que ce soit, et Mateo qui avait aussi mal que toi, qui se faisait taciturne, agonisant, même plus la force de faire sa princesse. Et tes doigts dans sa fourrure la transperçait bientôt, lui aussi, devenait un fantôme, une brume, lui aussi, il allait te quitter. Est-ce que t'allait mourir ? Est-ce que c'était ça mourir, avoir l'impression que tout le monde autour de nous s'efface ? Et il s'effaça, Mateo, Mateo la princesse. Plus là, plus rien. Que le vide et la douleur, une douleur sourde, constante, avant la quarantaine. Et, comme si c'était pas assez de perdre la bestiole de vie, il fallait que tu perdes ta femme aussi. Parce que si plusieurs élèves étaient malades et qu'on parlait d'une épidémie, une peste, une pendaison, Molly n'avait absolument rien, immunisée. Vous furent séparés, le temps de la quarantaine, assez longtemps, trop longtemps.
La tempête passée, le château retrouvé, le princesse aussi et la loutre en plus. Mais la loutre... Y'avait quelque chose qui clochait. Elle était sombre, pessimiste, mauvaise. Elle te rendait paranoïaque. Regardes Molly, regardes, elle a changé, elle sent plus la même chose, elle a une chaîne au poignet. Mat te susurrais de la suivre le soir, le weekend, jusqu'à ce que tu découvres l'horreur. Molly. Molly t'avait trompé et te trompait encore. Et toutes ses horreurs que Mateo te suggérait de lui faire, leur faire. Et tu t'es laissé entraînée, toi aussi, t'es devenu plus sombre, plus méchant, mesquin, blessé, puéril. Et la guerre froide s'est déclarée, les piques, la rancoeur, parce que tu sentais que tu la perdais. Et tu l'as perdue. Elle t'a laissé et toi, toi, t'as pas encaissé. T'as fait croire à tes parents, à tes amis, que vous étiez en pause, que toi, t'étais pas dans le déni. Mais, y'a jamais eut de pauses. Y'avais que toi, qui te noyais et qui faisais croire que tout allait bien. Que toi, qui se défonçait dans le sport, dans la natation, pour oublier. Alors que Mateo te murmurais que tu pourrais t'attacher un boulet à la cheville et te laisser couler, qu tout le monde serait bien débarrassé. Et le pire, c'est que, sous l'eau du lac, alors que tu sentais ton souffle te manquer, tu le croyais presque, tu restais presque. Mourir noyé, la plus belle mort possible pour toi. Mais tu remontais, juste à temps, crachant de l'eau avalé pendant ta panique. Maintenant, ça va pas mieux, mais tu fais comme si. Tu mets ton costard et tu te coiffes, tu dragues des filles et tu pleures le soir, seul, dans ton lit. Et tu te répètes que c'est facile d'être tout seul, c'est facile, c'est facile, facile.
Dernière édition par Simon D. Greenwood le Ven 15 Juil - 19:25, édité 4 fois |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Jeu 14 Juil - 23:45 ( #) | Adrien Bienvenue par ici |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Jeu 14 Juil - 23:49 ( #) | MAIS MAIS MAIS VINCENT, TU VEUX MA MORT ? Oh lord, ohhhh lord. |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 2:13 ( #) | Adrien Bienvenue parmi nous |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 2:26 ( #) | Bienvenue à toi ! Ton début de fiche a l'air très sympa ! Bon courage pour le reste ! |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 5:40 ( #) | |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 10:33 ( #) | J'aime ta façon d'écrire et je crois que j'aime déjà Simon aussi Bienvenue par ici Bon courage pour le reste de ta fiche |
| O. Jill Peverell membre - i don't want just a memory Répartition : 11/04/2015 Hiboux Envoyés : 11656
| Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par O. Jill Peverell, Ven 15 Juil - 12:07 ( #) | Bienvenuuuuuuuue |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 12:11 ( #) | Un p'tit né moldu , c'est bien ça Bienvenue par ici et n'hésite surtout pas si tu as des questions. |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 14:06 ( #) | sahores bienvenue |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 14:44 ( #) | Né-moldu FTW Bienvenue parmi nous |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 16:36 ( #) | Oh lala, tant d'amour. Charline Simon t'aimes déjà aussi. Merci, arrêtes, tu vas m'faire rougir. Jill Merci Emeraude, tu me fais peur, toi et ton sang pur. Parfait, je vais sans doutes te mp, y'a un petit truc dont j'suis pas certain. Hella T'as vu, t'as vus ? Que dire de mademoiselle Teresa hein ? Kai, oui, vient, on va dominer le monde. Merci. |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 17:12 ( #) | bienvenue |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Invité, Ven 15 Juil - 20:56 ( #) | Merci |
| | Re: - pull out your heart to make the being alone easy, easy - par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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