Nom: Blackriver n'est pas une famille de sorcier très connue, en vérité ils sont souvent pointé du doigt par les plus prestigieuses des familles telles que les Malefoy ou encore les Lestrange. Les Blackriver ont été pur, jusquà l'erreur de Armand Blackriver, le père de Tôma, erreur fatale qu'il vaudrai mieux ne pas ébruiter. Prénom: Tôma, donné au départ par la mère de ce dernier, Armand, par amour pour la mère de son fils décida de le garder ainsi. Âge et Date de Naissance: Il est né très loin de l'Angleterre, à Osaka au japon, dans la clinique familiale de la mère de Tôma, un 12 avril 1960, aujourd'hui il a donc vingt deux ans. Nature du sang: Sang-mêlé, même si son père tien à le cacher absolument pour protéger son fils. Même Tôma est persuadé d'être un Sang-pur. Situation familiale:La famille Blackriver est un peu éparpillée partout dans le Royaume Uni, quelques uns sont en Ecosse, d'autre en Ireland, même si la plus grande partie s'est installé dans la campagne Anglaise, ils sont plus ou mois d'origine Écossaise. Je vous laisse imaginer lorsque le jeune Tôma, âgé de seulement 9 ans fut amené devant ses grands parents paternel. Malgré le fait qu'il soit considéré comme un sang pur par ses aïeux, il demeure et demeurera toujours le petit poussin noir de la famille. Pour faire bref, son allure de gringalet ses cheveux multicolores et ses yeux bridés ne plaise pas, mais alors pas du tout au reste de sa famille sorcière. Même s'il ne s'entend pas avec "les vieux" comme il les appelle, il reste tout de même en bon contact avec ses cousins cousines. Ils ont un liens assez fort, mais le même poids sur les épaules : rendre la famille prestigieuse et l'élevé au rang des autres dynasties de Sang-Pur. Pour ce qui est de sa famille maternelle,Tôma a formelle interdiction de les voir, il ne les connais pas et son père se met très en colère si le jeune homme ose en parler.Patronus: Kuro, est un corbeau noir de jais apparu lors des vacances de noël quand il avait dix-huit ans. Au début Tôma était très agacé d'avoir sans cesse un volatile près de lui, mais au fur et à mesure il trouvait cela marrant, surtout quand Kuro se changeait en belette quand l'humeur du sorcier changeait. Miroir du Rised: Quand il regarde dans ce grand miroir Tôma voie la liberté, libéré du joug de cette famille ambitieuse et dogmatique.Epouvantard: Victime d'un traumatisme quand il était tout petit, son épouventard ressemble au cadavre d'une femme ensanglanté. Composition de la baguette magique: C'est une baguette assez fine et longue, trente centimètre pour être exacte, en bois d’ormes et ventricule de dragon à l'intérieur. Etudes Suivies: Au début il était parti pour poursuivre ses études dans le domaine de lajustice magique, puis communication magique. Ne savant vraiment pas ce qu'il voulait, finalement il changea d'avis à la dernière minutes et partis pour le cursus Offensive magique, option métamorphose dans le domaine de l'offensive. Il ne sait pas vraiment quel métier il voudrai faire, mais ce choix faisait partis des plan de son père, alors il les a suivis, après tout rien ne pouvait être mauvais.Animal de compagnie: Un chat noir nommé Neko,par défaut.
Caractère
Décrire une personne telle que Tôma est assez complexe car il est quelqu'un de compliqué, loin d'être superficiel il agit comme tel. Soucieux de son apparence et maniaque de l'hygiène. Monsieur est hypocondriaque, il lui arrive de faire des crise d'angoisse quant à sa santé, même si clairement il n'a aucun problème physique, ces crises sont assez handicapante mais il arrive à vivre avec quand même. Comme si ce n'était pas assez, il a un léger dédoublement de la personnalité, de nature bout en train et monsieur bêtise et toruble fait, il peut être marrant comme détestable l'instant suivant. Il eput être très méchant et voire même violent quand ses crises pointes le bout de leur nez. Généralement quand rien ne va il préfère s'isoler plutôt que d'attirer sur lui l'attention de tout le monde et provoquer une esclandre. Et enfin pour finir, il a eut une enfance très difficile, voire même traumatisante. Tôma a vu la mort, s'est retrouvé dans une famille qui le toisait, le voyait comme une tare, et l'avait mise à l'écart. Il s'est retrouvé affublé d'un gros poids sur les épaules : l'héritage pur de la famille Blackriver, il devait réussir, être irréprochable et surtout garder un lourd secret. Autrement dit, son enfance se résume à : faire plus que de son mieux pour plaire aux autres. Avec le temps il s'est aperçu qu'il avait peur de grandir, peur des responsabilités adultes, peur de ne pas pouvoir vivre comme il l'entend et comme il le veut. Tôma est donc atteint du syndrôme de Peter Pan. Hormis tout cela, Tôma est un jeune homme certes instable mais au fond il garde enfoui ce feu intense d'envie de liberté. Son éducation a voulu qu'il déteste par nature les moldus et les considère comme des parasites, il renie son sang mêlé et s'auto persuade d'être un sang pur. Il n'a pas d'ambition particulière, tous les chemins qu'il prend sont uniquement dictés par son père et sa famille. Il trouve réconfort dans le Quidditch, sport qu'il adore, dans les vices fort peu avouable, et dans le chant. C'est un bout en train certes, solitaire à ses moments, il sait être gentil comme détestable, dragueur comme froid, sérieux comme je m'enfoutiste. Il défend dur comme fer les principes des forces du mal et a une facheuse tendance a vouloir en savoir plus sur la magie noire. Il n'a pas la prétention ni la curiosité de chercher le pouvoir, mais du moins de l’effleurer.
Bizarrement ce Noël là il n'y avait pas beaucoup de neige cette nuit là, et dieu seul savait que Tôma adorait la neige, il aimait par dessus tout se promener le soir regardant ces flocons immaculé tomber légèrement autour de lui. Mais cette nuit là le ciel était dégagé et étoilé, il faisait très froid certes, mais ce fut bien couvert, la moitié du visage recouvert de l'épaisse écharpe de son uniforme de pouldard aux couleurs de sa maison que le jeune homme alors âgé de dix huit ans décida de faire un tour dehors. Il avait l'habitude de sortir jouer avec ses petits cousin, leur courir après en leur lançant de grosses boules de neige sous le regard deséspéré de son père et des autres "vieux" de la famille. Mais il n'y avait personne avec lui, il était seul. Et c'est soudainement qu'il est apparu une sorte de volute argenté, d'abord sans forme. Tôma avait plissé les yeux, regardant cet étrange phénomène qu'il avait déjà vu quand il était à l'école En cour de défense contre les forces du mal ils avaient appris à lancer le sortilège de patronus, un sortilège qui permettait de se protéger. Pourtant, ce qu'il voyait devant lui, l'espèce de pigeon, était un patronus, or il n'avait en rien sortit sa baguette, et encore moins prononcer la formule. Tôma regarda tout autout de lui, les yeux écarquillés. Mais la cour du manoir était déserte, peut être quelqu'un caché derrière un buisson ? Il se dirigea vers la dite fougère mais une voix grave et caverneuse résonna dans sa tête. "Non non il n'y a personne Tôma..." Le jeune homme sursauta et regarda ce qui ressemblait à un pigeon." Et je ne suis pas un pigeon, ne m'insulte pas tu veux!" Railla le Patronus en avançant vers son sorcier. Tôma suivit du regard le volatile qui vint se poser sur son épaule. Le jeune homme eut un frisson. "Et t'es quoi au juste ? Et puis depuis quand ça parle un patronus ?" Le dit patronus ne répondit pas, il se contenta de se nettoyer les plumes. Après un moment de silence l'oiseau tourna sa tête vers son sorcier, "Je suis un corbeau, et je ne parle pas je comunique avec toi par la pensée, je suis comme qui dirait le reflet de ton âme Tôma" Le jeune homme fit une grimace. "Et tu compte rester combien de temps là percher sur mon épaule ?" cracha Tôma. "Je n'en sait rien du tout...pour l'éternité sans doute....inutile de penser aussi fort toutce tats de jurons jeune homme !" Tôma fusilla le corbeau du regard "Ok, très bien c'est génial tu peux lire mes pensées aussi....bonjour l'intimité !" "Il va falloir t'y faire" Au fur et à mesure que les mois passaient même si Tôma était contrarié de se voir affligé d'un piaf à ses côté, il commençait à apprécier le corbeau. Leur lien se renforça quand la peste des patronus frappa soudainement. Kuro avait échappé à l'épidémie, mais il y avait une chose de bizarre qui se manifesta, il ne gardait plus sa forme de corbeau habituelle, mais il prenait à des moments de stress ou de peur la forme d'une belette des neiges. La première fois que ce phénomène se produit, Tôma avait sauté de son siège et éclater de rire en voyant la tête de fouine que son patronus lui servait. Pour résumé, Kuro et Tôma sont très proche l'un de l'autre même s'il ne le montre pas.
Pseudo et âge: Nina 25 ans Où as-tu trouvé le forum ? Bazzart Personnage:Inventé As-tu un autre compte sur BP ? Nope Présence: Je vais essayer d'être là le plus possible Une remarque ? wiiiiiiiii
Dernière édition par Tôma Blackriver le Jeu 18 Aoû - 2:11, édité 13 fois
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Juin 1966 ✻✻✻ "Tôma !" La femme qui courait dans le parc, les bras en l'air d'un air paniqué se dirigeait vers un petit enfant qui faisait une chose bizarre, étrange. Le genre de chose qu'un petit garçon normal ne faisait jamais. Accroupi devant un grand cerisier, entouré d'une foule de parents et enfants qui regardait le phénomène en chuchotant d'un air à a fois apeuré et admiratif, il faisait voler des pétales de cerisier autour du tronc de l'arbre dans une ronde harmonieuse de couleur rose. Le petit Tôma était âgé de six ans, et il avait découvert seulement quelques semaines auparavant qu'il était de faire des choses incroyables. Une fois, il avait brisé une vitre de la clinique en étant énervé et sans faire quoi que ce soit, juste par la pensée Une autre fois, il avait mis le feu sans le vouloir à la poubelle de sa classe à l'école primaire . Autrement dit il était unique car aucun des autres enfants de son âge n'arrivaient à faire des choses aussi surprenantes. Il leva la tête, un sourire en coin déformant ses lèvres. Il adorait faire ça, rendre sa mère folle vis à vis de son "don". La femme arriva à sa hauteur et le tira par le bras, le visage déformé par la colère et coloré par la honte. Elle le traîna jusqu'à la maison, marmonnant des paroles incompréhensibles qui n'avaient aucun sens. " Je n'en peux plus de toi ! " Hurla-t-elle une fois à l'abris des regard. " Je me demande ce qui te passe par la tête mon enfant ! " Tôma la regarda avec un air de défi. Il savait qu'au fond elle était jalouse de lui, jalouse comme tous les autres qui le traitaient de monstre ou de démon. Sa mère se passa une main dans ses long cheveux noir, examinant son fils. Elle avait les larmes aux yeux et le petit arçon sentait que quelque chose n'allait pas. Comme d'habitude d'ailleurs. A chaque fois que ce genre de phénomène se produisait, c'était comme si elle voyait un fantôme. " Je n'ai plus trop le choix...."murmura-t-elle soudain. Elle se rua dans la pièce voisine où elle resta enfermer une bonne heure, tandis que Tôma regardait des âneries à la télé, blasé de ne pas pouvoir sortir. Quand sa mère refit son apparition, elle tenait une enveloppe dans la main, et avait une expression glacé sur son visage rond. Elle dit à son fils qu'elle revenait, qu'elle allait envoyer une lettre importante à quelqu'un. Le petit garçon attendit sagement à la maison, sous la surveillance de son grand père. Il n'aimait pas rester avec le vieux. Il sentait mauvais et n'avait aucune conversation. Il ne jouait même pas et restait assis derrière un bureau pour remplir des papiers. Il regardait souvent son petit fils comme s'il avait été une créature difforme. Il l'appelait souvent "le sang-mêlé" et le comparait souvent à son père. Son père, Tôma ne l'avait jamais connu. Selon sa mère, il s,'était volatilisé dès qu'il avait appris que la jeune femme était enceinte. Tout ce qu'il savait c'était qu'il n'était pas japonais et qu'il était riche. Il était curieux bien sûr, comme tout enfant qui n'a pas connu leur parent ou l'un des deux, il se demandait si ses dons ne venait pas de lui,il se demandait si son père n'était pas un démon comme dans les légendes urbaines, le genre de démons qui séduisent les jeune femme humaine. Il passa le reste de l'après midi enfermer dans sa chambre, s'amusant avec le peu de jouet qu'il trouvait. Ses devoirs de classes était encore sur son bureau et commençait à prendre la poussière, il n'avait ouvert aucun livre depuis le début des vacances et ne comptait pas en ouvrir un seul. L'école c'était barbant...il ne s'y passait jamais des choses amusantes, même quand il était en pause, les autres enfants ne s’intéressaient à lui uniquement pour qu'il leurs montre "un tour de magie". Il n'avait pas d'amis parce qu'il était bizarre, et qu'il ne parlait pas beaucoup. Mais Tôma jalousait les enfants qui s'amusaient à la fin des cours, où même ceux dont les parents venaient les chercher, ou leurs grands frères ou soeurs qui sortaient du lycée. Il avait souvent l'impression qu'il était celui qu'on montrait toujours du doigt, celui qu'on devait éviter tout ça parce qu'il était différent. Ce genre de situation le mettait dans un état de frustration qui déclenchait des crise d'énervement où il devenait violent.
Sa mère tarda à rentrer, il faisait nuit et Tôma était coucher, allongé dans son lit, il ne dormait pas, comme d'habitude, il mettait un temps fou à s'endormir. Il regardait le plafond d'un air las, quand il entendit un cri qui résonna dans toute la maison. Il sursauta, apparemment son grand père et sa mère se disputait assez violemment. Il se faufila, sur la pointe des pieds jusqu'à la porte de la cuisine et plaqua son oreille à la porte. "Comment oses tu demander de l'aide à ce bon à rien d'anglais ? Tu crois qu'il t'as aider pour le petit ? Tu crois que je n'ai pas assez honte que m'a fille ai forniqué avec un étranger ? " Tôma colla un peu plus son visage à la porte. Mais de quoi parlaient-t-ils ? "Papa je sais mais je ne peux pas faire autrement, ce goss....je ne peux plus le supporter...il faut qu'il prenne ses responsabilité aussi en tant que père !" Le sang de Tôma ne fit qu'un tour, ils parlaient de son père ? L'excitation montait pus vite que la colère et la tristesse qu'il ressentait vis à vis des paroles de sa mère. Ne pouvant plus attendre il ouvrit la porte de la cuisine, faisant sursauté sa mère et son grand père qui se reportèrent leur attention sur lui, les yeux grand ouvert de surprise. "Qui est mon père ?" demanda -t-il la voix tremblante. Sa mère resta silencieuse et son grand père le fusilla du regard. Le petit garçon resta planté dans l'embrasure de la porte immobile, défiant les adultes du regard. "Tu n'as pas à le savoir...va te coucher..." répondit finalement sa mère. Finalement Tôma n'avait rien appris d'autre et il finit par aller se coucher après maintes et maintes tentatives. Mais la réponse qu'il attendait allait apparaître devant sa porte, n'apportant à Tôma rien de bon.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Septembre 1968 ✻✻✻ Le garçon de huit ans était profondément endormis. Il était plus de minuit et la maison était calme. Juste la télé marchait en léger bruit de fond. Les adultes était posté devant, regardant d'un air absent les émissions tardives. Ils ne s'attendaient pas à avoir de la visite aussi tard. Pourtant on sonna à la porte. La femme fronça les sourcils et jeta un œil à l'horloge. Elle alla pourtant ouvrir, c'était peut être une urgence pour la clinique. Mais la personne qui se tenait sur le perron n'était ni blessé ni malade. Il était vêtu d'une manière étrange, couvert d'un capuchon. La femme eut un mouvement de recul, les mains plaquées sur sa bouche. Il n'était pas seul cette personne, accompagner de deux autres personnes encapuchonnés. "Que fais-tu là?" demanda la femme un peu trop fort. Sans qu'elle ne les invites à entrer, les trois personnes entrèrent dans la maison sans dire un mot. La première personne enleva sa capuche, c'était un homme d'une trentaine d'année, les cheveux noirs de jais et le visage avenant. Dans son sommeil le jeune Tôma s'agita et fini par se réveiller en sursaut suite à un cauchemar. Il repris ses esprit et se leva pour aller se servir un verre d'eau. Baillant et se frottant les yeux il débarqua dans le salon. Et se figea devant la scène qui s'offrait à ses yeux. Trois hommes en cape noire se tenait debout en plein milieu de la pièce, sa mère assise en pleure sur le canapé, son grand père le regard apeuré d'un chien battu enfoncé dans son fauteuil. Quand l'un des hommes prit la parole, dans un japonais approximatif avec un fort accent. "Tôma...viens me voir mon fils" Le jeune garçon regarda l'homme dans les yeux. La respiration haletante, le coeur battant, il était partagé entre avancer vers l'homme ou s'enfuir. "Pourquoi Armand ! Pourquoi fais tu cela ?" gémit sa mère s’agenouillant près du corps inerte de son père. Le dit Armand se retourna vers elle avec un air de dédains. "Parce que je suis un sorcier et un sorcier n'as pas à se mêler à des gens aussi insignifiant que des moldu de votre genre !" Tôma recula encore, de quoi ils parlaient, sorcier ? moldu ? Armand se tourna vers le garçon et tendis la main. "Tôma,s'il te plait...tu n'as strictement rien à faire avec ces personnes..." L’interpellé hésita, fit un pas en avant, se ravisa, puis hésita encore. Il regarda sa mère d'un air indécis. Puis il se souvint des mots affreux qu'elle avait dit quelques années plus tôt. Il regarda son père, et avança. "Tu es mon père ? Vraiment ? Prouve le !" Tôma croisa les bras et attendit, un sourire en coin déformant ses lèvres. L'homme se mit à rire et ébouriffa les cheveux de son fils. "Ecoute moi Tôma, ta mère m'a envoyer une lettre il y a plusieurs années pour me dire qu'il se passait des choses étranges autour de toi et qu'elle n'en pouvait plus c'est normal mon fils..." Tôma regarda Armand sans comprendre. "Ce n'est pas toi le monstre Tôma et ce n'est vraiment pas bon pour toi que tu reste ici, dans un monde qui n'est pas le tien, tu vaut beaucoup mieux que ça car tu es un sorcier..." Un grand sourire étira les lèvres du garçon et ses yeux se mirent à pétiller. Il le savait, il l'avait toujours su que sa place n'était pas là, il savait qu'il était unique. Son corps bougea de lui même et il se jeta dans les bras de son père qu'il accueilli comme une corde lancé au fond du puit dans lequel il était depuis que ses dons étaient apparu. "Et tu es venu me chercher c'est ça hein ?" demanda le petit garçon trépignant d'excitation. Armand se tourna vers la femme et le vieux. Son regard s'attarda sur la femme en pleur. "C'est à peu près ça...." son père pritun air sombre avant de sourire à son fils. "Aller va faire tes affaires..." Tôma couru dans sa chambre, tout sourire. Quelques instant seulement après qu'il ait commencer à faire ses bagages, un cri strident résonna dans la maison. Le petit garçon se figea, ferma son sac et se dirigea vers le salon. Ce qu'il vit le fit hurler. Les corps de sa mère et de son grand père gisait sur le sol inerte, les deux hommes brandissait des bout de bois vers eux. Armand était au milieu, la mine sombre. Il regardai Tôma avec des yeux brillants de tristesse.Le petit garçons tomba a genoux, les larmes ruisselaient sur ses joues sans qu'il puisse s'en empêcher. "Pourquoi ?" hurla-t-il en proie à une crise. Son père s'avança vers lui, Tôma se releva et recula sanglotant. "Tu comprendra quand tu sera plus grand mais sache que si j'ai fais ça c'est uniquement pour ton bien, les moldus sont des parasites..." "Mais..." bredouilla Tôma, "Mais maman n'avait rien fait..." il se mit à pleurer d'erechef. "Oh que si elle a fait plein de choses horrible envers toi Tôma..." Tôma se débattit quand son père le prit dans ses bras, mais il finit par abdiquer, pleurant à chaude larme, gémissant des maman, maman. Ce fut dans les bras de son père qu'il vit une dernière fois sa maison avant que l'un des deux hommes qui accompagnait son père ne pointe sa baguette vers elle et n'y mette le feu.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Août 1971 ✻✻✻ "Au moins ce n'est pas un cracmol...Et tu m'as dit que sa mère était morte dans un accident de ?" C'était un après midi de fin Août, il faisait beau ce jour là. Les enfants jouaient dans la cour du manoir Blackriver, Armand et son frère était dehors pour les surveiller, une lettre dans la main au nom de son fils, une lettre de Poudlard. Il était si fier, même si il ne doutait pas un seul instant de la "pureté" du sang de son enfant. Il avait grandit, parlait parfaitement l'anglais, et avait nourri une aversion pour les moldus. Il avait eut un peu de mal à se remettre de la mort de sa mère mais finalement, Armand avait su quoi faire pour émerveiller son fils et lui faire oublier a quel point sa vie chez les moldus était ennuyante. Il avait développer une certaine passion pour le Quiddicth, et Armand s'était empresser de lui acheter un balais pour son dixième anniversaire. Balais sur lequel à cet instant même était Tôma, virevoltant dans les airs, poursuivant son cousin du même âge. Armand regarda son frère avec un sourire. "Sa mère a été tué par des moldus...je savais qu'elle était une brillante sorcière mais de là à se faire avoir aussi facilement...comme quoi sa passion pour ces parasites a eut raison d'elle..." Armand et Tôma gardait le fait que la mère de se dernier était une moldu secrètement, personne ne savait qu'Armand Blackriver, aîné d'une famille de sang-pur avait eut une aventure lors d'un voyage au japon avec une moldu. Personne, tout le monde pensait que la mère de Tôma était une sorcière brillante mais passionnée des moldus et assassiné par ces derniers. Il ne s'attardait jamais longtemps sur le sujet. Pourtant, le scepticisme régnait dans la famille, surtout parmi les anciens. Tout cela parce que Tôma avait les yeux bridés et qu'il était arrivé en Angleterre sans connaissance magique d'aucune sorte. Mais les doutes furent quelque peu évaporé dès que je le jeune garçon avait prouvé ses dons de sorciers. Le plus important maintenant c'était qu'il avait reçu sa lettre de Poudlard et qu'il pourrait enfin apprendre à devenir un grand sorcier, et pouvoir réparer l'erreur de son père. Le garçon fut ravis d'apprendre que la rentrée se passerai dans la plus grande école de sorcellerie, et avait hâte de commencer son apprentissage. Quand ils partirent, lui et son père faire les achats de l'école au Chemin de Traverse, le garçon était intenable et exigeait beaucoup de chose inutile, comme par exemple une tenue de Quidditch alors que son père peinait à lui répéter que les élèves de première année n'avait pas le droit de faire partie d'une équipe de Quidditch. Mais le plus excitant pour le garçon était le moment de choisir sa baguette. La baguette qui choisi Tôma eut un peude mal à finir entre ses mains, mais finalement ce fut une bauette relativement longue et fine, d'un bois sombre, le bois d'ormes, et à l'intérieur du ventricule de dragon. Tôma en était tellement fier, ainsi que son père. Les deux Blackriver père et fils se promenèrent ensuite dans les petites rues bondées du Chemin de Traverse, les mains encombrés de paquets. Ils croisèrent des amis de la famille, notamment un couple et son enfant assez bien habillé, qui regardèrent Tôma bizarrement ce qui mit le petit garçon un peu mal à l'aise. Le fils de la famille avait les cheveux d'un blond cendré. Une fois que les présentation furent faites et que le père et le fils continuèrent leur périple dans les rues sinueuses, Armand se tourna vers son fils. "Les gens que nous venons de voir sont très importants et très riche il faut que tu te fasse amis avec ce genre de personne, retient bien ces noms : Malefoy, Lestrange, Nott et Black, essaie de te faire le plus amis amis possible avec ce genre de personne, tu finira par être une personne d'importante." Tôma regarda son père avec de grands yeux. "Et si je ne veux pas devenir quelqu'un d'important ?" Il se reçu une tape derrière la tête qui le surpris. Il se frotta l'arrière du crâne fusillant son père du regard. "Que tu le veuilles ou non tu devras devenir quelqu'un d'important, et surtout ne pas fricotter avec les moldus...et les sang-de-Bourbe" En entendant ces mots le petit garçon eut un frisson. Non bien sûr que non, il n'irai pas se rabaisser à des personnes aussi faible et insignifiante que..."ça". Sa mère se serai défendue si elle avait un minimum de pouvoir. Le jeune garçon releva la tête, sa fierté gonflée à bloque. Il n'était peut être pas le seul garçon de la famille et peut être le moins apprécié des héritier Blackriver, mais il allait montrer à tout le monde qu'il allait devenir une "personne importante".
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Septembre 1980 ✻✻✻ Il courrait comme un perdu dans les couloirs de l'école, un grand sourire aux lèvres. Kuro, transformé en belette des neiger, accrochée à son épaule essayer de rester agrippée. La peste des patronus était apparu en début d'année et fort heureusement, le patronus de Tôma n'avait rien, rien du tout, au contraire, Tôma et Kura étaient tous les deux dans une formes olympique. Des années avaient passé depuis l'entrée à Poudlard de Tôma. Il avait vingt ans aujourd'hui. Il avait gardé son esprit d'enfant, il passait son temps à faire des farces dans l'école, on le considérait comme un Peeves en version faite de chaire et d'os. Il avait n'avait pourtant rien d'un enfant, il n'était pas très grand, faute à ses gênes japonaise, mais il avait pris du muscle à force d'entrainement, son visage s'était fait plus dur, même si il était souvent illuminé par un sourire malicieux, il avait troqué ses cheveux noir pour une teinture blonde platine, assez long et souvent et bataille ou ornés de perles ou de mèches multicolores. On le prenait souvent pour une fille, mais personne n'osait lui cherchait des noises car il savait se déffendre. Il faisait partie des meilleurs élèves de sa classe de métamorphose, et était plutôt doué en cours de sortilège. En bref, Toma était devenu un homme, un homme caché sous un déguisement enfantin. D'ailleurs,revenons à cette scène où notre Tôma courrait en jetant des regards derrière lui, bousculant au passage quelques élèves. Il tenait dans sa main un paquet de bombabouse qu'il avait acheté chez Zonko. "Avoue que ce n'était pas une idée très futile Tôma !" grogna Kuro. Le jeune homme l'ignora royalement en continua à courir ricanant comme un enfant. "Franchement tu t'attendais à quoi après avoir envoyer cette saloperie dans une salle de cour ? Tu vas encore avoir des ennuis et tu sais comment ton père réagit à chaque fois !" Le jeune homme biffurqua à l'angle d'un couloir et disparu de la vue du pauvre Rusard qui claudiquait derrière lui brandissant un bâton. Mais malheureusement il tomba sur un professeur. Tôma se figea, le souffle cours. Son sourire s'effaça et il baissa les bras, s'avouant vaincu à cette folle course poursuite. Il écopa d'une sentence assez indulgente comparée à d'autre. Et quand il rentra dans sa salle commune le soir même il s'affala dans le canapé près de la cheminée, après avoir dégagé un couple d'élève en pleine conversation. Il sorti de son sac la lettre qu'il avait reçu le matin, une lettre de son père. Dans ces lignes son père le suppliait de grandir un peu et de prendre une décision au plus vite vis à vis de l'avenir de sa famille. Le regard de Tôma se perdit dans les faibles flammes qui dansaient dans l'âtre. Depuis sa majorité en tant que sorcier, son père le harcelait tous les jours au sujet des mangemorts. Bien évidemment le jeune homme était au courant de tout ce qui se passait hors de l'école et admirait les valeurs que protégeaient le seigneur des ténèbres, mais il se disait qu'au fond de lui, il n'était pas prêt à se battre pour une chose d'aussi futile, il y avait des choses qui était beaucoup plus importante à ses yeux. A commencer par ce magnifique paquet de cigarette au fond de son sac. Tous les soirs il se retrouvait avec son cousin du même âge et des amis à eux quelque part à l’orée de la forêt interdite. Il prit son sac, une veste, ignorant les mise en gardes de son patronus, et sortis en catimini. Il retrouva son cousin sur le chemin. Ils allumèrent leur cigarette en même temps. "Tu sais mon père dit des choses bizarre à ton sujet Tôma..." Les deux jeunes hommes avaient dépassés la cour. Il faisait frais ce soir là. "Ah oui, et quel genre de choses ?" demanda Tôma sur un ton de défi. "Ben tu genre que tu ne serai pas capable de devenir tu sais quoi, que tu passes ton temps à faire le con, et cetera et cetera...." Tôma haussa les épaules, crachant la fumée. "Ton père peut dire ce qu'il veut, c'est qu'un vieil aigri mal baiser..." Il sereçu un coup de poing dans l'épaule. Le jeune homme fusilla son cousin du regard en se massant l'épaule. "Arrête Tôma ! Tu sais que c'est important !". Il leva les yeux au ciel. "Ouais je sais" il prit une voix grave et un ton important imitant son père "L'avenir de la famille est entre vos main vous les jeunes, vous devez devenir des personnes importante ! Franchement Ian, comment tu veux devenir "important" si tu passe ton temps à massacrer des gens pour défendre un idéal ? C'est stupide !" Ian Blackriver regarda son cousin d'un air soupçonneux. "Ne me dis pas que tu n'a pas fois envers tout ça, tu déteste les moldus et les autres autant que nous..." Le regard de Tôma se perdit dans la contemplation d'un point invisible devant lui "Je n'ai jamais dit ça...c'est juste que je n'ai pas envie de prendre ce genre de responsabilité maintenant, je préfère profiter de ma jeunesse tant que je le peux encore, quand je vois les vieux débris ça me donne la gerbe..." Ian flanqua une magnifique tape dans le dos de Tôma qui tituba en avant, s'étouffant avec la bouffé de cigarette qu'il venait d'avaler. "Ouais bha mon vieux, fait comme tu veux...mais tarde pas trop non plus si non tu va rester sur le carreau..." Tôma pouffa de rire, et les deux cousin se dirigèrent à leur endroit habituel où leurs amis les attendaient. Pourtant les années passèrent, et Tôma restait toujours fidèle à lui même. Il ne prenait pas de décision, il préférait vivre dans son monde, dans sa bulle plutôt que de se frotter à ce genre de décision et de responsabilités.