| Chuck △ I don't need nice. I don't need myself to be it and i don't need anybody else to be it at me.par Invité, Dim 5 Mai - 16:23 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Chuck William Greengrass FEAT. Louis Tomlinson 17 ans ϟ Cursus primaire ϟ Corbeau freux + chat siamois ϟ Sang purChuck est un garçon à la personnalité plutôt changeante. En effet, l'éducation de ses parents lui a appris à dénigrer les nés-moldus et à considérer la pureté du sang comme une fierté. C'est donc un garçon qui peut parfois se révéler hautain et méprisant envers les personnes qu'il considère comme inférieures, et dieu sait qu'il y en a beaucoup. Il peut se révéler extrêmement égoïste, bougon et jaloux quand il est de mauvaise humeur. Dans ces moments là, il se révèle vraiment exécrable et personne n'aime vraiment l'approcher. Chuck est aussi quelqu'un d'ambitieux qui a envie de faire de grandes choses dans sa vie et très intelligent, mais malgré ça il n'est pas du genre à être hyper studieux. Il fera le minimum qu'on lui demande, mais ne s'investira jamais plus, tout simplement parce qu'il n'en a pas besoin ; il réussit déjà très bien comme ça. Ce qui bien entendu, le rend un peu fier. Il a la réputation d'être un élève perturbateur et peut parfois provoquer ses professeurs quand il se sent d'humeur assassine. Il lui arrive très souvent de sortir des répliques cinglantes aux autres élèves ; le sarcasme et l'ironie, il les maîtrise très bien. C'est de plus quelqu'un de très malin qui arrive facilement à manipuler les gens quand il le veut, ou tout du moins à embrouiller leurs esprits avec des tas de paroles hypocrites. Parallèlement, son éducation fait aussi de lui quelqu'un de très poli, un gendre idéal. Lorsqu'il le désire, il peut se révéler absolument adorable avec les personnes qui l'entourent ; sociable, prévenant, fidèle, drôle, peu de monde résiste à son charme. Malgré tous ses défauts, il est quelqu'un à qui l'on peut faire confiance, car il a un sens accru de l'honneur. Jamais il ne trahirait une personne, même si c'est quelqu'un qu'il n'aime pas. Il n'en est pas honnête pour autant, par contre. Le garçon est quelqu'un de courageux qui n'hésiterait pas à défendre un de ses amis s'il le fallait. En général, il préfère la compagnie, aimant recevoir de l'attention, mais il lui arrive parfois de désirer se retrouver seul. Dans ces moments là, il lit un livre, ou se trouve un partenaire pour jouer aux échecs version sorciers, jeu qu'il affectionne et auquel il est particulièrement doué. Il se sent aussi un peu rebelle dans l'âme, car même s'il est très attaché à l'éducation donnée par sa famille, il ne veut pas leur ressembler. Il veut être quelqu'un de différent, qui pourra choisir lui-même son avenir sans obéir aux contraintes d'être un sang-pur. Alors il lui arrive souvent de désobéir à ses parents, même s'il les aime énormément. C'est un garçon tiraillé entre leur besoin de reconnaissance, mais aussi l'envie de se détacher d'eux, c'est pourquoi il peut parfois avoir des comportements contradictoires. Mais malgré tout, il se sent encore trop attaché au nom Greengrass pour trop leur désobéir. Il se donne un air rebelle et assuré lorsqu'il est à Poudlard, alors qu'au fond il n'est qu'un gamin peu sûr de lui, ne sachant pas s'il doit voler de ses propres ailes ou faire honneur à sa famille. En général, Chuck est du genre à agir dans son propre intérêt. a little something from you. Pour un cadeau de Noël inhabituel, c'était plutôt réussi, il fallait avouer. Concentré depuis un moment sur ses devoirs de métamorphose, le garçon n'avait pas fait attention à la forme brumeuse qui était à ses côtés... Pour une fois qu'il était studieux. Forme qui devint vite plus consistante pour se transformer en un corbeau en chair et en os. C'est quand il entendit un « Surtout, me souhaite pas la bienvenue dans ta famille, hein. » suivi d'un froissement d'aile, qu'il fit un énorme bond et se retourna, surpris. La voix avait résonné directement dans sa tête et c'était une sensation étrange. Et qu'est-ce qu'un corbeau freux fichait perché sur son armoire, d'abord ? C'était à n'y rien comprendre. « J'suis ton patronus. Maintenant, tu vas devoir me supporter tous les jours, jusqu'à la fin de ta vie. » ...quoi ? Chuck n'avait pas pour habitude d'être lent à comprendre, mais il fallait avouer que là c'était assez étrange. Il ne comprenait absolument rien de ce qui pouvait se passer. « J'comprends rien. » dit le garçon, cette fois-ci à voix haute, par habitude. « Stupide. » lui répondit mentalement l'animal. Et puis il se mit à lui expliquer. Le sort raté, le fait que tous les enfants voyaient apparaître leur patronus, comment tous les deux allaient être liés à vie, tout ce que ça impliquait. Le garçon écoutait, fasciné. Finalement, même s'il se révélait sarcastique et semblait avoir un caractère bien trempé, Chuck aimait bien son patronus. Après tout, il était le reflet de sa personnalité et tous les deux devraient vivre ensemble jusqu'à la fin de leur vie... autant que la cohabitation se fasse dans la bonne humeur. « Tu me ferais l'honneur de me dire ton prénom, sinon ? » pensa l'enfant, ironique. « Tu l'connais déjà, tête de noeud. » lui répondit le freux sur le même ton. Hemingway. L'animal s'appelait Hemingway.
Bien qu'il puisse prendre une seconde forme, celle d'un chat siamois, Hemingway lui apparaît le plus souvent en tant que corbeau, ce qui n'est pas pour lui déplaire, puisqu'il trouve que cette forme lui correspond bien. Cet animal, tantôt considéré comme intelligent et rusé, tantôt comme un annonciateur de mauvaises nouvelles ou une âme perdue illustre parfaitement la dualité du caractère du garçon Greengrass. Dans ma mythologie nordique, le dieu Odin avait deux corbeaux perchés sur ses épaules qui lui racontaient tout ce qu'ils voyaient. L'un signifiait la réflexion, l'autre la mémoire. D'un autre côté, pour les chrétiens il est plutôt considéré comme un animal infidèle à ses maîtres, égoïste et impur. Son patronus était certainement très intelligent et rusé. Du genre plutôt moqueur et sarcastique, il ne gênait jamais pour balancer quelques remarques assassines au garçon, qui savait très bien que ces paroles étaient uniquement là pour le faire réfléchir, penser par lui-même. Hemingway était du genre rusé et ambitieux, tant soit peu qu'un patronus puisse avoir de l'ambition. Selon lui, tous les deux allaient accomplir de grandes choses... C'était sûrement faux, mais au moins il apportait à Chuck la confiance qui lui avait toujours fait défaut jusque là. C'était lui qui encourageait aussi le garçon à se détacher de sa famille, à assumer ce qu'il était vraiment. Au fil du temps, lui et son patronus ont tissé des liens très forts, le patronus ayant un rôle de mentor pour le garçon. Chuck a accepté le fait que tous les deux étaient liés et il entretient une relation fusionnelle avec le corbeau freux. This one moment when you know you're not a sad story. ▬ Chuck était avec Sixtine, une fille qui n'habitait pas très loin de chez lui. Il en était amoureux, mais c'était aussi sa meilleure amie avant tout. Elle était gentille, drôle et belle Sixtine. Même si sa famille n’avait pas l’air de l’apprécier, le garçon s’en fichait totalement. C’était sa meilleure amie, en plus. Tous les deux essayaient de se voir dès qu'ils le pouvaient, même si c'était dur puisqu'ils étaient obligés de se cacher. Ses parents ne cessaient de lui répéter qu'elle n'était qu'une moldu sans importance, mais Chuck leur avait pourtant bien expliqué qu'elle aussi possédait des pouvoirs magiques... sauf que ça les avait encore plus énervés. Ils lui ont dit que c'était pire, qu'elle était une sang-de-bourbe et qu'elle ne méritait pas son amitié. Que si ça continuait, il serait victime de sa mauvaise influence. Il était un peu trop jeune pour comprendre ces histoires d'adultes, mais Charlie elle, elle comprenait. Elle avait essayé d'expliquer à Chuck tout ça. Les valeurs que leur avaient inculqués leurs parents, pourquoi il ne fallait pas qu'il soit ami avec Sixtine, parce que même si elle était bien gentille, elle serait toujours inférieure à leur famille. Qu'elle n'était pas comme eux et que rien ne pourrait changer cette situation. Mais c'était impossible, il aimait trop son amie pour la laisser tomber. Les autres, ils ne valaient peut-être pas grand-chose à ses yeux, il savait que sa famille valait beaucoup mieux, mais Sixtine était différente. Elle était différente, pas comme les autres moldus. Ils se voyaient donc toujours en cachette, espérant que ses parents ne le découvriraient jamais, parce que malgré tout, il n'avait pas envie de les décevoir. Charlie gardait son secret, même si elle ne voyait pas ça d'un très bon oeil, mais qu'importe, elle aurait tout fait pour son frère.
▬ Ils étaient tous les deux en train de jouer dehors, calmement pour l’instant, mais ça ne risquait pas de durer. Chuck et Charlie, sa grande sœur plus vieille que lui de trois ans, étaient très proches. De caractère semblable, ils étaient toujours prêts à embêter leurs parents ensemble, même si la fille était plutôt du genre à protéger son petit frère et le couvrir lorsqu’il faisait des bêtises. Ils avaient respectivement huit et onze ans, on était en juillet et Chuck s’inquiétait pour sa sœur, qui à la rentrée serait à Poudlard, ce qui voulait dire ne plus se voir que pendant les vacances et rester tout seul à la maison avec les parents, pendant qu’elle apprendrait des choses beaucoup plus intéressantes. Le petit allait s’ennuyer sans elle, c’était certain. Il avait envie de grandir très vite pour la rejoindre et devenir un vrai sorcier. Bien sûr il aimait être ici, avec sa famille et aussi Sixtine… même si avec elle, il devait se cacher lorsqu’ils voulaient se voir, puisque ses parents ne semblaient pas vraiment l’apprécier. D’ailleurs c’était Charlie qui s’occupait de les cacher lorsqu’ils se donnaient rendez-vous. Même si elle semblait réticente elle aussi, n’appréciant pas trop la jeune fille, la Greengrass aurait fait n’importe quoi pour son petit frère, alors elle le couvrait. « Regarde Chuck, ma baguette. Je suis allée la chercher avec paps hier, tu trouves pas qu’elle est belle ? » l’enfant hocha la tête, émerveillé devant le bâton que sa sœur brandissait. Elle semblait pourtant normale, mais on voyait que le bois avait été finement travaillé, et même un enfant aussi jeune pouvait en admirer le travail. « Tu veux que j’essaye un sort sur toi ? Ça pourrait être marrant. » il opina du chef, toujours prêt à suivre sa sœur dès qu’elle lui demandait quelque chose. Contente, elle leva sa baguette et ouvrit la bouche, mais fut soudain arrêtée dans son élan par sa mère, qui arrivait vers eux en courant, furieuse « Mais vous êtes fous tous les deux ? Arrêtez-moi vos bêtises tout de suite et rentrez à la maison immédiatement ! ». Chuck murmura à sa grande soeur, avant que leur mère ne vienne confisquer la baguette « C'est pas grave Jules, on essayera une autre fois. » et elle hocha la tête, contente. Il était le seul à l'appeler Jules. Ça venait de son second prénom ; Juliet, celui que personne n'utilisait jamais. Sauf Chuck.
▬ Finalement, tout finit par changer un jour ou l’autre. Oui ça avait pris du temps, mais après tout ses parents avaient raison ; Sixtine n’était qu’une sang-de-bourbe. Elle ne vaudrait jamais la moitié de ce que valait sa famille, même si elle le voulait. Chuck lui avait tout dit. Il l'avait énormément blessée, il le savait, mais ça lui faisait mal, à lui aussi. Mais la fierté de sa famille lui importait plus que tout. Elle n'était pas différente des autres, il méritait de meilleurs amis, des sang-purs. Même si ses parents n'avaient jamais été très clairs sur ce sujet, préférant garder leurs opinions pour eux, c'était bel et bien ce qu'ils pensaient, et dans cet objectif que Jules et Chuck avaient été élevés. Pour l'instant, il fallait avouer que la grande soeur avait mieux réussi que le garçon qui, même s'il savait qu'il ne reparlerait plus jamais à Sixtine, se sentait extrêmement coupable. Il l'oublierait, lui avaient promis ses parents. Il ferait la connaissance d'enfants plus fréquentables et il s'épanouirait très bien sans elle. Charlie lui avait dit les mêmes choses, et il les croyait, parce que leurs avis étaient toujours les plus importants. Il lui avait fallu un moment pour oublier, mais il était encore jeune. Ses parents lui présentèrent de nouveaux enfants de son âge, de sang-pur. Il rentrerait avec eux à Poudlard dans quelques années. Petit à petit, il finit par oublier Sixtine et son beau sourire, leurs après-midi tous les deux, les hiboux qu'ils s'envoyaient en secret, et passa à autre chose. Avec ses nouveaux amis, il passait son temps à parler de leurs futures études à Poudlard, de leur famille, de ce qu'ils allaient faire comme métier plus tard, lorsqu'ils deviendraient de grands sorciers. Ils rêvaient de beaucoup de choses, bien évidemment. Ils avaient hâte.
▬ Vingt-et-un centimètres, bois d'amarante, ventricule de dragon. Chuck tenait sa baguette dans la main droite, émerveillé. Il la trouvait absolument magnifique et était tellement fier de pouvoir enfin posséder quelque chose d'aussi personnel. De plus, ça signifiait qu'il irait bientôt à Poudlard, lui aussi. Il venait de sortir de chez Ollivander où il s'était rendu avec Charlie, pendant que ses parents étaient parti lui acheter un chaudron et toutes les fournitures dont il avait besoin. Il ne manquait plus que ses livres, et l'enfant aurait tout ce qu'on lui demandait dans sa liste de fournitures et tout serait enfin complet. La rentrée était déjà dans un mois et le garçon n'en pouvait plus d'avoir autant à attendre. Jules lui avait dit que Poudlard était un endroit merveilleux, avec de très bons professeurs, même s'il y avait quand même trop de sang-de-bourbe à son goût. Qu'importe, ça n'allait pas être quelques nés-moldu qui terniraient la scolarité du garçon. Il savait ce qu'il valait par rapport à eux et n'hésiterait pas à remettre en place les personnes qui ne respecteraient pas sa famille. Parce que comme lui avait répété plusieurs fois son père et sa mère : « Notre famille, c'est ce qui compte le plus et ce qui passe avant tout le reste. » il avait fini par le comprendre et respecter tout ça. Même si parfois, il se posait des questions sur l'éducation qui lui avait été donnée. Il se comparait à sa grande soeur, si gentille mais qui correspondait totalement à tout ce que les parents leur avaient enseigné. La pureté du sang, les valeurs attachées à tout ça, Charlie le respectait à la lettre, comme si ça avait été quelque chose d'inné chez elle. Tandis que Chuck, même s'il était du genre à mépriser ceux qu'il considérait comme inférieurs, remettait toujours en question ce qu'on lui avait appris. Même s'il ne formulait pas ses questions à voix haute, dans son cerveau, ça carburait. Mais après tout, il verrait bien ce qu'il adviendrait quand il sera à Poudlard.
▬ « Jules, tu veux jouer une partie d'échecs version sorcier avec moi ? » Elle lui fit non de la tête, plongée dans son livre d'histoire de la magie. Sa soeur, elle étudiait tout le temps, contrairement à Chuck qui avait tendance à tout reporter au lendemain. Néanmoins, il avait de bons résultats, c'était quelqu'un de très intelligent. Simplement, il n'aimait pas rester trop longtemps à rien faire, trouvant la solitude trop déprimante. Quand il se retrouvait seul avec lui-même, c'est qu'il avait besoin de réfléchir sur les choses qui se passaient dans sa vie. En général, il préférait être entouré d'amis avec qui il pouvait faire tout et n'importe quoi, mais surtout se vanter, un peu. Pas trop non plus. Mais Jules, elle était du genre plus studieuse et prenait ses études à coeur... elle voulait avoir un bon travail plus tard, et Chuck comprenait tout à fait. Après tout, ils n'avaient pas le même âge et il fallait bien grandir un jour, non ? Mais il insista quand même, le garçon ne renonçait jamais. Quand il voulait quelque chose, il faisait tout pour l'avoir. « S'teuplait Jules... Rien qu'une petite partie et après je te laisse tranquille. » sa grande soeur soupira, referma bruyamment le livre et jaugea son frère du regard. Il sut qu'il avait gagné, encore une fois. « C'est d'accord, mais rien qu'une seule. » lui répondit-elle. Il poussa un cri de joie et elle s'installa en face de lui. Il gagna la partie, comme il en avait l'habitude. Même si Charlie se débrouillait vraiment bien aux échecs version sorciers, Chuck arrivait toujours à gagner. Ce jeu, c'était sa passion depuis qu'il était tout petit, son père lui avait appris les règles, lui faisant jouer une partie presque tous les soirs. Depuis, il avait continué, mais il n'y avait en général que sa soeur qui voulait se mesurer à lui. La plupart de ses amis ne savaient pas y jouer. C'était dommage, parce que Chuck, il adorait ça.
▬ Et puis il y avait encore Sixtine. Si elle semblait l'avoir oublié, Chuck s'était vite rappelé la jeune fille, celle dont il était tombé amoureux quand il était petit. Bien sûr qu'elle était aussi à l'école de sorciers, puisqu'elle avait des pouvoirs magiques. Tout aurait été plus simple si elle n'en avait pas eu, puisqu'il ne l'aurait pas revu. Elle était encore plus belle, maintenant qu'elle avait grandi. Heureusement pour lui, la brune n'était pas dans la même maison, il ne la voyait pas aussi souvent. Mais il avait commencé à lui reparler. Au début, il avait fait comme s'il ne la connaissait pas, puis tout a commencé à se compliquer. Le garçon a senti qu'il était attiré par elle, mais ça n'était tout simplement pas possible... c'était une sang-de-bourbe. Il lui avait donc tout révélé. Elle ne se rappelait plus, mais Sixtine a fini par se souvenir au fur et à mesure. Bien sûr elle avait plutôt mal réagi et leur relation avait cessé du tout au tout. Mais il voulait se faire pardonner. Parce qu'au fond de lui, à trop se questionner, Chuck s'est dit qu'il voulait être différent. Donner une chance à cette née-moldu. Il savait qu'elle n'était pas comme tous ces autres sangs-de-bourbe inutiles et inférieurs. Sixtine valait mieux qu'eux, il le prouverait à ses parents un jour. Le Greengrass était prêt à faire d'énormes efforts pour qu'elle lui pardonne et qu'ils redeviennent amis... même plus. Il commençait à remettre toute l'éducation qu'il avait reçu. Mais il hésitait encore. Dans son for intérieur, Chuck n'était après tout qu'un enfant perdu qui avait peur. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: June, bientôt 18 ans ϟ Où as-tu trouvé le forum? J'ai la mémoire courte, désolé. ϟ Personnage: Inventé, issu de la famille Greengrass ϟ As-tu un autre compte sur BP?La schizophrénie, c'est pas bien. ϟ Présence: 7/7, 24/24 (34cts d'euros la minute)ϟ Une remarque? :ass:
Dernière édition par Chuck W. Greengrass le Mer 8 Mai - 22:37, édité 10 fois |
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