BELLUM PATRONUM
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Version 34
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Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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| so much fire in me, so many plans | | | so much fire in me, so many planspar Guest, Mar 13 Sep - 21:24 ( #) | Barbra Evelyn Farquharson ft. scarlett leithod sang-mêlée dix-huit ans célibataire hétérosexuelle médecine magique loup arctique pro-mangemort stuffmodels | | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Farquharson, les dorures parsèmes à mesure ce blason qui un jour s'en verra recouvert. Prénom: Barbra, Evelyn. Tous deux héritages des ancêtres oubliés, des terres adulées. Âge et Date de Naissance: Dix-huit ans la sépare des premiers cris poussés le premier décembre 1963. Ceux qui jadis fendaient l'air irlandais. Nature du sang: Le plus pur de ces maudits mêlés. Situation familiale: Née derrière la fougueuse et devant l'héritier. Sexe insignifiant, elle demeurera la malléable, la discrète, celle dont on n'entend les pas, mais dont on sens la lame. Admirée du coin de l'œil, on guette ses fautes, mais ne glorifie ces pâles et routinières réussites. Patronus: Loup arctique. Miroir du Rised: Debout, sur la même marche que le chef de meute, au milieu de cette famille aux mœurs adoucis face au sexe faible. Ce dernier reconsidéré grâce à ses réussites. Epouvantard: Elle-même, iris blanches, prunelles aveugles. Composition de la baguette magique: Tilleul argenté et ventricule de cœur de dragon. Etudes Suivies: En première année de médecine magique. Sous cursus psychomagie, options divination et legilimencie. Animal de compagnie: Le souvenir d'une chouette tachetée irremplaçable. | Caractère L'enfer lui-même n'est pavé que de bonnes intentions, alors à quoi bon devenir meilleur si l'âme devait tout de même être damnée. Et si la sienne est déjà sombre, une part de bonté s'accroche. Mais pas si généreuse. Aux siens elle distribue tout, à ceux qui lui sont profitables ou font battre son cœur, mais toujours elle se garde une part, la meilleure. Pourtant si douce, bien élevée. Elle n'est que cette âme imperturbable, si réfléchie et posée. Toujours elle fera primer cette intelligence, aussi teintée de sournoiserie est-elle, sur cette faiblesse qu'est une fougue trop prononcée. Partisane des attaques franches, directes, mais calculées. On ne l'entend venir, mais on la voit planter sa lame, car elle refuse d'être lâche. Alors elle est ce calme certes, mais la tempête aussi. Malléable par certains, elle se laisse aisément faire par ceux qui désirent son bien ou peuvent lui apporter les richesses désirés. Naïve aux prunelles des imbéciles, ceux qui ne voient en elle ce bout de femme qui sait s'imposer. A sa manière, tout en finesse, car cette douce flamme n'est qu'élégance et subtilité. Pourtant les Dieux eux-même n'oseraient la contrarier. Certains la dirons mauvaise, aussi nécrosée de l'intérieur que son faciès est céleste. Mais elle n'est que faucon, de ceux qui pour préserver leur paix ne craignent d'envisager la guerre. Combative, l'ambition ronge à mesure cette bienveillance qu'elle s'efforce pourtant de préserver, consciente que l'indépendance qu'elle acquière n'est que tremplin vers les ténèbres. Mais peut-être est-ce qu'elle veut finalement, sauter à pieds joints dans ces limbes détentrices de pouvoir. Mais les doutes pour l'instant font stagner l'enfant, aussi ardemment fuit-elle la peur, celle qui sûrement la ferait reculer. Cueillir le jour présent sans se soucier de la veille, avec toujours un même dessein. Ainsi l'horizon paraît moins bouché et il est aisé de sourire au destin. Dénuée du mésestime, elle fait confiance, se fait confiance et savoure ses nuits de sommeil. A chaque nouveau jour, nouvelle page blanche à tâcher. | Patronus Murchadh. Loup arctique au pelage aussi blanc que son âme est sombre. Il n'a jamais daigné faire profiter quiconque de la vue d'une potentielle seconde forme. Rustre animal à l’entêtement agaçant, éreintant, de sa gueule les reproches pleuvent et finissent par sonner tels des coups en plein cœur. Trop fière pour supporter pareil acolyte, des mois ont été nécessaire pour tolérer sa présence et de nombreux encore pour l'apprécier, la considérer, en trouver une utilité certaine et profitable. Détestable boulet collé à son être sans jamais pouvoir être fuis, rare était le répit en la compagnie du fardeau et pourtant, malgré les mots et les maux, ils ont su modeler cette relation des plus inexistante afin d'en faire une arme farouche, destructrice. S'habituer au mal n'était envisageable de toute façon, moins encore vivre avec chaque seconde. Alors en la fatalité il fallait trouver une force et c'est ce qu'ils sont devenus, les sauvages. Forts. De fidèles alliés, dont l'animosité s'est transformée en respect. Les cris ne fusent plus, seulement les réflexions s'échangent, solides, profondes. Et s'ils se blâment encore, ce n'est que pour s'élever mutuellement sur le chemin d'une réussite certaine. Car il est sage, le loup. Aussi sage que l'est l'humaine. Et leurs voix sont raison lorsqu'elles acceptent de s'écouter, s'entrelacer. La néfaste relation de jais s'est maculée d'une blancheur étincelante, mais n'a toutefois perdue ses étincelles, celles qui ne cessent de jaillir d'une part puis de l'autre. Celles qui se confrontent, s'affrontent, mais qui maintenant savent aussi pointer en une même direction. | Pseudo et âge: Natblida (jennifer) et vingt-deux ans pour encore quelques semaines. Où as-tu trouvé le forum ? Par bazzart certainement, il y a fort fort longtemps. Personnage: Famille de sorciers, les plus beaux, la meute Farquharson. As-tu un autre compte sur BP ? Nop, mais ceci est un changement de personnage. Présence: Bien trop souvent. Une remarque ? |
Dernière édition par Barbra Farquharson le Dim 18 Sep - 14:41, édité 9 fois |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Guest, Mar 13 Sep - 21:25 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times Il y avait très peu de vrais salauds et de vrais saints. Il n'y avait que des hommes qui regardaient leur nombril, tremblaient pour leur nombril et protégeaient leur nombril sans jamais cesser d'être d'une banalité insoupçonnée - et toi, tu n'étais en rien différente de ceux-là. (DÉCEMBRE 1980) « Qu'est-ce que tu lis ? » « La gazette. » Nonchalamment installée sur l'un des fauteuils trônant au centre de la pièce, tu tenais ce journal entre tes mains. Pourtant, tes prunelles ne fixaient plus l'encre, sûrement lasse de voir ces mêmes mots s'enchaîner depuis des mois. « Une gazette vieille de trois mois ? » Ta sœur s'était approchée, septique quant-à ta réponse. Il demeurait aisé de deviner l'ancienneté du document. Par son aspect certes, mais surtout ce titre en couverture. Et tu pouvais voir ses traits s'affaisser à mesure qu'elle le lisait, son faciès perdre de ses teintes, dès lors qu'elle comprenait. « Attends. » Doucereuse était ta voix, et pourtant si ferme qu'elle stoppait l'aînée qui déjà fuyait. « Tu l'as lu ? » « Bien-sûr, comme tout le monde. » « Et tu en penses quoi ? » Un soupire, tu l'entendais s'échapper d'entre ses lèvres même si tu lui tournais le dos. Elle hésitait. S'en aller, s'approcher de nouveau, continuer à faire la sourde oreille ou percer les mystères qui parsemaient tes prunelles depuis des mois. Mais lesquels. Les doutes, l'angoisse, la crainte. Les soupçons peut-être, ou l'envie, cette curiosité maladive, ce besoin de savoir, d'abattre l'ambiguïté. Percevait-elle tout cela dans ton regard, ou finissait-elle par s'approcher parce que justement en toi, elle ne voyait rien. Rien d'autre que la naïve petite sœur muette, jolie poupée docile qui hochait la tête lorsqu'on le lui demandait, ordonnait. Qu'importe, toi tu voyais si clairement en elle. Et peut-être arriverait-elle à te connaître aussi bien, si elle n'était sujette à l'impulsivité, celle-là même qui la rendait bête, lui faisait perdre la tête, causerait sa perte. Des mois qu'elle n'était plus seulement cette enfant rebelle et animée par le désir d'indépendance, des mois qu'elle fuyait vos êtres, qu'elle s'était adoucie certes, mais trop. Et si les pairs n'en pensaient rien, ne disaient rien, toi tu ne te laissais duper. A moins qu'ils soient liés, tous, et toi aveuglée, toujours laissée de côté. « Il semble aller mieux. » « Fursy ? » Tu hochais la tête, elle acquiesçait. Pourtant c'était faux, il n'irait jamais mieux. Et lui aussi s'éloignait, prenait doucement ses distances, ne vous regardait plus dans les yeux. Le petit demeurerait meurtrie, et ses blessures n'affaiblissaient que lui. C'est bien la meute, dans son entièreté, qui sombrait, partait en fumée. « Alors, ça fait quoi ? » Toujours ce même regard qu'elle te lançait. Si elle peinait à te cerner, sûrement était-ce l'unique à voir le mal en toi. A quel point le mal, s'était épris de toi. « D'avoir faillis tuer son propre frère. » C'était la première fois que tu mettais des mots sur tes songes, ça t'arrachait un sourire satisfait, alors que l'aînée se décomposait. « Pardon ? » « Et tuer, ça fait quoi ? Car beaucoup n'ont eu sa chance. » Tu laissais tomber le journal froissé au sol, alors qu'elle reculait d'un pas. « T'es complètement folle. » « Alors, dis moi, partages ton savoir. N'est-ce pas de mise entre sœurs ? » Ta voix n'était éprise de reproches, dénuée de crainte, jute avide, provocante. Et sûrement était-ce plus effrayant que les mots. « Restes en dehors de tout ça. » « Alors c'est vrai ? » Tu te levais, t'approchais, rompais l'espace entre vos corps. « Non, bien-sûr que non. » Mais alors que tes lèvres semblaient vouloir laisser échapper autre chose, votre père faisait irruption dans la pièce et lui restituait son silence. (JUILLET 1981) Tu t'éveillais, en sueur. Encore. Toujours ce même rêve, cette accumulation d'images qui ne devenaient plus claires avec le temps. Le sang, cette odeur de mort qui parvenait à tes narines. Tu avais dix ans, la première fois que tes songes s'étaient ainsi vues perturber. La première fois que tu avais hurlé au beau milieu de la nuit, éveillé toute la maisonnée pour finalement ne rien révéler. Car tu ne disais rien, jamais. Ni de tes peurs, ni des démons qui te hantaient. A quoi bon, sûrement n'était-ce rien. Seulement des cauchemars, images matérialisées durant ton sommeil par un subconscient perturbé. Mais comment expliquer le tourment chez une fillette de dix ans ? Par la perte d'êtres chers, sûrement. Ta nièce, puis ta tante. Cette dernière, dont tu avais vu la mort avant même que la faucheuse elle-même décide de vous la prendre. Là non plus, tu n'avais rien dit. Muette, tu avais seulement attendu la disparition en te demandant si ce n'était pas toi qui la voulait. Toi, qui faisait cela. Qui modifiait l'avenir, le façonnait. Alors tu avais essayé de la voir à nouveau, de forcer ton esprit à modeler autre chose. Et lorsque l'autre monde t'appelait, tu tentais de discerner quelque chose à propos d'elle, de déchiffrer un message, n'importe quoi qui rendrait fausse la vision de ce fameux soir, juste après la mort d'Ada. Mais elle n'était venue, cette contradiction. La mort elle, si. Parce que tout venait toujours, tout ce que tu voyais. Mais là, c'était différent. Jamais durant ton sommeil tu n'avais vu quoi que ce soit. Cela ne marchait pas ainsi, et même si les mirages étaient semblables, tu sentais, qu'ils n'avaient rien à voir avec le don. Alors pourquoi revenait-il incessamment ? Et pourquoi, tu ne pouvais t'empêcher de songer alors à ton clan. De le voir, dès que tu fermais les yeux. De voir leurs visages, un à un défiler devant tes paupières, sans toutefois que ton esprit ne s'arrête sur aucun. Était-ce parce qu'ils resteraient saints, qu'ils n'avaient rien à craindre ? Ou peut-être ne visualisais-tu pas le bon. Mais tu ne prédisais la mort. Tu n'avais vu celle de ta nièce, ni les malheurs qui s'étaient par la suite abattus sur tes pairs. Les accidents, la prison, la maladie de ta mère. Et tout ce qui s'imposait dans ton esprit ne devait être pris au pied de la lettre, moins encore être jugé comme prophétique. Pourtant, tu savais que tu n'arriverais plus à dormir, ni cette nuit, ni la prochaine. Peut-être celle d'après, mais tu t'endormirais avec cette impression de danger, et finirais par la refouler. Comme chacun de tes démons.
Dernière édition par Barbra Farquharson le Sam 17 Sep - 11:59, édité 2 fois |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mar 13 Sep - 22:01 ( #) | Elle est mignonne ta nouvelle. Rebienvenue |
| Nam So Hyun admin - the universe is full of intentions Répartition : 19/01/2014 Hiboux Envoyés : 1391
| Re: so much fire in me, so many planspar Nam So Hyun, Mar 13 Sep - 22:10 ( #) | scarlett rebienvenue |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Guest, Mar 13 Sep - 22:30 ( #) | |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mar 13 Sep - 23:35 ( #) | Je peux pas te dire rebienvenue avec Immchadh Petyr, mais le coeur y est ReBienvenueeee Hâte de rp avec toi |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mer 14 Sep - 0:02 ( #) | Re bienvenue Content de voir que tu as finalement trouvé un autre personnage qui te plaît |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mer 14 Sep - 1:04 ( #) | Re bienvenue Bon choix de famille et j'espère que ça ira mieux avec ce nouveau perso Bonne chance pour la fichette |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mer 14 Sep - 4:18 ( #) | Bonne chance avec ce nouveau perso et puis liens |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mer 14 Sep - 5:10 ( #) | Rebienvenue |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mer 14 Sep - 9:17 ( #) | Sister T'es trop belle LIEN Rebienvenue à toi |
| O. Jill Peverell membre - i don't want just a memory Répartition : 11/04/2015 Hiboux Envoyés : 11656
| Re: so much fire in me, so many planspar O. Jill Peverell, Mer 14 Sep - 9:58 ( #) | Tu auras fini par faire un choix Re-bienvenue à toi ma jolie |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mer 14 Sep - 10:24 ( #) | (re)bienvenue parmi nous |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Guest, Mer 14 Sep - 13:14 ( #) | Angelo - N'est-ce pas Merci beaucoup Cythère - Merci ma belle Caelum - Ca marche à merveille Merci beaucoup mon bien aimé chef de meute Je me languis aussi qu'on approfondisse tout ça et qu'on puisse écrire ensemble, je sens que nous allons faire de grandes choses Et je note pour ta boite mp, je n'hésiterais pas à l'encombrer Mandhatri - Huu toi, merci beaucoup Trop de frustration quand j'ai vu hier soir que ta fiche était toujours vide, dépêches toi de me remplir tout ça, je veux tout savoir Et comme pour l'aîné, je suis certaine qu'on va faire de belles et grandes choses ensemble, et qu'on va se trouver un lien qui dépote tout Kai - Et oui j'ai fini par trouver mon bonheur ailleurs Merci beaucoup à toi Knight - Je l'espère aussi Merci beaucoup Cicéron - Meeeerci beaucoup et oui LIENS, je ne sais pas encore chez lequel de tes monsieur je vais venir laisser ma trace - sûrement plusieurs - mais je viendrais assurément Lux - Merci ma belle Lenore - Ma sooooeur, meeeerci Bien-sûr que LIEN, on va en trouver un à la hauteur de notre précédent Jill - Yees, j'ai fini par me décider et trouver la perle rare, enfin Meeerci ma belle Sasha - Merci beaucoup
Dernière édition par Barbra Farquharson le Dim 18 Sep - 14:48, édité 1 fois |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Invité, Mer 14 Sep - 17:03 ( #) | |
| | Re: so much fire in me, so many planspar Contenu sponsorisé, ( #) | |
| | so much fire in me, so many plans | |
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