Nom: Wilkerson
Prénom: Aiko
Âge et Date de Naissance: 28 ans, 17 mars
Nature du sang: sang mêlé
Situation familiale: solitude répétitive
Patronus: le fennec
Miroir du Rised: le dragon, ignir, près de moi, son souffle chaud.
Epouvantard: sa tête empaillée, accrochée au mur
Composition de la baguette magique: bois : noyer noir, cœur :  sang anhydre de chimère, taille : 30 cm, souplesse : souple
Emploi: professeur de métamorphose à poudlard
Animal de compagnie: une elfe de maison nommée gin et un augurey qui apporte le courrier

Derrière un sombre visage d'ange, Aiko a un caractère très abrupt. Acerbe, acide, ne pas faire dans la dentelle c'est son truc. Ambitieuse, presque arriviste sous certains aspects, elle ne peut supporter la défaite. La victoire n'est que délicieuse. Un peu cassante, sans doute caustique, elle aime jouer avec les mots, s'en servir, attaquer, piquer, après tout ils blessent aussi aisément qu'un couteau. Ni cynique, ni débauché, elle a simplement une vision de la vie qui lui est propre. Elle aime jouer et Poudlard aurait très bien pu être son terrain de jeu, seulement elle a préféré jouer sur d'autres fronts, à une plus grande échelle. Trop facile de s'attaquer à des enfants. Assidue, astucieuse, autonome, elle n'a pas vraiment besoin d'aide, elle sait se débrouiller en toutes circonstances, elle n'en a d'ailleurs pas le choix. Sévère et stricte, organisée et intelligente, cultivée, avide de savoir, presque de pouvoir. Il peut lui arriver d'afficher un sourire, bien que froid, sur un visage glacial, mais elle ne déplaît pas. Au contraire, elle aime se laisser charmer, elle est provocatrice et ce jeu-là aussi est amusant. Manipulatrice ? Sans doute. Menteuse ? Pourquoi pas. Elle parvient toujours à ses fins, c'est un fait, et elle en fait d'ailleurs un beau talent. Folle, non-conformisme, indomptable, ingérable, incontrôlable, tout peut arriver. Et quand le soleil tombe et que le vent froid du nord vient, elle sort. Solitaire, mystérieuse, abandonnée, méfiante. Sombre. Elle laisse la nuit la guider, le vent lui murmurer quelques mots..

Il est apparu à mes 24 ans, le renard des sables du sahara. Aussi connu sous le nom de fennec, je ne m'attendais pas vraiment à voir cette bestiole arriver dans ma vie. C'est vrai que j'avais grandi avec salome, mon serpent, mais j'étais pas prêtre à voir une "partie de mon corps" sortir quand il est arrivé. Déjà pourquoi lui ? Mon patronus corporel avait toujours été un serpent, le serpent qui vous mord, qui se faufile et qui s'enroule à votre cou. Mais il avait changé après mes sept premières années à poudlard pour se transformer en hérisson, la bête seule dans son coin, qui semble petite, mais dès qu'elle sort et qu'elle vous pique, vous saignez, beaucoup, et la bête paraît toute suite plus grande, plus impressionnante. Le patronus, c'est l'animal qui réside en vous, celui qui vous représente et qui se rapproche le plus de votre caractère, en tout point. Mais après réflexion, le fennec et moi avions quelques points communs, comme par exemple, celui de sortir à la nuit tombée, une vie nocturne, et de chasser dans la froideur du soir, dans le vent de la nuit. Bonne vue, bonne ouïe, attaque rapide et efficace, casseur d'un soir, finalement on se ressemblait.