BELLUM PATRONUM
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Version 34
Nouveau tournant, nouvelle version installée ainsi que les nouveautés qui vont avec ! Vous pouvez la commenter ici.
Groupes fermés
Les sang-purs étrangers sont fermés. Redirigez-vous vers les familles de la saga ou des membres.
équilibre des groupes
Nous manquons d'étudiants, de membres des partis politiques Phénix et Gardiens. Nous manquons également de Mangemorts.
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Reine C. Delacroix admin - i don't want just a memory Répartition : 31/03/2017 Hiboux Envoyés : 1203
| Re: Poubellepar Reine C. Delacroix, Sam 8 Avr - 15:26 ( #) | Merci C'est pris en compte dans ma fiche, tout du long, et surtout dans la troisième partie, j'explique qu'elle a recours à des artifices moldus( genre perruques, corsets maquillages etc etc ) et quelle évite certaines situations pour se protéger. Et des fois, elle reste enfermée dans sa chambre parce qu'elle arrive pas à maîtriser son pouvoir Toutefois si c'est pas assez clairement exprimer, je peux détailler un peu plus Loin de moi l'idée d'en faire une meuf over badass, au contraire, elle va ramer la petite Encore merci |
| | Re: Poubellepar Guest, Dim 9 Avr - 17:32 ( #) | Pseudo: Regor G. Black Particularité souhaitée: Devin Motivations: Le don en lui-même me semble très intéressant pour ce personnage sur divers points liés autant à son histoire qu’à son caractère. Alors, pour commencer l’enfance que j’ai imaginé pour ce personnage est extrêmement instable. Elle est faite de changement, d’incertitude et de perte. C’est-à-dire qu’il sera perpétuellement dans une atmosphère précaire (si on peut dire ça ainsi) et fragile, il n’aura aucun pilier fort auquel se rattacher et aucune certitude sur son lendemain contrairement à ce que son nom aurait pu présager. Donc une absence totale d’acquis et de repère qui va de pair avec son caractère angoissé. Je m’explique sur ces changements intempestifs durant son enfance, il va perdre sa sœur jumelle vers ses huit ans ce qui sera le début de ses péripéties. Ses parents mangemorts seront inquiétés par la justice jusqu’à être contraint de déléguer leur fils à un tuteur, son grand-père. Son père prendra la poudre d’escampette se faisant passer pour mort officiellement et sa mère sera écroué à Azkaban peu de temps après. Autre pesante incertitude qui va le tourmenter pendant son enfance et qui sera la cause de nombreuses moqueries dans la famille, c’est sa magie tardive. Jusqu’au dernier moment il sera soupçonné d’être un cracmol et cela l’inquiètera beaucoup. Donc ce don qu’il ne va découvrir que tardivement sera son seul repère en vieillissant, c’est-à-dire que le personnage va se rattacher à un rêve redondant au cours de son enfance sans savoir que c’est une manifestation d’un don particulier, ni même de sa magie avant de vivre la situation matériellement et de comprendre. Un rêve qui va le rassurer et qu’il fera à intervalle régulier qui sera son seul point fixe jusqu’à sa réalisation. Ce qui fera que par la suite dès son adolescence il se rattachera au monde des rêves et à tout ce qui échappe communément aux autres, c’est le troisième œil et la divination au sens large qui lui permettront d’avancer. Ce don bien que très aléatoire dans son fonctionnement, restera son seul acquis. Il s’y rattachera à chaque épreuve puisqu’effectivement c’est la seule chose dans sa vie entière qui ne pourra pas disparaître car c’est une part de lui. C’est sa nature. Donc dans son histoire cela sera finalement très important puisque ça pallierait à des années d’angoisse, et toute une période d’incertitude en lui octroyant un seul repère, une sorte de cap à suivre en dépit de tout ce qui s’écroule autour de lui. Une boussole en fait. Et ça l’épanoui d’un côté puisque cela développe sa curiosité, le sort de sa mélancolie, lui permet de se tourner vers l’avenir (au point qu’il est professeur de divination). Dans son développement c’est également important dans la mesure où j’envisage de mettre à l’épreuve le personnage. Ce qui sera d’autant plus intéressant puisqu’il sera professeur de cette matière. Il s’en remet totalement à son don pour tenir le coup, braver les obstacles et essayer de s’affirmer, d’avoir davantage confiance en lui, ses capacités, donc naturellement comme c’est sa nature et inhérent à sa personne, c’est fluctuant (je suis sûre que vous voyez où je veux en venir), donc par définition une maîtrise totale du 3ème œil n’est jamais un acquis solide h24 (comme la magie fluctuant avec les humeurs du sorcier tout ça) et ne peut être que perfectionnée. Avec les disparitions, l’emprise du ministère grandissante, les mangemorts et finalement l’ambiance globale de peur, je pensais que cela pouvait déclencher une tension assez grande pour compromettre la maitrise habituellement plutôt bonne de son don. Dans le sens où je pense qu’une certaine stabilité est nécessaire pour réussir à interpréter ses rêves et visions convenablement, pour comprendre les signes et avoir des visions claires. Donc ça ne disparaitra pas évidemment, mais ce sera plus difficile pour lui de s’y réfugier et de faire des prédictions claires. Donc voilà je pense que le contexte est particulièrement propice à l'exploitation de cette facette. Il maîtrise son don en partie et là om il pensait être plutôt bon il se rend compte que même lui professeur de la matière peut se perfectionner. Par rapport à son caractère maintenant. Ce don va le rassurer et va venir l’aider à garder la tête hors de l’eau. Ce sera un moteur et fera grandir sa curiosité. Avec l’enfance qu’il a eue (autant sur le plan évènementiel que social) Regor n’a pas été très gâté et sa confiance ainsi que son estime en pâtie, du coup le fait de trouver un facteur de stabilité en même temps qu’un don inhérent à sa personne pourra lui permettre irp de « justifier »et d’approfondir pleinement ses humeurs changeantes et son moral chancelant. Sans son don en fait Regor est un personnage très instable (sans surprise) et à fleur de peau. Il est renfermé, s’exclut tout seul et passerait sa vie, tourné vers le passé comme il l’était enfant en se pensant cracmoll. Donc le don me permettrait de d’explorer une certaine dualité chez le personnage. Tantôt renfermé mais curieux, tantôt renfermé et mélancolique, tantôt tourné vers le passé, tantôt tourné vers l’avenir. C’est deux facette d’un même personnage, une exploitation de ses défauts pour en faire ses forces en quelque sorte. C’est toujours quelque chose d’intéressant à jouer, puisque ce n’est pas tout fluide, ni uniforme et les perspectives d’évolution sont nombreuses. Surtout dans un contexte comme sur le forum.. ça peut rapidement avoir de l’importance. Après le 3ème œil ce fut également une fuite vers un autre monde, une façon de nier un présent qu’il jugeait trop dur pour lui et je pense que c’est quelque chose qui restera comme c’est un personnage assez « perdu » et finalement plutôt rêveur/songeur. Être devin c’est avoir accès à un autre monde, un refuge. Il n’a pas vraiment les pieds sur terre et demeure plutôt dans l’introspection. De plus le fait d’être devin m’évoque quelque chose de très spirituel et lié aux sentiments, ce qui conviendrait parfaitement à Regor qui est plutôt sensible avec une faculté de recul sur les choses peu aisé. Son don ce serait une façon de jeter un coup d’œil vers l’avenir, de s’ouvrir sans toujours resté la tête dans le guidon justement ça le contraindrait à faire un effort de ce côté-là qui est encore exploitable à son âge. Ça va le sortir de sa zone de confort, et peut être même le pousser vers les autres. Finalement c’est une fuite, une façon de se rassurer, de se calmer, un repère et une invitation à mûrir en prenant du recul. Avec tous les aléas d’un don lié à la sentimentalité donc les fluctuations très intéressantes vu le type de caractère que j’envisage pour ce personnage. Sans compter qu'un devin doit quelques pressentiments, des fortes impressions et pour les prendre en compte il faut une certaine confiance en soi, ce que n'a pas spontanément Regor ect .. Donc voilà, à mon avis ce don apporte pas mal de challenge au personnage. Et après d’un point de vue plus personnel, ce don m’inspire vraiment pas mal et m’aide entre autres à construire un personnage en « rupture » vis-à-vis notamment de son nom. Je veux que Regor soit une sorte de Black pas comme les autres. C’est une sorte de continuité dans son rejet (dit comme ça c’est moche). En fait Regor a toujours été rejeté, parce qu’il a fait son 1er acte de magie tard, parce que ses parents se sont fait prendre par des aurors, et d’une certaine manière Regor est différent. Il a grandi avec ses grands-parents ect..C’est aussi pour cela que ce don m’intrigue un peu plus que les autres. Être devin c’est différent et peut être perçu comme « bizarre » (en mode Trelawney) et ça me plaît pour ce personnage. C’est un moteur, mais ça peut aussi être vu comme un facteur de rejet, donc une fois encore je retrouve le côté positif/négatif qui est présent dans le perso avec ses mouvances de l’un à l’autre qui le rendront à mon avis assez profond et intéressant à jouer et faire évoluer irp. Mini-RP: Donc voilà une partie potentielle de son histoire, c’est le moment où il se rend compte que ses rêves ne sont pas que de simple rêve, mais plutôt des visions. 10 ans - Son index dévalait le jais de ce pelage taillé court par Dame Nature, comme à chaque fois. Contact rassurant. Créature noble, poitrail de feu bombé avec fierté. Tout ce qu’il ne serait jamais, probablement. Tout son microcosme brûlait sous les retors ardents des existences voisines aux siennes. Les revers de fortune. Les brutalités des vies. Regor avait perdu sa jumelle, ainsi que son père…mais conservé sa mère, au détail près que cette dernière se retrouvait écroué dans les veines crasseuses d’Azkaban escorté d’une compagnie peu enviable. Cela comptait-il ? Puit de rancune, rongé de rage soudainement, le sorcier décidait que non. Non ça ne comptait pas … Désormais il était définitivement seul. Seul, parfaitement égaré dans un tumulte ravageur qui faisait de demain un inconnu. C’était malsain et enfantin d’en vouloir aux fantômes, mais les murs de sa vie s’était écroulé avec eux ..oserait-t-il dire à cause d’eux ? Deux choses ne l’avaient pas lâchement omis au tournant de sa vie. Les dobermans qui habitaient ses songes, ainsi qu’une poignée de bouquin. Encore qu’il n’y eût plus véritablement accès maintenant qu’il s’était retrouvé balloté du manoir de son père à celui de son grand-père. Au-delà de ça ? Rien ! Certains y verraient de l’ingratitude pour sa famille l’ayant recueilli mais cela n’allait pas sans la présence brillante de sottise de ses cousins. La contrariété enflant avec ses ressassements lui faisait maladroitement cajoler le sommet du crâne de la bête qui ne semblait guère s’en formaliser. Entre ses lèvres s’échappait une excuse tant dis qu’il flattait l’encolure de son ami. Une puissance sage émanait du chien. Son regard peu assuré le contemplait au comble de son avidité. Regor aimerait tant inspirer une telle force ponctuée par cette sérénité si singulière. Un rictus étirait ses lèvres. Le sorcier ne s’attendant même plus à un miracle et semblait bien éloigné de ce qui dans son ombre s’élevait faiblement. Seules les prunelles brunes ravivées d’un feu espiègle, puis d’un brasier agressif contemplait le sommet de la tête du Black. L’animal battait ses flancs de sa queue en jappant de contentement, puis troquait sa sympathie contre un grondement sourd faisant sursauter le jeune sorcier qui faisait volte-face sous la surprise. Etait-ce un cousin ? Son grand-père ? sa grand-mère ? Un elfe de maison qui mécontentait ainsi la créature ? La réalité semblait bien lointaine du sang-pur. Il ne percevait qu’une informe masse sombre, à cet instant précis il plissait les yeux mais contraint par une force inconnue son attention était toujours captée à nouveau par le chien. Les crocs jaunâtres de l’animal se dévoilaient un à un, son regard brun devenait soudainement d’un noir pur. Regor avait une sensation de froid immense le saisissant, dans son dos l’ombre grandissait. Puis sans un aboiement il se jetait sur lui gueule béante. Le jeune sorcier se reculait en arrière rabattant ses bras devant son faciès. Il s’attendait à des douleurs horribles, il s’attendait à être défiguré, mais cela était toujours à cet instant précis qu’entre le canidé et lui un objet le sauvait in extremis. Un bout de bois lévitait face à lui. Médusé le Black balbutiait misérablement quelques étonnements avant que le bâton, convoitise soudaine de l’animal, ne vienne piètrement heurter le sol. Le molosse véhément redevait cette créature rassurante au poitrail de feu. Sa queue battait à nouveau vivement ses flancs tant dis qu’il s’emparait du morceau de bois semblant conquis. Le Black se retournait et l’ombre n’était plus. Seule une lumière dorée baignait les angles de la pièce…Comme à chaque fois qu’il faisait ce rêve, son premier réflexe était d’à nouveau flatter le pelage du canidé. Peu rancunier, ou sénile avant l’âge, le jeune Black était de nouveau en confiance. Une harmonie l’irradiait. Ses yeux s’ouvraient brutalement. Le brouhaha arrivait à ses oreilles et déjà l’enfant se redressait. Honte à lui, l’odieux cracmol de la famille s’était assoupi songeait-il en apercevant son reflet dans la vitre entrouverte du train sorcier. Lorsqu’il reportait son attention sur les passagers le jeune sorcier n’aurait su être plus gêné, une femme au visage étroit le toisait étrangement. Elle scrutait son visage soupçonneuse et lorgnait intriguée le haut de celui-ci. Spontanément Regor frottait ses yeux du dos de ses mains comme pour mettre fin à cet échange de regard trop insistant. Naturellement, ce mirage redondant n’avait lieu qu’assoupis … qui pouvait bien l’informer de l’anormale agitation spasmodique de ses orbites sous ses paupières closes lorsqu’il dormait ? Peu revigoré par cette sieste inopportune et ayant la désagréable impression que quelque chose de décisif allait tourner une page de son histoire le garçon vrillait sa tête vers son oncle planqué derrière un journal aux titres mouvants, aux images vivantes. Un rictus se logeait sur ses lèvres fines comme à chaque fois qu’il se réveillait avec cet étrange rêve. Un bruit strident indiquait un nouvel arrêt..Au moins il ne l’avait pas vu songeait-il en entendant le journal craquer entre les mains gantées de son oncle. Dans son sillon l’enfant quittait la présence malsaine de cette femme qui ne l’avait pas lâché du regard depuis son réveil en songeant à ce chien. « J’ai un détour à faire » l’informait l’homme qui ajustait son feutre sans prendre le temps de lui adresser un regard en sortant de la gare londonienne. Ce rêve ne variait jamais, il demeurait au détail près d’une justesse incroyable. Cela en était presque rassurant que dans ce fléau il ait un rendez-vous mensuel avec son ami onirique. « Tu m’attends là » Un mouvement du menton pour lui indiquer une longue rue tranchée de moult ruelle tant dis qu’il acquiesçait en s’approchant d’une vitrine quelconque. Elle abritait des tissues enroulés, des chutes de part et d’autre gisait sur les étagères quand ce n’était pas une paire de ciseau. Le jeune Black apposait ses mains sur l’ample vitre pour chasser son propre reflet, mais ce geste plutôt anodin n’eut guère la vertu escomptée. Un homme à la mine courroucée sortait vivement de la boutique en un tintement de clochette soudain. « Déguerpis ! » rugissait-il en effectuant un geste de la main non équivoque. « Saleté de môme ! » grognait le marchand tout en lissant sa moustache brunâtre pour troubler son agacement. Peu belliqueux, Regor obtempérait la tête dans les épaules longeant les boutiques et habitation de la rue. Il reviendrait une dizaine de minute plus tard, juste le temps pour lui de se retrouver une contenance. Peu téméraire il pouvait sentir ses genoux claqués sous l’effroi que lui avait causé une pareille situation. Si son oncle l’avait ne serait-ce qu’aperçut « le cracmol » en devenir se serait probablement liquéfier sur place. Il serrait ses poings plus par crainte que révolte en entendant sur sa gauche un tintement métallique lui faisant tourné la tête vivement. La ruelle étroite semblait s’achever sur un cul de sac expliquant l’absence de passage, alors qu’il s’approchait curieux. Il mettait sa main en visière n’apercevant que quelques poubelles renversées. Regor s’y engageait davantage pensant bon de shooter distraitement dans une caillasse qui vint à agiter en un bruit métallique les quelques poubelles répandant leur contenu au sol. Londres … n’était guère de ses attraits. Une moue répugnée devant tant de disgrâce peignait son faciès blême, plus âgé et doté de magie il aurait probablement remis cela en ordre d’un coup de baguette, mais alors que le garçon s’apprêtait à faire volte-face un grondement troublait le silence de la ruelle. Un doberman. Massif. Fier, quoique doté d’un air légèrement pouilleux se révélait à lui. Probablement était-il occupé à combler l’espace entre ses côtes d’aliments consistant avant de s’estimer déranger par la présence inconnue de Regor Black. Esprit vif, le jeune faisait le lien avec ses songes. Enfin il côtoyait une de ces bêtes ! Un rictus léger venait étirer ses lèvres, mais là n’était que naïveté. Ses rêves ne lui dépeignaient pas qu’un animal à ses devants … Il y avait cette morsure et ce sauvetage in extremis qui en boucle agitait ses songes. Une impression étrange le parcourait soudainement, et il dût fournir quelques efforts pour vaincre une envie folle de rebrousser chemin que lui soufflait son instinct. Il ne pouvait tout de même pas s’en détourner si aisément ! Pourtant il aurait dût, l’animal se jetait sur lui en moins de temps qu’il en fallait au jeune garçon pour ne serait-ce qu’essayer de fuir. Un cri aurait pu s’extirper de son être mais cela était sans compter sa gorge trop nouée pour visiblement le lui permettre. Ses bras se rabattaient maladroitement sur son visage alors que son corps entier vacillait. En un bruit sourd son crâne s’abattait au sol et rapidement un flou venait endormir ses méninges.. Pourtant les crocs ne l’avaient pas saisi et pour cause .. l’animal était distrait. Quand dans son dos la voix grave de son oncle objecta un sortilège l’animal couina en s’affalant à quelques mètres. « Un bâton vraiment ? » persiflait celui-ci en redressant son neveu le saisissant fermement par l’épaule. « Un bâton ? » balbutiait le sang-pur avant d’apercevoir le bout de bois léviter faiblement à une dizaine de centimètre du sol. Il heurtait le sol sous leurs yeux à tous. Le molosse semblait le fixer de loin sans plus oser ne se mouvoir. L'impression désagréable qui l'avait embaumé jusque-là s'amoindrissait. Regor avait l'impression d'avoir dépassé ce qui s'annonçait comme une page à tourner..Son instinct ne l'avait guère trompé. On ne saurait faire plus misérable acte de magie songeait-il en ramassant son ego de son mieux passant ses paumes dans sa chevelure charbonneuse. Au moins il était sorcier .. et peut-être plus ? Après tout ce n’était pas commun de voir en rêve son premier acte de magie ? A moins que ce rêve ne le fut déjà en lui-même ? Merci d'avance |
| | Re: Poubellepar Invité, Dim 9 Avr - 18:16 ( #) | Pseudo: Cadeus Gaunt Particularité souhaitée: Fourchelang. Motivations: L'idée est que le don qu'il a est une véritable force, mais en même temps une horrible faiblesse. Sachant que dans son histoire j'avais pour but d'intégrer le fait que le père de Cadeus soit jaloux et haineux envers son fils, car lui n'a jamais eu ce don. Le dernier en date était le grand-père ce qui causa une frustration et lorsqu'il vit son fils parler à un serpent c'était comme un affront qu'on lui faisait. C'est pour ça qu'il était très dur, parfois violent, moqueur et cela a poussé Cadeus à se renfermer sur lui-même et du coup se réfugier avec les serpents en secret. Du coup ce don serait pour lui comme une malédiction, car son but étant d'avoir la reconnaissance de son père et en même temps sans lui il se sentirait bien vide et il pense que c'est un atout. Du coup c'est un aspect que j'ai envie d'explorer, qu'il soit tiraillé entre l'amour qu'il porte pour son père et son besoin de parler aux serpents. Du coup ce don prenait une place importante pour mon personnage, c'est pour ça que je le convoite. Mini-RP: Le vent froid qui soufflait sur les petites joues de Cadeus, il observait autour de lui. D'une mine peu rassurée, son père était-il là ? Est-ce qu'il allait le voir ? Il n'espérait pas. Mais voilà trop de temps qu'il ne l'avait pas fait, le besoin, l'envie de parler à ces créatures qui peuvent le comprendre. Elles sont comme lui, venimeuses quand il le faut, mais calme en général. Il avait une sorte d'impression de plus correspondre à ces créatures, d'être ces créatures. En fait il était plus proche de son serpent plutôt que des êtres humains. Le regard timide, le gosse qui devait être âgé de quatorze ans commença à parler un langage indéchiffrable pour le commun des mortels. La langue qui sifflait, qui roulait, des sons incompréhensibles et en même temps fascinaient qui s'envolaient à mesure que les bourrasques passaient par là. Il était en train de les appeler, Cadeus le savait, ils allaient bientôt arriver.
Un sentiment de satisfaction envahit le garçon qui allait enfin revoir son tendre ami, Silver qu'il l'avait appelé, l'argent était une couleur qu'il appréciait. Le serpent n'était pourtant pas un animal censé être domestiqué et pourtant, Cadeus avait confiance en son ami. Une relation sans doute malsaine et étrange liait l'humain à l'animal. Pourtant il ne pouvait s'en détacher, une connexion évidente était présente. Depuis des années il le connaissait, il était le premier, le tout premier. Malgré que dans les alentours du Manoir des Gaunt cela grouille de serpents. La légende raconte même qu'il y en aurait un d'une taille gigantesque. Pur fantasme pour alimenter la peur qui entoure le nom des Gaunt.
Silver venait d'arriver, doucement il s'était faufilé à travers les hautes herbes. Il se redressa pour pouvoir se mettre à la hauteur de son ami qui venait de s’agenouiller. « Cela faisait longtemps. » siffla le serpent. Cadeus se sentit gêné, lui qui n'avait pas donné de nouvelles, lui qui n'avait rien fait. Mais c'était la peur, la honte qui le prenait aux tripes. Si son père savait ce qu'il faisait à ce moment là. En fait il n'osait pas l'imaginer. Il se souvient encore du sol humide de la cuisine, des phrases écrasantes qui s'abattaient sur lui, la cruauté des paroles et des gestes qui parfois accompagnaient les mots. Et lui ne comprenait pas, pour l'instant il n'arrivait pas à comprendre pourquoi. « Désolé mon ami. Tu le sais, mon père n'aime pas me voir employer ces mots. Je pense que cela lui fait peur. » Encore bien naïf, pour lui c'était de la protection, cela n'en pouvait-être autrement. Sa mère étant morte il plaçait son espoir et son amour dans son père. C'était la seule personne qu'il lui restait, son modèle, c'était son tout. Et c'était bien normal.
Le serpent commença à bouger, comme s'il tournoyait autour de lui même. Une petite danse légèrement hypnotisante. Quand Cadeus parlait avec son ami, son esprit s'évadait, le vent qui soufflait ne soufflait plus, le temps ne passait plus aussi lentement qu'à l'ordinaire et un sentiment de plénitude l'envahissait. C'était beau, c'était bon. « Ton père est stupide. Un don que tu as là, un véritable don. Une grande forte pour toi. » A peine eut-il terminé de chanter cette douce mélodie qu'il disparut dans la nature. Dés l'instant où le reptile s'était volatilisé il sentit le vent frapper contre ses joues. Il tourna légèrement la tête et son ventre se tirailla, son coeur reçut un coup de poignard. C'était comme si c'était la fin. Son père était bien là, présent, le regard noir, si sombre qu'il aurait pu foudroyer son fils, de la haine l'envahissait, de la rage sortait de son corps.
Le fourchelang restait là, sans rien dire. Comme s'il attendait son heure, que la punition était méritée, tentant de rester stoïque pour ne pas décevoir encore plus son père. « Qu'est-ce que je t'ai dis ? Qu'est-ce que je t'ai dis à propos de ça ? Espèce d'ingrat, tu te rends compte de ce que tu fais subir à ton père. Ta mère aurait honte d'avoir un fils comme toi, c'est pour ça qu'elle est morte d'ailleurs, d'avoir conçu un véritable monstre. » Le main venait frapper la joue, désormais elle n'était plus rouge à cause du vent, mais à cause des cinq doigts plus rapide que ce vent. Une larme coula le long de sa joue, il n'y arrivait pas. C'était trop dur, cela faisait trop mal. Il tentait de s'excuser, pourtant il n'y arrivait pas. Les mots ne sortaient pas de sa bouche, à chaque fois qu'il tentait de prononcer quelque chose les mots de son père l'accablèrent et il ne put rétorquer la moindre chose. Un autre coup physique intervint, encore et encore ce n'était pas si violent que ça, c'était une petit correction. Le poids des mots étaient plus douloureux, il rongeait le jeune homme un peu plus, la culpabilité grandissante, son âme mangée par la haine d'un père envieux. Alors son regard se tourna vers le ciel, et il se mit à penser à sa prochaine rencontre avec Silver, c'était ce qui lui faisait oublier, la douleur était moins présente pendant un moment, du moins c'est ce qu'il croyait. Oui c'était un jolie cadeau empoisonné. |
| Nam So Hyun admin - the universe is full of intentions Répartition : 19/01/2014 Hiboux Envoyés : 1391
| Re: Poubellepar Nam So Hyun, Dim 9 Avr - 20:39 ( #) | C'est parfait alors Reine Je transmets les deux demandes |
| | Re: Poubellepar Invité, Sam 15 Avr - 13:04 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Vos demandes sont acceptées |
| | Re: Poubellepar Guest, Sam 15 Avr - 14:44 ( #) | Merci |
| | Re: Poubellepar Invité, Lun 24 Avr - 22:08 ( #) | Pseudo: Victoria E. Black Particularité souhaitée: Fourchelang Motivations: Ceci serait un héritage de son père. Le seul qui lui reste de lui. Une particularité qui lui donnerais de la force et de la confiance en elle. Mais surtout une particularité qui lui permet de continuer de communiquer avec son paternel.
Mini-RP:
Une respiration saccadée, des rires alors que des pas se rapprochent, ils sont la tout proche et avec eux viennent des bruits de branches qui se brisent et ce sifflement si significatif de cette langue qui n'est pas étrangère a mes oreilles. Mon père est la avec ces serpents, il me cherche dans notre parti de cache-cache si particulier, il m'aide à apprendre ce don que notre famille se transmet de génération en génération. Je suis si jeune et pourtant, il m'offre déjà mes premiers serpents de compagnie, il y tient pour lui ce don est précieux et je veux lui faire plaisir, beaucoup de monde me disent qu'il est fou, instable, mais moi, je l'aime et je veux lui montré à quel point je l'aime a quel point je suis une fille forte et que je mérite d'avoir son attention, lui qui voulait un garçon contrairement a ma mère, il a pourtant appris a m'aimer, surtout quand il a découvert que je pouvais parler le fourchelang.
* * *
Il fut mis en prison, loin de moi, pour autant je n'ai pas pleuré, non, car je sais que lui et moi nous pouvions continuer a communiquer, il a toujours pu continuer a me parler a m'enlever malgré la distance, les serpents était pour nous nos messagers, j'ai caché mon don a sa demande, bien que je m'en amusait petite pour effrayer les moldus et les impur de mon chemin, mais je me suis vite arrêté, il ne fallait pas que les autres savent, mon père avait un plan et je l'aidais a le réaliser, sans ce moyens de communication, jamais je n'aurais pu l'informer que c'est a cause de sa famille qu'il s'est retrouvé enfermé et jamais nous n'aurions pu penser a cette vengeance si spectaculaire ensemble. Enfin, pour le moment personne n'en sait rien. Cette langue si particulière me permet d'espionner discrètement sans forcément me trouver dans la pièce les serpents peuvent être tellement petits et discrets. |
| | Re: Poubellepar Invité, Mar 25 Avr - 20:56 ( #) | Je transmets |
| | Re: Poubellepar Invité, Jeu 27 Avr - 17:31 ( #) | On trouve les motivations trop faiblement développées, on voit mal l'utilité du don irp outre faire peur aux autres/intimider et ce n'est pas trop possible que les serpents puissent nager pour aller à Azkaban, du coup c'est refusé désolé Si tu veux répondre à ce message ou si tu as des questions, tu peux nous contacter par mp |
| | Re: Poubellepar Contenu sponsorisé, ( #) | |
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