| Sunny ♥ Where are my gummy bears? I want my gummy bears !par Invité, Mer 8 Mai - 14:48 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Sunny Snow Riler FEAT. Im Yoon Ah 16 ans ϟ 6 ème année ϟ Un petit tigrou ϟ Mêlé Je suis née le 25 juin, à Séoul, capitale de la Corée du Sud, bien que mes parents aient immigrés en Angleterre dès mes 8 ans, pour des raisons économiques, et pour mes études. Ma mère est une moldu, tandis que mon père est un sang mêlé. Ma baguette magique est en bois d'if. Elle mesure 27 cm et contient un ventricule de cœur de dragon. Mon épouventard représente le père fouettard, une sorte de rat avec un grand fouet, dont le visage est horrible. Personnage ignoble, il est resté ma grande peur depuis ma naissance. Il est le produit d’une histoire que m’a raconté mon père pour me faire peur. Il s’en est suivit des craintes chaque nuit, et des cauchemars terribles qui m’ont traumatisés. Mon animal de compagnie est un simple hibou, si on peut aller ça un animal de compagnie, c’est plus une sorte de pigeon voyageur. Je suis naturellement souriante et très optimiste. Vous ne me verrez jamais me morfondre, ou j’étoufferai toujours mes maux de la vie par une pointe d’optimiste. Ce qui me rend peut être même naïve, et même trop cordiale avec tout le monde, idem avec les pires crapules. Je me fais souvent des rêves, ma vie est un rêve, et quoique l’on fasse, je relativise toujours, le mauvais et le mal n’existe pas dans mon monde. Tout du moins je le fuis quand il se fait trop présent, mais je ne m’avouerai jamais vaincue par lui. Je suis généreuse, quand je peux offrir et faire plaisir, je le fais sans me poser de question.
Du haut de mes 16 ans, je reste une grande enfant. Un peu capricieuse, dont le visage est très expressif avec mes mimiques. J’ai un côté fragile, d’autres pourront me dire flemmarde, mais je ne suis pas du genre à courir à tout bout de champs. Je préfère marcher, c’est mon sport de prédilection. Dès que je commence à courir partout, je finis par m’écrouler sur un banc, ou tôt au pire par terre. Vous l’aurez compris, j’ai tout à envier des sportifs. Bien que je ne suis pas blasée et nonchalante, non jamais. J’ai tendance à tout relativiser. Je chute souvent au moindre effort, et je me dis que ce que je rate n’est pas si grave. J’ai un côté calme, rêveuse, attentive et compréhensive. Pas très courageuse, car je n’aurai plus rien de quoi rêver. J’aime écrire, prendre mon temps, lire, et j’ai une grande facilité pour trouver du bons sens à tout ce que je fais. J’adore particulièrement être devant ma tv à regarder des Disney pendant des heures, aller à Disney Land pour la 20 ème fois, m’acheter des peluches, et m’endormir devant un mickey, c’est un peu mon pêché-mignon pour entrer dans le monde de Morphée chaque soir chez les moldus. Je suis plutôt créative, et j’aime colorer mon monde de bonne humeur, d’innocence. C’est pourquoi j’aime dessiner, peindre. L’âge adulte m’effraie, c’est certainement ma deuxième plus grande peur après le père fouettard, et il constitue la limite de mon optimisme. Je suis tellement accrochée à mon innocence, cet âge de ma vie, que je donnerai tout pour que rien ne change, et c’est certainement ce qui causera ma chute. Est-ce mon inexpérience qui me fait dire ça ? Peut-être. Mais quand on a trouvé le bonheur, ne s’accroche-t-on pas à lui de peur qu’il s’en aille un jour ? Que mon bonheur soit monotone, répétitif, ça ne me dérange pas, je m’y plais, et j’y trouve toujours quelque chose de positif. J’ai une tendance à avoir des mots que je répète souvent, dans le genre : Super, génial, cool. Et je le dis d’un air tellement heureuse et souriante qu’on peut me croire ironique ou moqueuse. Ce que je ne suis pas du tout, c’est une simple manière d’être. a little something from you. Mon patronus est un petit tigre. Déjà à la taille adolescente pour certains, moi je trouve que non. Il se matérialise toujours en petit tigre, certainement parce que j’aime ce qui est jeune, ce qui est enfantin. Je ne l’avais jamais vue prendre d’autres formes. Il était apparu pendant Noel en 1978. Au début, je me demandais ce que fichait un tigrou pareil à Poudlard. Mais je finis par l’adopter aussi vite que je l’ai vue, je le pris dans mes bras. Il était tellement mignon. Je l’avais examiné pour voir s’il n’appartenait pas à quelqu’un, puis j’entendis une voix dans ma tête. Je caressais mes oreilles, pourquoi j’entendais une voix autre que la mienne ? Je regardais autour de moi, puis je regardais le tigrou, il m’a fixé de ses yeux. J’haussai les sourcils en écarquillant les yeux de surprise. Il avait donc le don de la parole, enfin, entré dans mes pensées pour me parler ? C’était génial. Je lui demandais si Tigrou lui allait comme nom, sans trop me renseigner d’où il venait, cela m’importait peu. Il y avait tellement de choses que je ne comprenais pas dans le monde des sorciers, une de plus n’allait pas changer la donne. Il allait maintenant m’accompagner partout où j’irai, et j’allais vivre avec. Peu importe d’où il venait, peu importe s’il n’était qu’une hallucination. Bien sûr, je me rendis compte très vite qu’il n’y avait pas que moi qui avait rencontré son, patronus, disaient-ils. C’était donc mon patronus qui s’était matérialisé de façon permanente près de moi ? Encore une merveille du monde des sorciers.
This one moment when you know you're not a sad story. Je me promène dans les rues de London avec ma mère. Mon sac en peluche de Mickey contre mon dos, contenant essentiellement mes gummy bears favoris. Les seuls bonbons que mon père m'achète, ils sont trop bons. On part dans le pub, un bébé tigre blanc en peluche que j'ai surnommé Snow entouré de mon bras, et qui ne me quitte jamais. Un pub, dont j'ai l’habitude de fréquenter, chaque matin, depuis mon arrivée ici. On boit un chocolat chaud, et je regarde ma mère raconter ses petites histoires, ses petites blagues. Je l’écoute avec plus ou moins d’attention, mâchouillant mes petits ours, mais toujours de manière souriante, et chaleureuse. Je fixe ses traits, elle me ressemble tellement. C’est comme si je me revois, dans la salle de bain, devant le miroir, avec quelques années en moins bien sûr. Soudain, je commence à voir ses rides s’atténuer. Je cligne des yeux plus intensément, suis-je en train de rêver ? Je pointe du doigt, et touche le visage de ma mère, qui me regarde d’un drôle d’œil. Puis les rides reviennent. Elle me demande ce qu’il ne va pas. Je prétexte lui trouver très bonne mine aujourd’hui, et elle me sourit. De nouveau chez moi, mon père rentré du travail. Je lui fais part de cette hallucination étrange, il me prend à part. Il me dit que c’est sûrement l’œuvre de mes pouvoirs magiques. Je lui réponds, quoi ? , intriguée. Comme tout enfant, il m’est facile de croire à la magie, mais au fond, je me suis dit, c’est une bonne histoire pour nous bercer et nous faire rêver. Au fond, je n’ai jamais cru que tout ceci puisse être vrai. Il commence à me montrer sa baguette, et il fait des petits tours de magie, discrètement. Je le regarde, les yeux ronds, étonnée, mais fascinée. Enfin, il me fait promettre de ne jamais dévoiler ces quelques tours de magie à qui que ce soit, car il pourrait avoir de gros problèmes. Je lui promets en faisant glisser mes doigts sur ma bouche en motif de bouche cousue ! Quelques semaines plus tard, mon père va chercher le courrier, il trouve ma lettre, la cache à ma mère, et me la fait passer sous la table pendant le dîner. Je la palpe de mes doigts, curieuse, et je prétexte un mal de ventre pour sortir de table. Ma mère n'y croit pas du tout, comme à chaque fois, mais elle me laisse faire en soupirant. Je pars dans ma chambre, ouvrir la lettre, et je me découvre invitée dans une école de sorcellerie. Je souris, enthousiaste. Proche de ma toute première rentrée, je pars au chemin de traverse avec mon père, les yeux fascinés, je perds mes mots à chaque lieu, chaque sortilège lancé, chaque objet magique acheté. Je ne fais que sourire, mes yeux émerveillés. A Poudlard, je me fais de nombreuses connaissances. J’apprécie tout le monde, fidèle à moi-même. Même ceux étrangers à ma maison. On se moque souvent de moi, à cause de ma peluche que je traîne partout depuis petite. Mais elle fait partit de mon monde. Pour rien au monde, je la laisserai seule. C'est une partie de mon enfance, c'est, moi. Et je rends leurs moqueries, par un sourire. Et au fond, je ne leur en veux pas. Ils cherchent à s'amuser, après tout. Cette étiquette ne signifie pas grand-chose pour moi. Optimiste et curieuse, je me découvre studieuse en sortilèges, soins aux créatures magiques. Et je passe mes buses sans trop de difficultés, avec de très bonnes notes dans mes matières de prédilections, mais une note terrible en Potions. Même en aimant ces cours, comme tous d’ailleurs, mes notes me suivent pas. Je me console en disant que ça arrive. Bien qu’au fond je trouve que c’est une horreur. Et je préfère ne pas trop m’étaler sur ce sujet. Gastronomique ment, je ne mange pratiquement rien à part mes bonbons, et ne soyez pas surpris de me voir, manger mes gummy bears en délaissant les plats de Poudlard. J'ai fais la même chose chez moi, depuis ma tendre enfance, depuis la découverte de ce pêché-mignon. J'ai l'habitude d'échanger mon assiette avec mon père, à chaque fin de repas en échange d'un sac de bonbons ours de sa part.
Surprise, curiosité, bonne humeur, amitié ont résumé jusqu’à la mon trajet à Poudlard. Et j’espère, de tout mon cœur, que rien ne changera.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Snow/19 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Top. ϟ Personnage: Inventé ϟ As-tu un autre compte sur BP? Non ϟ Présence: Tout dépend. 5/10 ϟ Une remarque? répondre ici
Dernière édition par Sunny S. Riler le Dim 12 Mai - 19:06, édité 13 fois |
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