Cadette d’une famille de six filles, Sanna a toujours vécu come une petite princesse, à la fois aimée de ses parents et de ses sœurs, malgré leurs disputes habituelles. Située dans la moyenne, Sanna n’a jamais été riche sans pour autant avoir manqué de quoique ce soit et la nature de son sang n’a jamais été un soucis pour elle. A ses yeux, la valeur d’une personne ne se juge qu’à ses faits et gestes et jamais elle ne se permettrait de mépriser les autres à ce sujet. Bonne copine, elle est toujours prête à écouter et aider les autres en revanche, elle a horreur de passer pour une bonne poire et si sa confiance est trahie, celle-ci vous le pardonnera difficilement. On peut toujours compter sur elle et autant vous prévenir : il vaut mieux éviter de s’en prendre à ses amis ou aux gens qu’elle aime car dans ces cas là, sa vengeance est terrible, la jolie blonde redouble d’imagination à ce sujet. Passionnée par le Quidditch, elle rêve secrètement d’intégrer l’équipe de sa maison et devenir une joueuse professionnelle.
En arrivant à Poudlard, la première chose que Violet a compris c'est que les nés moldus n'étaient pas appréciés de tous. Alors elle n'a rien dit sur ses origines et petit à petit, à commencé à faire croire qu'elle était sang-mêlé. Elle a inventé toute une histoire comme quoi son grand-père s'était entiché d'une vélane avec qui il avait eut sa mère et par qui il s'était par la suite fait tué. A vrai dire, il était professeur d'histoire dans le lycée de sa ville natale et était mort dans son sommeil à quatre-vingts ans mais ça, elle se gardait bien de le dire. D'après ses dires, ses deux parents étaient sorciers, évidemment. Seulement, un mensonge en entraînant un autre, elle s'est mise à mentir sur pratiquement tout. Elle s'est perdue dans une spirale de mensonges si bien que ses amies ne savant pratiquement rien d'elle qui soit vrai. Elle est exubérante et n'hésite pas à se donner en spectacle. Elle passe son temps à faire des remarques dans le dos des gens dans le but de faire rire son entourage. Mais si on cherche bien, on peu voir qu'elle est fragile et qu'elle veut seulement être appréciée. Elle a trop peur qu'en arrêtant de mentir, on la fuit et ça ne tardera pas à se retourner contre elle.
Venant d'un milieu modeste, Andreas n'a jamais eu tout ce qu'il désirait. C'est pourquoi il a toujours appris à aider les autres quand ils en avaient besoin parce qu'il sait à quel point c'est dur de survivre sans aide. Il ne vit pas non plus dans la misère mais parfois les temps sont durs. Toujours prêt à écouter les gens qui en besoin de parler, il sait aussi apaiser les tensions et les peines de coeur. Cependant, il reste quelqu'un de très solitaire et qui n'a pas beaucoup d'amis. Il n'aime pas trop s'attacher car il a peur de se rendre compte que tous ses amis s'en sortent beaucoup mieux que lui. Car oui, il est quelque peu envieux et rêve d'un avenir meilleur. Il travaille dur et sait qu'il sera fidèle dans tout ce qu'il entreprendra. Malgré qu'il soit amical, patient et qu'il dise toujours la vérité, quand on l'énerve, Andreas peut se montrer blessant. Il use de l'ironie pour ne pas montrer à quel point quelque chose l'a affecté. Cela dit, il est très rare qu'il s'énerve vraiment. Il garde son sang froid et essaye de résoudre le conflit à la manière douce. Il lui arrive aussi de rêver d'être à la place de l'un de ses camarades, d'avoir la belle vie, d'être sang pur même car parfois les moqueries sur sa mère moldue vont trop loin.
Né d’immigrés Ukrainiens, Raïser Zalachenko s’est toujours différencié des autres, non pas pour ses pouvoirs magiques mais bien par son caractère hors du commun : Malgré ses vingt et un ans, la vie ne semble être qu’un jeu pour lui ! Rien n’est grave à ses yeux et tout est prétexte à s’amuser. Incapable de voir le mauvais côté des gens, Raïser aime tout le monde et semble ne jamais s’énerver même lorsque le sort s’acharne. Peu concerné par ses études, il ne sait pas encore ce qu’il souhaite faire de sa vie mais envisage malgré tout l’enseignement, pour lui, être prof, c’est faire le malin devant des élèves incrédules. Peut-être pas à ce point, mais son optimisme le rend terriblement attachant. Ah si seulement il pouvait rester plus d’une semaine avec quelqu’un, ce serait le parti idéal hélas, il se laisse toujours très vite de ses relations.