BELLUM PATRONUM
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| gabriel (dont be lasagna) | | | gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 3:07 ( #) | Gabriel, Frederic Hamilton ft. finn jones sang mêlé 30 ans célibataire hétérosexuel professeur de défense contre les forces du mal un saint bernard pro-ordre @myself | |
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] À propos Nom: Hamilton, nom représentatif de l'origine puement écossaise de sa famille Prénom: Gabriel, comme son arrière grand-père, et Frederic, comme le frère mort-né de sa chère mère. Il a néanmoins beaucoup plus l'habitude de se faire appeler Gab, et ce, depuis l'enfance Âge et Date de Naissance: né le 30 Novembre 1953 au matin, Gabriel a aujourd'hui 30 ans Nature du sang: ses deux parents sont de famille sorcière, mais il y a néanmoins quelques moldus dans sa lignée. Il est donc de sang-melé Situation familiale: Gabriel est le dernier né d'une fratrie de quatre enfants. A la maison familiale, tout sonnait comme un incroyable chaos joyeux et rieur ; cacophonie portée par des parents insouciants, malicieux et amoureux qui ont transmis à tous leurs enfant cette joie de vivre et cette solidarité si chère à leurs coeurs Miroir du Rised: fonder à son tour une famille, aussi belle et heureuse que celle dans laquelle il a grandi, dans un monde de paix Epouvantard: un monde de misère et de désolation, où de rêver n'est plus qu'un songe Composition de la baguette magique: 34.7cm, bois de Sycomore & crin de Licorne Emploi: professeur de défenses contre les forces du mal à PoudlardAnimal de compagnie: un chat de Birmanie appelé Côtelette | Caractère « Gabriel ! » au ton aussi soudain que pinçant de sa chère soeur, Gabriel réprima un sursaut, puis une grimace. Il se targuait déjà d’un sourire empreint d'innocence lorsqu’il tourna ses prunelles d’azure sur celles de la demoiselle. « désolé, j’étais… » dans sa petite moue, Gabriel indiquait en silence que de finir cette phrase serait une tâche plus ardue que ce qu’il n’aurait pu penser au départ. Heureusement pour lui, son interlocutrice le connaissait bien. « ailleurs, oui, je sais » compléta-t-elle dans un petit sourire en coin, sourire qui montrait la son habitude face au comportement de son petit frère. Et ça, Gabriel ne pourrait le lui retirer. “Ailleurs” ; voilà bel et bien le terme parfait pour décrire le jeune homme en un seul mot. Grand rêveur dans l’âme, l’esprit de Gabriel, tel qui le décrit, est un passage vers mille et un univers dont lui seul possède la clé. S’y perdre a toujours été pour lui quotidien. Une source de bonheur infatigable, que même les situations délicates que celle-ci a pu lui attirer ne saurait entacher. Parce qu’a être trop rêveur, Gabriel a souvent provoqué l'incompréhension de la part de ses proches sur ses agissement. Mais le jeune homme n’est pas du genre a y porter de l’attention. Le regard des autres, la recherche de cette acceptation du banc commun, Gabriel l’a toujours perçue comme une quête vaine et sans fin. Pour lui, le plus important, c’est de vivre. Parce qu’aussi bâteau cette phrase puisse-t-elle paraître, elle demeure, à ses yeux, criante de vérité : Quelle importance, de respecter les diktats et les convenances, si cela nous fait passer à côté de la beauté des jours ? Et la beauté des jours, elle est là, et restera toujours là, malgré les heures sombres. Parce que pour Gabriel, toute joie, toute beauté a son importance et plus important encore : aucune beauté ne perd de son importance à l’arrivée d’un malheur. Quand tout autour de nous semble s’effriter, s'effondrer… c’est tout simplement qu’on ne regarde pas du bon côté. Grand optimiste dans l’âme, Gabriel a cette merveilleuse capacité à toujours entrevoir le bon dans le mauvais. A voir, au milieu des débris et gravats, la beauté du ciel qui les couvre. Parce que tout a de l’importance. Parce que même dans un petit coin d’une ruelle sombre au fin fond d’une grande ville du plus grand des pays… même là, il y aura tant de choses à découvrir. Découvrir ; du reste, voilà bien un autre mot qu’il affectionne ! Il pourrait passer des heures à explorer des lieux et paysages inconnus, en quête de nouveauté, d’émerveillement pour ses yeux, pour son savoir. Gabriel est un curieux avide de découvertes ; un passionné n'hésitant pas à faire parler sa fougue, autant dans les gestes que dans la parole ; un téméraire qui n'a pas peur de foncer tête baissée là où le vent le porte. Qu’importe ce qui se trouve sur son chemin, il ne le rebroussera pas de si tôt si cela peut lui permettre de se sentir libre. De sentir cette sensation de dépassement de soi. De se sentir vivant. Aimant autant apprendre de nouvelles choses qu’il aime l’adrénaline, au final, Gabriel est de ceux qui vivent pour être heureux, de ceux qui rient dans les moments les plus difficiles et qui s’évertue à redonner la définition de l’espoir autour de soi. Parce que Gabriel aime les gens, aime le monde, aime la vie, aime, et c'est tout. « je rêve, t'as déjà arrêté de m'écouter ?! » | Patronus « Les sorciers appelant Le Saint-Bernard semblent le plus souvent être dans leur propre univers. Toujours espiègles et attentionnés, ils offrent un véritable rayon de soleil dans un monde sombre. » Le Saint Bernard. Symbole d’engagement, de positivisme, de recherche d’aventures et de quête de soi. Gabriel était âgé de dix-huit ans, lorsqu’il lu ces lignes pour la première fois. Car voilà bien son premier réflexe, après avoir enfin réussi à faire apparaître l’animal, au cours d’un exercice : en découvrir la signification. Et celle-ci ne l’avait pas déçu. Pour sûr, ce St-Bernard était fait pour lui. Parce que cela pourra sembler bête a de nombreuses personnes, mais Gabriel attache beaucoup d’importance à la symbolique que représente l’animal d’un patronus. A ses yeux, celui-ci peut être beaucoup plus révélateur sur soi… que soi-même. Découvrir son patronus, c’est un peu découvrir une partie de soi, c’est un peu découvrir l’expression de son âme. Alors, forcément… Quoi de plus enrichissant que cela ? Et ce jour-là, Gabriel n’est pas prêt de l’oublier, bien au contraire. De voir son sort prendre vie, de voir ces éclats bleutés former petit à petit une masse de plus en plus reconnaissable fut pour lui tel source de bonheur qu’un petit instant, il se demanda s’il ne devra pas penser à ce moment s’il espérait revoir ce saint-bernard de nouveau. Dix-huit ans, un âge pouvant sembler bien jeune pour un tel sort, mais lorsqu’on connait le garçon, on se rend compte que cela n’est pas si étonnant que cela. Parce qu’il est d’un tel optimisme. Parce que se concentrer sur le bonheur est son quotidien. Et surtout, parce qu’il n’était pas en situation de stress au moment de le faire apparaître. S’il s’était retrouvé face à des détraqueurs, à ce moment, il n’est pas tellement certain qu’il aurait pu avoir la concentration nécessaire… mais il aime quand même à se dire qu’il aurait tout de même trouvé le moyen d’y parvenir. Tout comme il aime s’imaginer ce qu’aurait pu être sa vie s’il était né avec quelques petits mois de retard. De la relation qu’il aurait pu entretenir avec un patronus corporel à la manière dont il réagirait à tout ce qu’ils ont provoqué en apparaissant dans la société sorcière. Comme à son habitude, Gabriel vit un millier d’autres vies dans son esprit ; mais, dans son monde à lui, aucune maladie ni aucun décrets absurdes et autres complots ne viennent gâcher cela… |
Pseudo et âge: laurie, 24 balais Où as-tu trouvé le forum ? bazzart est mon coupain Personnage: Inventé As-tu un autre compte sur BP ? nopinope Présence: touuuuus les jours #chomage Une remarque ? vous êtes bô |
Dernière édition par Gabriel F. Hamilton le Dim 4 Fév - 0:30, édité 6 fois |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 3:07 ( #) | Histoire Happiness can be found even in the darkest of times [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]« tu ne crois pas que tu es peut-être un peu trop naïf ? » A l’entente de cette remarque, Gabriel ne peut retenir son sourcil de se arquer légèrement, amusé. « naïf ? » se contente-t-il de répéter calmement, tandis que ses yeux d’opal scrutent son interlocuteur avec attention. S’il s’était contenté de répondre avec la bonne humeur qui le caractérisait tant, une malice presque arrogante avait involontairement teinté sa voix, renfrognant presque immédiatement l’homme face à lui. « bah oui, naif. Toujours là, à rêver de choses qui arriveront jamais… On est dans un saleté de monde où tout le monde chiale, et toi, t’es là, avec ton optimiste d’enfant... j’te jure, à se demander comment tes parents on fait pour te rendre comme ça ! » Cette fois-ci, c’est un léger rire amusé qui captura les lèvres du professeur. Pas le moins du monde vexé, il ne tarde pas à répliquer avec une malice cette fois-ci tout à fait maîtrisée « Justement : n’importe qui ayant côtoyé mes parents savent que là où il y a des larmes, il y a de l’espoir. » Parce qu’on ne pleure jamais sans volonté d’un monde meilleur. Et parce que tant qu’il y a cette volonté là en quelqu’un… tout sera possible. Ce genre de leçon, Gabriel ne les a pas appris dans les livres de cours ou dans ses devoirs. Ce sont ses parents, Aurora et et William, qui lui ont enseigné. Qui le lui ont prouvé, chaque jour que Merlin fait, chaque seconde passée avec eux. Un père et une mère sont toujours des personnes très importantes pour un enfant. Mais pour Gabriel, c’est bien plus que ça. Il les respecte et admire plus que tout au monde. Parce qu’ils sont la preuve que le véritable amour existe, la preuve que de pourchasser ses rêves et de suivre sa propre voie n’est pas une utopie. Parce qu’ils ont envoyé balader le monde entier pour vivre comme ils l’entendent. Ils se sont toujours battus, en dépit de l’opposition de leur familles, en dépit de leurs banqueroutes et de leur moments difficiles… Aussi loin que remontent les souvenirs de Gabriel, jamais ils n’ont baissé les bras lorsqu’arrivait un échec. Et des échecs, il y en a eu. Mais ils n’ont jamais gaché les réussites. Et pour Aurora et William, leurs plus grandes réussites, ce sont eux : Adam, Elizabeth, Nicolas… et Gabriel.
Huit heures du matin n’avait pas encore sonné lorsque Gabriel poussa son premier cri. Dans la salle de travail, Aurora, à bout de forces, retrouva aussitôt son grand sourire. Elle venait de vivre cinq heures de souffrance, mais en voyant son visage, en rencontrant pour la première fois ce petit être qu’elle avait senti grandir en elle des mois durant, tout était oublié. Comme pour chacun de ses enfants, elle aima Gabriel d’un amour inconditionnel instantanément, dès la première seconde, dès le premier regard. « Petit Ange, petit Gabriel… n’abandonne jamais tes croyances ni tes envies… et un jour, tu deviendras l’homme que tu auras toujours rêvé d’être » lui a-t-elle murmuré pour la première fois de sa voix empreinte de douceur. En réalité, ce n’était là que les premiers conseils d’une mère pour son enfant. Pourtant, il aurait presque pu s’agir d’une véritable prédiction, tant il fut très vite si représentatif du benjamin de la fratrie Hamilton. Comme si Gabriel avait inconsciemment imprimé ces mots au plus profond de lui pour ne jamais les oublier. Dès le plus jeune âge, déjà, il fut un rêveur, petit poète utopiste qui semblait voir le monde avec mille et une couleurs de plus que le commun des Hommes. Et si dans tout autre environnement familial, un tel comportement aurait pu inquiéter, chez les Hamilton… C’était tout autre. Parce que William et Aurora, en plus d’être des parents aimant et à l’écoute de leurs enfants, étaient de ceux préférant les encourager à être eux-même, qu’importe les convenances, plutôt que de leur imposer des choix de vies qui ne seraient pas les leurs. A cause de cela, la grande famille fut très vite considérée dans le petit village sorcier où ils résidaient comme des illuminés, des fanatiques entraînant leur progéniture à une débauche certaine. Mais ni les parents, ni les enfants ne s’en préoccupaient. Car voilà une nouvelle chose que leur avaient enseigné Aurora et William : L’opinion publique n’est pas une morale. Elle est un tyran. La seule morale digne de ce nom est celle du coeur. Pour sûr, grandir dans un tel environnement était pour un garçon comme Gabriel le parfait cocon où entretenir ses penchants pour la rêverie. Au fin fond de sa campagne Écossaise, ce sont des journées entières qu’il passait à explorer les hautes herbes, seul ou accompagné de ses frères, à vivre un million d’aventures qu’on ne peut connaître que dans un grand imaginaire. Il n’avait à cette époque là pas beaucoup d’amis - les autres enfants du villages suivant consciencieusement les recommandations de leurs parents - mais Gabriel s’en fichait bien. Il avait ses frères, il avait sa soeur, et il avait déjà tout un monde dans son esprit. De quoi d’autre aurait-il pu avoir besoin ? Pourtant, il faut bien l’avouer, parmi les milles rêveries du garçons se trouvaient… Poudlard. Dans ses songes, il se voyait dans toutes les maisons ; une différente à chaque nouvelle aventure. Il se voyait élève brillant, grand aventurier et entouré d’amis tous plus différents les uns que les autres. Parce que même s’il aimait son Ecosse natale, même s’il aimait ses forêts… vint tout de même le moment où elles n’étaient plus assez grandes pour étancher sa soif de découvertes. Il voulait tout apprendre de la magie. En connaître le moindre ressort. Et dans la petite librairie du village, plus aucun des livres présents n’avait de secret pour lui. Tout comme les manuels de ses frères et soeur. Et le plus beau jour de sa vie arriva au matin de ses 8 ans, lorsque, pour la première fois, la magie qui résidait en lui s’exprima. Il se trouvait encore et toujours au fin fond de la forêt bordant son village et croquait tranquillement un lapin qu’il venait de croiser sur sa route… lorsque son dessin pris vie. De la même manière qu’un patronus, il s’anima au travers des pages de son carnet pour en sortir finalement, gambadant avec fougue dans les airs, tout autour de lui. Un petit tour qui émerveilla Gabriel au plus haut point. Et quand le lapin animé s’effaça dans les airs, le petit garçon n’eut qu’un seul réflexe : courir retrouver sa famille pour leur conter la bonne nouvelle ! Comme pour chacun de ses aînés, son annonce fut reçue dans la plus grande joie, faisant de ce jour jour de fête. Parce que chez les Hamilton, tout était prétexte à proclamer une journée jour de fête, à la plus grande joie des petits comme des grands. Ainsi, lorsque Gabriel reçu sa lettre à Poudlard, leur tradition ne fit pas exception ! Gabriel était si heureux de voir son arrivée dans la grande école de sorcellerie avancer à grand pas. Dès le lendemain, le voilà qui harcelait sans vergogne ses parents pour aller le plus vite possible au chemin de traverse, pour enfin pouvoir arpenter ces rues et acheter toutes ces choses propres à Poudlard… non plus pour ses frères ou sa soeur, mais pour lui. Parce que cette lettre annonçait enfin le commencement de bon nombre d’instants sur lesquels ils fantasmait depuis si longtemps. Et tous, sans exceptions, furent bien au delà de ses expériences. Tout simplement parce qu’ils étaient réels. De l’achat de sa baguette à l’arrivée à la voie 9¾ ; de cet instant où il est monté dans cette barque, à celui où le choixpeau a tonné « Serdaigle ! » en rencontrant son esprit… et tous les autres moments qui suivirent. Tout lui semblait parfait, si parfait. Gabriel adora sa scolarité à Poudlard. Elève très curieux et feru de savoir, il s’appliquait dans chacun de ces cours, donnait toute son âme dans chacun de ses devoirs qu’il ne vit jamais comme une corvée. Et pour la première fois, on ne le voyait pas comme un gamin étrange d'une famille étrange. Il fut un élève apprécié, au sein de sa promotion. Toujours de bonne humeur, toujours souriant, optimiste et tout aussi près à la rigolade qu'au sérieux des études. Gabriel ne pourrait compter ô combien d'heures il a passé à explorer le château, à chercher dans les livres toutes les informations sur tous les secrets qu'il pouvait renfermer et trouver mille et un moyen d'atteindre la forêt interdite et de l'explorer sans se faire prendre par le corps enseignant. Et cette fois-ci, ce n'était jamais seul, ou seulement accompagné de ses frères ou de sa soeur. C'est tout un nouveau monde qu'il a découvert avec la popularité, un monde qui ne pouvait que lui plaire. Il était à Poudlard. Il apprenait centaines de choses sur la magie. Et il était entouré. Lui et ses amis ne vivaient peut-être pas les incroyables aventures qu’il s’imaginait étant enfant - du moins, pas en dehors de son esprit - mais cela n’avait pour lui aucune importance, car ce qu’il avait dans ces murs lui suffisait grandement. Et pour le reste, il avait son imagination. Du reste, c’est à l'intérieur de ce grand château que, petit à petit, une nouvelle envie, un nouvelle rêverie virent germer dans son esprit : celle de devenir professeur. Il était en troisième année lorsque cette idée germa dans son esprit. En plein cours de Métamorphoses, aussi soudainement qu’il serait incapable de lui donner une raison particulière, même aujourd’hui. Et au départ, il n’avait pas accordé beaucoup d’importance à cette petite pensée. Pourtant… plus il y songeait, plus cela sonnait pour lui comme une évidence. En tant que professeur, il pourrait transmettre cette soif de savoir, cette envie de découverte et cet amour de la magie tout autour de lui. Il pourrait être présent pour les élèves, les aider à se construire et à devenir les grands sorciers de demain. Alors il travailla d’arrache pied ; mille fois plus pour pouvoir réaliser ce nouvel objectif. Il se voyait déjà adulte, donnant des cours aussi dynamique que ludiques et instructifs aux élèves, il se voyait déjà réussir à leur transmettre cette même flamme qui brillait dans ses yeux lorsqu’il parlait de magie, lorsqu’il jetait un sort réussi. Il se donna corps et âme pour, de nouveau, avoir le plaisir de voir ses rêveries se transformer en réalité. Et quel bonheur lorsque, quelques années plus tard, ce fut enfin le cas ! Lorsque cette place de professeur de défenses contre les forces du mal s’est libérée, il y a trois ans aujourd'hui, il vit cela comme la chance de sa vie, l’occasion à ne pas manquer. Lui qui, depuis la fin de ses longues études, cumulait les petits boulots pour se faire de l'argent, dans l'expectative de -comme il le disait lui même- quelque chose de grand... voilà que l'attente payait enfin ! L’entretien d’embauche restera à ses yeux l’un des moments les plus stressants et angoissant qu’il aura connu ; et l’annonce de sa sélection, elle, l’un des plus grands soulagements. Il fut si reconnaissant de la part de ceux qu’il pouvait à présent appeler ses collègues et supérieurs d’avoir cru en lui... il mit un point d'honneur à ne jamais, ô grand jamais les décevoir, tout comme il ne se décevrait pas lui même, jamais. Tous les jours, depuis qu'il a la chance d'exercer le métier dont il rêve depuis ses 14 ans, il fait de son mieux pour toujours être une fierté à la fois pour ses proches et pour lui-même : un homme droit, un homme juste, mais surtout un homme qui ne perdra jamais de vue les enseignement les plus important qu’il a pu connaître au cours de sa vie, et qui fait tout son possible pour les transmettre à chacun de ses élèves… non pas seulement les enseignements scolaires ; mais aussi - et surtout... ceux de ses parents. Il leur apprend a ne jamais baisser les bras. A ne jamais rien lâcher, à toujours s’accrocher et toujours croire en leurs espérances. Et de la sorte, pour sûr : ce sont bel et bien les futurs grands sorciers de demain qu’il forme aujourd'hui.
Dernière édition par Gabriel F. Hamilton le Sam 3 Fév - 23:00, édité 12 fois |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 6:14 ( #) | - Citation :
- Animal de compagnie : un chat de Birmanie appelé Côtelette
j’adore, ça m’a buté sur le moment si je dis pas de bêtise, tu es sur la liste des professeurs de Jaine lien. et je te lancerais aussi mon deuxième compte [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dessus aussi, parce que Finn Jones quoi double lien bienvenue en tout cas, hâte d’en savoir plus sur ce rêveur |
| O. Jill Peverell membre - i don't want just a memory Répartition : 11/04/2015 Hiboux Envoyés : 11656
| Re: gabriel (dont be lasagna)par O. Jill Peverell, Ven 2 Fév - 7:41 ( #) | Bienvenue sur BP |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 9:05 ( #) | bienvenue parmi nous hâte d'en lire plus |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 9:09 ( #) | Bienvenue |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 9:54 ( #) | Bienvenue |
| Charlie de Breteuil admin - their tense grace made tender Répartition : 22/02/2017 Hiboux Envoyés : 1500
| Re: gabriel (dont be lasagna)par Charlie de Breteuil, Ven 2 Fév - 10:06 ( #) | Finn Jones Et un professeur J'aurais plusieurs personnages à te balancer dessus Bienvenue à toi |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 11:40 ( #) | Bienvenue parmi nous ! Je connais pas l'avatar mais il est cute ! Surtout sur la photo de ta présentation il a un de ces sourires ! Dommage que Gisèle ait quitté Poudlard tiens ! Bon courage pour ta fiche ! |
| Demetria Argyris admin - high above, the greatest wonder Répartition : 19/08/2014 Hiboux Envoyés : 1509
| Re: gabriel (dont be lasagna)par Demetria Argyris, Ven 2 Fév - 11:50 ( #) | Ouuuh un prof même si Quinn n'est pas en offensive magique y'a moyen que je te la lance dessus Bienvenue sur BP et bon courage pour ta fiche |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 12:05 ( #) | bienvenue |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 12:29 ( #) | mon dieu mais c'est quoi cet accueil beaucoup trop choupinou merciiiiii les loulous Gabriel il vous aime touuuuuus tous tous alors il dit oui oui oui a tout le monde pour les liens ! - K. Jaine Zabini a écrit:
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- Citation :
- Animal de compagnie : un chat de Birmanie appelé Côtelette
j’adore, ça m’a buté sur le moment bawai, il perds pas le sens des priorités la bouffe le gabou takrukoi |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 16:31 ( #) | bienvenue parmi nous le prénom |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Invité, Ven 2 Fév - 18:08 ( #) | bienvenue sur bp n'hésite pas si tu as la moindre question j'adore le début de ta fiche je viendrai te poker pour un lien avec Tiana qui est prof également pôle emploi, the place to be |
| Reine C. Delacroix admin - i don't want just a memory Répartition : 31/03/2017 Hiboux Envoyés : 1203
| Re: gabriel (dont be lasagna)par Reine C. Delacroix, Ven 2 Fév - 19:42 ( #) | Bienvenue parmi nous |
| | Re: gabriel (dont be lasagna)par Contenu sponsorisé, ( #) | |
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