Nom:Sassine, vestige d'ancêtres moldus originaires du moyen orient. Les générations remontent à si loin, qu’il ne pourrait dire d’où sont exactement ses racines, ni qui en fut le premier sorcier. Prénom:Ayden, un prénom gaélique. Un prénom qui signifie petit feu. Il était peut-être vrai qu’autrefois Ayden était un petit feu, mais aujourd'hui il est un feu qui brûle, celui qui dévore, qui consume, mais aussi celui qui anime, qui respire, qui a besoin d’oxygène, un feu ardent, un feu passionnel.. Morgan, qui signifie né de la mer. Tantôt calme, tantôt violente. À la fois mystérieuse et fascinante. Deux prénoms paradoxaux qui pourtant le décrivent comme s’ils avaient été inventés pour lui. Age et Date de Naissance:30 ans, né un 22 janvier 1956 alors que la nature était figé sous une épaisse couche de glace. Nature du sang: Mère moldu et père sorcier donc sang-mêlé Situation familiale: Fils unique du mariage de ses parents. Une mère moldue qu’il ne voit qu’à l’occasion et un père sorcier avec qui il a grandi. L’épouse actuelle de son père est elle aussi une sorcière, il la connait d’avantage que sa propre mère, mais ne la considère pas pour autant comme telle. Il a également deux demi-frères qu’il qualifie plutôt de frères, fruit de la relation actuelle de son père. Sa mère les a quittés alors qu’il n’avait que 4 ans, il a donc grandi dans le monde sorcier, voyant sa mère occasionnellement. Sa relation avec son père a toujours été complexe. Petit, il était fusionnel avec celui-ci jusqu’à ce qu’il fasse un voyage de deux mois à l’étranger. Ce fut le début d’une longue et interminable tension entre-deux. S’ils ne sont presque jamais d’accord, il ne l’aime pas moins et lui voue une admiration qu’il n’oserait pas nommer à voix haute. Il aime également beaucoup ses deux frères cadets qui ne partagent presque rien avec lui outre le sang de leur père. Patronus: Lors de l’apparition des patronus, c’est sous la forme d’un chacal commun, forme animal du Dieu de la mort égyptien Anubis, qu'elle se présenta. Un animal de meute, loyal, intelligent et curieux. La deuxième forme apparu bien plus tard, un majestueux ours polaire. Animal solitaire, agile et persévérant. Miroir du Rised: On l’y a déjà mis de force, devant ce truc. Ce miroir au mirage, celui qui vous fait croire que vous pouvez rechercher la perfection. Plus jeune il y avait vu sa personne vêtu d’un sarrau blanc, lunette au bout du nez et scalpel à la main. Le corps humain sorcier ou moldu l’a toujours fasciné. Maintenant qu’il est plus proche que jamais de son but, il y a fort à parier que le miroir lui refléterait autre chose, mais jamais il n’a cherché à y retourner. À quoi bon, c’est tellement plus intéressant quand on ne sait pas où le vent nous mènera. Les chimères c’est pour les autres. Sauf si c'est pour une bonne tarte à la citrouille, alors là ça change tout.Épouvantard: Une table d’acier inoxydable sur laquelle repose le corps d’un homme. C’est facile de deviner quand on aperçoit la robustesse du pieds qui dépasse de sous le draps de lin. Sans même qu’il ne pose un doigt dessus, le drap glisse de la table et laisse apparaître un corps froid, inerte et bleuit par le manque d’oxygène. L’homme dans la soixantaine a la entrebâillé et les yeux ouverts, mais vides. Maxence Sassine. Le père d’Ayden. Ce grand homme mort. Baguette magique: 2Aubépine, plume de phénix, 27 centimètres, relativement souple. Occupation : Médicomage-légiste. Maison souhaitée : Le savoir, quoi de plus essentiel en ce bas monde? Il n’y avait pas de doute qu’il étudierait chez les Serdaigles. Groupe souhaité : Incendio, il est temps de faire tourner la roue. Crédits images : Tumblr
Caractère
Si les gens qui ne le connaissent pas du tout le trouvent mystérieux, c’est qu’il a une apparence bien à lui. Son nombre élevé de tatouages et de piercings en tout genre lui donne l’apparence d’un guerrier en armure. De plus, il a tendance à être plutôt froid quand il est concentré, lorsqu'il travail ou pratique un sport. Pourtant ce n’est qu’une façade. En réalité, Ayden est un jeune homme plein de vie qui est sociable. N’importe qui, qui lui aura adressé la parole ne serais-ce qu’une fois, pourra vous dire qu’il a le sourire facile et qu’il a clairement le cœur sur la main. Pourvu qu’il ait raison et qu’on ne l’offense pas.
Car Ayden sait. Il sait ce qu’il fait, où il va, comment il y va et pourquoi il y va. Il aime être en contrôle, de ce qu’il fait et ce qui l’entoure. Il aime comprendre son environnement et a besoin de savoir, c’est un curieux. Lorsqu’il discute avec quelqu’un, il le fait avec assurance et conviction. Dans le cas où il ne serait pas certain de l’exactitude de ses arguments, il préfère s’abstenir que de risquer d’avoir tort. L’échec n’est pas une option, depuis la plus tendre enfance, il a ce viscéral besoin de réussite. Comme si quelqu’un l’observait constamment. À croire que l’échec le tuerait, que sa vie ne tenait qu’à ses réussites.
Il est de ceux qui ont des opinions sur tout sans ressentir le besoin de la partager. Si certains le trouvent arrogant, il préfère dire qu’il est confiant. Il a confiance en son potentiel parce qu’il le connait bien. Il connait ses forces, ses faiblesses et ses limites. Enfin, c’est ce qu’il vous dira si vous le critiquez sur son arrogance. En réalité, il est terrorisé à l’idée de décevoir son père qu’il admire tant. Son père qu’il tient en si haute estime. Comme son père, c’est un jeune homme aux convictions profondes qui croit en l'égalité des gens. Pour lui la nature du sang n'a pas d'importance. Enfin, à condition que vous ne lui en accorder pas. Il a de la difficulté avec les sang-purs qui se croient supérieurs aux autres.
Pour ses amis, Ayden est d’une fidélité sans faille. Sa confiance est difficile à gagner, car sous ses airs amicaux il est méfiant, mais une fois qu’elle est gagnée, elle est solide. C’est aussi un ami sur qui l’on peut compter pour sa sincérité. Il ne vous dira pas toujours ce que vous avez envie d’entendre, mais généralement ce que vous avez besoin d’entendre. Et dans le cas où vous avez plutôt besoin de vous changer d’air, il sait se défouler en plaisantant ou à travers les sports avec une préférence pour ce qui est aquatique ou sur un balai. Ne vous attendez pas à ce qu’il vous laisse gagner pour vous faire plaisir, il se donnera à fond, peut importe ce qu’il fait et vous écrasera à plate couture si c’est possible. Quand on peut gagner, il n’y a plus d’ami. D'ailleurs, ne vous étonnez pas s’il vous cherche des noises. Il aime bien provoquer histoire de prendre l’avantage. Que ce soit dans un jeu ou une discussion, la provocation peut faire perdre les moyens de la partie adverse, et ça, il l’a bien compris. Cependant, ça ne fonctionne pas dans les deux sens, le mettre en colère c’est s’exposer à son côté froid qui tôt ou tard se transformera en volcan en éruption. Quand le déferlement d’émotions fait rage, mieux vaut se tenir à distance. Ayden peu se montrer agressif voir violent. Surtout si c’est un être proche qui le déçoit. Il gère très mal les déceptions que peuvent lui apporter ses relations.
Sa relation avec sa mère est une déception perpétuelle. Pourtant, cela ne l’empêche pas d’être fière de ses origines moldues. C’est pourquoi il arbore ses tatouages et piercings. Il est aussi fasciné par le monde moldu dont il ne connait pas grand-chose vu le peu de temps qu’il y a passé. Il croit fondamentalement que les sangs purs qui sont puristes perdent beaucoup à ne pas vouloir connaitre davantage ce monde qui est plutôt débrouillard vu leur absence de pouvoirs magiques. C’est lors de ses escapades en monde moldu qu’il a découvert sa passion pour la mort. Avec tous ces rites mortuaires différents que l’on retrouve chez les moldus et sa curiosité pour l’humain, il a développé une passion pour les religions et comme son père avant lui il allait de soit qu’il allait se diriger vers la médecine. La combinaison de tout ça l’a mené vers la médicomagie légale.
Votre personnage a-t-il été touché malgré lui par les éléments récents du monde sorcier ? Son patronus a durement été touché par la peste des patronus lors de la première vague, mais pas lors de la deuxième puisqu'il était absent de l'Angleterre. Il n'a pas non plus changer de forme lors de la première vague. Il a perdu une amie d'enfance lors du déraillement du train en début d'année, sans parler de membre de sa famille lors de la bataille de pré-au-lard.
S'est-il impliqué d'une certaine manière (volontaire ou involontaire) ? Comment ? Même avant le début des évènements, alors qu'Ayden terminait son cursus primaire, il entra dans l'ordre du Phoenix. Ça allait de soit vu les valeurs transmirent par son père, il eut tôt fait de réaliser que son père y était également. C'est probablement pourquoi on l'approcha.
Quels sont les idéaux politiques de votre personnage ? Se rallie-t-il à une cause ? La tolérance et l'égalité sont de jolis concepts à mettre sur un parchemin. Ayden les a tatoué sous sa peau. L'étoile de David qu'il arbore sur son coude droit en mémoire de la famille décimé de sa mère lui rappel chaque jour combien l'intolérance et l'ignorance peuvent aller loin. Il porte aussi un petit phoenix discret derrière son oreille gauche, ce tatouage à la particularité d'être magique. Il s'enflamme lorsqu'on le regarde. Pour le sorcier trentenaire, il n'y a pas de demi-mesure, il est extrémiste dans sa neutralité. La violence n'a pas sa place et elle ne l'aura jamais, il faut donc trouver des moyens non violent pour arriver à nos fin. Sans s'impliquer directement dans le partie politique du Phénix, il continue cependant d'oeuvrer au sein de l'ordre du phoenix.
Votre personnage est-il engagé politiquement ? Que pense-t-il de la situation actuelle ? Ayden ne le cris pas sur tous les toits, mais ses proches savent qu'il ne jure que par le partie du Phénix, pas question de voir un autre partie extrémiste prendre le pouvoir. L'homme sait pertinemment les dégâts causés par l'extrémiste, car il les a vécu de loin dans le monde moldu et de trop près dans celui des sorciers.
Lors de l'apparition de son patronus corporel en décembre 1978, quelle a été la réaction de votre personnage ? Leur première rencontre fut placide. Ayden se montra d’abord méfiant devant ce qu’il avait cru être un chien errant. Puis suite à réflexion, il comprit que c’était impossible. C’était un chacal, il ne pouvait pas y avoir un chacal dans sa cuisine. Sur le moment il ne savait trop qu’en penser, il farfouilla dans ses livres, mais ne trouva rien. C’est en retournant à Poudlard qu’il comprit qu’il n’était pas seul. Que l’arrivée de Kali était due a un phénomène qu’il ne pouvait expliquer. Puis il apprit que c’était son patronus. Cet animal de chair était une partie de son âme matérialisée à ses côtés, un animal qui le représentait. Un animal de meute, loyal, curieux, intelligent. La forme animale d’Anubis, dieu égyptien gardien des morts. Ce nom lui aurait été à merveille, si ça n’avait été que c’était une elle. Il opta donc pour Kali, déesse hindi du temps. Le précieux temps, cette chose unique après laquelle tout mortel court sans arrêt, mais également de la délivrance et bien sûr de la mort.
La deuxième forme du patronus se matérialisa alors qu’il tentait de se débarrasser de quelqu’un d’un tantinet envahissant. Un étudiant qui avait besoin d’aide et qui, visiblement, manquait cruellement de débrouillardise. Il s’était attiré la colère du jeune homme et par le fait même, avait permis à l’animal de prendre sa deuxième forme. Celle d’un ours au pelage blanc. Un ours polaire. Animal reconnu pour sa vie solitaire, sa persévérance et son agilité dans l’eau. La chasse gardée d’Ayden. Son besoin de solitude, son entêtement et son amour profond de l’eau. Le patronus prend rarement cette forme, il le fait généralement avec des gens en qui Ayden a une entière confiance et ceux-ci sont plutôt rares.
Quelle a été sa relation avec celui-ci au départ ? Comment a-t-elle évoluée ? écrire ici, uniquement pour les personnage possédant un patronus corporel, supprimer la question si votre personnage n'en possède pas.
Votre personnage a-t-il été touché par la Peste en 1980 puis en 1983 ? Comment l'a-t-il vécu ? Lors de la peste de 80, Ayden a bien crus perdre son patrons. Il est devenu si faible qu'il a même cru y passer aussi. Heureusement, il s'en ait sorti sans aucune séquelle sinon de bien mauvais souvenir. Pour ce qui est de la peste de 83, Ayden était en Amérique à la recherche d'un remède à la lycanthropie. Vous aurez compris qu'il est malheureusement revenu bredouille, toutefois, il était bien heureux d'avoir pu échapper à cette deuxième peste.
Questions
Pseudo et âge: Gab, 27 ans (aoutch)Où as-tu trouvé le forum ? On me l’avait conseillé once upon a time. Personnage: Un ancien scénario et un ancien perso. Avatar Stephen James As-tu un autre compte sur BP ? nope, mon dédoublement de personnalité se porte bien. Présence: 5/7 Une remarque ? Tellement heureuse d’être de retour. Ma boite a mp est ouverte pour ceux qui veulent des liens
Dernière édition par Ayden M. Sassine le Jeu 23 Mai - 1:52, édité 11 fois
Happiness can be found even in the darkest of times
CHAPITRE ~~~ I : Goodbye
« Mais pourquoi maman ? »
« Ça suffit Ayden ! J’en ai marre de tes questions, t’es un vrai boulet ! »
Les larmes montèrent seules aux yeux du gamin qui avait reçu la critique comme un coup de couteau. Si la femme qui devait l’aimer le plus au monde pensait ça de son petit homme de quatre ans, que pensait le reste du monde. Sous le coup des regrets, elle soupira. Dépassé par son fils qui ne voulait que comprendre.
« C’est l’heure de la sieste. Aller viens, je vais rester avec toi jusqu’à ce que tu tombes dans les bras de Morphée. »
« Elle est jolie Morphée maman.»
« Ah oui ? »
« Je la vois dans mes rêves tu sais ? Elle a une longue chevelure foncée et des yeux clairs. Mais je crois qu’elle est triste. Ses yeux ont toujours l’air triste. Comme les tiens. »
« Tu sais que c’est un homme… ? Peu importe. Ferme les yeux. »
Il tomba rapidement endormi, blotti contre sa mère. À son réveil, elle n’était plus à ses côtés. Lorsqu’il descendit à la cuisine, son père faisait les cent pas, un téléphone à la main. Il semblait nerveux. Ayden entendit son père parler de la disparition de sa femme. Sa grand-mère paternelle était également là ainsi que beaucoup d’hommes qu’il ne connaissait pas. En voyant Ayden à moitié endormi, elle s’élança vers lui et le pris dans ses bras pour l’amener dans sa chambre.
« Elle est où maman ? »
« Je ne sais pas mon chéri. »
« Elle est partie ? C’est à cause de moi, je l’ai mise en colère juste avant la sieste »
« Ne dis pas de sottise chaton. »
AVENGEDINCHAINS
CHAPITRE ~~~ II : Run
« Hey du con ! Attaque-toi à quelqu’un de ta taille ! »
Un peu idiot pour quelqu’un qui était en réalité plus petit que la victime. Sa taille ne l’avait jamais importuné. Puis il avait encore le temps de grandir, il était encore au tout début de son adolescence après tout. Sans que l’agresseur n’ait eu le temps de réagir, il était déjà à plat ventre la bouche pleine de terre. Ayden se poussa et se plaça pour l’affronter. Lorsque l’élève se redressa, il analysa avec regret qu’il avait presque trois têtes de plus que lui, sans parler du poids. L’élève essuya le coin de sa lèvre puis en voyant l’avorton qui l’avait fait tombé, eu un sourire narquois. Pour sa part, Ayden sentit son estomac se nouer. Pourquoi n’avait-il pas fermé sa grande gueule encore… ? Il haussa les épaules en faisant lentement un pas vers l’arrière, puis d’un geste vif, il prit ses jambes à son cou et courues dans la direction opposée. En espérant que le jeune homme fou de rage qui le poursuivait soit plus lent que lui.
« Cours Ayden ! »
« Marrant mec, je fais quoi a ton avis!? »
Même au plus rapide de sa vitesse, le grand brun eu tôt fait de l’agripper par le collet. Une sensation de brûlure encercla sa gorge. Probablement sa cravate que l’étudiant avait du chopper au passage. Il sentait tissus lui brûler la peau, mais cette douleur insignifiante n’était rien comparée à ce qui allait venir. Une fois Ayden couché sur le sol, l’élève le rua de coups, bien à l’abri des regards, loin les autres. Du plus loin que remontent ses souvenirs, ce fut la pire raclée qu’il a laquelle il eut droit. Même très en colère, jamais son père n’avait frappé aussi fort. Il retourna à sa chambre commune le corps endolori et parsemé d’ecchymose. Pendant un moment il avait bien cru que son foie avait éclaté. Heureusement pour lui, il n’avait pas de blessure grave, mais c’était certes la dernière fois qu’il prenait la défense de quelqu’un sans regarder avant à qui il avait affaire. On ne l’y reprendrait pas.
AVENGEDINCHAINS
CHAPITRE ~~~ III : Circle of life
« En quoi ? »
« En autopsie. Je veux me spécialiser en autopsie. »
« Avec les cadavres ?! Il y a tellement de spécialisation intéressante et toi tu veux travailler avec les morts ? »
Ayden soupira. Il sentait la colère monter en lui. Discuter avec son père était inutile. Ça l’avait toujours été, il ne faisait pas l’effort de comprendre parce qu’il ne voulait pas comprendre. Si ce n’était pas sa vision, forcément c’était une mauvaise idée. Pour Ayden, comprendre la mort était tout aussi essentiel que la vie. Après tout, n’était-ce pas un passage obligé ? Tout le monde y passait. Moldus, sorcier, riche, pauvre, sang-pur, sang-mêlé. Tous, sans exception, devaient tôt ou tard passer par cet état de mort. Dans plusieurs cultures moldues, on célébrait la mort comme le début d’une nouvelle vie et pour d’autres c’était simplement une continuité. Comme une roue qui tourne. Les lions mangent les antilopes, les lions meurent, nourrissent le sol où l’herbe pousse et les antilopes mangent l’herbe.
« Écoute. Que tu le veuille ou non, je finirai dans le sous-sol de l’hôpital mort alors aussi bien m’en familiarisé pendant que je suis en vie. »
Il arborait son visage de marbre. Comme si ce qu’il venait de dire était complètement censé. Maxence ne savait pas si il devait rire ou si son fils était sérieux. Ayden avait toujours eu un humour particulier, mais là il devait admettre qu’il ne savait trop quoi répondre.
« Fait ce que tu veux. »
Ce n’était pas vraiment ce que souhaitait Ayden comme réponse, mais c’était déjà mieux que rien. Dans l’idéal il aurait voulu son approbation. Il balaya une furieuse envie de s’autofrapper dans le front. Pourquoi avait-il encore ce besoin viscéral d’être approuvé par son père ? Il était adulte maintenant et devrait être en mesure de pouvoir prendre ses décisions sans avoir à chercher l’approbation. Il fallait bien dire que même sans qu’on la lui demande, Maxence avait la fâcheuse habitude de donner son opinion. Dans tous les cas, ce n’était pas sa mère qui allait être en désaccord. Même après toutes ses années, elle continuait désespérément d’essayer de trouver le pardon de son fils qu’elle avait lâchement abandonné alors qu’il n’était qu’un enfant.
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CHAPITRE ~~~ IV : Ink
« Ayden! Contente de te revoir. Tu as amené Kali. »
« Je ne suis pas venu te dire bonjour, je suis venu pour un de plus. »
Son papier en main, il avait déjà tracé la taille et le modèle qu’il voulait. Il allait de soit. Il y avait longtemps qu’il y pensait et quel meilleur endroit pour l’apposer que sur son ventre. Après tout, Kali était plus qu’un simple animal de compagnie, elle était une partie de son âme. Et suite à la peste, il avait eu si peur de la perdre qu’il devait la faire marquer. Dans sa chair.
« Waw super! J’ai justement le temps de commencer quelque chose. Fait juste laisser Kali dans l’arrière-boutique s’il te plait, si l’agent d’hygiène passe, je vais avoir de sérieux problème. »
« T’inquiète, elle se fera discrète. »
« Tu ne m’as toujours pas dit comment tu as fait pour te dégoter un chacal comme chien de compagnie. »
« Fait moi penser de te raconter la prochaine fois. Je suis un peu pressé, on peut commencer? »
Il n’avait pas encore trouvé quelle salade il allait lui servir pour expliquer Kali. Il ne se baladait généralement pas avec elle dans les rues de Londre, mais il n’avait pas vraiment le choix lorsqu’il allait se faire faire un nouveau tatouage. Comme il tenait à le faire comme un moldu, Kali n’arrivait pas à conserver sa forme vaporeuse lorsque la tatoueuse passait son aiguille sur des parties de peau plus sensible et sous la douleur elle reprenait systématiquement sa forme animale. Il s’était donc fait une raison et l’amenait maintenant sous sa forme de chair, à la vue de Vanessa qui était fascinée par le calme de l’animal. Aucun chien n’était aussi bien dressé, enfin, aucun chien qu’elle n’avait vu jusqu’à présent. Ayden déposa le dessin sur la table de la jeune femme et s’installa sur la chaise. Il ferma les paupières et se concentra sur sa respiration. Bientôt il n’y aurait plus de place pour un nouveau tatouage. Son corps en était presque entièrement recouvert, au grand désarroi de son père qui ne comprenait pas l’engouement de son fils pour cet art moldu qu’il voyait plus comme une torture que comme un moyen d’expression. Pour Ayden, c’était sa façon de se rappeler qu’il était à moitié moldu, mais aussi une manière d’afficher son sang chez les sorciers. Ça avait aussi l’avantage d’en éloigner quelques-uns. Ces pur-sang qui se croient au-dessus de tout avec leur consanguinité.
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CHAPITRE ~~~ V : Bite me
Un texte est une série orale ou écrite de mots perçus comme constituant un ensemble cohérent, porteur de sens et utilisant les structures propres à une langue (conjugaisons, construction et association des phrases…)1. Un texte n'a pas de longueur déterminée sauf dans le cas de poèmes à forme fixe comme le sonnet ou le haïku.
L'étude formelle des textes s'appuie sur la linguistique, qui est l'approche scientifique du langage.blablablablabla
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Dernière édition par Ayden M. Sassine le Mer 22 Mai - 20:06, édité 1 fois