Il y a des gens qui ont cette facilité à parler d’eux, mais moi je crois que je n’ai jamais aimé ça. Enfin, me confier je veux dire. J’ai beaucoup de mal à m’exprimer pour cela. Et je ne vois pas l’utilité de débattre sur mes sentiments, mes peurs, mes problèmes… Je me souviens, une fois, quand j’étais toute gamine, on avait dû se présenter devant toute la classe. Dire ce que l’on aimait faire, ce que, au contraire on n’aimait pas, etc… Tous ses regards braqués sur moi, ça m’a foutu la chair de poule. Non pas que je sois de nature trouillarde, mais j’ai beaucoup de mal à parler quand une foule me regarde. Mes joues rougissent automatiquement. J’appréhende surtout le jugement des autres qui est parfois impitoyable. Ma grand-mère me répétait toujours « Ignore le regard des autres, ce qui importe c’est ce que tu penses de toi ». Mais de l’autre côté, ma mère me disait tout le contraire. Vous comprendrez donc que j’étais un peu perdue. Mais je pense que j’ai hérité de la timidité de mon père. Et de sa loyauté aussi. Je ne supporte pas le mensonge, puisque de toute évidence, tout finit par se savoir un jour ou l’autre.

Enfin bref. Je suis peut-être timide avec les gens que je ne connais pas, mais je peux vous assurer que je suis aussi assez dégantée. J’aime l’aventure, le danger, même si ça m’effraie assez. L’adrénaline, c’est ce dont j’ai besoin pour vivre. Mais à côté de cela, j’ai aussi un tempérament relativement calme. Je suis le bien et le mal à moi toute seule. C’est comme si j’avais une double personnalité en fait. Je ne dirais pas que je suis du genre manipulateur, je trouve ce terme assez péjoratif. Mais j’aime bien tout prévoir, tout calculer. Tout ce que je fais est réfléchi à l’avance. Je n’aime pas être prise de cours.

Ma baguette est composée de Bois de Séquoia et de ventricule de dragon.

Et pour finir je vous parlerez de ma plus grande peur. Enfin disons de mes plus grandes peurs. Les araignées, je trouve ça vraiment repoussant. Les rats aussi. Ces petits rongueurs me rendent malade. Sans parler de l'hôpital. D'ailleurs mon épouvantard est un chirurgien avec une énorme seringue entre les mains.

Dans cette partie, vous pourrez parler du patronus de votre personnage, du lien qu'il a avec celui-ci, s'il s'adapte bien à la situation actuelle et des formes qu'il peut prendre. Minimum de 10 lignes.

ATTENTION: Les patronus sont apparus durant les vacances de Noël 1978 (nous sommes en 1979 dans le jeu), ni avant ni après.