Prénom(s) :Louis-Alexandre Théodore (Louis signifie Guerrier glorieux tandis qu’Alexandre signifie Celui qui surmonte la volonté des hommes. Théodore vient du grec théos, Dieu et Doron, don, cadeau. On peut donc en conclure que Louis est un Guerrier glorieux qui surmonte la volonté des hommes car c’est un cadeau de Dieu.
Nom :De Sade.Date de naissance :20 avril 1962.
Nature du sang :Pur.
Baguette :Bois d’If (Pouvoir de vie ou de mort, ténèbres, forces du mal, rareté), ventricule de cœur de dragon (le cœur qui fournit les baguettes les plus puissantes, faculté d’apprentissage facile), 28 cm.Cette baguette est rapide et souple : parfaite pour les duels et autres combats. Le bois d’If et le ventricule de cœur dragon lui confèrent une grande puissance. La baguette en bois d’if ne choisit jamais un maître médiocre ou timide.
Patronus :Deux formes : un anaconda et un léopard des neiges. Il se prénomme Hadès.
« Je me souviendrais toujours de ce garçon. A peine âgé de onze ans, il semblait déjà prédisposé à un grand avenir. Lorsqu’il est entré dans ma boutique, seul, je ne m’attendais pas à une telle force de caractère. Il n’était pas nécessairement grand ni même imposant. Il était plutôt petit… ainsi que très mince, aussi. Un visage parfaitement dessiné, des traits fins, un regard perçant dû à ses yeux d’un vert peu commun, gris ou bleu parfois, selon la lumière. Sa démarche assurée, son air froid et moralisateur ne correspondaient pas à son jeune âge. Il semblait si confiant, si hautain que j’en ai tout de suite conclu qu’il provenait d’une famille de sang-pur aux idéaux différents des miens. Il m’a tout d’abord toisé puis s’est adressé à moi. Pas un sourire. Je n’ai pas vu ses lèvres s’étirer une seule fois. Un rapide ‘’bonjour’’, froid, condescendant. Aucunement timide, contrairement aux nombreux enfants qui entrent dans ma boutique accompagnés de leurs parents, un sourire impatient et émerveillé. Lui était venu seul et semblait lassé par la situation. J’ai eu l’impression que c’était une corvée, quelque chose qu’il aurait aimé déléguer à un elfe de maison s’il l’avait pu. Il n’avait pas jugé bon d’expliquer la raison de sa venue, pensant que le fait de rentrer dans la boutique d’un fabricant de baguettes magiques suffisait amplement comme explication. Je n’ai pas insisté. Je lui ai d’abord apporté une première baguette. Bois de cerisier, plume de phénix, 25 cm. Le Cerisier est un bois très puissant qui confère à son sorcier, une extrême puissance. En effet, ce bois produit une baguette qui possède un pouvoir mortel, quel qu’en soit le cœur mais, surtout s’il s’agit d’un ventricule de cœur de dragon. Cette baguette ne devrait jamais être associée à un sorcier dépourvu d’une maîtrise de soi et d’une force mentale exceptionnelles. Il semblait posséder les deux mais l’objet n’avait pas l’air de convenir car à peine eut-il fait un geste que le vase non-loin de moi explosa, projetant des débris partout dans la pièce. J’avais haussé un sourcil à la fois curieux, surpris et intéressé. Il n’avait que onze ans et aurait été capable de détruire ma boutique en un simple geste. Je m’étais empressé de ranger cette baguette, l’éloignant de lui et de ses terrifiants pouvoirs. Il avait haussé les épaules et attendait patiemment sans faire le moindre commentaire. Il était bien élevé et cela changeait des hooligans désinvoltes qui entraient dans ma boutique, pressés de voir s’ils deviendraient de puissants sorciers. ‘’Voyons voir…’’ avais-je dis, réfléchissant à ce qui conviendrait le mieux, la main caressant doucement ma barbe. Et puis, cela m’était apparu comme une évidence. Je m’étais dirigé vers le fond de ma boutique, prenant un long boîtier qui renfermait une baguette bien rare. Bois d’If, ventricule de cœur de dragon, 28 cm, rapide et souple. Lorsque je lui ai tendu et qu’il s’en est saisit, quelque chose d’étrange s’est passé. L’atmosphère habituellement chaude et vieillotte de mon échoppe devint froide et peu rassurante. Je me souviens en avoir frissonné. Mes poils s’étaient hérissés le long de mes bras, mon corps en tremblait. J’avais été incapable de bouger, de faire le moindre geste. Sur son visage s’était dessiné un sourire bien étrange que, sur le moment, j’ai été incapable d’interpréter : de la joie, de la peine, de la folie ? Il m’avait semblait… heureux. Oui. Ses vêtements s’étaient mis à voler, légèrement, emportés par la puissance qui se dégageait de la baguette. Les baguettes en bois d’If sont parmi les plus rares et leurs partenaires idéaux sortent eux-mêmes de l’ordinaire, que cela soit pour de bonnes… ou de mauvaises raisons. J’aurais été incapable de déterminer, à ce moment précis, si ce jeune homme sortirait de l’ordinaire par le bien ou par le mal. Mes préjugés m’auraient probablement poussé à penser qu’il finirait à Azkaban lorsqu’il aurait l’âge de quitter Hogwarts mais, son caractère semblait si profond que je ne pouvais le ranger dans cette catégorie sans en connaître plus sur lui. ‘’Impressionnant. – avais-je articulé dans un souffle. Il avait déposé la baguette sur la table, à côté de lui. – Je crois qu’elle vous a choisi, jeune homme.’’ Il avait posé son regard sur moi. J’en frissonnais encore. C’est une expérience qui ne s’est jamais renouvelé et j’espère sincèrement ne jamais avoir à revivre une chose aussi angoissante. ‘’Je l’aime bien. – C’était la deuxième fois que j’entendais sa voix en presque vingt minutes. – Elle est intéressante. J’ai ressentis quelque chose d’étrange, vous savez.’’ J’ai été d’abord étonné puis je lui ai souri. ‘’Ce n’est pas le sorcier qui choisit sa baguette mais la baguette qui choisit son sorcier. J’ai rarement vu une telle puissance se dégager d’une baguette magique. Vous semblez prédisposez à… à un grand avenir.’’ Que j’espérais bon. Il m’a simplement souri, m’a payé puis est sorti. Ce fut la dernière fois que je le voyais mais, j’aimerais sincèrement le revoir et découvrir ce qu’il est devenu. Mais, je crois que j’aurais bien trop peur de découvrir la vérité. J’ai connu beaucoup de sorciers. Certains ont bien tourné, d’autres non. J’ai connu un garçon. Sa baguette en bois d’If était d’une telle puissance… Vous-Savez-Qui. Oh, je n’irais pas le comparer à cet homme. Loin de moi cette idée. Je dirais simplement cette chose : La baguette d’if est réputée pour doter son possesseur d’un pouvoir de vie et de mort, ce qui, bien sûr, pourrait être dit de toutes les baguettes. Pourtant, l’if a une réputation particulièrement sombre et même terrifiante dans le milieu des amateurs de duels et de malédictions diverses. Il est cependant inexact d’affirmer — comme le font ceux qui ne connaissent rien aux baguettes magiques — que ceux qui utilisent le bois d’if sont plus susceptibles que d’autres d’être attirés par les Forces du Mal. »
Choixpeau Magique,
1er Septembre 1973.
« Un regard condescendant. Le charme et la noblesse française, une froideur digne d’un bel hiver. Tu es un De Sade, je me trompe ? – Le garçon hocha la tête négativement, gardant un visage impassible, fixant les autres élèves de première année. – Je vois… - murmura-t-il. – Tu es doté d’une grande intelligence ainsi que d’une grande culture. Cependant, les études ne semblent pas t’intéresser… L’ambition, en revanche, voilà quelque chose qui te captive. – Le Choixpeau grommela. – Je vois en toi de grandes qualités. Tu possèdes une grande maîtrise de toi. Beaucoup de sorciers t’envieraient pour cela. Tu ne renonces pas ou presque jamais, il t’est difficile d’abandonner quelque chose que tu as commencé. Tu n’aimes pas spécialement diriger mais tu refuses que l’on te donne des ordres… Tu es un loup solitaire, tu es certain de n’avoir besoin de personnes pour t’en sortir. – Quelqu’un toussota tandis que le Choixpeau continuait d’énumérer défauts et qualités du jeune De Sade qui écoutait avec attention. – Tu n’aimes pas la compagnie des autres. Tu n’es pas fait pour avoir des amis. Tu les juge inutiles voir encombrants. Je me trompe ? – Il hocha négativement la tête. – Tu n’es pas loyal ni même fidèle. Cela t’effraie. Tu as peur que la loyauté te freine dans ta soif de conquête. Tu es bien trop ambitieux pour ton âge… - Il fit mine de réfléchir. – Tu es mystérieux et il est difficile de te définir. Ta personnalité possède plusieurs facettes que tu refuses de dévoiler. Tu n’aimes pas la curiosité. Tu es une personne calme… voir trop calme pour ne rien cacher. – Théodore fixait le sol avec attention. – Ta baguette. De l’If, un ventricule de cœur de dragon. Puissance, n’est-ce pas ? Tu es doué pour la magie, cela se sent. Tu es amené à avoir un grand avenir… Tu es rusé. Oh oui, tu l’es. Cependant, je décèle en toi de l’inconscience… De l'imprudence. Tu sembles prêt à tout pour parvenir à tes fins, même à te lier avec tes pires ennemis, quitte à risquer ta vie... – Les lèvres du jeune s’étirèrent, laissant paraître un sourire… de joie ? Ou simplement malsain ? – Mon choix est fait. Ce ne fut pas facile mais tu sembles destiné à rejoindre la maison… »
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Son épouvantard est quelque peu… particulier. En effet, le jeune n’est point effrayé par les araignées ni même par la mort d’un membre quelconque de sa famille. Sa peur se résume à un simple mot : lui. En effet, Théodore est effrayé par ce qu’il est, ce que la magie noire et ce que la folie ont fait de lui. Il n’est plus que le fantôme de lui-même.
Un léopard des neiges. Félin noble et gracieux, selon la culture africaine, il est considéré comme le roi des animaux. Il est décrit pour la première fois dans les bestiaires comme un animal vil issu d’un croisement adultère entre le lion et le pard, un félin légendaire. Cette réputation d’animal cruel et sanguinaire perdurera durant des siècles. Au début, il n’était qu’un patronus comme tous les autres. Noble, grand et imposant, son utilité contre les détraqueurs n’était plus à prouver. Le regard perçant, il voguait dans les airs, parcourant ceci avec légèreté, protégeant son sorcier du moindre mal. Et puis, il y a eu ce jour de décembre 1978, durant les vacances de Noël, quand cette brume animale est devenue réalité, faisant découvrir à Louis-Alexandre une toute autre facette de la personnalité de son patronus. L’anaconda, un serpent qui, en temps normal, aime chaleur et humidité. Hadès prend rarement cette forme, préférant sa carrure imposante de félin. Il n’apprécie guère être ce serpent aquatique, il trouve cela trop contraignant. Ramper n’est pas fait pour lui. Majestueux, voilà le mot qui le résume le mieux. Sa fourrure blanche, parsemée de tâches noire, en intrigue beaucoup. L’entente entre lui et son sorcier est parfaite. Ils s’assemblent et se complètent. Ayant tous deux des caractères similaires, les débats se font rares voire inexistants. Voilà plusieurs mois qu’ils cohabitent et jamais ils ne sont tombés en désaccord. Une amitié ? Ils ne ressentent pas le besoin d’avoir des "amis" pour paraître normaux et sociables.
Tell me who you really are.
ϟ pseudo et âge: Jean-Pervers et 16 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? Je suis déjà dessus. ϟ Personnage: PV de la famille De Sade. ϟ As-tu un autre compte sur BP? C. Alhena Prince, la fille qui, avec son frère, a les plus beaux cheveux du château. ϟ Présence: Je passe ma vie ici. J'habite sur la CB. Problem ? ϟ Une remarque?
Dernière édition par L-A. Théodore De Sade le Lun 27 Mai - 11:53, édité 12 fois
Il a toujours été solitaire. La compagnie des autres l’a toujours effrayé. Il a le regard vide. Parfois, une flamme s’allume et danse dans ses prunelles. La folie. Il n’était pas comme ça avant. Il était différent mais je ne saurais dire en quoi... D’un geste vif, il sortit sa baguette. Lumos, souffla-t-il. Avec discrétion, le jeune homme sortit de sa salle commune. Il était minuit passé et les préfets rodaient, prêts à punir les élèves inconscients. Il se souciait peu de faire perdre des points à sa maison. La coupe des quatre maisons ne l’intéressait pas. Le passage menant à sa salle commune se referma doucement derrière lui tandis qu’il avançait avec précaution dans le couloir sombre avec pour seule source de lumière sa baguette. Il était simplement vêtu de son uniforme et d’une cape sur laquelle étaient brodées les armoiries de la famille De Sade. Son cœur battait régulièrement, il n’était nullement inquiété par l’ambiance lugubre et ténébreuse dans laquelle était plongé le château. La magie, quelle chose merveilleuse. Elle l’avait toujours passionné, depuis sa tendre enfance. Il considérait celle-ci comme un don bien qu’elle soit transmise de génération en génération. C’est pour cette raison qu’il ne participait pas à cette guerre qui opposait les nés-moldus et les sorciers de sang-pur. Bien entendu il avait, au fil des années, construit sa propre opinion sur la chose : l’indifférence est la meilleure des armes. Qu’il soit sang-pur, né-moldu ou sang-mêlé, à ses yeux, un sorcier restait un sorcier. Il n’accordait pas la moindre importance à cette guerre absurde qui avait fait couler bien trop d’encre et de sang. Il ne vouait pas une haine sans nom aux Moldus et n’admirait pas les grands sorciers tels que Dumbledore. Personne n’était digne de son intérêt, au déplaisir de sa famille qui essayait de le modeler à l’idée que l’on puisse se faire d’un De Sade : un noble sang-pur. Le pas léger, il parcourait les différents couloirs de l’école, montant étage après étage. Un seul l’intéressait : le quatrième. Fort heureusement, il n’avait croisé aucun préfet susceptible de le renvoyer dans son dortoir avec une pénalité pour sa maison. Nox, murmura-t-il dans un souffle avant de pointer sa baguette vers la porte devant laquelle il s’était arrêté : celle de la bibliothèque. Alohomora, dit-il en regardant à droite puis à gauche de façon à s’assurer que personne ne le surprendrait. Voilà quelques nuits maintenant qu’il se rendait à la bibliothèque pour apprendre. Un bruit singulier résonna dans le couloir : la porte venait d’être déverrouillée. Il l’ouvrit avec précaution, évitant ainsi le grincement habituel. Une fois les deux pieds dans la salle, il sortit sa baguette, jetant le sort de désillusion, se confondant ainsi avec son environnement tel un caméléon. Il se dirigea doucement vers la porte de la réserve, prenant garde à ne pas tomber sur le bibliothécaire en pleine crise de somnambulisme. Avec l’aide de sa baguette, il déverrouilla la porte et pénétra dans la salle, frissonnant. La chaleur avait disparu entre les deux pièces. Il se servit à nouveau du sort Lumos pour éclairer la pièce, sachant parfaitement où il devait se rendre pour retrouver le livre qui avait attiré son attention quelques nuits plus tôt. Lorsque Théodore fut arrivé près d’une étagère poussiéreuse, il observa minutieusement les différents livres et tapota la reliure de l’un d’entre eux, esquissant un sourire malsain. ‘’Grandeur et décadence de la magie noire.’’
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Louis-Alexandre est définit comme l’être le plus et le plus sadique de sa famille. Il n’est pas né ainsi, il l’est devenu. Cet attrait pour la magie noir lui est d’abord venu de ses nombreuses lectures nocturnes au manoir de ses parents, dans leur bibliothèque privée. En troisième année, à la fin des vacances d’hiver, il s’est aventuré pour la première fois dans la réserve et y a trouvé ce fameux qui a changé sa vie et qui lui a appris beaucoup de choses. La magie noire est rapidement devenue une passion, une obsession de laquelle il ne pouvait se détacher. Tant bien que son caractère en a changé. Il est vrai qu’avant que cette facette de sa personnalité soit dévoilée, il n’était qu’un sang-pur mystérieux et au caractère bien distinct des autres membres de sa famille. La magie noire l’a détruit intérieurement, le rendant mauvais, froid et encore plus solitaire qu’il ne l’était auparavant. Il a ce goût pour la destruction et cette façon de voir les choses qui le différencie de beaucoup de ses camarades. Il n’agresse pas les élèves, baguette sous la gorge, leur promettant une mort douce et lente. Il est calme, beaucoup trop calme selon certains. Sa peur de la loyauté fait de lui une personne intrigante car il est rare de le voir en compagnie d’autres élèves. Le plus souvent, il est seul et cela lui convient parfaitement. Il est dément dans le sens où, quand il choisit une victime, il ira jusqu’au bout mais ce n’est pas du harcèlement physique. Il n'est pas une personne que l'on peut considérer comme "violente". Il lui arrive de l'être, lorsqu'il perd le contrôle et que son impulsivité prend le dessus sur sa sa maîtrise de lui. Il est surtout violent dans sa façon de parler et de penser, sa répartie est cinglante et sans appel. Lorsqu’il décide quelque chose, la sentence tombera, quoi qu’il arrive, malgré les années que cela peut lui prendre pour arriver ses fins. Il aime détruire les gens intérieurement, il n’a pas besoin de frapper ou de lancer des sorts pour y parvenir tout simplement car lorsque le mental lâche, le physique suit. Il se délecte de la souffrance des autres. C’est probablement ce qui fait de lui une personne dite sadique. Il est un manipulateur hors-pair et a soif de pouvoirs. C’est pour cette raison qu’il continue de cultiver son obsession pour la magie noire, lançant des sorts qu’il ne devrait pas lancer, pratiquant cet art avec avidité comme si sa vie en dépendait. Il n’entretient pas vraiment une bonne relation avec sa famille. Les jumeaux (comme il aime les appeler) l’évitent comme la peste que ce soit dans l’enceinte du château ou au manoir de la famille. Il ne parle presque pas lorsqu’il est rentré et n’adresse que très peu de compliments à sa mère ou à son père. Il est bien entendu attacher à ses parents mais ne l’avouera jamais par peur de paraître faible aux yeux des autres. Il ne s’entend absolument pas avec sa cousine Perséphone qui a peur de lui mais qui ne l’avouera jamais. Il se fiche bien d’être chef de famille et lui fait d’ailleurs bien comprendre. Être à sa botte et obéir à ses ordres l’insupporte au plus haut point.
Depuis quelques semaines maintenant, il est fiancé à Aphrodite Crawley bien que celle-ci ne sache pas qui il est.
Dernière édition par L-A. Théodore De Sade le Sam 1 Juin - 13:59, édité 15 fois