ϟ Le nom de famille n’est pas obligatoire, vous pouvez tout à fait lui en choisir un autre et dire que, sur le sol anglais, elle garde le nom de son géniteur (vous pouvez bien évidemment changer Allaway pour autre chose, dans ce cas-là). Néanmoins, j’avais choisi de lui donner Al Niyat car cela est le nom qu’on donne à un groupe d’étoiles de la constellation du scorpion.
ϟ Les prénoms sont difficilement changeables, car tous deux liés aux mythes du scorpion – Artémis et Selket sont toutes deux des déesses rattachées à cet animal en plus d’être miroirs aux prénoms de mon personnage (Erachteus est un roi mythique d’Athènes et Apophis une divinité égyptienne ; tous deux sont liés au serpent) Si néanmoins vous voulez en modifier l’orthographe ou trouvez un autre prénom qui se rapproche du scorpion, n’hésitez pas à demander !
ϟ Pour le patronus, une des deux formes est obligatoirement un scorpion. Parce que je trouve que le serpent et le scorpion s’opposent tout en se ressemblant et que j’ai basé ce scénario sur cet animal (très tourné vers la famille mais qui peut s’avérer nocif, comme Artémis). Pour la seconde forme, si cela pouvait être un prédateur du serpent cela serait extrêmement bien vu par ma personne (on peut quasiment dire que vous y êtes obligés, là ). Par exemple, une mangouste jaune ou un lynx roux.
ϟ L’âge peut être négociable, vous pouvez varier entre dix-sept ans et dix-neuf ans. Quant à l’avatar, il l’est difficilement. J’aime beaucoup la douceur et délicatesse que possède Bella Heathcote et j’ai mis du temps à faire mon choix.
Fille du premier mariage de Blanche-Rose Vonlanthen, noble suisse, avec Clifford Allaway, prospère anglais, Artémis a vu le jour à Bexhill-on-Sea, en Angleterre. Elle aurait pu continuer sa vie là-bas si ses parents n’avaient pas décidés de divorcer, alors qu’elle n’avait que quatre ans pour une histoire qui toujours est, pour la demoiselle, inexpliquée. Ses deux parents, de ce qu’elle sait d’eux, ont été fidèles l’un à l’autre et se sont toujours entendus de façon cordiale. La jolie adolescente a beau chercher les raisons de leur séparation, rien ne vient ! Tous deux appartenaient à la même sphère sociale, avaient les mêmes croyances religieuses et morales… Bref, une histoire qui mine de rien la ronge, car de ce fait Artémis se montre réticente et méfiante face à l’engagement, même lorsqu’elle sent son cœur battre pour quelqu’un et que cela est réciproque. La jeune beauté trouve continuellement des défauts à ses soupirants et des barrières à mettre en travers de leur chemin ; ce qui fait dire à certains qu’elle attend le prince charmant. Ce qui, finalement, n’est pas si faux que cela ! Artémis, souvent, se rêve à être marié avec un beau jeune homme, en tous points parfaits. Et ce jeune homme, elle l’imagine racé, comme ces égyptiens qu’elle a côtoyée toute son enfance.
Ne vous fiez pas à son teint délicat, car cet ange a longtemps galopé sur le sol aride de l’Egypte – juste que sa peau rapidement perd sa couleur, sous les nuages de l’Angleterre. C’est d’ailleurs de cette contrée ensablée que lui vient son nom de famille, Al Niyat, transmis par son beau-père qu’elle aime tendrement et connaît plus que son géniteur – ce dernier ne semble pas froissé par le choix de sa fille. Il faut dire qu’il a à présent trois autres enfants portant son nom, au contraire du nouveau mari de Blanche-Rose, resté sans descendants. Aussi, son second prénom, Selket, est là-bas son premier car de ce pays originaire (se pourrait-il que sa mère, même avant sa naissance, connaissait l’homme qui à présent est son beau-père ?). Oh, la douce s’est totalement acclimatée à sa vie là-bas jusqu’à en avoir appris la langue et en revêtit les apparats. De plus, sa vie sur la terre des Pharaons a été des plus douces. Plus les pauvres sont pauvres, plus les riches sont riches et sa famille là-bas, est des plus fortunées et célèbres – le tout étant basé sur le commerce des métaux. Là-bas, pour animaux de compagnie, Artémis possède des animaux comme des paons et des guépards… Là-bas, la demoiselle mange à tous les repas avec des couverts d’argent et des assiettes de porcelaine. Oh, cela n’a rien à voir avec la vaisselle de Poudlard.
Parlons-en, de Poudlard. Ou, avant, de sa découverte de ses pouvoirs. Ses deux parents étant de simples moldus, personne ne s’attendait à ce que la jolie soit une sorcière. Tous ses petits tours étaient rationnalisés et il n’y avait qu’elle qui parfois, se posait des questions quand des catastrophes, comme par magie, lui arrivaient. Quelle surprise fut l’arrivée de la lettre ! De celle lui disant qu’elle avait été reçue à Poudlard. Parce que malgré qu’Artémis vivait en Egypte neuf mois sur douze (les trois autres, elle rendait visite à son père), sa nationalité restait, tout comme son sang, britannique. Et elle était encore à l’âge où on croyait volontiers à la magie (surtout dans un pays comme celui-ci, si plein de mystères, de voyants et sorciers traditionnels) aussi de suite y crut-elle. Ainsi, les verres qui tombent sans qu’elle les touche, ce n’était pas un signe qu’elle devenait folle ! Ses parents furent bien obligés d’accepter ce fait, surtout quand ils allèrent acheter ses fournitures scolaires sur le Chemin de Traverse…
Quant à Poudlard, ce fut l’épanouissement de ses dons. Astucieuse, précise et appliquée, Artémis devint sans contexte un des meilleurs éléments de l’école. Et, quelle popularité ! Toujours si bien coiffée, des diamants à ses oreilles… La tête pleine d’histoires, avec ce côté exotique qui charmait les plus ouverts des élèves. Une née-moldue ! En voilà une personne qui serait capable de leur expliquer comment fonctionne un grille-pain. C’est ainsi qu’Artémis grandit : sa compagnie était recherchée et son intelligence remarquée. Pétillante, malicieuse et vive…
Ophis ne l’avait pas fait exprès, mais cela Artémis ne le savait pas. Et quand vers lui elle se retourna, choquée qu’on ait osé toucher son postérieur ; il ne put s’empêcher, d’un ton arrogant, de moquer sa pudeur de jeune fille bien élevée, au lieu de s’excuser. Et malgré qu’il soit entouré d’autres Serpentards, la demoiselle n’hésita pas à lui renvoyer de mauvais mots. Rapidement ils sortirent leurs baguettes mais Artémis, plus prompte et meilleure combattante, désarma bien vite son assaillant en plus de lui lancer un vilain sortilège pour l’humilier, avant de s’en aller. Ce ne fut qu’après qu’elle apprit que l’individu avec lequel elle avait eu une petite rixe était un Gaunt, sang-pur descendant de Salazar Serpentard et fourchelang. Toutes ces histoires de vieilles familles et de sang, qu’elle avait du mal à les retenir (bien qu’elle savait que, du fait d’être une née-moldue, elle était vue comme une moins que rien par beaucoup et que de plus en plus les temps allaient être durs pour ceux dans sa situation) ! C’est ainsi qu’Artémis attira un peu plus sur elle l’attention. Certains la félicitaient pour ce qu’elle avait fait – remettre ce petit prince teigneux à sa place, voilà ce qui était courageux et culotté ! Ah, cela leur apprendra, à ces Serpentards. D’autres la regardent de travers et murmurent à son approche, lui donnant la forte impression de s’être faits de nombreux ennemis. Cette sang-de-bourbe, pour qui se prenait-elle ? Ah, les gens de son espèce feraient mieux d’être jetés hors de Poudlard !
Artémis, malgré tout, garde la tête haute et à qui lui demande si c’est bien elle qui a giflé et vexé Ophis, elle répond positivement. Qu’importe si cela lui attire de la sympathie ou non. Mais la jolie trouve dommage d’être connue pour un tel geste. N’a-t-elle pas réagi trop fort ? Il est vrai qu’elle devait s’imposer dans cet établissement, pour ne pas se faire marcher sur les pieds du fait de son sexe et de son sang. Toutefois, est-ce qu’une main baladeuse et quelques mauvais mots méritaient tout ce raffut ? Oh ! Artémis était courageuse et affirmait chacun de ses actes. Mais, polie et soucieuse, la jolie désire que vite cette affaire soit oubliée et, consciente d’avoir au moment de son affront été dans un mauvais jour, écrit une lettre au surnommé Ophis, dans le but de s’excuser – même s’il avait grandement mérité d’être traité ainsi ! Mais voyez-vous, Artémis est bonne et n’aime point être en faute.
Dernière édition par Erachteus A. Gaunt le Jeu 31 Jan - 22:21, édité 1 fois
J'aime beaucoup ton scénario et je dois avouer que j'aimerais bien le prendre :) J'aurais voulu savoir si tu avais une envie particulière quand à la maison pour mon personnage ? Pour le reste, j'espère être à la hauteur de tes attentes :)
Il n'y a pas de soucis pour que tu prenne ce scénario, je t'y encourage même. Quant à mes attentes elles ne sont pas très élevées ; juste un respect des bases du personnage, assez de compétences à l'écrit pour passer la validation par l'administration du forum et une présence suffisante pour être jugé actif (sans pousser à être vu comme le maniaque du forum. ).
Pour la maison, si on pousse l'antagonisme à son maximum, j'aurais dit Gryffondor vu que mon personnage est Serpentard. Néanmoins, ce sont les administrateurs qui choisissent les maisons, après lecture de la fiche. Serdaigle pourrait aussi me convenir ; Ophis était aussi éduqué qu'une pierre. :> Bref, fais de ton mieux et surtout, prend du plaisir à jouer Artémis.
L'aigle est un choix que j'approuve, aussi (tu respectes le côté prédateur de serpents, qui plus est). Rampant versus volant ! /pan
Tu fais de moi un individu heureux, qui se trémousse sur sa chaise avec son thé et sa couverture, souriant béatement comme un idiot des sombres marais.
Je me suis rendue compte pour la maison après mon post, donc on verra bien ^^. Avec un peu de chance, ça sera marrant. Oui je me suis dit que ça allait bien aussi et comme j'aime l'air et ces rapaces... On reste dans les prédateurs !
Et ne t'inquiète pas, je pense écrire plutôt bien ! Pour le reste, je n'ai pas l'intention d'abandonner mon rôle ^^. Je l'aime trop