| De Mertreuil • L'Apollon de la famillepar Invité, Lun 24 Juin - 21:39 ( #) | [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Hélios Apollon De Mertreuil FEAT. Chris Evans 22 ans ϟ Cursus Enseignement Magique ϟ Border Collie & Zibeline ϟ Officiellement Sang Pur, réellement Sang Mêlé (vélane)
Je suis né il y a vingt-deux ans dans une famille riche et puissante, les De Mertreuil, branche de la noble famille des De Sade. Je suis le premier enfant de Mathilde et de Maximilien, et j’étais prédestiné à être le prochain patriarche de la famille. Depuis ma naissance, je vis dans une perpétuelle quête de la perfection. Mère n’accepte pas le fait que cette Perséphone, ma cousine, plus jeune que moi me ravisse la place de chef de famille. Oh non, elle ne l’accepte pas. Et moi qui ai travaillé si dur pour prouver ma valeur et mériter ma place, je l’accepte encore moins ! Dire que je la déteste est un euphémisme. Non vraiment. Elle est la seconde à être née dans la famille et pourtant c’est à elle que reviendra le droit de diriger. Je ne l’accepte tout bonnement pas. C’est impossible. Mais j’ai encore l’espoir qu’en étant le meilleur, je reprendrais ma place d’ainé de la famille. Que je reprenne mes droits devant cette voleuse qui n’a rien fait pour mériter cette place de choix ! NON ! Nous, les De Mertreuil, nous vivons dans la sévérité depuis le berceau. Et notre mère a décidé depuis la naissance de ma chère cousine, de l’être encore plus. Elle a toujours été sévère et dure. Je me pliais aux règles, constatant avec bonheur qu’elle devenait presque méchante lorsqu’il s’agissait des enfants De Sade. Dois-je préciser qu’elle l’était surtout contre Perséphone ? Ma rancœur à son propos viens sans doute aussi du fait que Mère me poussait à être le meilleur partout et dans tout, me rabâchant sans cesse qu’elle ne méritait pas ma place, au vus des efforts dont je faisais preuve pour la reprendre. Mais je n’irais pas jusqu’à dire que je déteste les De Sade. Loin de là. J’aime ma famille. Mes deux sœurs, mon petit frère, mes cousins, cousines, tantes et oncles. Non, je suis très loin de les détester. J’ai plutôt un sens aigu de la famille. C’est probablement pour compenser mon manque de réactions lorsque mes jeunes sœurs ne supportaient pas la sévérité de mère. Moi, je trouvais ça tout simplement normal. La discipline avait toujours été de rigueur, et je me voyais mal vivre autrement. Ce n’est que récemment que j’ai compris à quel point ça n’avait pas été facile tous les jours. J’ai toujours été sérieux. Fourrés dans mes livres, peu enclin à m’amuser. J’étais plutôt renfermé sur moi-même lors des dix premières années de ma vie. Je m’en souviens comme si c’était hier. La même routine chaque jour de chaque année. C’était ma vie, ma reposante et rassurante vie. Comme je n’ai jamais osé me rebeller contre les décisions de mère, je n’ai pas été brutalisé. Heureusement. Mais pour elle, j’étais son petit prodigue. Alors j’étais souvent isolé, dans ma pièce, la bibliothèque. Mais ça ne m’as pas aidé lorsqu’à mes onze ans j’ai débarqué à Poudlard, avec ma valise pleine de livre et de connaissances. Je ne connaissais personne bien évidemment ! Et me faire des amis fut la chose la plus difficile que j’ai eu à faire. L’amitié ne s’apprend pas dans les livres, contrairement à ce que me disait mère dans ses rares lettres. Mon seul réconfort durant cette première année fut les livres. Et je constatais que mon hebdomadaire me manquait. Ma routine que je chérissais tant. Heureusement, je changeais. Dès ma deuxième année j’attirais les regards. Mon sang de vélane y était pour quelque chose, c’est certain. Mais surtout la réputation des De Sade me précédait. J’avais beau porter le nom des De Mertreuil, tout le monde savait qui j’étais, moi, Hélios. D’ailleurs, quel drôle de nom n’est-ce pas ? Bizarre, sans doute, mais je l’ai toujours adoré. Il fait de moi ce que je suis : un rayon de soleil. Trop niai n’est-ce pas ? Non, j’aime ce nom parce qu’il me représente. Un Dieu Soleil aux cheveux blonds caractéristiques de la famille. Cette beauté, à laquelle mère a rendu hommage en me donnant comme second prénom Apollon. Mais bien sûr, la beauté et le sérieux des De Mertreuil ne suffisent pas à me définir. Je serais bien triste d’être aussi fade. Non, je ne suis pas que le jouet que mère exhibe fièrement lors des réunions de famille. Je n’ai pas envie d’être son jouet. J’ai peur qu’au moindre faux pas elle ne me brise, moi et mes maigres espoirs d’être patriarche. C’est mon rêve, c’est mon droit. Et ici, à Poudlard je suis libre. J’y ai passé mes plus belles années, loin de l’ambiance oppressante du manoir. Devant elle bien sûr je suis toujours son aîné, si sérieux, qui entreprend de longues et gratifiantes études. Mais à Poudlard, je suis aussi ce garçon qui s’entretient, physiquement et mentalement. Même sur ces deux terrains plutôt opposés, je donne le meilleur de moi-même. Je veux être le meilleur partout et dans tout. Pour mère, sans doute, même si je ne veux pas le dire. Je suis bien peiné de l’avouer, mais même dans mon esprit elle a posé sa marque… Et je n’arrive pas à m’éloigner de cette ligne de conduite, malgré mes efforts. Parfois, j’envie ma sœur pour son imagination débordante, sa capacité à être aussi maladroite… Moi, je ne me le permets pas. Je ne peux pas me le permettre. Mère à un sixième sens pour savoir quand l’un de nous dérape. Maintenant que j’ai grandi, j’ai appris à détester tout ce contrôle qu’elle exerce sur chacun de ses enfants. J’aurais aimé être moins sage, plus rebelle, comme mon frère. Au lieu de ça, aux yeux de ma fratrie je suis le plus ennuyeux des frères.
►STATUT DE SANG; considéré comme Sang-Pur, il possède un sang mi sorcier, mi vélane. Cependant, les vélanes ne pouvant être des hommes, le pouvoir n'est pas actif chez Hélios. ►NATIONALITÉ; français jusqu'au bout des ongles. ►DATE DE NAISSANCE; né le 29 juin. ►BAGUETTE; sapin, ventricule de dragon, 31.25 centimètres. ►EPOUVANTARD; sa propre mère. ►PETIT PLUS; il parle anglais couramment, car il à appris dès l'enfance. Quand il pense à voix haute, c'est en français cependant.
a little something from you.
► CHARON. Comme le passeur des morts dans la mythologie grecque. ► ZIBELINE ; C’est sous cette forme que je suis apparu pour la première fois devant Hélios. Autant dire qu’il n’a pas apprécié qu’un furet, tel qu’il m’a nommé, apparaisse sur ses feuilles de cours, parce que cela le déconcentrait. A cet instant j’ai su que j’étais lié à un gars sérieux. TROP sérieux. Non mais franchement, vous l’avez vu ? Il sait qu’il attire les regards. Mais non, monsieur préfère se concentrer sur les choses essentielles à la vie de sa mère. Ah, cette femme ! Je ne l’aime pas ! Il va me falloir du temps pour qu’enfin il s’en détache et se mette à rire avec d’autres gens. ► BORDER COLLIE ; C’est comme ça que je suis le plus souvent. A vrai dire, je suis toujours sous cette forme. J’ai bien compris qu’Hélios me préférait comme ça. Même s’il ne l’avouera pas. Il est trop têtu pour ça ! Sous cette forme je représente son parfait contraire. Je suis joueur, taquin, parfois désespérant parce que je suis trop collant. Je n’arrête pas de bavarder avec Hélios. Enfin, je fais plutôt des monologues… Et quand je m’en rends compte, je saute sur sa table et je viens lui mordre les doigts sous forme de zibeline ! ► LES PREMIERS TEMPS ; Le premier jour, autant dire qu’il m’a complètement ignoré. Pareil le deuxième jour… Et ainsi de suite jusqu’au cinquième jour. La enfin, j’ai eu une réaction positive de sa part. Enfin, positive si l’on peut dire. Disons que c’est ce jour-là qu’il m’appelé Charon, et qu’il m’a parlé cinq minutes. Pour me dire que je le déconcentrais… Super. Mais au moins j’ai établis le dialogue ! Et j’ai surtout compris. Il se concentre sur ses études, et sur deux thèmes particuliers… Les patronus et les sortilèges ratés. J’étais content en voyant ça ! Mais dès qu’il l’a remarqué il a refermé les livres et est parti précipitamment. ► ACTUELLEMENT ; Maintenant ça va mieux. Il me répond souvent, même. Il s’est habitué à moi, et il ne se passe pas une journée sans qu’il ne me caresse. C’est devenu une habitude. En même temps, je peux comprendre ! J’ai une fourrure si soyeuse, et ce, que ça soit sous ma forme habituelle ou celle de la zibeline ! Et puis, j’ai l’impression que grâce à moi il se déride plus facilement ! ► RAPPORT A LA PARENTE ; Sa mère ne m’aime pas. Au début elle croyait que j’étais un chien errant. Quel toupet ! Son père, lui, m’as directement accepté… Et à intercédé en ma faveur auprès d’elle. Enfin, de toute façon, c’était m’accepter ou rien ! Je suis lié à son fils prodigue, après tout ! Il est obligé de vivre avec moi. Rien que s’éloigner de cinq mètre nous procure une souffrance intense. Et un mal de tête intense pendant une heure au moins. Dès que tout le monde à bien compris ça, plus personne n’as voulu me séparer de lui en prétextant qu’il devait étudier au calme. VICTOIRE !
You're not a sad story. Il est six heures et demie du matin, et je suis déjà levé depuis une demi-heure. Je me prépare à aller déjeuner, alors que j’entends mère crier après père qui est encore dans la salle de bain. J’attends, et mère s’impatiente. Elle m’appelle. J’aimerais courir dans l’escalier, mais par peur qu’elle me gronde, je marche lentement. Je ne suis toujours pas habillé, et mère n’est pas contente. Selon elle père est trop lent. Tante est à l’hôpital et nous sommes conviés à son chevet pour voir ma cousine. Je n’ai pas la moindre envie de la voir. Mais mère insiste. Nous y sommes obligés. Alors je remonte dans la salle de bain que père quitte à l’instant. Mère prépare mes plus beaux habits tandis que notre bonne me donne mon déjeuner. Un bol de lait, un croissant, et un verre de jus d’orange. J’aurais préféré un pain au chocolat. Mère n’aime pas que je mange plus d’un pain au chocolat par semaine. Mais un par semaine, c’est trop peu… Même si c’est déjà bien. Père descend enfin. Il est en costume cravate. Mère est contente, parce que nous sommes tous deux habillés de la même façon. Père m’ébouriffe les cheveux rapidement, avant de croiser le regard coléreux de mère qui vient directement les peigner. Nous partons à l’hôpital. Je n’aime pas l’hôpital. Ni ce qu’il représente. Surtout je ne veux pas voir tante. J’aime tante. Mais son enfant vole ma place de futur chef de famille. J’aurais préféré qu’elle n’ait jamais d’enfants. C’est une fille. Pourquoi c’est une fille qui prend ma place ? Je suis le premier né. Et un garçon. Mère est furieuse contre tante. Père essaye de la calmer, mais il n’y arrive pas. Moi, je suis triste. Je n’aime pas ma cousine. Elle prend ma place sans même que j’aie mon mot à dire. Si au moins ça avait été un garçon. J’ai des cousins. Un de plus n’aurait rien changé. Mère aurait compris pourquoi un garçon me prenait ma place. Même moi j’aurais compris. Je suis déçu. Je ne parlerais plus à tante. « Hélios, viens ici mon garçon. » Je m’exécute. Si oncle m’appelle, je ne peux faire autrement que de l’écouter. C’est lui le patriarche. C’est pour lui succéder que je vis depuis cinq ans. « Hélios mon petit… Tu n’as pas l’air heureux. C’est à cause de Perséphone ? » Je n’ose lui répondre. Je jette un coup d’œil en arrière. Mère est occupée avec tante, lui donnant des conseils pour les premiers mois. Il comprend et m’emmène plus loin. Je n’ose dire la vérité devant mère. Elle serait outrée et gênée devant sa sœur. Je ne veux pas qu’elle me gronde, alors j’attends d’être loin d’elle pour prononcer mes premiers mots de la journée. « …Oui mon oncle… » J’ai du mal à continuer. Il relève mon visage d’une petite pression sur mon menton. « Mon grand… Je suis désolé que tu perdes ta place. Mais tu peux comprendre, non ? Tu es intelligent n’est-ce pas ? » Oui, je suis intelligent. Mais j’ai un cœur. Un petit cœur qui s’est brisé à l’annonce de la grossesse de tante. Père, mère et moi avons su à cet instant que je n’étais plus le premier. Que je serais le second de la famille. Le pauvre premier déchu de sa place. Je lui en veux. Les larmes inondent mes yeux, traçant des sillons salés sur mon visage d’angelot. Je m’enfuis, alors que je l’entends essayer de me retenir. Je me dérobe au contact de mon autre oncle qui a tenté de m’attraper. Loin. Je veux aller loin. Elles m’arrêtent à l’entrée de l’hôpital. Les infirmières. Voyant mes larmes, elles comprennent. L’une d’entre elle reste près de moi. Elle pose délicatement sa main dans mon dos. Pour me donner du réconfort. Je crois. Mère n’as jamais fait ce geste avec moi. Elle m’offre un chocolat chaud, alors que je lui murmure mon nom à l’oreille lorsqu’elle me le demande. Alors elle dit à une autre d’aller prévenir ma famille que j’étais avec elles. J’ai réussi à l’en empêcher de justesse. Je veux qu’ils croient que je me suis enfui, et qu’ils ne me verront plus. Et puis… Je ne veux pas que mère remarque mon absence ou elle me grondera. Il est temps de partir. Me couvrant, l’une des infirmières est revenue en courant en disant que mère me cherchait. Vite ! Rapidement, je dépose un baiser sur celle qui s’est occupée de moi, et je remonte en courant. Mère me voit. Son visage est sévère. Elle me demande où j’étais passé, et pourquoi j’osais courir dans un escalier où j’aurais pu me blesser. Je baise les yeux, inventant une excuse. « J’étais aux toilettes mère… » Brusquement elle me prend l’épaule et me secoue. « Est-ce une raison pour courir dans l’escalier ! Ne me réponds pas ! » Je n’en avais pas l’intention… Je suis pétrifié. J’ai peur qu’elle me frappe. J’ai peur que ça fasse mal. J’ai peur, tout simplement. Père et mes deux oncles sont les seuls à comprendre ce qu’il s’est passé. Mère, comme toujours, n’as pas remarqué mes joues plus roses qu’à l’accoutumée. Je m’approche enfin de Perséphone. Elle est mignonne, pour un bébé. Une larme solitaire lui tombe sur la joue. Ses yeux sont fermés, elle dort. Pourtant sa main se referme sur la mienne. Surpris, je me recule vivement, et je trébuche sur les pieds de père. Il me rattrape in extremis et me sourit. Cela fait longtemps qu’il ne m’a pas souri. Pourtant je sais que ce n’est pas de la vraie joie. Il est triste pour moi. Il me comprend. ₰₰₰ Il est dix-huit heure trente. Je dois me préparer pour aller souper, mais je n’en ai pas envie. Mon estomac gronde. Charon ne cesse de me dire d’aller manger et de lâcher mon livre. Je ne l’écoute pas. Comme souvent d’ailleurs. Il me le fait remarquer. Je l’ignore encore, en continuant de lire. Il est important ce bouquin. Il m’absorbe en fait. Un livre sur les sortilèges ratés. Enfin, je n’en ai pas besoin pour un devoir. C’est juste pour ma culture personnelle. Et Charon s’impatiente. Il n’aime pas être à la bibliothèque. Il préfère être dans des endroits immenses et éclairés où il peut gambader sans soucis. Enfin. Sans soucis… Hormis celui de devoir rester près de moi. J’entends un bruit. Une chaise qui racle. Je me retourne. La dernière personne quitte la bibliothèque. Il s’agissait de ma cousine. Perséphone. Sans doute sent-elle mon regard dans son dos, parce qu’elle se retourne lentement. Mince. Maintenant qu’elle m’as vu, elle va encore venir me narguer. En grandissant, ma rancœur vis-à-vis de la famille s’est éteins. En tant qu’ainé, je peux même dire que je suis devenu protecteur et que c’est mon rôle. Sauf envers elle. C’est plus fort que moi. Ma haine envers elle est trop forte. Elle n’a jamais rien fait pour atténuer ce sentiment qu’elle engendre chez moi. Pire encore. Elle s’amuse à me rappeler que c’est elle qui aura le pouvoir à la mort de son père. Mais je sais qu’elle s’en fiche d’être la matriarche. J’ai même pensé à un moment en parler à mon oncle. Pour qu’il change d’avis. Mais elle m’a vite découragé. Jamais je ne dirigerais la famille, moi qui suis pourtant le plus âgé. « Tiens ! Hélios ! Toujours seul à ce que je vois. » Je grognais. Qu’est-ce que ça pouvait lui faire ? Charon me fit écho tandis que j’essayais de me replonger dans le livre, espérant abréger sa venue. « En même temps, je comprends les autres. Tu n’as pas d’avenir. » Elle en avait déjà trop dit. Je suis toujours calme, d’ordinaire. Pourtant, elle parvient à me faire sortir de mes gonds en quelques secondes. Malgré la différence de taille entre Eilia et Charon, ce dernier se mit à tourner autour d’elle. Il grondait, menaçant. Mais je sais qu’il ne fera rien. Après tout, elle ne vaut pas la peine que je m’énerve pour elle. « Tu ne dois pas rejoindre ton petit ami n°5 ce soir ? » Je me mis à sourire, profitant de cette « pique » pour me retourner et prendre mon livre. « C’est ce que je comptais faire, rassure-toi ! » Je secoue la tête presque imperceptiblement. Elle parvient à chaque fois à me contrer. Enfin, c’est peut-être que je ne me bats pas assez. Je trouve ça inutile. « Tu attends quoi alors ? » Je l’entends se retourner et partir. Peut-être mon manque d’intérêt l’as énervée, pour une fois. Ou alors elle a faim. C’est plutôt ça d’ailleurs. Depuis qu’elle est arrivée à Poudlard, quelques années après moi, elle n’a pas cessé de me harceler, pour que je comprenne bien qu’elle n’en avait rien à faire du rôle de matriarche qu’elle s’était vue confié sans qu’elle ait son mot à dire. Mais que, quand même, elle le prendrait. Et que ça la faisait bien rire que je sois simplement un second qui n’obtiendra pas la place. Parce qu’après elle, il y a encore Artémis, Narcisse, et aussi Sélène. Mais eux au moins ont la décence de ne pas me le rappeler à chaque rencontre. « Hey Hélios ! Tu viens, on t’attend ! » Ah. Si Persé avait encore été là, elle aurait sans doute râlé. Oui, maintenant j’ai des amis. Même si je passe les trois quart du temps à étudier, il y en a toujours un pour venir me rappeler de me nourrir. « Oui j’arrive, ne t’en fais pas ! » Charon à mes côtés approuve cette intervention. Ça se voit à sa queue qui tape contre les pieds de la table à un rythme joyeux et continu. « Grouille-toi quand même. » Ah, quel impatient ! Lorsque j’ai fini et que j’arrive à côté de lui, j’ai droit à une bonne tape sur l’épaule. « J’ai faim si tu savais ! » Je ris doucement. « Mais tu as toujours faim ! » Il me dévisage, moitié sérieux, moitié hilare. « C’est parce qu’à chaque fois je dois venir te chercher tiens ! » Et nous partons en riant dans la Grande Salle. Nous nous installons comme d’habitude à notre place, mangeant les délicieux plats. Effectivement, j’avais très faim. Tell me who you really are. ϟ pseudo et âge: Kathou, 17 ans. ϟ Où as-tu trouvé le forum? sur Bazzart je crois. ϟ Personnage: PV [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]ϟ As-tu un autre compte sur BP? nope ϟ Présence: je dirais régulière ϟ Une remarque? j’aii pas pu attendre xD
Dernière édition par Hélios A. De Mertreuil le Mer 26 Juin - 21:20, édité 15 fois |
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