Je viens d'une famille aux moyens aisées à Londres. Ma mère était moldue, et est décédée à mes neuf ans d'un cancer. Et mon père était un sorcier de sang mêlé. Donnant un charme incroyable à mon père. Ce dernier gêne me fut transmit.. Travaillant comme langue de plomb au département des mystères. Il avait toujours été un bon père pour moi. J'ai toujours été très proche de lui. C'est surtout lui qui m'a rassurer quand j'ai commencer à découvrir que je n'étais pas comme les autres enfants à l'école primaire. Ma mère, étant une moldue, ne pouvait pas m'expliquer ce qu'il m'arrivait, car elle même ne savait pas. Bien évidemment, elle savait que son mari et sa fille étaient des sorciers. Mais comment soutenir un enfant à part dans sa découverte de la magie.. Malgré le décès de ma mère, je n'étais pas une jeune fille malheureuse. Mon père m'élevant avec de grandes valeurs et de bon principes, j'étais une fille respectable, travailleuse et polie. A mes onze ans. Lorsque j'eus cette lettre.. Cette invitation à Poudlard, je fut plus qu'heureuse ! Étant fascinée et passionnée par la Magie, je n'avais eus qu'une hâte, avoir ma propre baguette et lancer des sorts à tout bout de champs. Mais ce fut plus compliqué.. En 1ère année, les cours étaient très durs, il fallait être à la hauteur de chaque cours afin de pouvoir bien exercer sa magie. Et c'est aussi en première année que j'ai reçu mon animal de compagnie. Un faucon apprivoisé que j'avais trouvé à la Ménagerie Magique sur le Chemin de Traverse. Je l'avais appelé Roy. Car son élégance était inébranlable et sa race moldue me rappelait ma mère. Ma deuxième année fut bien plus simple, j'avais apprit à utiliser la magie à mon escient, à présent je devais la contrôler afin de pouvoir lancer des sorts de défenses et d'attaque. En troisième année, je fut qualifiée en tant que poursuiveur de mon équipe de Quidditch de ma maison respective. En quatrième année, j'appris des sorts bien plus puissants que ceux des années précédentes. Mon charme de jolie femme agissant sur les hormones des garçons, j'en eus vite très marre. Ma moyenne ne baissant pas pour autant. Forte en Soins aux créatures magiques, en Sortilèges et en Potions, j'étais cependant nulle en Histoire de la Magie, Métamorphose ainsi que les cours de Botanique. Mais je faisais de mon mieux. Rentrant le Noël chez mon père, revenant à Poudlard ensuite, je me rendit vite compte que cette école était vraiment faite pour moi. En cinquième année, j'eus ma première idée de métiers. J'étais très attirée par les Dragons.. Alors je me mis dans la tête de devenir Dragonnier. Oui, je voulais faire ce métier. J'avais lu dans le Chicaneur, que ce métier était en voie d'extinction dut aux nombres incroyable de blessures et de morts. Pourquoi dresser des Dragons me direz vous ? Eh bien car certaines organisation en souhaite pour défendre un portail ou un objet au service du Ministère.. Etc.. Enfin bref, je m'égare. Même si le niveau de la cinquième année était vraiment de plus en plus dure, ce ne fut rien comparé à la sixième année que je commençais aujourd'hui. Les BUSES étaient souvent le sujet de conversations des élèves, je ne faisais que stresser pour ces examens, j'en avais besoin pour devenir Dragonnier.

C'est marrant, mais plus le temps passe et plus j'ai oublié comment était la vie moldue que je partageais avec ma mère. Tout était si dur. Aucune magie, juste une volonté incroyable. C'était si dur d'être moldue. Je me souviens à mes sept ans quand elle m'emmenait faire des achats avec elle à Londres. J'adorais voir les objets que nous, les sorciers ne connaissions pas. J'ai vécu en tant que moldue et en tant que sorcière. Et jamais je ne regretterais cela. C'est d'ailleurs ce qui m'aida dans mon cours d’Étude des Moldus. Que pourrais je vous dire d'autre sur mon histoire.. Quand mon patronus est apparût à Noël, il à été mon plus beau cadeau, je l'ai accepté directement. Surprise incroyablement, Démon était tout ce que je n'étais pas... J'ai toujours vécue avec lui. Je n'ai jamais connue la misère, le salaire de mon père étant important dut aux risques de son métier au Ministère. J'ai toujours eus ce que je voulais. Sauf peut – être une grande envie. Pouvoir posséder un  Sombral. Cette créature entre un cheval et une chauve-souris.. Cette créature squelettique que personne n'aime car ils sont différents. J'ai toujours adoré ces bêtes. Je peux les voir oui, ayant vu ma mère mourir dans son lit d’hôpital.. Certes j'ai perdu ma mère, mais ça me donne le pouvoir de voir certaines choses que d'autre ne peuvent voir. Son cris, ressemblant à une plainte raisonnant dans une plaine.. Oui, c'était une magnifique créature, j'ignorais si l'on pouvais en posséder un. Mais je me contentais d'aller dans la foret interdite (pas très loin de la lisière, car cette forêt me fiche la pétoche) plusieurs soirs par mois afin d'aller voir ces magnifiques créatures..