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WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
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par Invité, Lun 8 Juil - 23:37 (#)
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Willard Hayes Blackstone
FEAT. Ole Sørensen
17 ANS ϟ OFFENSIVE MAGIQUE - 1ÈRE ANNÉE ϟ LIÈVRE & CORBEAU ϟ SANG-PUR

Né à la fin de l’été 1961 dans le nord de l’Angleterre, Haynes – de son nom complet Willard Haynes Blackstone – grandit dans le manoir familial situé aux environs des North Pennines. Benjamin d’un fratrie de trois frères, il bénéficia comme eux d’une éducation stricte et conservatrice valorisant le statut de sang-pur dans la société et rejetant toute influence moldue, prônée par Desmond Blackstone, patriarche dirigeant la famille d’une main de fer. Il en développa une haine irrationnelle pour les individus dépourvus de pouvoirs magiques et leur mode de vie, un dégout accentué par son tempérament sanguin et sa propension à la violence. Les innombrables corrections assenées par son père lors de ses premières années ont certainement adouci le gamin capricieux et turbulent qu’il était, mais ne l’ont pas débarrassé de sa fougue. Détesté ou apprécié, Haynes ne laisse en général pas indifférent. Certains le décrivent comme une tête brulée, un agité qui n’a pas peur de grand chose. Pour d’autres, ce n’est qu’un inconscient essayant d’attirer l’attention sur lui, la plupart du temps à coup de remarques désagréables. Adepte des répliques cinglantes, il pratique le sarcasme avec brio et ne manque jamais une occasion de railler ses camarades, s’en prenant généralement aux mêmes victimes, à savoir nés-moldus et leurs défenseurs la ramenant un peu trop à son goût. C'est également un être profondément orgueilleux et susceptible, qui même s'il s'impose de rester correct envers ses professeurs, accueille difficilement réprimandes et critiques. Car malgré un esprit vif et rusé, le jeune homme n’en reste pas pour autant un élève moyen et peu attentif, et à quelques exceptions près, aux résultats généralement moins brillants que ceux de ses ainés – au grand désespoir des ses parents. Son désintérêt pour les études et sa paresse – que certains aiment justifier par ses origines sociales – furent pendant une période la source de nombreuses menaces de leur part et son grand-père le considéra pendant longtemps comme irrécupérable. Ce jusqu'à la réception de ses résultats d'ASPIC (7/9), où chacun fut forcé de constater que malgré son manque d'investissement au cours de l'année, il était bel et bien capable de s’atteler à la tache en cas de nécessité et avait tout autant sa place dans le secondaire que ses frères.
Sous ses airs immatures, Haynes peut également se révéler de très bonne compagnie. Sociable et attentif, il n’hésite pas à faire le premier pas vers les autres – pour peu qu’ils aient son attention – et s'avère être un bon ami pour quiconque sait gagner sa sympathie. C’est un bon vivant appréciant de passer du bon temps, facétieux et adepte des veillées en tout genre ; un compagnon idéal pour les soirées d’été. Il sait également se montrer charmant et courtois lorsque le besoin se fait sentir, en général pour obtenir une faveur, s'extirper d'une situation délicate ou s'attirer les charmes d'une jolie demoiselle. Enfin s’il a tendance à se comporter de manière extravertie en public, il est forcé d’adopter une attitude beaucoup plus effacée au sein de sa famille. Poudlard étant le seul endroit où il puisse échapper au moins partiellement à la domination de son grand-père, ses retours dans le nord sont une véritable épreuve pour lui. Véritable despote, Desmond dicte l’existence de chacun de ses descendants, imposant sa loi de manière indiscutable, forçant chacun à vivre en redoutant son courroux. Jusqu’à présent, Haynes a toujours échappé à l’intérêt de son grand-père, qui préférait porter son attention sur ses deux ainés. Cependant, il est conscient qu'une fois ses premières années dans le secondaire achevées, rien ne lui permettra de se dérober au parcours que lui aura choisi son aïeul, une perspective qui le terrifie mais à laquelle il sait qu'il n'aura pas d'autre choix que de lui faire face, comme ce fut le cas de ceux qui le précédèrent.

LA BAGUETTE CHOISI SON SORCIER

Sculptée dans du bois d'Aulne, la baguette d'Haynes mesure ving-sept centimètres et renferme en son cœur une plume de phénix. Fine mais souple, elle est précise et aisément manipulable, ce qui s'avère être un avantage considérable en métamorphose.


a little something from you.

Il lui était tout d’abord apparu sous la forme d’un filet de brume argenté flottant paisiblement près de sa poitrine. Puis peu à peu, Haynes avait vu une forme se dessiner dans la vapeur lumineuse, assistant pour la première fois à l’apparition de son patronus. Un lièvre.  Animal nocturne, symbole universel de renaissance, d’intuition, mais aussi de luxure et de paresse, il s’était vite lié à la créature, dont la présence est synonyme pour lui de chaleur et de sécurité. Celui qu’il baptisa par la suite Néron – d’après l’empereur romain sanguinaire – présenta rapidement des traits de caractère similaires aux siens. Ainsi il lui arrive souvent de prendre les devants lorsqu’Haynes se promène, pour aller à l’encontre des passants. Constamment en mouvement et plutôt téméraire, il n’a pas peur des étrangers et n’hésite pas à s’aventurer dans des endroits périlleux, en veillant toujours à rester à faible distance de son maitre. Il lui arrive aussi quelques fois de se métamorphoser en un gros corbeau noir de jais, en général lorsqu’Haynes est d’humeur maussade, déprimée ou en colère. Cette deuxième facette de la créature est donc de mauvaise augure, d’autant plus qu’elle est beaucoup plus sauvage et agressive que sa première forme. Enfin, s'il se apparait généralement sous un aspect brumeux, Néron préfère généralement son physique « solide » lorsqu’il est en extérieur.
 


You're not a sad story.


MARS 1967 - De fins rayons solaires s’immisçaient entre les épais rideaux de velours, baignant la pièce dans la lumière douce de fin d’après-midi. Les étagères qui tapissaient les murs semblaient toutes sur le point de céder tant elles étaient remplies d’ouvrages, tandis que le bureau au centre de la salle était à peine décelable sous l’amas de parchemins qu’on y avait déposé. Une odeur âcre de poussière et de renfermé régnait dans le cabinet, rendue encore moins supportable par la chaleur ambiante. Le teint blême et le visage déconfit, l’enfant s’efforçait de garder son regard rivé vers l’extérieur. Derrière la fenêtre il voyait les feuilles des arbres frémir sous le souffle discret du vent. Il entendait leur bruissement léger, frissonnant sous ses caresses. « Jamais je n’ai toléré d’écarts de la part de mes enfants ou de mes petits-enfants, je ne commencerai certainement  pas avec un petit vaurien dans ton genre ! Ton comportement est inacceptable et indigne d’un Bla….regarde moi lorsque je te parle ! » Le coup vola sans prévenir arrachant un hoquet de surprise au garçon. Haynes s’efforça de retenir ses larmes tandis qu’une douleur cuisante s’emparait de sa joue. Ne pas pleurer. Ça ne ferait qu’empirer les choses, il le savait. Le vieillard n’était pas du genre tendre, et il risquait bien de le mettre hors de lui s’il se mettait à sangloter. Surtout ne pas pleurer. L’enfant leva son regard terrifié son grand-père, qui le considérait d’un air sévère. « Ceci sera mon premier et unique avertissement. Au moindre faux pas, je n’hésiterai pas à employer les grands moyens. Bien sûr, nous ne voudrions pas en arriver là, n’est-ce pas ? » Il avait parlé d’un ton doucereux, un sourire mauvais sur le visage. Haynes acquiesça, les yeux rivés sur la baguette que son aïeul faisait rouler entre ses doigts. Il déglutit. Depuis toujours, les scènes de violence perpétrées par Desmond faisaient parti de son quotidien. Le vieil homme malmenait elfes, domestiques et membres de sa propre famille, n’hésitant pas à user de méthodes cruelles lorsque l’envie l’en prenait. Même s’il n’en avait jamais directement fait les frais – peut-être à cause de son jeune âge –  le garçon savait qu’il lui arrivait d’utiliser des sortilèges impardonnables sur ses victimes lorsqu’il était particulièrement de mauvaise humeur. Les marques sur les corps de ses frères ainés, la terreur qui s'emparait d'eux lorsque leur grand-père faisait irruption dans la pièce en témoignaient. Il savait bien qu’un jour, lui aussi finirait par subir le courroux du patriarche, peut-être pour une remarque déplacé ou un regard mal interprété. Le tout était de faire en sorte que ce moment arrive le plus tard possible.
La tête baissée, il risqua un regard vers Desmond, s'attendant à tout moment à recevoir une nouvelle gifle. Elle ne vint pas. Il s'éclaircit alors la gorge et s'efforça de reprendre ses esprits, malgré les tremblements qui parcouraient son corps. [color:80c4=##858E62]« Non, monsieur. » L'homme le considéra encore quelques secondes, avant de le congédier d'un geste de main, visiblement satisfait. Haynes tourna les talons et s'empressa de quitter la pièce, suivit de près par son percepteur.

SEPTEMBRE 1972 - On les fit entrer en rang dans la Grande Salle. C’était une pièce spacieuse, où trônaient quatre longues tables sur lesquelles tous les autres élèves étaient déjà assis, en fonction de la maison qui leur avait été attribuée. Au fond se trouvait la table des professeurs, en face d’une estrade qui avait été dégagé, sur laquelle était posé un simple tabouret inoccupé. Un brouhaha difficilement supportable résonnait entre les murs. Le jeune garçon leva les yeux vers le plafond, magnifique réplique d’un ciel étoilé en dessous duquel flottaient des milliers de chandelles. « Hé regardez ! La salle est ouverte sur l’extérieur ! »  Un petit roux enrobé pointait le plafond du doigt d'un air ébahi. Haynes leva les yeux aux ciel, et lui lança d'un air exaspéré : « C'est un plafond magique. Une illusion. Tu ne crois tout de même pas que le château est dépourvu de plafond ? Tu dormais lorsque nous sommes arrivés par le lac ? » L'autre afficha une mine déconfite, avant de se perdre dans ses balbutiements. Blackstone soupira : à croire que Poudlard n'échappait pas à son lot d'imbéciles. Il lui tourna le dos et resserra un peu plus sa cravate, sentant le feu lui monter aux joues alors que tous les regards reposaient sur les futures premières années. Un vieux sorcier à l’allure sévère appela au calme dans la pièce. Le bourdonnement s’apaisa progressivement, avant de laisser place à un silence pesant.
Quelqu’un amena alors un vieux chapeau rapiécé, que l’on posa sur le tabouret vide. Le Choixpeau Magique. Des murmures à la fois excités, intrigués et inquiets parcoururent le groupe de nouveaux venus. Haynes resta impassible. Jusque là, tout se déroulait exactement comme ses frères lui avaient expliqué. Il ne restait plus qu’à se retrouver à la bonne place. Le vieux sorcier du une deuxième fois rétablir le silence, avant de prendre la parole : « Lorsque votre nom sera appelé, vous viendrez vous asseoir sur le tabouret avant de placer le chapeau sur votre tête. » Et ainsi débuta une série d’appels. Gryffondor, Serpentard, Serdaigle, Poufsouffle, les élèves défilaient et à chaque fois le chapeau élimé leur attribuait une maison avec le même aplomb. Les tables s’animaient successivement pour accueillir leurs camarades. Une centaine d’élèves hurlant à plein poumons chaque minute ; un spectacle plutôt impressionnant à regarder. Enfin, au bout d’une demi douzaine de têtes, Blackstone, Willard Haynes fut finalement appelé.
Il n’avait jamais eu trop de mal à passer sous le regard d’étrangers, mais cette fois, la pression était à son maximum pour le garçon et il la ressentait à travers tout son corps. Il fit un effort psychologique incroyable pour calmer ses membres tremblotants, et paraitre à l’aise. Seigneur, il aurait à la fois tout donné pour laisser sa place à quelqu’un d’autre, mais mourrait d’envie d’en finir. D’un pas mal assuré, le Haynes gravit les marches qui le séparaient de son destin, en scrutant la foule du regard, cherchant deux visages familiers  tous les deux assis à la table des Serpentards. Et s’il était le seul de sa famille à ne pas faire ses études dans la prestigieuse maison ? Serdaigle passait encore, mais qu’en était-il s’il en arrivait à se retrouver chez les Gryffondors, ou pire encore, chez les Poufsouffles ? Une goutte de sueur perla sur son front. Il ferma les yeux. « Hmm…je vois, je vois. » Une voix anormalement grave avait surgit des ténèbres dans lesquelles il avait eu l’impression de plonger en essayant le chapeau. Ses doigts se crispèrent sur le tabouret usé. Il ferma les yeux alors que la sentence résonnait dans la salle.


DÉCEMBRE 1975 - « Le sang moldu, c’est une tare de cette civilisation, je te le dis, la gangrène de notre monde. Si on ne s’en débarrasse pas tout de suite, ils finiront pas nous éliminer, c’est indéniable. Si tu n'y crois pas, tu te voile la face ! » La remarque fut accueillie par des grognements approbateurs. Enfoncé dans le confortable fauteuil de cuir, le jeune homme savourait le succès suscité auprès de ses camarades. Malgré son jeune âge, il disposait d’idées bien arrêtées sur le sujet. Un discours véhiculé par sa famille depuis des années, auquel il avait apprit à adhérer, et qu’il n’hésitait pas à débiter lorsque l’occasion se présentait, au déplaisir de certains. « Enfin, tu ne peux pas dire ça ! Je veux dire, de nos jours il y a des nés-moldus parfaitement intégrés à la société, comment peux-tu les considérer comme un danger ? » Haynes chercha le regard complice de ses camarades et s’esclaffa bruyamment au nez de la jeune fille. « M’enfin ma pauvre Matilda, la question n’est pas leur intégration dans la société, mais bien la légitimité de leur place parmi nous. On est différents, nous n’avons pas été élevés de la même manière. Ces gens là profitent des bienfaits de notre monde sans rien apporter de positif en retour, comme le feraient des sangsues ! » Un élève de Serpentard – qui devait surement être en cinquième ou sixième année – leva son verre en direction du jeune Blackstone et beugla quelque chose sur les buchers de sorcières au moyen-âge, une remarque auquel Haynes répondit par un sourire aimable. Il savait que son opinion était partagée, souvent d’ailleurs par des élèves de la maison verte et argent.  « Certes, faisons comme si tu avais raison, refusons leur l’accès à Poudlard et empêchons toute mixité. Mais alors, qu’adviendra-t-il de ceux qui côtoient déjà les sorciers ? Il faudra les s’en débarrasser, c’est ça ? Les traquer et les éliminer ? Félicitations, Haynes, tu as gagné ta place chez les Mangemorts. Vraiment, des fois  j'ai du mal à te comprendre. » Matilda reposa violemment son vin chaud et quitta l’assistance, visiblement excédée par les propos du jeune homme. La bouteille de verre vacilla quelques instants, avant de tomber à la renverse et de répandre son contenu sur la table basse. Devant les regards interrogateurs de ses camarades, Blackstone haussa les épaules, pas le moins de monde contrarié par le départ de la jeune fille. Il n’avait jamais caché ni ses idées ni la proximité de sa famille avec les Mangemorts, qui était loin d’être un secret dans le monde sorcier : son frère avait même rejoint leurs rangs quelques mois plus tôt, à la grande satisfaction de leur grand-père. Ainsi il arrivait souvent qu’on le compare aux membres du groupe, un rapprochement qui le flattait, même s’il lui ne se considérait pas comme un aspirant Mangemort. En effet, malgré le fait qu’il entretenait un intérêt plutôt malsain pour l’organisation et son leader, le Seigneur des Ténèbres, Haynes ne s’était jamais senti prêt à franchir le pas, contrairement à ses ainés. Évidemment il prenait bien soin de cacher ses doutes à son entourage, préférant agacer les défenseurs des nés-moldus que de risquer de s’attirer les foudres de l’autorité parentale. « Tu devrais peut-être aller la voir, non ? » Une nouvelle fois, Blackstone haussa les épaules, avant de se servir une nouvelle fois de Bierreaubeurre, sous le regard inquiet de son camarade. « Oh, elle finira par revenir, elle revient toujours. Et puis, même si ce n’est pas le cas cette fois-ci, il y en aura d’autres, pas vrai ? »  Il lança un clin d’œil à une troisième année, installée à l’autre bout de la pièce, leva son verre en sa direction avant de le porter à ses lèvres, alors que des rires gras s’élevaient de l’assistance.

JUILLET 1979 - Un vent salé et froid balayait la plage, faisant frémir les broussailles qui bordaient les chemin vers la jetée. Quelques heures auparavant, la pluie s’était abattue sur la région, laissant une bande de sable encore humide et fraiche. Haynes respirait par grandes bouffées l’air iodé de l’océan, tout en écoutant le bruit régulier des vagues venant s’échouer sur les rochers. Il descendait rarement jusqu’à la plage, seulement lorsqu’il ressentait le besoin de se ressourcer, de se retrouver un peu seul avec lui-même. L’endroit, situé à quelques kilomètres de la demeure Blackstone, était généralement peu fréquenté l’été et désert tout le long de l’hiver. La faute à une météo capricieuse dans cette région pluvieuse de l’Angleterre, et à un paysage morose, loin des paysages paradisiaques recherchées par les vacanciers. Idéal donc pour quiconque y chercherait un semblant de calme et de sérénité. Allongé à même le sable,  le jeune homme sirotait une bouteille de bière, le regard rivé sur le ciel nuageux et un carnet de cuir à ses cotés. Ces derniers jours avaient été intenses. Il avait encore dans la poche arrière de son jean les résultats de ses ASPICS, reçus la veille au petit matin. D’un geste maladroit, il extirpa le papier de son vêtement et tenta de le déplier d’une main. L’encre rouge était un peu délavée par l’humidité, mais le texte restait lisible. O en métamorphose, E en défenses contre les forces du mal, botanique, A en potions, sorts et enchantements, histoire de la magie et divination. P en astronomie et en soins aux créatures magiques. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Dans quelques semaines, il allait commencer sa première année dans le secondaire. C’était en quelque sorte un nouveau départ qu’il prenait, une nouvelle page de sa vie qu’il tournait. Il avait choisi d’étudier en Offensive Magique parce que, n’ayant pas d’autre choix que de poursuivre dans le supérieur et à défaut d’étudier le droit, c’était le cursus qui lui semblait le moins contraignant. Et puis il fallait avouer qu’il était intrigué par ces cours de combats dont il apercevait quelques fois les étudiants s’entrainer dans les salles vides de Poudlard. De toute manière, il était certain que son grand-père lui réserverait une place quelque part, comme pour le reste de sa famille. Comme un joueur de dames, le vieillard avait tendance à placer ses descendants à des postes stratégiques, pour s’assurer de garder un certain poids dans la société sorcière. Ils n’étaient que des pions sur son échiquier, les instruments de sa gloire. De quoi les dégouter de toute ambition. N’était-ce pas pathétique ? Il but une petite gorgée de bière. Malgré tout, il ne pouvait s’empêcher d’éprouver de l’appréhension. Il grandissait et, s’il n’avait pas encore dix-huit ans, il savait que l’annonce d’une éventuelle union arrangée l’attendrait à la fin de l’année, exactement comme ce fut le cas pour ses frères ainés. Haynes se rappelait distinctement du visage déconfit de Phoenix lorsque leur grand-père leur avait présenté sa fiancée, Skyler Mills. Même s’il ne connaissait pas vraiment la nature des relations de son frère avec la Serpentard, il savait qu’elles étaient moins bonnes que celles qu’il entretenait avec sa jumelle. Une chance sur deux et le vieux Desmond avait pioché la mauvaise. « C’est trop con. » Il porta le goulot à ses lèvres. Être marié dans les cinq années à venir n’était pas une option pour les enfants Blackstone, et il ne lui restait plus qu’à prier pour qu’il tire le gros lot. Par la suite, il vivrait sans doute de la même manière que ses parents, soit sous la domination du vieillard, attendant que celui-ci ne disparaisse pour commencer à vivre pleinement. « Pitoyable. » Il termina sa boisson avec un gout amer dans la bouche, avant d'envoyer la bouteille s’exploser contre les rochers d’un geste rageur.


Tell me who you really are.

ϟ pseudo et âge: Vous pouvez m’appeler Inès/16 ans.
ϟ Où as-tu trouvé le forum? via Bazzart.
ϟ Personnage: Scénario/PV, crée par Phoenix (:
ϟ As-tu un autre compte sur BP? Pas pour l'instant, c'est mon premier.
ϟ Présence: Quotidienne pendant les vacances d'été.
ϟ Une remarque? //


Dernière édition par W. Haynes Blackstone le Sam 13 Juil - 2:20, édité 51 fois
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Invité, Lun 8 Juil - 23:54 (#)
Yesuisamoureuse RIP
Bienvenue ! :3
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Guest, Lun 8 Juil - 23:56 (#)
Bienvenuuuue Daengelo
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par Guest, Mar 9 Juil - 0:03 (#)
Bienvenue parmi nous Daengelo Ton avatar est pas mal bave 
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par Invité, Mar 9 Juil - 0:15 (#)
Bienvenue ! :gaga: Yeah!

Excellent choix de famille, en toute objectivité siffle

Et très bon choix d'avatar ! Haww
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par Guest, Mar 9 Juil - 0:43 (#)
Ouelkooooooooom Haww


Bonne chance pour ta fiche Brille
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Invité, Mar 9 Juil - 3:26 (#)
AAAAAAAAH THEODORE MON PREMIER FIANCEEEE Han! :gaga: Youpi (ouiSkym'adit) (etlà,j'aimalcomprisetjepassepouruneconne RIP )
Tu nous a retrouvé heh Pantémort franchement, le seule truc que j'ai vraaaaaaaiment supra regretté en quittant PI (commeunevoleuse,jel'avoue) c'est qu'on ait pas pu jouer notre lien Potté et maintenant j'ai un nouveau fiancé avec ce même lien adapté :panda: Pantémort mais bref, je veux un lien de fifouuuu quoi qu'il en soit Han!
Bienvenuuuuuuue Haww
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Guest, Mar 9 Juil - 3:33 (#)
(Angelo te surveille de loin, Dae.)

Bienvenuuuuuuue. *-*
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Invité, Mar 9 Juil - 3:33 (#)
Bienvenue ! :D
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Invité, Mar 9 Juil - 3:49 (#)
Il a pas à me surveiller pour Haynes, j'suis avec Lester Haww *fuit et arrête de polluer la fiche*
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Invité, Mar 9 Juil - 4:11 (#)
Merci à tous pour vos messages :calin: :friends: 

Daedra E. Mills a écrit:
AAAAAAAAH THEODORE MON PREMIER FIANCEEEE Han!:gaga:Youpi(ouiSkym'adit) (etlà,j'aimalcomprisetjepassepouruneconne RIP)
Tu nous a retrouvé heh:pan:franchement, le seule truc que j'ai vraaaaaaaiment supra regretté en quittant PI (commeunevoleuse,jel'avoue) c'est qu'on ait pas pu jouer notre lien :potté:et maintenant j'ai un nouveau fiancé avec ce même lien adapté :panda::pan:mais bref, je veux un lien de fifouuuu quoi qu'il en soit Han!
Bienvenuuuuuuue Haww

Meeeeeeerci ! MAIS OUI MAIS COÏNCIDENCE DE FOU ! Han!  :youhou: Faut croire que le monde du RP est tout petit ! C'est clair que c'était dommage que vous partiez de PI, mais Phoenix m'a expliqué que c'était pas forcément ce que vous recherchiez, donc bon... Ça arrive ! Et oui, il va nous falloir un nouveau lien en béton, d'autant plus que Skyler est fiancée à Phoenix et qu'encore une fois on se retrouve dans des familles qui s'unissent (dis donc, on se retrouve souvent dans des histoires de frères/soeurs fiancés quand même :P: ) En tout cas ça me fait vraiment plaisir de tomber sur vous ! Brille  J’espère finir cette fiche dans les jours qui viennent, je réfléchis à un lien en parallèle !
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Invité, Mar 9 Juil - 4:49 (#)
Ouais, t'es avec Lester...Batte! 

j'vous surveille tous les deux, disons. ( mais que d'un oeil. )
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Invité, Mar 9 Juil - 5:57 (#)
bienvenuue parmi nouuus Haww
les blackstone bave Daengelo
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Guest, Mar 9 Juil - 11:30 (#)
SORENSEN. :( 

Bienvenue parmi nous. Yaaa 
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
par Guest, Mar 9 Juil - 15:48 (#)
Bienvenue :D bon courage pour la suite de ta fiche love 
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Message Re: WHB ✜ the marks humans leave are too often scars.
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